La meilleure amie de ma copine se marie dans dix mois et cette dernière a demandé à plusieurs couples, dont ma copine et moi, de se réunir pour apprendre une petite chorégraphie pour son ouverture de bal.
Nous nous rendons donc au lieu du rendez-vous où nous faisons connaissance avec les autres couples et la professeur de danse qui va nous apprendre la chorégraphie. Je la nommerais ici Jade pour son anonymat. Elle est asiatique, plutôt typée cambodgienne que chinoise, les cheveux noirs, raides, longs et attachés en une queue de cheval, les yeux marrons. Elle a une allure sportive, une taille fine, des jambes fermes, de petites fesses, un ventre plat et des seins ni trop gros ni trop petits. La première séance se passe plutôt bien et je commence un peu à fantasmer et à imaginer son corps nu et luisant de sueur, alors que j’ai déjà un aperçu avec son short qui tombe juste une peu en dessous de ses fesses et son t-shirt un peu moulant. Durant cette séance, je ne sais pas si je me fais des idées ou si elle me fixe un peu plus que les autres personnes. A la fin, elle nous demande quelqu’un pour l’aider à transporter son matériel dans sa voiture et je me propose volontiers. Elle dit au revoir à tout le monde avant de partir et nous nous dirigeons vers sa voiture. Une fois arrivés, je l’aide à mettre son matériel dedans puis elle me demande tout d’un coup :
– Est-ce qu’il y a quelque chose qui ne te va pas chez moi ? Je t’ai vu me regarder sans arrêt durant toute la séance. Tu serais quand même pas raciste ?
– Non, non, pas du tout, je lui réponds, pris un peu au dépourvu. C’est juste que tu es la première personne que je rencontre typée comme tu l’es. En plus, je te trouve plutôt mignonne.
Elle me remercie alors et nous discutons un peu de la chorégraphie et des problèmes qu’il pourrait y avoir avec. Nous finissons par nous séparer et, lorsque je lui fais la bise, je sens le coin de sa bouche sur la mienne. Je me recule de quelques centimètres pour la regarder dans les yeux et savoir s’il s’agissait d’une maladresse ou non et la réponse ne se fait pas attendre lorsqu’elle pose sa main derrière ma tête et me roule une pelle. Je sens sa langue venir chercher la mienne et je la laisse jouer avec. Je ressens une telle passion dans ce baiser que je me rends compte que ma main est déjà sur ses fesses. Au moment où je commence à lui malaxer la fesse, elle me met sa main sur mon sexe qui, évidemment, a déjà commencé à durcir. Nous nous arrêtons là, avec un désir inassouvi dans le regard.
Plusieurs semaines passent puis je reçois un sms d’un numéro inconnu. Je le lis et je vois qu’il s’agit de Jade. Elle m’explique qu’elle a eu mon numéro avec celui des autres « chorégraphes » et qu’elle voudrait me voir seul à seule pour discuter de ce fameux baiser. Elle me donne rendez-vous le lendemain après le travail à son appartement. Le lendemain matin, je préviens ma copine que je vais finir plus tard que d’habitude pour qu’elle ne s’inquiète pas, mais aussi pour qu’elle ne soupçonne rien. Après le travail, je vais à l’adresse que Jade m’avait donnée par textos et je la vois à la fenêtre de son appartement prendre l’air en m’attendant. Je gare ma voiture puis je monte à son appartement.
Elle m’accueille, nerveuse, avec un robe à fleurs qui lui descend à mi-cuisse et qui est attachée avec un nœud derrière la nuque. Elle a les cheveux attachés en un chignon. Elle me fait rentrer et nous nous asseyons sur son canapé tout en buvant un café. Elle m’explique que ce baiser est arrivé tout d’un coup et qu’elle se sent coupable vis-à-vis de moi car, même si elle est célibataire, je suis en couple et elle ne veut pas me créer de problèmes. Je lui prends alors la tête dans mes mains et la tourne vers moi. Je vois dans ses yeux qu’elle est à deux doigts de pleurer et je la rassure donc qu’il n’y a pas de soucis de mon côté car, tant qu’elle ne dit rien à personne là-dessus, je ne dirais rien. Je renchéris en rapprochant mes lèvres des siennes et je l’embrasse à pleine bouche. Elle est très réceptive à ce baiser et nos langues jouent ensemble à nouveau. Mes mains descendent de ses joues jusqu’à son cou et j’entreprends de lui défaire le nœud de sa robe. Une fois défait, le haut de sa robe descend de lui-même jusqu’à sa taille et je peux admirer ses seins couleur caramel. Ses aréoles sont brunes, à la limite du noir, toutes petites comparées à ses tétons qui pointent très dur. Je touche à peine ces derniers qu’elle commence à gémir doucement. Encouragé, je lui pince franchement les tétons puis je lui lèche.
En quelques secondes, elle devient une véritable furie. Elle me relève et me déshabille plus vite encore que je ne le fais et retire ses derniers vêtements. Elle se met ensuite à genoux devant moi et me suce quelques minutes avant de me jeter presque littéralement sur le canapé et se mettre sur moi pour s’embrocher. S’en suit un va et viens frénétique qui nous fais jouir en quelques minutes. Voyant mon sexe encore en érection, elle me tourne le dos et introduit avec un peu de peine mon vit dans son anus. Elle reprend sur le même rythme que précédemment pour me faire à nouveau jouir en elle tout aussi rapidement.
Complètement épuisé, je suis parti après m’être rhabillé en lui promettant de remettre ça.
Peut-être que je vous le raconterais
Ajouter un commentaire