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Lou au cinéma

Lou au cinéma



Lou est revenue complètement ragaillardie de ses vacances ligériennes. Dans chaque château qu’elle a visité, elle a eu l’occasion de se faire défoncer, de gober des bites jusqu’à l’étouffement, de se faire enculer sans ménagement, de recevoir de multiples doses de sperme épais.
De retour à Paris, et après une bonne semaine à l’agence immobilière, la belle salope a besoin de se divertir. Aujourd’hui encore, elle n’a pas manqué de travail. Vêtue d’un tailleur noir, de bas couture et d’escarpins rouges, elle a fait visiter quatre appartements, sucé six queues comme une pute. Son cul et sa chatte ont été visités avec avidité. Elle est rentrée à l’agence avec son chemisier maculé de foutre.
Une fois arrivée chez elle, Lou s’est mise nue, à l’exception de sa chaîne de cheville, et s’est caressée sur le lit. Elle sait que le voisin, de l’autre côté de l’avenue, a préparé ses jumelles et qu’il se branle avec vigueur. Elle s’est installée pour qu’il ne puisse rien manquer du spectacle, cuisses bien écartées, la chatte bien inondée. Ses doigts aux long ongles vernis s’aventurent entre grandes et petites lèvres, partent à l’assaut de son clitoris enfiévré puis att****nt un énorme gode noir. Après l’avoir enfoncé dans sa chatte, sa bouche et son anus, Lou n’hésite pas à changer de position, se mettant sur le ventre, ravie de dévoiler son cul. Imaginant la grosse queue de l’homme au fond de sa bouche, la belle salope joue ainsi avec son excitation pendant une bonne dizaine de minutes. Sa cyprine se répand abondamment sur le lit. Ses cris de jouissance résonnent dans tout l’appartement. En face, l’homme a joui, lui aussi.

Reprenant ses esprits, Lou tire les rideaux mais pas trop. Elle a envie de montrer sa tenue à son observateur. Elle se dirige vers son dressing, y sélectionne une guêpière aux motifs fleuris, des bas couture noirs ainsi qu’une paire d’escarpins rouges vernis aux talons aiguilles de quatorze centimètres. Rien d’autre. Pour sortir, elle portera un manteau de fourrure par-dessus ce très bel ensemble. Lou sera vêtue comme la reine des putes.
La belle bourgeoise s’habille face à la fenêtre et peaufine son maquillage. Une dose d’eye liner, une de fard à paupières, une de mascara, une de rouge à lèvres et une de gloss. Lou aime se sentir comme une putain. C’est sa nature profonde.
Quittant son appartement, elle se dirige vers la rue Saint-Denis. Lou a encore envie de bites dans tous ses orifices. Ses talons aiguilles vertigineux claquent sur le pavé parisien, faisant se retourner quelques têtes. Sa chaîne de cheville brille dans l’éclat des phares. Elle repère rapidement la discrète enseigne du lieu vers lequel elle se dirige. Un cinéma porno. Une légende dans le quartier. Ce n’est pas un sex shop où on s’enferme dans une cabine pour se branler ou acheter un gode. À l’Eros, il y a une vraie salle et, pour dix euros l’entrée, Bob projette un film sorti de sa collection. Pour ce soir, il a programmé un grand classique de Marc Dorcel : Le parfum de Mathilde.
Lou règle son ticket d’entrée et descend vers la salle. La belle bourgeoise est la première à être arrivée, mais rapidement, les sièges à côté des siens se remplissent. Cinq hommes, à qui elle a donné rendez-vous et déjà aimantés par sa présence. Sur son siège, elle a entrouvert les pans de son manteau de fourrure et s’est installée de façon à avoir les cuisses bien ouvertes. Lou a besoin de sentir son jus couler le long de sa chatte et de ses cuisses. L’air de rien, elle passe une main sur sa corolle enflammée et la porte à ses lèvres, surprenant le regard exorbité de ses voisins sur ses ongles longs et délicatement vernis d’un rouge sanguinaire.
Le film commence tout juste et l’ambiance est déjà bouillante. Une main vient se poser sur sa cuisse gauche et entreprend de la caresser par-dessus le nylon fin.
– J’ai besoin de connaître ton nom, mon salaud.
– On m’appelle Patochar.
– Continue de caresser mes bas et n’hésite pas à remonter plus haut.
Sur sa cuisse droite, une autre main exécute le même ballet sensuel.
– Et toi, comment t’appelles-tu ?
– Moi, c’est Mickaël et j’ai une folle envie de ton cul de pute.
– Ton tour viendra. Ne t’inquiète pas.
Lou lâche un premier gémissement. Sa cyprine dégouline sur le cuir du siège. Pendant ce temps, deux mains descendent sur ses seins et commencent à jouer avec ses tétons.
– Et toi, qui es-tu, petit coquin ?
– Tu peux m’appeler Taylor.
En face d’elle et de ses cuisses bien ouvertes, il reste deux complices : Pierre et celui qui s’est enregistré sous le pseudonyme de Stockinglover69. Tous leurs deux ont sorti leurs queues épaisses et se branlent juste au-dessus de ses escarpins.

Les cuisses pleines de Lou reposent désormais sur les accoudoirs. Gros plan sur sa chatte totalement inondée. Mickaël vient d’y placer la moitié de son poing et entreprend de savants va-et-vient. Pendant que Taylor continue de pétrir ses seins et d’agacer ses tétons, Lou s’emploie à sucer la bite de Patochar. Elle s’attarde sur le gland puis, petit à petit, fait glisser la queue au-delà de sa bouche, jusqu’au fond de sa gorge. Elle accélère le rythme, lâchant de terribles bruits de succion et de longs filaments de salive.
– Quelle pute ! fait Taylor. Elle ne nous a pas menti.
L’homme, abandonnant la poitrine de Lou, rejoint ses camarades et ne manque pas de frotter sa bite durcie sur la chaîne de cheville qui brille à travers le nylon. Il faut se faire une place vers la bouche gourmande. Dans un déluge de bave, la belle putain pompe désormais les cinq queues à tour de rôle. Les hommes sont aux anges. Lou en veut toujours plus et insiste même pour que les bites s’enfoncent bien dans sa gorge. Sa salive dégouline sans cesse, inondant sa poitrine aux tétons dardés, ses mains, ses bas, son manteau de fourrure et se répandant sur la moquette.
Plus elle suce avec une énergie folle, plus elle salive, plus elle se sent salope, plus elle se sent pute. Sa chatte bien ouverte continue de se remplir intensément de son jus. Sa cyprine déborde à grands traits. Lou écarte encore un peu plus les cuisses.
Pendant qu’elle continue de gober les bites offertes à son appétit insatiable, les mains des cinq hommes reviennent sur son corps habité par le stupre. Des doigts avides de luxure fouillent sa corolle, on titille ses tétons, on fait plisser ses bas. Lou en veut toujours plus.
Elle change de position, retire son manteau de fourrure. Dans un coin de la salle, elle a repéré une chaise. Taylor va la chercher et la place devant le premier rang pour qu’elle puisse s’installer dessus à califourchon afin de bien faire cambrer son cul. Ses bas couture font de plus en plus de plis mais elle ne s’avise pas de les remonter. Ses lèvres, sa bouche, sa langue, son palais et sa gorge n’étant toujours pas rassasiés, Lou reprend sa fellation intense. Dans son dos, elle devine d’autres mains qui flattent ses hanches, ses fesses, des doigts qui s’immiscent dans son anus bien dilaté. La belle bourgeoise creuse les reins et tend encore plus les fesses. Sa croupe est un appel à la sodomie.
Lou se retire de la chaise, qu’elle repousse d’un coup d’escarpin. Elle se positionne à quatre pattes, à même la moquette qui sent encore le sperme. Son cul, joliment encadré par sa guêpière, est une offrande. Mickaël se présente le premier derrière son anus bien ouvert. Sa queue rentre sans le moindre effort. Les mains de l’homme prennent appui sur les superbes hanches de la salope. Il peut commencer ses va-et-vient réguliers qui font gémir Lou. Quant aux autres participants, ils sont restés debout et se font pomper à tour de rôle par la bourgeoise. Sa salive épaisse se répand à grands traits sur la moquette.
Lou en veut toujours plus et gobe les verges à un rythme effréné pendant que son cul se fait démonter. Dans son dos, on s’échange les positions. Mickaël cède sa place à Pierre tandis que Taylor lui presse les seins et joue avec ses tétons très sensibles. Chacun leur tour, Patochar et Stockinglover69 lui att****nt les cheveux et dictent le rythme d’une fellation très baveuse. Une mare de salive s’est formée sur la moquette.
Pierre besogne sévèrement son anus. Taylor s’est installé sous elle et entreprend de pilonner sa chatte fiévreuse. Lou est secouée par tous ses orifices. Son jus ne cesse de dégouliner. La bourgeoise se sent encore plus salope, encore plus pute. La belle putain continue de diriger les opérations. Elle invite Patochar à s’allonger sur la moquette puis elle empale son anus sur sa queue pleine de bave. Les quatre hommes restants disposent d’un gros plan sur sa corolle enflammée, dégoulinante de cyprine et sur ses bas plissés.
Lou se retrouve avec ces quatre bites devant sa bouche grande ouverte. Pierre, Stockinglover69, Mickaël et Taylor investissent chacun leur tour la bouche de la belle pute. Sa salive épaisse dégouline sur son menton, sur ses seins dardés, jusqu’à sa chatte trempée. Entre deux gémissements, Lou livre d’impressionnants bruits de succion. Entre la bouche et le cul de Lou, on continue de s’échanger les rôles. La bouche pleine et l’anus sévèrement défoncé, les cuisses bien écartées, la belle salope hurle son bonheur.
Lou se met à nouveau à quatre pattes, plus cambrée que jamais, offrant une vue imprenable sur son anus totalement dilaté. Sa chatte continue de couler à grands traits, imbibant la moquette déjà mouillée de salive. Taylor s’approche, passe une langue avide sur le cul trempé avant d’y introduire un doigt, puis deux, puis trois, puis quatre, puis cinq. Taylor multiplie les mouvements de va-et-vient avant de placer l’intégralité de son poing. Patochar s’est agenouillé et fait de même avec la chatte pleine de jus. Lou gémit de plus belle et ouvre la bouche. L’occasion de sucer à nouveau les bites gonflées.
Taylor arrête sa gestuelle, place ses mains sur les hanches. Sa queue n’a aucun mal à pénétrer dans l’anus écartelé. Patochar continue de jouer avec sa corolle incendiée tout lui flattant les seins. Il émet un commentaire :
– C’est quand même une sacrée grosse pute ! C’est incroyable ce qu’elle est trempée !
Hochant la tête, Lou n’est pas en mesure d’en dire plus. Sa bouche est totalement remplie par la bite de Pierre. Elle sent que les hommes accélèrent le rythme, qu’ils vont bientôt se vider. Taylor se retire de son anus, Patochar cesse de fister sa chatte.
Lou en profite pour retirer ses escarpins et les laisse à Pierre. Elle connaît très bien ses goûts. La pute bourgeoise s’agenouille, prête à recevoir le déluge de sperme.
– Donnez-moi tout votre foutre, mes salauds !
Mickaël est le premier à cracher son foutre. Une dose épaisse qui vient atterrir sur ses joues, ses cheveux et son menton. Il est suivi par Patochar et Stockinglover69. Les deux hommes se vident en même temps. Leur foutre consistant se répand sur le visage extatique de Lou. La belle salope porte ses mains à ses joues et commence à enduire ses seins avec la semence chaude.
Deux hommes ne sont pas encore vidés. Lou change de position, s’allonge sur la moquette humide et présente sa jambe à Taylor. Il positionne sa queue à hauteur de la chaîne de cheville. Son foutre se pose en paquets abondants sur le fin nylon plissé. Lou tend la main vers sa cheville et frotte le sperme sur son bas. Ce qui reste du foutre finit sur sa langue.
Quant à Pierre, il dépose sa semence au fond de l’escarpin. La semelle en est intégralement recouverte.

Patochar, Stockinglover69 et Mickaël se rhabillent et saluent Lou. Baignant dans le sperme, la belle salope s’est à nouveau agenouillée. Taylor et Pierre, la queue encore dressée, s’approchent d’elle. Lou ne dit rien et attend. Par messagerie, elle a demandé une faveur exceptionnelle à Pierre. Elle voit son sexe qui se contracte. Une pluie d’or s’en extrait et arrose le visage ravi de la belle pute bourgeoise. L’urine chaude dégouline sur les seins excités. Lou n’hésite pas à changer de position pour que le jus se répande sur son vagin et son anus. La source ne semble pas être tarie. En dernier réceptacle, Pierre choisit de vider ses dernières gouttes dans l’autre escarpin.
De son côté, Taylor assiste à la scène. Il tient un petit boîtier dans sa main. Il attend que Lou ait fini de s’essuyer le visage avant de le lui remettre. Avec des gestes délicats, elle ouvre le coffret. À l’intérieur, une chaîne de cheville. Une de plus dans sa collection.

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