Ma coiffeuse est jolie. Vraiment très jolie. Elle n’est pas grande, mais très bien proportionnée, brune aux yeux noirs à l’éclat intense quand elle vous regarde. C’est elle qui me coiffe depuis longtemps, et personne d’autre dans le salon. Au fil du temps une communication amicale, pour ne pas dire une complicité, s’est installée entre nous. Elle est toujours habillée de façon très chic, parfois sexy, voire carrément provocante. Elle affectionne les pantalons moulants, toujours dans les tons clairs, souvent taille basse, et sacrifie régulièrement à la mode en laissant voir son string dépasser du pantalon, juste à la naissance des fesses. Le salon n’étant pas climatisé, elle porte la plupart du temps des petits hauts minimalistes, sans manches, dans des tissus souples et fins. Bref, dès que j’entre dans le salon, la voir me réjouit la vue, et les sens en général…
L’histoire que je vais vous raconter s’est passée récemment, un jour de juillet particulièrement chaud.
Contrairement à mon habitude j’avais pris rendez-vous en fin d’après-midi, juste avant la fermeture. J’étais le dernier client et, le hasard faisant bien les choses, le patron de Christine avait une course à faire. Alors qu’elle commençait mon shampoing, il lui demanda si, ce soir-là, elle pouvait fermer le salon à sa place. » Pas de problème, dit-elle, j’ai un double des clefs. A demain. ” Puis elle continua à me laver les cheveux. Comme souvent, elle me frôlait par inadvertance en tournant autour du siège pour faire son travail. Elle ne devait même pas s’en apercevoir mais moi j’attendais, j’espérais ces contacts rapides et furtifs. Tantôt un sein s’appuyait un bref instant sur mon épaule ou sur ma nuque, tantôt une hanche frôlait mon bras ou ma cuisse. Et tandis qu’elle faisait comme d’habitude consciencieusement son travail en devisant avec moi, je frissonnais comme d’habitude à chaque contact et je ne pouvais détacher mon regard de ses fesses rebondies serrées dans son pantalon blanc sans poches ni coutures, du motif en dentelle ponctuant l’attache des trois lanières de son string et de son soutien-gorge couleur chair, visible sans difficulté par l’ouverture de son corsage en mousseline rouge. Sans doute émoustillé par la chaleur, l’absence de son patron et quelques pensées plus érotiques que d’habitude, je remarquai que ses seins avaient une forme parfaite, un galbe admirable, serrés qu’ils étaient dans leur écrin plus qu’ajusté. La maille fine et souple du soutien-gorge laissait voir sans ambiguïté ses aréoles sombres et ses tétons, curieusement tendus et gonflés. Ces visions plus que sensuelles eurent un effet immédiat : je me mis à bander dans mon bermuda comme aux meilleurs moments, presque gêné à l’idée que Christine s’en aperçoive. A ce moment je sentis une pression des seins de Christine sur mon épaule moins naturelle que d’ordinaire, moins furtive, presque volontaire, juste avant qu’elle ne dise : » Voilà, le shampoing est terminé, si vous voulez passer dans ce fauteuil. ” Elle s’écarta pour me laisser passer et nos regards se croisèrent dans le miroir : il était évident qu’elle cherchait ce contact visuel et quand elle eut accroché mon regard, elle me gratifia d’un large sourire. Je me dis que quelque chose d’inhabituel était en train de se passer. Quoi exactement, je l’ignorais, mais cela ressemblait à un de ces petits jeux de séduction anodins que j’affectionne.
Je m’assis donc devant le miroir et, au même moment, malgré la musique diffusée par la petite chaîne hi-fi posée dans un coin, j’entendis un déclic, alors que Christine revenait vers moi pour me présenter une blouse à enfiler : elle venait de verrouiller la porte du salon ! Mes soupçons (mes espoirs ?) se confirmaient : j’entrais dans un véritable jeu érotique, initié par ma coiffeuse, laquelle allait jouer un long moment au chat et à la souris avec moi, avant une apothéose mémorable !
Au lieu de me laisser me débrouiller avec la blouse, elle tint à me l’enfiler elle-même, glissant ses mains sur mes bras pour remonter chaque manche. Elle appuya enfin ses deux mains sur ma nuque pour m’obliger à baisser la tête afin de nouer les cordons de la blouse. Une fois le nœud fait, elle enfonça brusquement ses doigts dans ma tignasse épaisse pour un massage aussi bref que sensuel. Se faisant elle avait appuyé ses seins contre mon dos (comme je suis plutôt grand, je dépasse nettement du dossier). Comprenant le signal, je voulus empoigner ses fesses en lançant mes mains en arrière, mais je ne rencontrai que le vide : la coquine s’était esquivée prestement ! Alors qu’elle passait devant moi, je voulus récidiver mais je reçus le même accueil, ponctué d’un » Pas touche ” autoritaire mais souriant. Par contre, me tournant le dos, elle se pencha pour prendre ses ustensiles dans un tiroir, les jambes tendues : je pus admirer à loisir son petit cul parfait, ses fesses rondes et sublimes, littéralement peintes en blanc par le tissu ajusté. Elle se retourna lentement, les jambes légèrement écartées, en posant lentement peignes, ciseaux et rasoir sur la console devant moi. Son regard était vissé au mien, mais je m’en détachai pour admirer son côté face, au moins aussi excitant que son côté pile. Sans que je m’en rende compte, elle avait déboutonné son corsage jusqu’au nombril. Ses seins apparaissaient fièrement entre les pans de tissu rouge, gonflés par le soutien-gorge mais sans doute aussi par l’excitation. Le tissu couleur chair était si fin que ses seins semblaient nus. Mon regard alternait entre sa poitrine et son bas-ventre : son pantalon si serré laissait deviner un gonflement des lèvres de son sexe, séparées par le sillon de sa vulve tracé dans le tissu. La forme de son sexe était si nette que je l’imaginais presque sûrement rasée : un sexe féminin imberbe, même protégé par le fragile rempart d’un string, ne peut se dissimuler bien longtemps lorsque l’excitation le gonfle ainsi !
Il était impossible qu’elle ignore encore mon propre désir : son regard descendit en effet vers mon bermuda, sous lequel la bosse allongée de mon sexe hyper tendu était évidente, et un large sourire éclaira de nouveau son joli visage. Le regard pétillant, elle défit le dernier bouton de son chemisier, l’ôta, puis passa lentement ses mains derrière son dos pour dégrafer et faire glisser son soutien-gorge, en un mouvement aussi sensuel que féminin. A la vue de sa poitrine libérée, je ne pus m’empêcher de lancer : » On se demande pourquoi vous mettez un soutien-gorge, vos jolis seins n’en ont vraiment pas besoin ! ” Pour toute réponse, Christine me sourit, posa un doigt sur ses lèvres en disant » Chuuut… ”, avant de lécher lentement son doigt d’une façon on ne peut plus suggestive. J’avais l’impression de rêver : venu pour une simple coupe de cheveux, comme des dizaines de fois auparavant, j’avais maintenant devant moi ma coiffeuse à demi nue et visiblement décidée à ne pas en rester là ! Pour ajouter à ma confusion, elle prit ciseaux et peigne et commença son office, comme si de rien n’était !
Mais là c’en était trop et dès qu’elle repassa devant moi je plaquai mes mains sur ses fesses et l’attirai à moi. Déséquilibrée, elle tomba sur moi et je reçus ses deux seins fermes et bronzés sur mon visage. L’occasion était trop belle et j’embouchai le téton le plus proche, le léchant et le suçant, et le mordillant dès que Christine faisait mine de s’écarter. Avec mes mains, je caressais fermement ses fesses rebondies, je remontais sur les hanches élastiques. Je voulus sentir la peau nue de ses fesses sous mes doigts mais le pantalon lui collait trop à la peau, ce serait pour plus tard. Christine ne pouvait pas se dégager car pour éviter de se blesser elle avait écarté ses mains qui serraient toujours ses outils de travail. Je desserrai mon étreinte pour lui permettre de libérer ses mains et en profitai pour me lever et l’asseoir à ma place dans le fauteuil. Je posai mes mains sur ses seins et commençai à descendre lentement vers son ventre ferme, jusqu’à la fermeture Éclair qui cachait son trésor intime. Je commençai à l’ouvrir, lentement, laissant apparaître petit à petit la dentelle de son string. En même temps, elle commença à tirer sur la ficelle de mon bermuda et à le faire glisser le long de mes jambes, jusqu’à ce que je n’ai qu’à l’enjamber pour m’en débarrasser. Je continuai mon exploration, glissant mes doigts sous l’élastique du string jusqu’à rencontrer une minuscule touffe posée délicatement sur son mont de Vénus, seul vestige d’une toison brune envolée il y avait peu : en effet la peau le long de ses lèvres, gonflées et déjà humides, était encore douce comme du velours. Mes mains continuèrent leur chemin le long de ses hanches, vers ses jolies fesses rondes mais mon approche était entravée par l’étroitesse du pantalon : je pris alors ses mains, occupées à jouer avec mon sexe à travers le tissu qui le cachait encore, et les lui posai sur ses hanches avec un regard qu’elle comprit sans difficulté.
Elle se releva d’un geste souple et gracieux, et commença à faire glisser son fourreau vers le bas, en un mouvement lent et terriblement sensuel qui fit monter d’un cran ma pression interne. Tandis qu’elle se dénudait ainsi, j’enlevai le reste de mes vêtements afin d’être à égalité avec elle. Alors qu’elle se relevait après avoir dégagé ses chevilles de son pantalon, elle fit une pause au niveau de mon ventre, prit mon sexe entre ses mains et l’approcha de sa bouche humide. Je m’attendais à une fellation en bonne et due forme mais ce ne fut qu’un échantillon : elle enroula sa langue pointue autour du gland, le titillant d’une façon experte, tandis qu’elle passait ses mains sous moi afin de me caresser simultanément les testicules. J’étais tellement tendu qu’elle n’avait nul besoin de me tenir la hampe alors qu’elle la léchait lentement de haut en bas, s’arrêtant quelques secondes sur le gland avant de recommencer.
Après quelques minutes de ce traitement, je n’y tins plus et je la prit par les épaules pour la relever, et la plaquer contre moi, afin de sentir la pression de ses seins fermes sur ma poitrine, la chaleur de son sexe nu contre mon ventre, et de pouvoir enfin plaquer mes mains impatientes sur ses fesses si attirantes. Je laissais mes mains la caresser sur toute la peau que je pouvais atteindre, la mordillant au cou et à l’oreille, mais sans l’embrasser : il n’était pas question d’amour entre nous mais seulement d’un coup de foudre charnel, voire a****l. Elle faisait de même avec une fougue qui tranchait avec sa réserve habituelle. Juste avant de la retourner pour me coller à son côté pile, mes doigts firent une brève incursion à l’endroit le plus secret de son corps : écartant doucement ses fesses, je posai un doigt aventureux, préalablement mouillé dans son sexe inondé de liqueur de plaisir, à l’entrée de son petit trou, le massant doucement et exerçant une simple pression sur sa rosette, elle aussi déjà légèrement humide. Je fus satisfait de constater que, loin de s’en offusquer par un quelconque mouvement d’humeur, Christine semblait apprécier cette visite incongrue : elle se tortillait de plus belle contre moi et se cambrait sensuellement afin d’aller à la rencontre de mon doigt, si bien qu’elle le fit entrer en elle d’autorité sur quelques millimètres. Je me retins d’aller plus loin pour le moment et je la retournai donc prestement, la forçant à appuyer les mains sur les accoudoirs du fauteuil. Je pus alors à loisir caresser ses seins aux bouts durcis et surtout appuyer mes doigts sur sa vulve, douce, gonflée et trempée, tantôt la massant de petits mouvements circulaires, tantôt la pénétrant d’un ou deux doigts inquisiteurs. En levant les yeux, je pouvais nous voir reflétés à l’infini dans les miroirs en vis-à-vis, ce qui accroissait mon excitation et sans doute celle de Christine.
Au bout d’un moment, je la poussai devant moi vers le canapé du coin salle d’attente. Après l’avoir allongée, j’écartai doucement ses jambes pour jouir de la vue de son sexe nu et incroyablement gonflé. Les lèvres de son sexe brillaient de son liquide intime et j’approchai lentement mon visage de ce sanctuaire sexuel si attirant. Avant de passer aux choses sérieuses, je lapai son suc tel un chaton lape son lait et je lui fis goûter en lui tirant la langue, qu’elle téta avec un sourire amusé. Peut-être était-ce la première fois qu’elle se goûtait ? Je retournai vers son ventre pour enfin faire pénétrer ma langue entre les lèvres de son sexe. Je la léchai à grands coups, m’arrêtant régulièrement pour titiller du bout de ma langue le bouton rosé de son clitoris, ce qui déclenchait des spasmes de plaisir dans son corps. Je la soulevai légèrement et passai mes mains sous ses fesses afin de plaquer le mieux possible son ventre doux contre mon visage. Tout d’un coup, elle m’empoigna par les cheveux, me releva la tête et me dit d’un air faussement ingénu : » Je n’aime pas recevoir trop sans donner un peu. ” J’eus à peine le temps de m’interroger sur ses paroles sibyllines qu’elle m’allongea à sa place sur le canapé, se retourna pour placer ses jambes de chaque côté de ma tête et s’installa pour un 69 très bien venu ! Tandis qu’elle replaçait son sexe au-dessus de mon visage, elle emboucha d’un seul coup mon sexe dressé jusqu’à ce qu’il bute sur sa joue, et commença à faire aller et venir sa tête, appuyant délicieusement ses lèvres le long de ma tige, et les refermant en un baiser torride sur le gland à chaque aller-retour.
Un désir différent s’emparant de mon corps, je la repoussai doucement et la basculai face à moi sur le canapé. Je lui relevai les jambes sur la poitrine, appuyant mes bras au creux de ses genoux pour exposer de façon totalement impudique son sexe luisant et ses fesses parfaites, encadrant son petit trou rose et plissé. Ainsi immobilisée, elle ne put que subir (mais avec un total consentement) la pénétration de mon sexe tendu dans son vagin impatient. Elle était tellement mouillée que je sentais à peine le contact de ma chair dans ses chairs. J’entrai lentement et profondément en elle, jusqu’à ce que ma toison frotte son ventre délicat et nu. Je m’arrêtai un instant pour jouir du plaisir intense que cette position me procurait, et me délecter de l’expression de pur plaisir qui se lisait sur le visage de Christine : elle retenait son souffle, un sourire radieux éclairant ses yeux et ses petites dents blanches mordillant sa lèvre supérieure.
C’est elle qui donna le signal de l’action et ondulant du bassin sous moi afin de sentir mon sexe bouger en elle. Je perdis alors toute retenue et je commençai à la baiser à grands coups de reins : j’allais si profondément en elle que je sentais son pubis cogner contre le mien et je quittais presque son fourreau de chair à chaque impulsion vers le haut. Après un long moment ainsi, je fis une pause pour lui éviter l’ankylose et j’en profitai pour la retourner, l’agenouiller le long du canapé et lui appuyer les seins sur les coussins en velours. Elle se cambra naturellement, ayant compris que la vue de son petit cul m’était plus qu’agréable. Sans la faire plus attendre, je retournai dans la profondeur accueillante et brûlante de son ventre. La position était plus confortable pour elle et lui donnait plus de latitude pour bouger, ce dont elle ne se privait pas. Afin de me maintenir en elle, j’empoignai fermement ses hanches élastiques et continuai à la pistonner avec autant d’ardeur. Ayant trouvé une coordination parfaite de mouvements, nous fîmes ainsi l’amour comme lion et lionne pendant de longues minutes, jusqu’à l’apothéose. Sentant ma semence prête à jaillir, je m’arc-boutai et collai mon ventre à ses fesses, agrippant avec tant de forces ses hanches que j’imprimai la marque de mes doigts sur sa peau mate, tandis qu’elle se figeait sous moi : nous jouîmes exactement en même temps, mêlant nos cris de plaisir sexuel dans le silence du salon, avant de retomber, elle sur le canapé et moi sur son dos perlé de sueur.
Au bout de longues minutes, nos respirations se calmèrent enfin, et, reprenant conscience de l’univers qui m’entourait, je remarquai que la chaîne hi-fi jouait Europa de Santana. Je me redressai doucement, étalant du bout des doigts la petite flaque de sueur nichée au creux des reins de Christine. Avant de me retirer de son sexe inondé, je flattai son petit cul d’une tape amicale. Mais, à mon grand étonnement, au lieu que mon sexe ait repris des proportions plus que modestes, je bandais toujours de façon plus qu’honorable ! L’atmosphère chaude et la situation inhabituelle devaient en être la raison. Je décidai alors de ne pas laisser passer une si belle occasion et, avant que Christine ait commencé à se relever, je lui maintins le buste penché et la croupe tendue vers moi. Glissant mes doigts entre les lèvres de son sexe, je les enduisis le plus possible de son lubrifiant intime et les approchai de son petit trou. Je le massai précautionneusement pour l’humidifier, d’abord sur la corolle puis à l’entrée. Avec un doigt, puis les deux, j’explorai sa grotte étroite, tentant de l’assouplir autant que je pouvais. Christine ondulait des hanches, visiblement peu gênée par mon incursion intime. Quand je sentis que mes doigts allaient et venaient sans difficulté en elle, je les fis quitter leur cachette et pointai mon gland à l’entrée de son cul, bien plus accueillant que seulement quelques minutes auparavant. Le premier round d’amour m’ayant quand même émoussé un peu, ma tige était plus souple et je fus obligé de la guider tout en avançant lentement dans ce fourreau aussi étroit qu’attirant. Pendant que je regardais mon sexe s’enfoncer millimètre après millimètre, j’entendais les soupirs d’aise de Christine. Elle était complètement détendue et ne bougeait plus, attentive à accueillir en elle cette tige de chair. La progression dura un long moment, permettant à nos sens de s’échauffer de nouveau, jusqu’à ce que mon ventre bute contre ses fesses : j’étais enfin entièrement en elle, au fond de son cul que j’observais, que j’admirais (que je convoitais ?) depuis si longtemps dans ses écrins de tissu.
Tout alla très vite ensuite. Je recommençai des va-et-vient de plus en plus rapides, tandis qu’elle ondulait sous moi de droite à gauche (sans doute était-ce le mouvement qui lui procurait le plus de plaisir pendant la sodomie.) Mais la pression sur mon membre du tunnel de chair où j’étais logé était bien plus forte que celle de son sexe, et la jouissance ne tarda pas à monter et à exploser. Comme la première fois, je m’agrippai à ses hanches au moment de jouir, et l’orgasme qui me submergea fut d’une intensité rarement atteinte : c’était dû sans aucun doute au fait de jouir deux fois de suite de façon si rapprochée. Complètement vidé de toute énergie, je m’écroulai sur le dos de Christine, non sans remarquer qu’elle n’avait apparemment pas encore joui. Mais en même temps je la sentis changer de tempo et agiter son ventre d’avant en arrière afin de me faire coulisser amplement entre ses fesses : c’était plus facile car après mon double orgasme, mon membre avait nettement rétréci et n’offrait plus que très peu de résistance. Il ne lui fallut que peu de temps pour me rejoindre en un orgasme qui fut tellement fort qu’il lui coupa le souffle : elle rejeta la tête en arrière, la bouche grande ouverte, mais aucun son ne sortit d’elle, puis elle retomba sur le canapé, comblée, apaisée et inerte.
Savourant le plaisir intense que nous venions de nous donner mutuellement, nous restâmes sans bouger encore quelques instants, avant de nous désunir, et de nous rhabiller tels quels, afin de garder encore quelques heures le souvenir de ce moment unique, à travers mon sperme, son suc et notre sueur.
Au moment de quitter le salon, je prononçai les seules paroles dites depuis longtemps : » Au revoir. Je rappellerai pour prendre de nouveau rendez-vous. A bientôt donc. ” et j’empruntai la rue qui conduisait au parking où était ma voiture, sans me retourner, mais la tête et le corps emplis de souvenirs charnels et érotiques inoubliables.
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