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La caissière

La caissière



Bonjour, Je m’appelle Sarah. Jeune femme aujourd’hui de 30 ans, bien proportionnée avec de « jolies formes », j’ai aujourd’hui une vie bien réglée mais à un moment de ma vie j’ai vécu l’enfer.
Fille de la DDASS, élevée chez les bonnes sœurs, dans un couvent. J’en sortis à 18 ans. Seule et livrée à moi-même, je devais rapidement trouver du boulot. Après plusieurs mois, Je réussi à trouver une place de caissière dans une grande surface franchisée de la région. J’arrivais donc le lundi matin à 7 heures, pour rencontrer le patron avant de prendre mon service. On m’indiqua où était son bureau et une fois entré, je me retrouvais devant lui : Une espèce de gros porc affalé dans son fauteuil en cuir, la cinquantaine bien passée, 150Kg facile, avec un double menton (si ce n’est pas triple), costume noire, chemise blanche, cravate bleu foncée rayée de liserais gris clair. Il cachait son regard un brun pervers derrière de fines lunettes.

– Bonjour monsieur
– Bonjour Mademoiselle me dit-il avec un sourire malicieux tout en me scrutant de haut en bas.
– Je suis la nouvelle caissière.
– Oui je suis au courant. Cette semaine Je vous mets en binôme avec Roseline, celle qui vous a ouvert la porte ce matin. Elle vous expliquera tout ce que vous avez à savoir. Vous repasserez me voir ce soir une fois votre service terminé pour les formalités administratives.
– Bien monsieur. A ce soir alors.

Je sortais du bureau et je l’aperçu dans son reflet sur la fenêtre se pencher pour regarder mes fesses. Jusque là tout ce passait bien, ma collègue était très claire. Aucun problème à déclarer. Je me rendis donc dans le bureau du patron après mon service.

– Ah Mademoiselle … Sarah, je vous attendais.
– Donc vous vouliez me voir ?
– Oui déjà pour signer votre contrat de travail que voila. Prenez le temps de le lire.
– Merci.
– Alors, Cette 1ère journée ? ça c’est bien passé ?
– Oui très bien
– Parfait. Là vous commencez comme caissière mais vous devez savoir que vous pouvez évoluer dans la franchise.
– C’est-à-dire ?
– Et bien il y a d’abord divers concours internes de la maison mère. Et puis, Avec du temps et de la persévérance vous pouvez aussi monter en compétence au sein même du magasin.
– Intéressant.
– Ça dépend surtout de votre assiduité dans le travail.
– Je ne suis pas contre des heures sup … si elles sont payées.
– Ça va de soit. Et si vous savez donner de votre personne … ça peut aller plus vite.
– Que dois-je comprendre ?
– C’est moi qui ait le pouvoir de décision ici, il est déconseiller de me décevoir … professionnellement j’entends.
– Ouf, vous m’avez fait peur. Durant un moment j’ai cru à une proposition indécente.
– Non pas du tout…. Même si je vous trouve très jolie.
– Euh ….OK …. Bon bah moi je vais y aller si vous n’avez plus rien à me dire.
– Très bien au revoir donc.

J’étais contente d’avoir commencé mais le patron ne m’avait pas rassuré. Avec ses sous entendus et son regard vicieux, j’étais déstabilisé en sa présence.
Au bout de 3 semaines, j’étais pleinement opérationnelle et mes collègues de boulot étaient très sympas. Tous sauf un : le patron. Ce gros vicelard me mettait de plus en plus mal à l’aise de jour en jour. Il avait laissé tomber le costume cravate qui lui donnait l’aire d’un mafieux pour une chemise col ouvert laissant sortir les poils qu’il avait sur le torse et son énorme chaîne en or qui le faisait ressembler à un tenancier de bordel. Ce n’était pas mieux. En plus à chaque fois qu’il s’approchait de moi je sentais sa grosse paluche poilue effleurer mes fesses. C’était flatteur pendant 5 minutes mais là ça commençait à faire beaucoup.
Au bout de quelques mois, j’arrivais à faire avec. Mais mon salaire de caissière me permettait tout juste de survivre. Même avec quelques « combines », contraires à mon éducation, j’arrivais à peine à joindre les 2 bouts. Pour faire clair, je piquais un peu dans la caisse pour manger. Juste assez pour que ça ne se voit pas. Mais un jour une histoire de vol retenti dans le magasin et le patron nous réunit tous pour nous parler. Curieusement il manquait quelqu’un, l’apprenti boucher.

– Si je vous ai réuni c’est pour vous parler d’une chose grave. Un vol a été commis dans le stock. Plusieurs palettes ont disparu sachez qu’une enquête a été faite. Il s’avère que l’un de vous était responsable, je l’ai viré illico. Vous l’avez remarqué il s’agit de l’absent du jour, L’ex apprenti boucher. Ce magasin c’est tout pour moi. Vous savez tous ou presque que je l’ai monté à la sueur de mon front et je ne laisserai personne le couler. Voila C’est ce que je voulais vous dire.
Ouf, Ce n’était pas pour moi ça me rassurait. Mais Les propos du patron me foutaient les ch’tons. S’il venait à savoir que je piquais dans la caisse, c’était fini pour moi. En sortant il vint me voir et me demanda de venir le voir après mon service. La journée passe et je me rendis dans le bureau du patron.

– Vous vouliez me voire ?
– Oui asseyez vous. C’est au sujet de cette histoire de vol.
– J’y suis pour rien, d’ailleurs vous avez trouvé le coupable.
– Je sais mais en visionnant la vidéo surveillance j’ai remarqué ça.
Là il saisi la télécommande de l’écran géant de son bureau et appuya sur « Lecture ». Et là je me suis décomposé. On me voyait les mains dans le tiroir-caisse et retirer quelques billets. Là je vis le patron me faire la gueule.
– Vous pouvez vous expliquer ?
– Je ne sais pas quoi dire.
– Oui ya rien à dire effectivement.
– Je suis désolé, j’ai du mal à joindre les 2 bouts et j’ai cédé à la tentation.
– Ce n’est pas une excuse. Vous savez ce qui vous attend après mon discours de ce matin ?

Et là j’éclatai en sanglot.

– Bon écoutez, je ne suis pas insensible. Mais si je ne vous sanctionne pas, je ne serais plus crédible en temps que patron.
– Je comprends.

Là, il se leva de son fauteuil pour s’assoir sur le rebord de son bureau juste devant moi.

– Bon, maintenant, sachez que je suis le seul au courant de votre …. Boulette. On peut encore éviter un scandale. Vous pourriez rester … si on se met d’accord.
– Que voulez vous dire ?
– Faites pas votre mijaurée. Vous savez ce que je pense de vous. Dans votre situation vous n’avez plus que 2 solutions : soit vous assumez et vous partez, soit on trouve un arrangement. Dit-il en dézippant sa braguette sous mes yeux avec un sourire vicieux.
– Je ne sais pas. C’est vrai que je veux rester mais pas à n’importe quel prix.
– C’est vous qui voyez. Comme on dit : « la nuit porte conseil ». Vous me donnerez votre réponse demain. C’est à vous de choisir entre chômage et misère, et votre emploi contre 150kg de bonheur. Et il retourna derrière son bureau en ricanant.

Je sorti alors de son bureau, dégouté par cet odieux chantage. Lui se gaussait de cet ascendant qu’il venait de prendre sur moi. Cette situation me fit perdre l’appétit et le sommeil. Même si j’avais été élevée chez les sœurs, Je n’avais aucun doute sur ses intentions. Ça me faisait peur. Toutefois il fallait que je me rende à l’évidence. J’étais dans une optique de survie. Sans emploi, je n’allais pas faire long feu. En acceptant sa proposition, je garde mon boulot mais peut-être que je pourrais négocier quelque chose. Et puis il était gras et si ça se trouve, pas en forme. Il pourrait ne se contenter que de quelques caresses ou attouchements.

Le lendemain, dés mon arrivée, je me dirigeais vers le bureau du patron ou il m’attendait avec impatience. Il avait remis son costume qui le boudinait car il devait aller voir des fournisseurs.
– Ah bah vous voila. Vous avez failli me mettre en retard. Alors, vous avez réfléchi ?
– Oui et je ne peux pas me permettre de perdre mon boulot.
– Donc vous acceptez … d’être gentille avec moi ?
– Vous ne me laissé pas le choix.
– Parfait, là j’ai un rendez vous je reviens ce soir à 18h. Je vous veux dans mon bureau à mon arrivée. A ce soir.

J’ai passé tout ma journée à angoisser, pensant à ce qui m’attendait ce soir. A 18h, j’étais dans le bureau à l’attendre quand je l’entendis arriver, d’un pas pressé.

– Bien, je vois que vous êtes à l’heure. Parfait. J’ai passé une mauvaise journée, j’espère que vous allez contribuer à me détendre. Dit-il en verrouillant la porte, en enlevant sa veste et en s’affalant dans son fauteuil.
– Donc que voulez vous ?
– Approche-toi, viens me rejoindre. Je vais mettre un peu de musique pour détendre l’atmosphère.
Il mit une clé USB dans son PC. J’entendis la chanson de Tom Jones : Sex Bomb.
– Fais-moi un strip tease.

Même si dans mon couvent, internet était bridé, j’avais quand même vu certains films ou des femmes se dénudaient en se déhanchant. J’entrepris de faire pareil. Il semblait apprécier en se sirotant une bière et en se vidant un paquet de chips. Je distinguais à peine une petite bosse au niveau de sa ceinture, difficile à voire avec toute cette graisse. Il ramassait mes sous vêtements pour les sentir. Une fois entièrement nue, je continuais à danser comme je le pouvais, quand je le vis desserrer les cuisses.

– T’es plutôt bien foutu. Poitrine un peu petite mais jolie. Approche-toi, viens près de moi.

Je lui obéis même si j’avais une petite idée de ce qu’il voulait. Une fois entre ses cuisses, mes mains sur ses hanches, je le vit déboutonner sa braguette, baisser son pantalon et plaquer sa main sur ma tète.

– Maintenant, suce-moi.

Je n’avais pas le choix, j’ai donc cherché sa queue sous ses bourrelets. Après l’avoir trouvé je constatais qu’elle était assez petite. Ça me rassurait car ça limitait les sévices qu’il pouvait me faire subir. Je commençais alors à le sucer maladroitement.

– T’es assez timide dis moi. Va falloir y mettre un peu plus d’entrain.
– Oui Meuchieux.
– On ne parle pas la bouche pleine, continu.

Je continuais en essayant de m’améliorer quand je sentis une grosse giclée gluante, aussi blanche et épaisse que du fromage blanc battu. Visiblement c’était le résultat de plusieurs mois, voire années d’abstinence. Mon gros porc de patron fut surpris.

– Saleté d’éjaculation précoce. Je vais plus pouvoir faire grand-chose après ça. Nettoies moi la queue avec ta langue et avale tout. Et après rentre chez toi. On reprendra plus tard.
– Bien monsieur.

Avant de partir il glissa un billet de 50 € dans ma poche en me faisant un clin d’œil. Je me senti souillée et passa une bonne partie de la soirée à pleurer. Mais malgré tout je devais m’estimer chanceuse. Ça aurait pu être bien pire.

Le lendemain, j’étais du matin. Donc aucun risque d’une entrevue crapuleuse dans le bureau du patron en fin de journée. A midi je me préparais au départ, saluant mes collègues en salle de pause quand je vis le patron entrer.

– Roseline vous pouvez venir ? Je voudrais vous parler.

Il sorti de la pièce avec ma supérieure en me faisant un clin d’œil discret avec le même sourire sadique que la veille ce qui ne me rassurait pas. Je sorti et les entendis parler.

– Roselyne, Je tiens à ce que la petite nouvelle, Sarah, soit polyvalente. C’est pourquoi j’aimerai qu’elle fasse plus de fermeture de magasin à partir de Lundi.
– Bien monsieur le directeur.

J’avais compris son petit manège. Il savait qu’à la fermeture nous ne serions que tous les 2. Ainsi il pourrait me faire subir tout ce qu’il voudrait sans risque qu’on nous surprenne où d’être interrompu. Et ça n’a pas loupé. Le lendemain, j’étais prévu de fermeture dès le lundi, durant le mois suivant. Le weekend passa et le lundi arriva. J’arrivais donc au magasin et sur le chemin du vestiaire je croisai le patron qui, en me mettant ouvertement la main aux fesses, me glissa à l’oreille un petit « à ce soir ! ».
La journée passa très bien puis vint le moment tant redouté. D’ailleurs, le patron vint lui-même me chercher dans les vestiaires, au moment où je me changeais. Il resta à me regarder n’en loupant pas une miète. Je sortis du vestiaire pour le suivre dans son bureau.

– Bien, déshabilles toi et rejoins moi derrière mon bureau.
– Oui monsieur.
– On va reprendre ou on en était la dernière fois. Suce-moi à pleine bouche.
– Bien monsieur. Et je me mis à la tache.
– Ahhh oui va z y c’est bon. N’hésite pas à faire tourner ta langue autour du gland.

Je lui fis sa fellation comme il me la demandait. Mais je fus surprise de sentir sa verge augmenter de volume de manière importante. En faite à froid elle s’était recroquevillée sous sa graisse. Par contre une fois stimulée, elle ressort et quadruple de volume. Elle était devenu tellement grosse que j’avais du mal à la contenir entièrement dans ma bouche. Ce qui commença à m’inquiéter sur ce qu’il pouvait me faire après.

– Ça suffira pour les amuse gueules.
– A vos ordres.
– Bon, après ce délicieux échauffement, on passe aux choses sérieuses
– C’est-à-dire ?
– Allonges toi sur le bureau et écarte les cuisses.
– Justement à ce propos je voulais ….
– Ta gueule ! c’est moi le patron, c’est moi qui décide, tu fais ce que je te dis et tu la ferme sauf pour poussez de cris de jouissance.
– Mais je …
– Plus un mot.

Je n’eu même pas le temps de lui dire qu’avec mon internat chez les sœurs, je n’avais jamais connu d’homme, qu’il m’empoigna par les hanches avec ses grosses mains velues et me pris en missionnaire. Il fut surpris au 1er coup de rein par ce qu’il découvrit.

– Oh mais c’est que tu es pucelle.
– C’est ce que je voulais vous dire.
– Mais c’est parfait ça. C’est encore mieux que ce que j’espérais. Je vais me régaler avec toi. Merci pour la surprise

Et il reprit son pilonnage très intensif. Seul son plaisir lui importait. Il me faisait mal mais il s’en foutait royalement en poussant des gémissements de sanglier sauvage en rut. J’avais l’impression d’avoir le bassin complètement détruit. Je ne pouvais plus bouger. Je crus que ça allais s’arrêter quand je le senti se retirer. Mais le cauchemar repris quand je le sentis prêt à s’introduire dans mon fondement.

– Non s’il vous plait. Pas par là J’ai trop mal.
– Promis j’arrête dés que je me suis vidé les bourses. T’es trop bonne.

Il m’était impossible de bouger ou le repousser. Déjà la douleur m’empêchait de faire quoi que ce soit mais surtout j’étais plaqué par son poids et presque englué dans ses bourrelets. Dés qu’il me rempli les intestins de sa semence, il se retira et je m’écroulais sur la moquette de son bureau.

– Ahhh ! C’était génial. Bon comme c’était ta 1ère fois demain on ne fera rien. Je te laisse te remettre. Par contre après on remettra ça. Tiens badigeonne toi la rondelle avec ça si jamais tu saigne ça va aider à cicatriser sinon ça améliorera l’élasticité de la peau. Et puis tiens prend ces gélules aussi, une par jour, le soir avant de dormir. C’est important.

– C’est quoi ?
– Une surprise qui t’aidera pour nos … futures relations.

En revenant chez moi j’avais honte. Je commençais à regretter de ne pas être au chômage. Même si il m’avait donné de quoi me « soigner » ou me remettre ainsi qu’un autre billet de 50 €, je commençais à me demander si ça valait le coup. La meilleure solution resterait que je trouve un autre boulot sans qu’il s’en aperçoive mais avec la crise, je n’y croyais pas. Surtout que si le recruteur l’appelle je serais grillée et je n’ose imaginer les représailles. Je me passai donc de la pommade qu’il m’avait donné sur les endroits ayant souffert et pris une de ses gélules. Je n’imaginais pas que ce dernier geste à priori anodin allait me causer bien des tourments.

Le lendemain, au boulot j’essayais de faire bonne figure. Assise derrière ma caisse enregistreuse, j’avais du mal à rester en place, assise sur ma chaise. Plusieurs fois, je m’absentais pour me badigeonner la rondelle avec la crème qui me soulageait. Juste avant de repartir chez moi, le patron vint me voire.

– Alors ça va mieux depuis hier ?
– D’après vous ? La crème soulage la douleur mais n’enlève pas le souvenir du choc.
– Bon ok je me suis un peu laissé emballer. Mais il faut bien que vous compreniez que c’est moi le boss ici et que je refuserai tout ce qui pourrait mettre mon affaire en danger. Promis je serai moins brutal à l’avenir. N’oubliez pas de prendre vos gélules. Ca devrait faciliter nos RAPPORTS à l’avenir.

Son attitude me surpris. Il avait presque l’air attentionné. Mais ce n’est pas pour autant que je lui pardonnerai. Le lendemain, encore de fermeture, je me rendis dans le bureau du patron pour notre petit séance.

– Entrez.
– Bonsoir monsieur.

Il était au téléphone quand je passai la porte. Tout en continuant sa conversation, il me désigna, le dessous du bureau, du doigt. Je me mis à 4 pattes pour passer dessous et commença à lui enlever son froc. Juste après avoir raccroché il me regarda en me caressant la tête, j’étais en pleine besogne.

– Sarah, Ce soir je ne me contenterai que d’une petite pipe. Je suis crevé et on n’ira pas plus loin.
– Bien monsieur.
– Il va de soit que vous avalerez la purée. Je ne veux pas tacher mes vêtements. Ah oui Autre précision, à l’avenir venez en jupe et sans culotte. Ce sera plus pratique.
– A vos ordres monsieur.

Je commençais vraiment à me demander comment je pouvais m’en sortir. De part mon éducation, je n’avais quasiment aucune combativité. En plus il me tenait avec son chantage. J’allais devenir sa chose sans pouvoir rien y faire. J’étais presque résignée.
Cela faisait maintenant plus de 2 semaines que, chaque soir, après mon service, j’étais contrainte de me rendre dans le bureau de mon patron. Et à chaque fois il prévoyait quelque chose de tordu : un numéro de femme soumise et lascive, une tenue d’écolière voir même une caméra pour filmer nos ébats, pour sa petite collection personnelle. Je me faisais exploiter sans rien en retirer que son silence. Même si j’avais honte et que je ne pouvais en parler à qui que ce soit sous peine de passer pour la dernière des traînée et de dévoiler mon histoire de vol, les billets de 50€ qu’il me donnait après chacun de nos rendez vous, me permettaient, certes, d’améliorer mon petit confort. Mais ils ne compensaient nullement cette souillure que je sentais en moi.

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