C’était devenu quotidien. La vieille dame aux allures de comtesse distinguée m’ouvrait ses fesses à tout moment.
Son appartement cossu devenait le théâtre des scènes de baise les plus débridées.
Les miroirs dorés reflétaient l’image d’une femme à genoux, son chignon en train d’onduler au niveau du sexe d’un jeune homme debout.
Son goût de l’exhibition, qu’elle n’osait pas manifester à l’extérieur, se déchaînait autant que possible entre ses murs.
Elle aimait se regarder en train de sucer. Nous devions nous approcher du miroir, afin qu’elle se voie de profil, une joue bosselée par l’intrusion de mon sexe entre ses lèvres.
Lorsque je la prenais dans le salon, ce qui arrivait souvent, elle cherchait à composer un tableau pornographique éphémère, afin de se contempler. Par exemple, je la pinais debout, elle maintenait son équilibre d’une main en s’appuyant à un petit meuble, et de l’autre, relevait sa jambe en se tenant le genou, comme une danseuse.
Dans cette position de flamant rose, elle pouvait voir le cylindre de chair de son jeune amant coulisser entre les lèvres rasées de sa fleur mûre, paradoxalement semblable à celle d’une petite fille, car je la rasais régulièrement.
Ainsi sa vulve baillait sans pudeur entre ses cuisses minces et bien dessinées, comme une innocente petite chose qui a toujours faim, et qui ne demande qu’à être gavée.
Le rasage de Brigitte avait été rapide. Comme pour la grosse Monique, j’avais disposé une serviette de bain sur le lit, et badigeonné sa vulve de mousse à raser. Très délicatement, j’avais caressé les grandes lèvres avec un rasoir jetable de la meilleure qualité.
Afin de l’encourager dans cette opération, et pour lui donner un avant-goût de l’avantage qu’elle pouvait en tirer, je m’étais mis à suçoter et à mordiller ses grandes lèvres, dont j’appréciais la texture charnue qui me rappelait certains fruits de mer.
Comme si je venais de lui faire goûter du champagne, elle me confirma que c’était meilleur ainsi, sans les poils.
Il ne me restait qu’à faire disparaître la mousse légère et blonde de son duvet pubien.
Ses poils aussi doux et fins que ses cheveux ne cachaient déjà pas grand-chose de la fente de la vieille dame. Maintenant déplumée, elle s’offrait à moi comme une fente de gamine.
Pour l’inauguration de la nouvelle chatte de ma comtesse, je m’appliquai à lui laper soigneusement le sexe, non sans lui donner, cela va sans dire, de bons coups de langue sur son trou du cul si sensible.
Ce fut beaucoup plus poétique que le débroussaillant des poils gris de la sympathique grosse Monique. J’avais désherbé l’essentiel aux ciseaux avant de me concentrer sur le travail du rasoir, ce qui était difficile tant ses gémissements me faisaient trembler de désir.
La vulve de Monique ne dégageait pas le même érotisme que celle de Brigitte, mais je me rappelle lui avoir bouffé la moule avec acharnement, parce que ses cris de plaisirs rendus aigus par des années de frustration me transmettaient des vibration jusque dans les couilles. En levant les yeux, je rencontrais, en plus de ses gros nichons, un regard chaviré de reconnaissance.
Lorsque je l’avais ensuite enfilée, le spectacle de ses cuisses largement écartées, de ses gros seins, m’entraînait dans un type d’érotisme rude, terrien, comme si j’avais relevé les jupes d’une poissonnière dans un contexte archaïque et populaire. Rasée, la grosse dame s’offrait comme une volaille embrochée.
Brigitte s’offrait comme la maman de la reine des elfes. Je vivais un conte érotique calligraphié dans un reliure dorée, illustré de gravures obscènes et faussement enfantines.
D’ailleurs, la vieille dame appréciait aussi le spectacle. Elle relevait légèrement la tête et baissait les yeux en permanence pour voir sa chatte enfantine nourrie en rythme par une grosse saucisse. Elle savait que sa fente n’aurait plus jamais faim. Sa fleur n’obéirait plus à son front de gouvernante moraliste. Elle serait une plante carnivore, toujours pleine de sperme. Son jeune amant ne cesserait de l’assaillir, de l’enfiler et de gicler pour elle.
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