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La vie d’une chienne (3) : La garage

La vie d’une chienne (3) : La garage



Je m’appelle Marie, j’ai 23 ans et je suis une chienne

Revenons à mes 18 ans.

Je suis donc entrée à l’unif de la meilleure des façons. Je me suis fais des amies en cours, je passe toutes mes soirées à sortir et à m’amuser…et mes pulsions perverses sont comblées par David et ses deux potes, qui me baisent comme une chienne environs trois fois par semaine en after party. (cfr épisode 2^^)
Bref, je suis comblée.

Un jour de décembre, l’une de mes amies,appelée Charlotte, m’a appelée à la sortie d’un cours. Elle me demandait si je pouvais l’accompagner en voiture jusque chez son garagiste afin de récupérer son véhicule en réparation. Je n’avais rien d’autre à faire…et pour être franc, je lui devais bien ça…elle était la petite amie officielle de David…loin de se douter que ce dernier avait sa queue enfoncée dans le fond de mon cul il y’a à peine 12 heures.
Sur la route, elle m’expliquait avec emphase à quel point elle était heureuse avec lui et à quel point il était un mec génial. Je me sentais un peu coupable…mais ça m’excitait aussi.

Nous finîmes par arriver à son garage. Elle se rendit dans le bureau pour parler à un gros type plein de cambouis et je flanais donc dans le garage, me délectant de la vue de plusieurs beau mâles transpirant et s’affairant sur différents véhicules. L’un d’eux me fit un sourire que je lui rendis aussitôt en jouant avec une mèche de mes cheveux.

Charlotte sortit alors du bureau avec le gros type (le patron?) et lui dit :
« Regarde Franck…c’est elle la pute qui couche avec mon David! »
Le type appuya alors sur un bouton et la grande porte du garage commença à descendre. Derrière moi, j’entendis les mécaniciens quitter leur poste pour se rassembler.
Lorsque la porte fut fermeé, Franck se frotta les mains.
« Un sacré beau morceau en plus…on va bien s’amuser »…et mon coeur s’accéléra.

Là encore, toute fille normalement constituée serait en pleine panique. Ces types (ils devaient bien être 7 ou 8) avaient clairement l’intention de me baiser sous les yeux ravies de Charlotte, souriant à pleine dents d’un sourire sadique…

Mais pour ma part, je devais contrôler mon excitation qui avait grimper en flèche en un quart de seconde. Je sentais déjà ma culotte toute trempée et je dus même m’empêcher de sourire de plaisir.
Il allait falloir la jouer fine. Car si Charlotte comprenait que son piège dégueulasse me remplissait de joie, elle pourrait piquer une crise et les choses pourraient rapidement dé****r.

Je décidais donc de jouer le jeu, me disant qu’en plus, si ces mecs pensaient vraiment être en train de me faire subir un outrage, il n’en seraient que plus excités. Je commençais donc ma grande scène

« Mais..mais…qu’est ce que vous faites?…Qu’est ce que ça veut dire?… »

Charlotte éclata de rire

« -Ca veut dire que tu va te faire démonter la chatte comme la sale chienne que tu es! »

Les mecs lâchèrent un rire goguenard. Franck ouvrit la braguette de son bleu de travail et sortit une grosse queue en érection

« Chopper là les mecs! »

Deux types m’aggripèrent par les bras tandis qu’un troisième attrapa mes cheveux et me força à lever la tête. Franck approcha son visage du mien et avec son haleine puant la bière il me murmura

« Si t’es bien sage, on va juste te punir en te faisant reluire par tout les trous…mais si tu fais la difficile ou que tu te débats…on sera obligés d’être vraiment méchants! T’as compris? »

Jouant la terreur pure et simple je hochais de la tête

« La petite Charlotte n’est vraiment pas contente qu’on touche à ses affaires…et donc elle s’est dit qu’il fallait que tu payes par ou tu as fautée »

Charlotte intervint mi-furieuse, mi-excitée…

« Arrêtez de parler et baisez la cette salope…je veux l’entendre gueuler! »

Et l’action commença.
Franck pris mon visage dans ses mains et fourra sa langue dans ma bouche. Tout un tas de mains se mirent à me fouiller le corps. Arrachant mes vêtements, petrissant mes seins et fouillant ma culotte pour me caresser la chatte…
Je fus mise à nue en à peine une minute et les mecanos s’enhardissait un peu plus à chaque secondes. Il me pressaient les tétons, me doigtaient à tour de rôle et l’un d’eux me titillait déjà la rondelle avec le pouce.
Franck sortit sa langue de ma bouche et me cracha au visage

« A genoux salope! »

Les mecs me forcèrent à m’agenouiller et je me retrouvais donc entourée de queue bien dure, impatiente de forcer leur passage vers ma bouche
Franck s’y engouffra le premier. Il s’enfonça immédiatement à fond, me faisant hoqueter à plusieurs reprise. Puis il me força à passer d’une queue à l’autre avant de régulièrement revenir à la sienne
Les mecs prenaient vraiment leur pied. Ils tapaient leurs bites sur mon visage, me crachaient sur la figure et se battaient presque pour avoir leur tour dans ma bouche.
Puis Franck m’aggripa les cheveux et me mit à 4 pattes. Je vis alors Charlotte piaffant de plaisir

« Ouais…vas-y Franck…défonce là maintenant! »

Il ne se fit pas prier. Me prenant fermement par les hanches, il s’enfonça dans ma chatte et commença à me labourer. Plusieurs mécanos se mirent presque en file indienne devant mon visage pour se faire sucer…mais au bout de quelques secondes, ce fut à nouveau une bataille des coudes pour être le suivant dans ma bouche. L’un d’eux s’accroupit à coté de moi et me pinça les tétons avec v******e, me faisant gémir au plus grand plaisir de ses camarades. Charlotte était excitée comme une puce… elle s’approcha et commença à me balancer des grandes fessées qui firent rougir mon petit cul en quelques secondes. Quand Franck se retira, ne voulant pas jouir trop vite, une autre bite s’engouffra aussitôt. J’avais du mal à respirer, ma bouche étant sans cesse remplie de queue jusqu’au fond de ma gorge.

« Allez…baisez là…baisez là…prenez là par le cul…! »

Les types s’exécuterent immédiatement et je sens une queue bien dure me dilater l’anus pour s’enfoncer au fond de mon cul. Je gémis à nouveau, la bouche pleine d’une bite sur laquelle je mordit légèrement sous le coups de la douleur. En réaction, dans un spasme, le type éjacula dans ma bouche, innondant ma langue de foutre chaud et gluant.
Comme si il avait donné un signal de départ, plusieurs autre mécanos ne se retinrent plus et lachèrent leur sperme sur mon visage qui se retrouva donc remplie de foutre.

« Ouais, balancez lui votre jus dans la gueule à cette pute »

En ralant de plaisir, les types se viderentt les couilles sur mon visage puis se frottèrent le gland dans mes cheveux. Pendant ce temps, Franck s’allongea sur le sol

« Amenez là moi…qu’elle s’empale sur ma queue »

On me ramèna donc de force a califourchon sur l’immonde Franck…qui poussa un grognement lorsque je m’enfoncais sur son sexe.
Charlotte s’en prit alors à deux des types qui n’avaient pas encore jouit

« Qu’est ce que vous attendez vous deux…il reste deux trous à remplir. »
En riant, les deux type s’approcherent. L’un d’eux m’obligeat à lui sucer les coulles, tandis que l’autre me sodomisa sans vergogne. Mes trois trous étaient ainsi remplis, et Franck me suçait les seins avec avidité.
Finalement, Franck et le type enfoncé dans mon cul lachèrent la purée en même temps. Avec un soupir de fatigue, Franck me fis tomber par terre. Le dernier type me choppa par les cheveux et me replaça a 4 pattes…

« J’ai pas finit sale chienne…je vais t’enculer aussi. »

Et de reprendre le pillonage de plus belle
Charlotte vint alors devant moi. Elle me gifla…puis cracha un énorme glaviot sur mon visage déjà couvert de foutre.

« Je vais te nettoyer moi…tu va voir! »

Elle se releva, leva sa jupe et écarta sa culotte

« Ouvre la bouche sale pute! »

Et là…debout face à moi…elle me pissa sur le visage. Sa pisse était chaude, odorante, acre sur ma langue…Pour le coup j’étais vraiment surprise et même un peu choquée…mais cela me plut malgré tout.

« Ouais…n’en perd pas une goutte sale truie…tu l’aimes ma pisse hein… »

L’image de Charlotte m’arrosant de pisse chaude finit par faire tomber la resistance du dernier mécanos…qui jouit à son tour dans mon cul…

Lorsque le jet d’urine s’arreta…Charlotte plaqua sa chatte sur ma bouche et m’obligeât à lui nettoyer la moule avec la langue…

J’étais épuisé et un peu dans le gaze…si bien que la suite me semble encore floue aujourd’hui. Charlotte m’ordonna de m’habiller et prit le volant pour nous ramener à l’unif. Sur la route, elle me lança des menaces « Ne parle jamais de ça » « Je nierais tout » « ne t’approche plus de mon mec »…
Une fois à mon appart, je dormis comme une souche…heureuse et comblée…un sourire sur les lèvres

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