Samedi 27 Juillet 2013
Dès notre arrivée en milieu d’après-midi à Valensole, nous sommes accueillis par Hélène en bikini mouillé car vu la chaleur elle était dans sa piscine. Thomas est aussi en caleçon de bains et est un peu intimidé par nos tenues à Lola et moi-même. Il faut dire que pour ne pas souffrir de la chaleur pendant le trajet, et comme notre voiture n’est pas climatisée, Ju est en short de surf et débardeur, Lola est en débardeur et petit short moulant et je porte une courte robe légère sans manches et bien échancrée en haut. Et on voit bien que ni ma fille ni moi ne portons de soutif. Ce qui trouble pas mal Thomas, surtout que je me frotte un peu à lui, comme sans y faire attention quand je lui fais la bise. S’il savait que je n’ai pas de culotte non plus sous ma robe, il serait encore plus troublé.
Hélène commence par nous installer. Ju et moi montons poser nos bagages dans la chambre d’amis et Lola hérite de celle de Thomas qui dormira dans le canapé du salon. Je proteste un peu, disant que c’est Lola qui devrait prendre le canapé, mais Hélène et Thomas insistent, ce dernier récupérera la chambre tout le mois d’août.
Hélène nous propose de nous changer pour profiter de la piscine et nous laisse en nous disant:
– Et surtout, ne vous gênez pas, vous faites comme chez vous!
Elle ne se doute pas qu’on va illico la prendre au mot. Comme Thomas est retourné directement à l’extérieur pendant que sa mère nous montrait les chambres, J’attaque directement dans le vif en sortant à poil de la chambre avec une serviette sur l’épaule et je descends la première pendant que Ju et Lola attendent les réactions à l’étage. En me voyant débarquer comme ça, Hélène qui était restée au salon en attendant notre retour en reste bouche bée. Puis elle réagit enfin avant que je ne sorte vers la terrasse:
– Dis donc Caro, tu comptes vraiment sortir toute nue.
– Ben, comme tu nous a dis de faire comme chez nous…
– Oui, c’est vrai. Mais si tu pouvais mettre un maillot, au moins le bas, pour Thomas.
– Si tu veux, mais chez nous on vit toujours tous nus.
– Ah bon, tous les trois?
– Oui, on est naturistes, c’est très agréable, surtout en été. Pas toi?
– Euh, non. J’ai pas l’habitude, même seule.
– Tu devrais essayer, surtout qu’il n’y a personne autour.
– Euh, là il y a tout de même mon fils…
– Bon OK, je remonte vite mettre quelque chose et dire aux autres de faire pareil!
Je retourne donc faire mon rapport à l’étage et nous décidons de garder vraiment un minimum. On verra pour la suite du séjour selon les réactions.
Hélène et Thomas ont donc la surprise de voir débarquer notre trio en string de bain. Celui de Ju est un modèle assez sobre, noir et large d’un doigt sur les côtés et entre les fesses. Celui de Lola est un bandeau de tissu bariolé avec des liens sur les côtés. Mais celui que j’ai enfilé est carrément un string-ficelle rouge très mini. Evidemment, aucune de nous deux n’a pris la peine de mettre un haut.
Nous n’attendons pas les réactions de nos hôtes pour faire notre premier plongeon dans la piscine, puis nous sortons pour nous installer sur les transats et profiter des boissons fraiches qu’Hélène a préparées en nous attendant.
Quand tout le monde est installé, Hélène prend l’initiative de la conversation:
– Dis donc Caro, je m’attendais pas à ce que vos maillots soient si minimalistes.
– Ben, on n’en a pas d’autres, vu que le plus souvent on va dans des coins naturistes.
– Oui, c’est vrai.
– Oui, et là, personne ne peut nous voir, à part nous-même, non?
Et c’est vrai que la seule possibilité d’être vus, c’est depuis la fenêtre d’une des chambres de la maison voisine. Et encore, seulement dans le coin opposé de la piscine. Hélène nous apprend qu’il y a des occupants depuis une semaine, un couple de trentenaires sympathiques qu’elle a eu l’occasion de croiser deux fois.
Un moment passe, pendant lequel je remarque que le caleçon de bain de Thomas fait un renflement devant, surtout qu’il n’arrête pas de nous mater discrètement, principalement mes fesses qui font disparaitre la ficelle de mon string et les belles doudounes de Lola qui pointent fièrement.
J’en profite pour lancer à Hélène:
– Tiens, et si déjà tu commençais par enlever le haut. Tu l’as déjà fait, non?
– Euh, oui, il y a longtemps, à la plage, mais pas récemment. Et il y a Thomas.
– Oh, tu es sa mère, et il a déjà nos seins dans son champ de vision! Alors…
Et pour ne pas paraitre coincée, Hélène dégrafe son soutif et le pose sur l’accoudoir, dévoilant sa poitrine ferme et menue à son fils qui n’en demandait pas tant.
Je saute sur l’opportunité de la faire se toucher en lui conseillant:
– Vu que cette partie n’a pas encore vu le soleil, tu devrais bien la protéger.
Hélène commence donc à se tartiner les seins et ce mouvement de massage provoque sans qu’elle s’en rende compte un nouveau soulèvement dans le caleçon de son fils.
Lola l’a bien remarqué par contre et histoire d’achever Thomas, elle se tourne pour se mettre sur le ventre sur une serviette au sol, elle me demande de lui passer la crème solaire dans le dos. Evidemment, je me positionne à genoux au-dessus des jambes de Lola et me penche en avant. Le mouvement écarte mes fesses et dévoile à Thomas qui est derrière la ficelle qui ne masque que partiellement le cercle foncé de mon petit trou. J’en rajoute en insistant bien sur les fesses de Lola et en les écartant de temps en temps.
Quand je me relève pour me rassoir et que ma fille se retourne, nous avons le plaisir de voir que notre victime est toute rouge et se lève en masquant l’avant de son maillot pour aller se rafraichir les idées dans l’eau. Je pense qu’on va bien s’amuser cette semaine si on manœuvre finement…
Le soir, après avoir pris nos douches, Je discute avec Ju et Lola de ce que j’ai remarqué au niveau de Thomas et je propose de pousser un peu plus loin.
Ju suggère de relâcher un peu la pression pour le moment, que nous verrions plus tard. Pour le dîner Lola et moi choisissons de nous d****r dans un paréo un peu transparent avec juste un string dessous, et Ju se fait un pagne avec un troisième en restant torse nu. Thomas n’arrête pas de mater nos tétons qui pointent à travers le tissu léger des paréos.
Après un petit moment pour planifier la journée du lendemain, tout le monde monte dans sa chambre pour laisser Thomas s’installer dans le canapé.
Au bout d’un moment, alors qu’il recommence à bander en repensant à ce qu’il a vu dans la journée, des bruits caractéristiques lui parviennent qui ne laissent aucun doute. En effet, Ju et moi sommes en train de baiser bruyamment, sans nous soucier du fait que les autres entendent, bien au contraire on en rajoute exprès. Nous avons commencé tranquillement par des sucettes réciproques et enfin, après de longues joutes, nous terminons par une double pénétration, un gros gode dans ma chatte et Ju dans mon fondement.
Ça ne fait que renforcer l’érection de Thomas qui finit par se branler pour pouvoir se calmer et enfin dormir.
De son côté, Lola nous entend aussi et comme elle n’ose pas nous rejoindre de peur de se faire surprendre dans le couloir, elle se contente de se faire jouir avec le gode vibrant qu’elle a pensé à emporter avec elle pour le séjour.
Hélène quant à elle est aussi perturbée par les sons qu’elle entend. Elle sent que son entre-jambes est mouillé et excité, mais elle n’ose pas se lancer à faire quoi que ce soit et finit par s’endormir à la longue avec des pensées érotiques.
A suivre…
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