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3 ans de pénitence – 14

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Une orgie au couvent.

Les spectateurs s’apprêtent à choisir la fille qui leur plaît. Le gros homme s’adresse aux deux amis avec qui il est venu :
— Vous n’avez pas envie de vous faire sucer par ma femme ?
Ils en ont sûrement envie, mais n’osent pas le dire. Le gros regarde un des deux en disant :
— Je suis sûr que ça te plairait, Théo…
— C’est gênant, on se connaît depuis des années et puis c’est ma belle soeur et ta femme, quand même.
— Je sais que tu en as envie…
— Oui, Cynthia est très belle, mais…
— Allez, te fait pas prier, c’est offert de bon coeur !
Tête de Cynthia ! Le gros lui montre la badine et elle se met à genoux entre les jambes de son beau frère. Bah, si ça reste en famille…
Le gros se tourne vers moi en disant :
— Viens ici, petite.
Mais pourquoi moi ?
Comme je n’ai vraiment pas envie de me faire fouetter, je vais me mettre à genoux devant lui. Ayant du mal à ouvrir sa braguette, vu son énorme ventre, il se lève et dit :
— Enlève mon pantalon.
— Oui Monsieur.
Je le baisse, ainsi que son caleçon et je me retrouve nez à nez avec une bite de belle dimension, même si elle encore un peu molle. Il me dit :
— Qu’est-ce que tu penses de ma bite, petite ?
— Elle est grande et belle, Monsieur.
— Alors à ton avis, pourquoi ma femme se fait sauter par n’importe qui ?
Je pense « parce que tu es gros et moche et pas sympa et qu’elle, c’est une salope. Mais, bon, prudemment, je réponds :
— Moi, si j’étais votre épouse, je ne vous tromperais pas (j’aurais trop la trouille !). Peut-être que votre femme est une nymphomane et que c’est plus fort qu’elle, Monsieur.
— Bonne réponse ! Tu es futée, toi (non, j’ai peur du fouet !). Alors un gangbang ça devait plaire à une nympho, non ?
— Assurément, Monsieur (oh que je n’ai pas envie de me mouiller).
— Regarde cette salope pomper le dard du mari de sa soeur.
Je regarde la jolie brune dont la tête va et vient sur le sexe de son beau-frère. Ce que je vois aussi, c’est que ça a l’air de plaire à son mari, parce que le sexe du gros est en pleine érection. Je l’embrasse, je préfère encore faire ça plutôt que répondre à ces questions à la con. Le gros me caresse la tête tout en regardant sa femme sucer. Il lui donne un petit coup de badine sur les fesses en disant :
— Termine-le Cynthia, tu as d’autres bites à sucer.
Il se croit vraiment tout permis, le gros. C’est riche et ça a une grosse bite, alors ça se croit le maître du monde ? Et puis, soyons lucides, les riches sont les maîtres du monde !
Cynthia branle son beau frère tout en le suçant et il ne tarde pas à lui envoyer 10 CC de sperme dans la bouche.
Le gros se lève et on va tous dans une grande pièce au premier étage… On est toujours nues.
Oh ! Il y a foule ! Une bonne trentaine d’hommes, pas vraiment appétissants. Il y a Henri et quelques-uns de ses copains du Centre, pas vraiment handicapés mais largement « bredins » comme lui. Il y a des hommes que je situe comme des journaliers des fermes voisines et puis quelques poivrots du coin pour ne pas dire clochards.
Il y a des femmes aussi, des grosses mémères, paysannes ou poivrotes. Oui, c’est la Cour des Miracles.
Pour couronner le tout, il y a un travelo : perruque blonde, mini jupe en cuir, cuissardes… Il se lève pour nous accueillir. Je la connais ! C’est…. l’Évêque. Si Pie XII le voit, il a une attaque. Avec une voix aiguë, il nous dit :
— Bienvenue à toi, mon cher Jean Marie, et à tes amis.. C’est super d’amener des demoiselles. Ces messieurs ont tous envie de se faire sucer ou de tirer un coup… Sauf moi, qui ai plutôt envie de me prendre une grosse bite dans la chatte.
Malsain ? Le mot est faible. Les 120 journées de Sodome c’est Blanche Neige à côté de ce qu’on vit. Bon, j’avoue, je ne l’ai jamais lu.
Le gros répond à l’Évêque :
— Merci, ma chère Marguerite (!) tu es plus belle que jamais. Pour commencer, je voudrais que ces Messieurs s’occupent de cette pute.
Il désigne sa femme.
— Prenez-la par tous les trous, les gars, et jouissez sur elle.
L’Évêque Marguerite qui est collé à un grand noir que je n’avais pas encore vu, dit à la cantonade :
— Messieurs, montrez à notre hôte l’effet de la poudre magique que je vous ai donnée ce matin.
Les journaliers et les divers clochards baissent leurs pantalons et exhibent des sexes en érection. Henri et ses copains galèrent pour trouver leurs braguettes, mais je suis sûre qu’ils bandent aussi.
Jean Marie pousse sa femme vers le centre de la pièce en disant :
— Elle est à vous Messieurs.
Aussitôt, ils me font penser à un groupe de hyènes affamées se ruant sur le cadavre d’un phacochère joufflu. Le plus costaud des journaliers donne quelques coups de coude et fait mettre Cynthia à 4 pattes. Il la baise aussitôt en levrette, tandis qu’un de ses copains à genoux devant elle se fait sucer… Ça va prendre du temps, s’il n’y en a que deux à la fois qui la baisent. Un des poivrots a une idée, il dit :
— Faut qu’un homme se couche sur le dos, elle se couche dessus en mettant la bite dans sa chatte, un autre l’encule et elle suce un troisième.

Un autre ajoute :
— Et elle en branle deux autres.
C’est déjà mieux.
Ça défile. Elle est bientôt complètement bouchée, hermétiquement close, la nympho, à part ses narines. Heureusement pour elle! Là, il n’y aurait que « Marguerite » qui pourrait mettre sa micro bite.
Après plusieurs hommes, une des grosses femmes s’approche et dit :
— Couchez-la sur le dos, j’veux qu’a m’boufe la chatte.
Ouch ! Je préfère que ce soit elle que moi. On met la jolie Cynthia sur le dos et la grosse paysanne se trousse. Elle a oublié de mettre une culotte et ses fesses blanches sont énormes. Un homme lui dit :
— L’étouffe pas, elle doit encore servir.
Ça fait rire tout le monde même la grosse femme. Elle répond :
— T’en fais pas, je sais y faire.
Elle se déshabille, complètement, ést-ce bien necéssaire ? Puis, elle se met à genoux des deux côtés de la taille de Cynthia et dépose assez délicatement sa chatte poilue sur la bouche de Cynthia qui se retrouve le nez dans son cul.

On toque, ce sont d’autres filles que « Marguerite » a demandées. Une vingtaine de filles entrent. Elles sont déjà bien dressées car elles se laissent aussitôt entreprendre par les hommes avec beaucoup de bonne volonté. C’est la magie du fouet, ça.
Marguerite se déshabille et se retrouve « nue », enfin, juste vêtue de cuissardes et de sa perruque blonde. Sa bite a la taille d’un gros clitoris. Il s’adresse au grand Black qui est avec lui :
— À mon tour, tu vas me dépuceler, mon beau nègre.
— Oh oui, mets-toi à quatwe pattes.
Marguerite se met en position et remue son gros derrière d’une façon obscène. Le Black ouvre sa braguette et en sort un sexe énorme, à vue de nez. Enfin, c’est une expression, vu que je ne veux pas le sentir d’ici, mais il doit mesurer plus de 25 cm. Je n’ai jamais vu de sexe aussi grand. Je pense que toutes, on serre nos fesses d’appréhension. Le Black va se mettre à genoux derrière Marguerite et galant, il lui crache sur l’anus en disant :
— Dans deux minutes, tu sewas une femme !
Ça m’étonnerait beaucoup, mais bon, passons.
Il positionne bien son énorme gland, prend Marguerite par les hanches et l’encule jusqu’aux couilles. Oh ! Marguerite se met à couiner, mais c’est certainement de douleur, pas de plaisir. Si Pie XII assistait à la scène, il aurait sûrement une double attaque.
Henri est venu près de moi avec ses amis… qui sont, comment dire, plus ou moins handicapés. Il a posé une main sur mes fesses, puis sur ma chatte et me caresse nonchalamment. On a tous regardé Marguerite qui en prenait plein son cul. Henri s’adresse à de ses amis et lui dit :
— Ex… ex… plique-lui…
Le copain est bizarre, mais il parle couramment. Il me dit :
— Un copain est un peu autiste et puceau. Henri veut que tu t’occupes de lui.
Mais pourquoi moi ? Il y a plein de filles qui sucent partout dans la pièce. Je dois obéir, j’ai pas envie que Henri me punisse. Il m’amène dans un coin de la pièce où un jeune homme est assis sur une chaise, les yeux baissés. Henri me dit:
Fais ça bien… si… sinon, le fou… fou… fouet !
Oui, bon… Le jeune homme est bizarre mais franchement beau. Je me penche et je l’embrasse sur la bouche. D’abord il ne bouge pas. Il n’est pas mort quand même ? Non, il entrouvre la bouche. Je caresse ses lèvres avec la langue. Pus, je lui murmure à l’oreille :
— Laisse-toi faire mon chéri…
Pas de réponse, c’est logique. Je m’agenouille entre ses jambes et pose ma joue sur une de ses cuisses. Très doucement, je descends la tirette de sa braguette. Il bande ! Ouf ! Il m’aide même un peu à extraire soin sexe. Je lève la tête et je vois qui’il me regarde. Il a des beaux yeux d’un bleu foncés. Il me plaît et il n’a pas l’ait brutal, lui. J’ambrasse la hampe de son sexe, ses couilles… Il sent la transpiration, mais pas trop. Je fais coulisser la peau et découvre le gland tout humide, c’est bon signe. Je le regarde à nouveau tout en léchant son sexe. Doucement il me caresse le cou.
Henri me dit :
— C’est bien… Au… Aurore… mais il doit… bai… baiser…
C’est la première fois qu’il m’appelle par mon prénom.
Je lèche encore un peu le gland, puis je me lève et je prends le jeune homme, par la main en lui disant :
— Je voudrais que tu te couches sur moi, tu veux bien ?
Il cligne des yeux. OK.
Je me couche sur un divan, les jambes écartées, et je tends les bras vers lui. Il se couche doucement sur moi. Je prends son sexe en main et le mets devant l’entrée de mon vagin. Je suis très mouillée, oui, il me plaît vraiment. Je l’attire sur moi, son sexe entre dans ma chatte. Je lui murmure :
— Baise-moi mon chéri. J’ai envie de toi.
Oooh ! Il entre complètement en moi. Mmmmmhhh c’est bon…
Je l’embrasse à nouveau sur la bouche, tandis qu’il va et vient en moi. Tout ça me plaît temllement que je jouis en gémissant. À mon oreille il dit :
— Tu as mal ?
— Non, au contraire, j’adore, je jouis.
Il m’a parlé !
Je mets mes talons sur ses fesses pour le sentir encore mieux en moi. Il me baise plus longtemps. Bientôt, je sens son sexe qui gonfle, tandis qu’il me dit à nouveau :
— Je vais…
— Oui, je sais arrose moi.
On jouit ensemble…
Je reviens à la réalité et je m’aperçois que plusieurs personnes sont venues nous regarder, même Marguerite qui tient son beau nègre par la queue.
Il me dit :
— Bravo petite.

A suivre.

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