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Nuit de soumission

Nuit de soumission



Je dors à poings fermés lorsque je sens une main me caresser les seins. Je laisse cette main errer sur ma poitrine et titiller mes tétons qui durcissent naturellement sous cette douce manipulation. Ces caresses m’ont réveillé mais je fait celle qui continue de dormir. Le bout de ces doigts qui agace mes mamelons font monter en moi un désir qui me fait instantanément mouiller. Un baisé appuyé au creux de mon coup, au point de me faire un suçon, me fait cambrer de plaisir. Puis, les doigts sur mes tétons deviennent plus ferme et se resserrent jusqu’à ce que je pousse un petit cri de douleur. Là, il m’att**** les cheveux et me murmure d’une voix qui me glace les sangs :
« Tu ne dos plus ma femelle soumise ? Je vais t’emmener à ton point de rupture. Tu vas comprendre qui est le Maître du jeux et je vais te faire jouir par la douleur. »
Mon mari me l’avait promis cette nuit d’enfer et maintenant elle allait commencer.
En me tenant par les cheveux, il me tire du lit conjugal pour me faire mettre à genoux devant lui. Sa verge est raide comme la justice et je n’ai qu’une envie, c’est de la prendre dans ma bouche. Mais je reste docile et attends qu’il me dirige. Alain m’affuble d’ un collier et d’une laisse en me disant d’un air dédaigneux :
« Maintenant, tu es vraiment à ta place. Tu es ma chienne. Je vais faire de toi ce que je veux ! »
En me tenant par la laisse, il m’emmène dans notre garage. Son ordre claque comme un coup de fouet :
« Debout chienne ! »
La fraîcheur de la pièce et la peur de l’inconnu me fait frissonner et font dresser un peu plus mes tétons. Je mouille tant que le haut de mes cuisse sont luisantes de cyprine.
« Donne-moi tes poignets salope ! »
Il sait que j’aime me faire traite ainsi lors de nos jeux et il en use et en abuse pour mon plus grand plaisir.
Il m’attache les poignet à une poutre du plafond et mes chevilles de façon à ce que mes jambes soient largement écartées. Entravée, nue, offerte, sans possibilités de mouvements, mon ventre est en ébullition. Il me fait face. Observe le tableau érotique qui s’offre à lui et me dit satisfait :
«  Prête à être l’objet de mes fantasmes les plus fou ? »
Sans attendre ma réponse, il me fouille sans ménagement ma chatte brûlante de désir. Je me tend dans mes entrave en feulant comme une chatte en chaleur. Ses doigts puis sa main me pénètre et me remplissent ma cavité féminine pour commencer à s’agiter à l’intérieur. Mes gémissement redoublent de force. Mon vagin monstrueusement dilaté dégouline de cyprine. Mes cris de plaisir se mêlent à des plaintes de douleur lorsqu’il se met à me fister durent la chatte.
« Tu aime n’est-ce pas ma grosse pute? »
Sans pouvoir parler, tant le plaisir d’être ainsi forcée m’envahissait profondément, j’acquiesce d’un hoche de tête. Ses va et vient violent se font de plus en plus rapides. Je suis prise de spasmes. Mon plaisir en devient presque insoutenable et mon orgasme monte en moi comme une vague scélérate. Puis dans un cris déchirant, j’explose de plaisir sans aucune retenue en inondant de jute féminine sa main enfoncée dans mon vagin brûlant. Haletante, dans une demie torpeur, mon mari et Maître sort sa main de mon antre exagérément dilaté. Il bande comme un âne et se recule pour admirer le tableau.
Alain sait gérer et cultiver mes facultés de perception de mon corps dans un travail patient pour une salope impatiente.
Mais, malgré mon habitude à ces jeux, la leçon suivante va être bien surprenante pour moi. Il me dit, comme si je pouvais refuser quoi que ce soit étant à sa merci :
« Tu m’as promis une obéissance totale. Tu es ma chienne docile. Es-tu prête pour continuer le jeux jusqu’au bout de tes forces? »
Il sait que la peur de l’inconnu m’’excite et que de poser de telles questions est une façon de m’humilier divinement. Je crains le pire et mais m’abandonne totalement. De toute façon, je n’ai aucun moyen de me défendre, attachée et offerte comme je le suis. Il quitte alors le garage me laissant dans le noir face à mes angoisses. Pleins de scénarios fous se bousculent dans ma tête. Je reste entravée, nue, seule, dans le noir. Je n’entends aucun bruit. Le temps me semble interminable mais je n’ose appeler de l’aide.
J’entends comme un soulagement la porte du garage qui s’ouvre. Il n’allume pas la lumière. Une main caresse ma cuisse et remonte vers ma grotte d’amour toujours très trempée. Je ne reconnais pas la main de mon homme. Cette façon de me toucher est différente. Mon mari avait invité quelqu’un. Était-ce un inconnu ou un de nos amis ? Je suis nue, offerte, attachée, devant je ne sais qui et cette exhibition forcée font remonter en moi un désir malsain. Cette main investit mon intimité puis entre dans ma bouche. Je suce ces doigt englués de ma mouille. Quatre mains me caressent, me pétrissent, me malaxent, me griffent, me pincent, me fouillent. En fait, je ne sais combien de mains s’occupent de moi. Sont-ils deux ou bien plus ? Ils me manipulent sans ménagement. Une bouche boit mon jus et suce mon clitoris si sensible. Pas un mot dans ce local ne casse le bruit des sucions et de mes gémissements. Les hommes doivent être nus car je sens leurs dards en érection m ‘effleurer parfois. J’ai envie qu’ils me baisent. Je suis impatiente. Mais je reste leur proie et je dois attendre leurs bon vouloir. Ils s’en amusent. Je le sais. Mais bon sang quand vont-il me baiser ces guignols ? La réponse à ma question arrive rapidement quand une bite me pénètre la chatte. Que cette queue me fait du bien. Cette verge me pourfend jusqu’à la garde et s’active immédiatement en me labourant le vagin frénétiquement. Il ressort de mon con comme il y est entré. On me détache et, saisie par la tignasse, l’un d’eux force l’entrée de ma bouche. Je n’ai d’autre choix que de sucer cette bite qui n’est pas celle de mon mari. Ce salop me baise la bouche et son gland frappe le fond de ma gorge. J’adore sucer et peu importe les circonstances, un sexe comme ça ne se refuse pas. Je le déguste, même si je n’en ai pas l’initiative. A ce rythme, le sexe palpite dans ma bouche et ne met pas longtemps à se lâcher en long jets crémeux. Aussitôt, à peine le temps d’avaler, qu’une autre prend la place alors que derrière un dard me force la rosette en me pénétrant avec force. Je suis comme folle, bien embrochée par ces deux braquemarts. Dans ces affres orgiaques, une troisième bite force ma chatte encore dilatée et inondé de mon jus. Investie de tout côté les trois mecs me secouent comme un prunier. Je ne suis pour eux qu’une bête à plaisir, offerte à des mâles qui m’utilisent vigoureusement. En bonne épouse soumise et docile, je me laisse aller cette totale débauche. Devenue femme sandwich, les hommes qui me baisent doivent sentir leur sexe se toucher au travers de mes parois intimes. Mon mari devait prendre un malin plaisir à me voir être humiliée et ainsi offerte en cadeau à ces hommes simultanément. Ah les salauds, comme c’est bon d’être ainsi empalée comme une grosse dinde bourgeoise. Dans un timing hors du commun, il jouissent en moi en même temps et libèrent aussitôt mes trous dégoulinant de sperme et de mes sécrétions de femelle en chaleur. Ils viennent s’essuyer sur mes cheveux, semble-t-il content de leur ouvrage. Ils me rattachent et sortent. Je me retrouve à nouveau seule dans ce garage sombre, haletante et couverte de sperme. Je suis épuisée de tant de sensations fortes d’avoir été offerte en cadeau à des inconnus pour une utilisation sans trop de limite. Mais étaient-ce vraiment des inconnus ?
Un moment plus tard, Alain revient dans le garage ? Il me libère une main et m’ordonne : « Enfonces ta main dans ta chatte et défonce toi avec ! »
Docile, ne sachant pas vraiment jusqu’où il veut m’emmener, je commence ce va et humiliant. Il n’a pas du me baiser encore car je remarque qu’il bande toujours autant. Il s’approche et sans mot dire branle mon clito. Je grogne de plaisir. J’ose lancer :
« Merci mon chéri que c’est bon. »
« Tu n’es qu’une vulgaire chienne salope ! Vas-y fouille-toi encore plus profondément !! »

« Ho ouiiii !!! je suis ta chienne mon chéri ! »
«T’inquiète ma pute, j’en ai pas fini avec toi ! »
J’agite frénétiquement mon bassin sans aune retenue, en gémissant de plaisir. Me voyant monter dans les tours, Alain m’écrase le clito. La douleur est violente et je me cabre en poussant un cri caverneux. Un jet de cyprine gicle de mon vagin en feu. J’ai du mal à trouver ma respiration. J’ai l’impression que mon cœur va sortir de ma poitrine tant il bat à tout rompre. Mais, cinglant, mon mari m’ordonne d’arrêter de me masturber. Laconiquement il dit :
« Bon maintenant que tu es bien chaude, passons a l’étape suivante! »
Il saisit un martinet et me donne plusieurs coups sur le ventre et les seins. Je me débat dans mes entraves en le suppliant d’arrêter. Les coups deviennent plus violents. Ma peau se zèbre de ligne rougeâtres. Tout en me tortillant sous la brûlure cuisantes du martinet, je subis en gémissant. Alain me dit alors :
«Mais elle aime ça ma chienne ! Tu en veux plus grosses salope ? »
Face à mon bourreau, offerte sans défense, je ne répond pas. Une nouvelle volée de coups s’abattent sur mon corps meurtri.
« Tu vas me répondre sale pute ? »
Dans un cris de plaisir et de douleur, je hurle :
« Oui oui je suis ta chienne ! Fais-moi jouir sous le martinet ! »
Un coup plus fort que les autre sur mes seins déclenche un orgasme profond qui me laisse pantelante. Alain en est lui même surpris et me le fait remarquer.
« Ouaah ma chérie tu a pris ton pied ? »
Un peu honteuse quand même, je lui avoue :
« Ooooh oui, c’est divin. Tu sais bien me dresser et me faire jouir mon chéri. »
Il se racle un peu la gorge avant de me dire :
« T’es tellement bandante que sans me toucher, je serais capable d’éjaculer. Mais, la nuit n’est pas terminée pour toi et avant d’atteindre le nirvana à l’étape suivante, je vais te laisser récupérer un peu. »
La récupération est de courte durée. Il me détache et à coup de martinet sur les fesses, il me dit :
« Suce moi la bite cochonne ! »
Bien entendu, malgré le coups qui pleuvent sur mes fesses, je ne rechigne pas à honorer de ma bouche le membre conjugal. Au contraire, je le gobe avidement, avec tout mon amour.
« Putain, doucement ! Tu va me faire exploser salope ! Arrête je vais t’enculer ! »
Il passe derrière, empoigne mes fesses, puis tout à coup, Il m’a enculé comme un sauvage. Je me mords les lèvres sous cette pénétration brutale, même si ma rondelle est bien préparée par les autres pénétrations. J’adore cette façon d’être prise comme une chienne. Les sensations que me procurent sa bite dans mon cul est si puissante que mon corps tout entier est pris de convulsions incontrôlables. Pendant qu’il me laboure de cul, je me triture le clitoris décuplant mon plaisir. Nous terminons ensemble dans une apothéose de cris dans une jouissance commune absolue. Alain commence à se vider dans mon intestin et ressort pour me faire bénéficier de ses dernière giclées sur mon visage et dans ma bouche gourmande.
Charlie a lui aussi finit par craquer et il a remplit sa capote de sperme.
Cette foi, je rends les armes. Je n’en peux plus. Il tient quand même pour terminer cette nuit de soumission à me pisser dessus et à me regarder faire mes besoins comme une vraie chienne. Il m’a tellement donné toute la nuit que je suis incapable de lui refuser ce petit plaisir.
Il me conduit ensuite sous la douche et lorsque nous nous couchons enfin, je lui demande :
« C’était qui les type qui m’ont baisé tout à l’heure ? »
Alain me sourit et me répond :
« Si je te le disais, ça perdrait tout son charme… »

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