Barbecue avec des connaissances. Episode 3
La soirée avait bien avancé et la nuit tombait sur la terrasse, juste éclairée par quelques lumignons. Nous étions dans une belle pénombre sous les kiwis qui nous protégeait du regard des voisins si peut qu’ils auraient put nous apercevoir, où plutôt nos ombres. En effet chez nous pas de haies et autres barrières, mais juste notre terrasse isolée. J’avais ressorti une bouteille de champagne et nous allions boire une dernière coupe quand Marinette dit : Nous avons passé une belle soirée, mais, je vais vous avouez une chose. J’ai une envie folle de me foutre à poil sous cette belle nuit étoilée.
Chiche, répond Marie qui retire son haut et dégrafe son soutien. Ses gros seins lourds, bien pendant avec, hélas peu de tétons, enfin pour mon goût, s’offre à nos regards. Marinette, fait de même et à aussi, ça vaut le coup d’œil. Les jupes sont retirées et les deux septuagénaires sont en culotte sur la terrasse. Marinette commence à partir vers le fond du jardin en remuant son gros cul. Georges la rappel en lui disant : Et la culotte, chatte à l’air ma grosse. Marie hésite, regarde vers les voisins et la fenêtre allumée, rien ne bouge, ils regardent la télé. Alors, elle retire sa culotte, sa moule n’est pas très visible, elle est plus placée en entre jambes. Je lui demande de ce courber en écartant les jambes et elle nous offre cette fois une belle vue. Vexée, Marinette, s’assied, écarte ses jambes et les relèves, ouvre sa vulve grâce à deux mains et dit : C’est ça qui vous fait bander les mecs. Marie s’approche alors : J’ai chaud, j’ai envie de te bouffer la moules, mais je suis pas lesbienne moi…
Moi non plus, répond Marinette, mais on peut essayer. Marie, prend un cousin d’une des chaises, s’agenouille, et commence à brouter Marinette, qui tien toujours sa moule ouverte. Georges sort sa bite molle pour commencer à se branler. Ca m’excite cette vision, et je saisis sa bite large dans ma main, il me regarde le branler. Ca ne gonfle pas. Alors je me penche et embouche sa grosse bite molle, que je suce à fond. Marie à mis un doigt dans le cul de Marinette et la doigte bien, ça entre, tourne, ressort. L’autre s’étale de plus en plus dans la chaise fauteuil, la tête rejetée en arrière, ses cheveux blonds décolorés, s’étalant en dehors sur le dossier. Ses gros seins lourds aux tétons longs et ronds pointant vers des bouches imaginaires. Elle grognait, se laissant aller sous la bouche qui lui mangeait la chatte et cette langue vive qui la fouillait. Marie avait le cul relevé, offert aux doigts de Georges qui la fouillait. Elle ondulait… Georges commençait à retrouver une seconde jeunesse dans ma bouche et sous mes coups de langues. Il avait bien grossi et son gros gland, bien décalotté remplissait ma bouche. Il se mit à claquer le cul de Marie, qui se mit à couiner comme une truie. Ma femme aimait cela et plus son cul rougissait, plus elle couinait et tendait son gros cul de vieille mature en chaleur. Sous l’excitation, la bite durci encore et commençait à tressaillir dans ma bouche qui s’activait. Puis ce fut son sperme qui me la rempli, je m’arrêtais de sucer, laissant à Georges le soin de ce vider. La bouche pleine, je poussais Marie, qui quitta la vulve gonflée. J’écartai les lèvres de la chatte de Marinette, pour lâcher à l’intérieur le foutre de son mari, mélangé à ma salive. D’une main, je pris la tête de ma femme, pour lui plaquer la bouche contre cette semence. Elle se mit à laper Marinette pour bien la nettoyer.
Georges était repu, à moitié couché sur sa chaise, couilles et bite vidées et pendantes. Il prit la flûte de champagne la rempli à raz bord et plongea de dans sa bite molle qu’il lava au champagne. Il se leva et approcha la flûte des lèvres de Marinette, sa femme qui avala tout le champagne. J’avais une trique énorme avec toutes ses émotions. Marinette se redressa et tendant la main vers ma queue gonflée dit vulgairement : Viens Mic, j’ai très envie de te sucer la bite et boire ton foutre. Vous m’avez transformé en chienne ce soir. S’il y avait un régiment d’hommes, je crois que je me laisserais défoncer par tous les trous. Putain que c’est bon de baiser, même à soixante dix balais. Elle prit ma bite en bouche pendant que Marie me lécher les couilles. Je senti venir la semence rapidement et éclatait dans sa bouche. Elle continuait à aspirer ma bite, je lui tenais la tête par les cheveux. Je lui rempli la bouche et l’entendit déglutir deux fois, mais elle ne l’ouvrit pas, continuant à sucer et aspirer. Quand je fus complètement vidé, elle ouvrit la bouche et je me laissais tomber sur une chaise. Elle se servit une coupe, qu’elle avala d’un trait en disant : Putain c’est bon ! On recommence Marie… !
A suivre…
Ajouter un commentaire