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M…

M…



On peut penser parfois que je suis une femme sexuellement agressive. Parce ce que je sais ce que je veux, que je l’assume et que je prends souvent les initiatives.

C’est pourtant tout le contraire, je suis une pure soumise avec une seule envie profonde : être un bout de viande avec des trous qu’un homme dominateur utilise à sa guise. Seulement des hommes naturellement dominateurs, j’en ai rencontré finalement très peu, et certainement pas mon mari, qui n’a pas eu l’idée en 25 ans de mariage de m’acheter une laisse pour me balader dans la maison.
Rien de franchement sm dans tout ça, mais des petits jeux d’humiliation m’excitent beaucoup, et aussi être attachée, sans défense.

C’est un collègue de mon mari qui m’a révélée très récemment.
Embauché en février comme cadre, cet homme mûr de 58 ans, avec un visage buriné et une allure assez élégante, était très troublant dès le premier regard.
Dans une soirée pour le pot de départ de celui qu’il remplace, toute la boite était invitée, les conjoints également, dans une salle de réception du centre ville de Bordeaux.

Le nouvel arrivant, appelons-le M, était alors officiellement présenté à ses nouveaux collaborateurs.
Sa prise de parole en public était très convaincante, on sentait beaucoup d’assurance chez lui et un humour à froid assez décapant.
Mon mari me présenta ensuite à lui et j’ai su au premier regard qu’il lisait à livre ouvert dans mes pensées. Sa façon de me tendre la main pour me saluer, son aplomb à me regarder droit dans les yeux me déshabillèrent instantanément et me mirent à nu.

Il savait déjà. A quel point j’aime les hommes et le sexe, et que je suis incapable de résister à la tentation, de ne pas obéir aveuglément à mes pulsions.
Nous n’avons presque pas échangé, à part « Bonsoir, je suis Louise, la femme de Jean-Philippe » « Bonsoir, Louise » , mais j’ai senti son regard dans mon dos pendant toute la réception et je me suis trouvée toute petite dans ma robe de soirée, prise par un ascendant que je ne comprenais pas trop.
J’observais discrètement ses grandes mains manipuler sa coupe de champagne, ses gestes délicats et fermes, son sourire doux et carnassier quand il me croisait.

Profitant que mon mari était en pleine discussion « projet » avec son équipe, et déjà un peu saoul probablement, M se rapprocha de moi et vint me sortir de mon ennui, de façon assez radicale, en me disant à l’oreille :

« Tu préfères que je te fasse l’amour ou que je te baise ? »

La nature de sa phrase conjuguée à l’usage du tutoiement soudain me désarçonnèrent. Sa voix était grave, chaude, enveloppante… J’arrivais quand même à ne pas montrer mon émotion et répondis au bout de quelques secondes.

« Je n’ai pas envie de faire l’amour… »

Il partit dans un rire franc et sonore, ma réponse sembla beaucoup lui plaire, puis s’éloigna pour aller discuter avec d’autres personnes.

Je l’avais fait rire. J’en étais très fière tant l’homme avait de prestance et d’audace. Je n’ai pas arrêté de penser à lui ensuite et de chercher à le croiser pendant la soirée. Il était toujours accompagné des plus jolies femmes , les attirant comme des mouches, les faisant rire et reléguant les maris à des footballeurs de deuxième division par son magnétisme incroyable. Leur avait-il parlé comme à moi ? J’espérait secrètement que non, qu’il n’avait pas d’autre proie en vue…

Pour le décrire physiquement, il était assez grand, son visage était un croisement subtil entre Serge Gainsbourg et Kirk Douglas, indéfinissable donc, avec des cheveux poivre et sel, un nez fort et une mâchoire solide, qui avait dû pas mal bourlinguer. Ses gestes étaient précis et il entrait facilement dans la sphère intime des gens avec qui il parlait, son sourire énigmatique et sa voix chaude lui servant de passeport tacite.

Mon mari commençait à avoir vraiment trop bu. Je le voyais de loin tituber en riant fort, il était temps que je le ramène à la maison. Il s’assit soudain sur un grand fauteuil, se prenant la tête dans ses mains et je compris qu’il n’allait pas tarder à filer aux wc pour vomir son repas qui baignait dans l’alcool. Il est toujours malade quand il boit trop.

M prit les devants. Sans un mot il att**** mon mari par l’épaule, le fait se lever énergiquement, m’indique de les suivre avec un petit signe de tête et se dirige vers les toilettes avec mon mari sous le bras.
Je les suis.

Mon pauvre mari court comme il peut une main sur la bouche s’isoler dans un wc pour se soulager et nous restons avec M près des lavabos.

Son visage est grave, ses yeux pénétrants…il pose une main sur ma joue murmure dans mon oreille qui surchauffe
« Donne moi ton cul »

L’ordre est sans appel. Je fais semblant de résister d’un timide regard interrogatif mais ma feinte n’a aucune prise sur lui. Son autorité naturelle me renverse, je ne peux qu’obéir.
Je me tourne contre le lavabo, ferme les yeux pour ne pas me voir dans le grand miroir et remonte ma robe jusqu’aux hanches. Le moment est d’une urgence folle.
J’entends sa braguette descendre, il écarte mon string et très vite son sexe se présente à mon anus, sans aucune préparation et entre en moi à sec, me faisant ouvrir la bouche de surprise autant que de plaisir. J’écarte tout ce que je peux pour le sentir entièrement en moi, et c’est lui qui avec force et précision lève ma jambe droite pour que je la pose sur la tablette du lavabo, offrant totalement mes fesses.

A partir de ce moment il se déchaine en moi, m’enculant avec des grands coups de bite rageurs espacés de plusieurs secondes. Chaque poussée me fait crier, j’étouffe mes excès avec mes mains plaquées sur ma bouche, n’entendant même pas mon mari qui vomit dans sa cabine.

Très vite je jouis, sans même me caresser, quand il me saisit par les épaules et me donne un dernier coup de rein qui me déchire les entrailles et me laisse pour morte.
J’ai le visage presque dans le lavabo quand je reprends mes esprits.

Je vois dans le miroir mon mari qui sort tout blanc de son wc, l’air vraiment malade. M est déjà parti, ma robe est retombée toute seule sur mes jambes quand j’ai repris position sur mes deux pieds.
Je m’asperge d’un peu d’eau fraiche et récupère mon pauvre mari pour rentrer à la maison sans repasser par la salle de réception.
Dans la voiture, pendant qu’il s’endort, en sentant le sperme dégouliner de mon anus, je sais que je je ferais n’importe quoi pour cet homme.
Je n’ai plus d’autre volonté.

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