Personnages:
Jean-Michel 55 ans, industriel, veuf remarié
Marie-Claude, 35 ans sa nouvelle épouse depuis une année, sans profession
Eric 19 ans étudiant
Introduction
La vie n’a pas été toujours facile pour moi, mais avec ma première épouse, nous avons monté une entreprise de service qui fonctionnait bien, quand le crabe l’a prise et me l’a enlevée alors que mon fils avait 13 ans. Pour tenir la maison que nous venions de finir, j’ai trouvé indispensable qu’une main féminine la tienne.
Lors d’un voyage en Allemagne, j’ai rencontré Marie-Claude, de 20 ans ma cadette, jeune fille sans famille. Ce fut le coup de foudre immédiat, mais j’ai voulu d’abord voir si le courant passait entre Eric et Marie-Claude. Comme le courant a bien passé, je l’ai épousée voila 4ans.
C’était vraiment le bon choix, elle s’occupait bien d’Eric, le bichonnait, surveillait sa scolarité, ses sorties, bref elle remplaçait la mère qui était morte très bien.
Vacances en Corse
Lors des dernières vacances, j’ai eu un petit accès de jalousie, nous étions partis en Corse dans une petite villa, nous partagions notre temps entre le farniente et la baignade dans notre petite plage privée, la cohabitation entre Marie-Claude et Eric était parfaite. Elle était une vraie mère poule, très attentive aux éventuels coups de soleil et lui le lui rendait bien, toujours ensemble, je dirais presque comme des amoureux, toutefois sans geste inopportun, mais ils étaient sans arrêt collés l’un à l’autre.
Je remarquais cependant que Eric semblait se développer au niveau du slip. Parfois, c’était à la limite de l’indécence, surtout quand ils sortaient de jeux dans l’eau.
Mais cela était loin de me déplaire, Marie-Claude était vraiment libérée pendant les vacances et la nuit, j’en profitais grandement. Jamais elle m’avait parue si chaude, elle partait très rapidement dans des orgasmes violents lorsqu’elle me chevauchait.
Un petit nuage cependant vint assombrir le ciel bleu de nos vacances, cinq jours avant la rentrée, je reçus un message d’Henri, mon associé qui me demandait ma présence pour traiter une affaire difficile. J’ai bien essayé de m’en débarrasser, mais quand il m’a affirmé qu’il en allait de la survie de notre entreprise, j’ai ouvert le sujet le soir au souper :
— Je suis obligé de mettre fin à mes vacances, je ne veux pas interrompre les vôtres, mais demain je dois être au bureau.
— Tu sais combien de temps cela te prendra ?
— Aucune idée, j’espère peu, aussi restez ici et si ce n’est pas long je reviendrai.
C’est ainsi que je me trouvais le lendemain loin de mes deux amours, tout seul à la maison. Le problème évoqué allait me retenir jusqu’à la fin de la semaine.
Récit de Marie-Claude.
Nous sommes en vacances en Corse, quel beau pays et je suis avec les deux amours de ma vie, Jean-Mi et son fils, c’est presque le paradis, dès le premier jour, je me suis vraiment éclatée, si le jour, j’aime surtout la compagnie d’Eric, qui est toujours partant de faire du sport et s’amuser, la nuit, c’est avec Jean-Mi que je m’éclate, on voit que l’éloignement des affaires lui fait du bien, il devient un amant infatigable, je suis comblée, même si parfois, j’ai l’impression que l’intimité avec Eric frise le tolérable. Surtout quand on va se baigner ensemble. J’ai senti une fois alors qu’il me tenait par-derrière une barre dans son slip qui ne trompe pas, il bandait comme un âne, c’est flatteur qu’avec la différence d’âge il me trouve à son goût et je ne lui connais pas de petite amie, il me l’aurait dit. Jean-Mi part demain pour le travail, je sens que cela risque d’être la semaine de tous les dangers, car je suis assez sensible au charme d’Eric. Le nombre de fois où mon mari en me prenant créait l’image d’Eric dans ma tête, enclenchant des orgasmes dévastateurs.
Le récit d’Eric
Enfin les vacances, on est parti avec Papa et maman, c’est le pied, il ne me manque qu’une petite amie, mais enfin maman, c’est ainsi que je l’appelle, mais en réalité, c’est ma belle-mère, dont je suis amoureux désespéré, car elle est la femme de père, donc inaccessible.
Souvent on joue comme des fous dans l’eau et de temps en temps, on fait des luttes et hier, en la ceinturant, j’ai mis mes mains sur ses seins pour l’immobiliser et là, je n’ai pu m’empêcher de bander comme un âne, je suis sûr qu’elle a remarqué mon état, car elle s’est éloignée brusquement de moi, presque fâchée.
Je lui ai présenté mes excuses, comme quoi c’est venu tout seul, sans volonté de ma part. Elle m’a consolé en me disant de ne pas m’en faire et que c’est normal que jeune, d’être hypersensible aux charmes des femmes et qu’elle était flattée qu’elle puisse à son âge créer un émoi et pour couronner le tout, elle m’embrassa doucement sur les lèvres, pour la première fois. Du coup, j’ai tout lâché dans l’eau. Devant ma grimace, elle a compris que son baiser avait eu un effet libératoire et que je pourrai sortir de l’eau sans alerter Jean-MI.
Le soir, père nous a annoncé qu’il doit écourter ses vacances. Il ne se doute pas que je sois amoureux de sa femme et qu’elle ne m’a pas l’air insensible.
Père vient de partir en prenant l’avion et nous partons à la plage pour décompresser.
Allongés côte à côte sur nos serviettes, nous nous tartinons le dos contre les attaques de Phobus. Je ne peux en caressant le dos de Marie-Claude m’empêcher d’avoir une érection bien visible. Elle derrière ses lunettes à soleil n’en perd pas une miette avec un petit sourire moqueur. Une fois que je l’ai bien tartinée, elle se propose pour m’en remettre une couche, mais sur le ventre.
Oups, là, avec mon chapiteau, je ne sais comment on va gérer la situation.
— Tu bandes à nouveau. Coquin.
— C’est pas de jeux, mais avec les femmes, c’est pas possible de voir dans quel état vous êtes.
— C’est que tu manques de sens de l’observation.
— Comment cela ? On ne voit rien.
— Essaye ! Me dit-elle en mettant la crème solaire sur mon torse.
Puis descendant vers le ventre, contournant la zone dangereuse, en met sur mes deux jambes, mais quand je sens ses mains caresser l’intérieur des cuisses, je ne suis pas loin de partir. C’est alors que je remarque que son soutien-gorge laisse paraître que ses seins ont des bourgeons très érigés.
— Je sais maintenant et je pense que tu es dans le même état que moi, à voir ta poitrine qui a les tétons qui déforment ton soutien.
— Bravo me dit-elle, ouvre la bouche et ferme les yeux.
J’obéis quand je sens que quelque chose coule dans ma bouche, intrigué, j’ouvre les yeux et je vois Marie-Claude penchée sur moi, sa bouche à quelques centimètres de la mienne, laissant couler un filet de salive entre mes lèvres. Alors que j’ouvre les yeux, elle se redresse en me faisant une petite caresse sur ma bite.
— Dommage, tu n’aurais pas dû ouvrir les yeux. Viens on va se calmer un peu en nageant !
L’eau nous calme rapidement et en sortant, on reste sage l’un à côté de l’autre en attendant le soir, causant de différentes choses, mais la conversation se dirige vers nos sentiments réciproques.
— Eric, je ne sais plus où j’en suis, j’adore ton père, mais quand je suis avec toi, je dois dire que des idées pas correctes se glissent dans ma tête. Que faut-il faire ?
— Marie-Claude, je te trouve tellement attirante, que je suis comme un papillon de nuit, attiré par la bougie. J’en suis à souffrir d’être tendu sans arrêt à ton contact, mais tu sais comme j’aime cette souffrance.
— Pour moi, c’est presque pareil, quand Jean-mi était ici, je pouvais évacuer cette tension, mais souvent à son image, c’était ton visage que je voyais au plus fort de l’excitation. Que va-t-on devenir ? Je vois que tu es à nouveau tout tendu. Tu aimerais que je te soulage ? Ça, je crois qu’on peut le faire.
Doucement, elle pose sa main sur la bosse qui déforme mon slip et extrait mon sexe.
— Il est beau, comme je l’imaginais.
Délicatement, elle me masturbe et en sentant sa main coulisser sur ma bite, je n’arrive pas à tenir très longtemps et brusquement je libère ma tension en un long jet qui finit dans son avant-bras.
Marie-Claude a le visage qui rougit fortement, son souffle devient rauque et elle ne peut s’empêcher de mettre les mains entre ses cuisses et à son tour de se masturber et se tendre avant de retomber comme une chiffe molle sur son linge.
— Comme tu es belle quand tu prends ton pied. J’aurais bien voulu te rendre aussi ce service.
— Tu n’y penses pas, là, ce serait tromper mon mari.
— Philosophiquement, si tu penses à moi comme amant, déjà là, tu trompes ton mari, en consommant, tu ne fais qu’officialiser et caresser n’est pas consommer.
— Si tu le dis. Viens on va rentrer et aller à la Pizzeria pour se changer les idées.
C’est ainsi qu’on mit fin à ce premier débordement. Mais ce ne fut que partie remise à l’énoncé des problèmes qui se présentaient.
Une fois les pizzas commandées, en se prenant la main, les yeux dans les yeux, Marie-Claude commença :
— Mais Eric, tu te représentes les problèmes que nous aurons à résoudre si nous nous laissons aller ?
— Un peu, mais pas trop.
— Je vais faire comment pour gérer mon ménage avec deux mâles assoiffés, dont un doit tout ignorer. Une fois on se fera prendre et alors…
— Il ne restera qu’à s’abstenir quand il est là et profiter au maximum quand il n’est pas là.
— Tu oublies mes sentiments, Je l’aime aussi profondément et je ne veux pas le blesser. C’est quand même mon mari. Comment vais-je pouvoir supporter deux amours simultanés ? En jouant l’hypocrite ? Lui dire d’entrée ce qui s’est passé en son absence? Je risque de détruire ma vie.
— Je reconnais que ce n’est pas simple pour toi. Mais en attendant, n’est-ce pas pour mieux sauter plus tard ?
— C’est vrai que ses absences sont fréquentes et parfois longues. Si tu me promets que quand il est là, tu ne fasses rien qui puisse me troubler, on pourrait essayer, j’en ai tellement envie. Mais tu vois comme je me sens faible dans mes décisions.
— On pourrait essayer en commençant en jouant entre nous. Seulement flirter.
— Je ne sais pas si c’est une bonne idée, le restant de la semaine est courte et s’il faut concrétiser, c’est une perte de temps.
— Alors quand on va rentrer, directement on va baiser ?
À cet énoncé, je sens ma trique se raidir abominablement en m’imaginant la suite. Ceci n’échappe pas à Marie-Claude qui me remarque :
— Tiens-toi un peu, sinon, je vais ne pas croire que tu pourras le faire plus tard.
— Plus facile à dire qu’à faire, je ne peux m’empêcher d’imaginer la suite.
— Alors pour te rafraîchir, pense à ce que tu vas dire si ton père, mon mari nous att**** entrain de copuler ? Tu me diras les fruits de ta cogitation.
— Mais je n’arrive pas à réfléchir quand je suis en rut.
— Cela confirme bien, que la gent masculine a plus tendance à réfléchir avec ce qu’il y a dans le slip qu’avec ce qui est en dessus de la cravate quand elle a l’occasion de se payer du bon temps, me dit-elle en me prenant amoureusement la main, les hommes pensent rarement aux conséquences de leurs actes.
— Mais finalement on va faire comment ? J’aimerais au moins te rendre la gentillesse que tu as eu pour moi.
— C’est vrai que cela me ferait le plus grand bien. Je suis encore plus excitée que quand ton père était là. L’attrait de l’interdit probablement.
— Viens, on paye et on rentre, je suis impatient.
— Moi aussi, cela me démange drôlement dans le slip.
Me prenant la main, en regardant autour d’elle si on pouvait voir, elle me la plaque sur son entrejambe. Ouille, c’est drôlement humide. Je glisse mon doigt le long de la fente et je l’humidifie avant de le retirer. Ensuite, je le mets sous mon nez et j’hume avec délice son odeur intime.
— Tu n’es pas sérieux ! Minaude-t-elle constatant que son odeur intime ne me rebute pas, au contraire.
On appelle en catastrophe le serveur pour payer et rentrer. Je sens que cela va être chaud. En arrivant, je ne peux m’empêcher de lui demander si elle préfère ma chambre ou la sienne.
— Viens dans la mienne, mais tu seras sage ! Je vais d’abord prendre une douche.
— Non s’il te plaît, c’était tellement excitant ton odeur que je veux encore la respirer.
— Je veux, pas j’aimerais…
— C’est vrai.
— Alors va dans ta chambre et mets ton pyjama et viens de dire bonne nuit.
Je me rue vers la douche pour être sûr qu’elle ne va pas y aller.
— Alors petit égoïste, rien pour maman ? Me dit-elle en me voyant me diriger vers la pièce d’eau. On y va ensemble alors.
— Non, après.
— Après quoi ?
— Tu sais bien.
— Non, je ne sais pas, tu vas me souhaiter la bonne nuit et après aller au lit.
— Bon, on verra qui sera le premier en tenue de nuit, le second aura un gage, lui répondis-je en me précipitant dans ma chambre et en enfilant mon pyjama et en bondissant vers sa chambre
Ouf, j’avais gagné, elle n’avait ôté que ses mules. Je m’installais confortablement sur le lit de papa et maman en attendant qu’elle se mette en tenue pour la nuit.
Elle se déshabilla et finalement se glissa nue sur le lit.
— Pourquoi s’habiller pour finalement se déshabiller par la suite. Tu m’avais parlé de détendre ma nervosité, m’invitait-elle en se mettant à plat ventre.
— Tu veux un petit massage.
— Oui volontiers, pendant que je m’occupe de ce qui est dans ton pantalon. Ainsi une fois purgé, tu vas bien dormir.
— C’est pas de jeu, je t’avais promis de te détendre ta crispation sexuelle, mets-toi plutôt sur le dos, je vais aller explorer ce qui est entre tes jambes. Le goût m’avait l’air très plaisant.
— Je ne résiste plus, viens serre-toi.
Avant qu’elle ne change d’avis, je plongeais ma tête entre ses jambes et commençait à lécher frénétiquement sa vulve. Passant ma langue à droite à gauche, dépassant en haut et en bas, me rassasiant de son jus intime.
Son ventre était secoué de soubresauts de plus en plus violent, sa main sur ma tête me faisait comprendre le plaisir qu’elle éprouvait de mes baisers sur sa chatte. Son clito était sorti de sa gaine et jaillissait fièrement au sommet de sa balafre, deux coups de langue dessus, n’arrangèrent pas les choses pour ma belle mère. Dieu qu’elle était belle quand elle prenait son pied. J’engloutis sa fève entre mes lèvres et avec ma langue, je le léchais avec amour. Après s’être tendue comme un arc mongol, elle retomba comme une crêpe.
— C’est pas possible ! s’exclama-t-elle en me tirant contre en haut.
En aspirant mes lèvres imprégnées de sa cyprine, de sa main, elle me saisit la bite et me força à la mettre à hauteur de sa bouche.
— À mon tour
Elle se l’enfonça au fonds de la bouche en donnant au passage un petit bisou sur le trou qui est au sommet de mon mandrin, puis en essayant d’insérer sa langue. Je sentis une décharge électrique à ce contact j’ai cru que j’allais partir d’entrée, sans l’avoir pénétrée pour marquer ma possession.
— Non, je veux venir en toi.
— Tatata ! Laisse-moi diriger la manœuvre, je te promets que tu ne le regretteras pas. Je veux aussi te boire, avant que ton sexe soit contaminé par ma cyprine.
Sur ces bonnes paroles, je me laissais gagner par l’excitation et après deux ou trois visites de ses amygdales, je ne me retenais plus et lui envoyais ce qu’elle désirait, Quatre bonnes giclées de mon jus. Elle avala sans problème, j’étais fière comme Artaban, mais malgré ce que je lui avais envoyés, elle continuait à me lécher, plus doucement et rapidement je repris une bonne érection.
— Maintenant que le premier jus est tiré, on va pouvoir passer aux choses sérieuses me dit-elle en me gratifiant d’un baiser voluptueux. Mets-toi sur le dos, je vais te chevaucher. S’empalant sur ma bite, elle commença lentement à osciller d’en avant – en arrière, parfois elle ressortait presque ma bite et se couchait dessus, je sentais bien que c’était pour calmer un peu son clito.
Alors, une fois qu’elle se fut redressée, je mis ma main entre nos corps et pris entre l’index et le majeur, ce petit bout de viande. Je commençais à le secouer en rythme avec ses balancements. Elle se balançait plus vers l’avant, mais forçait vers l’arrière ce qui était très jouissif. Je sentais contre mon gland une petite excroissance qui au gré des déhanchements, palpitait de plus en plus fort.
Marie-Claude transpirait à grosses gouttes et ses phéromones m’inspiraient violemment, d’un souffle rauque, elle exprimait sa passion, elle comprimait ma queue comme si elle l’avait tenue à la main, mais en plus, avec une douceur que le traitement manuel ne peut reproduire. Ensemble, nous gravissions monts et merveilles, nous passions d’orgasmes en orgasmes et après une heure de débauche débridée, épuisés, nous nous sommes endormis sur le même lit.
Père, le lendemain de notre première nuit a téléphoné qu’il devait rester jusqu’à la fin de la semaine, pendant que Marie-Claude, couchée sur le lit téléphonait, je lui bouffais la chatte. C’est fou ce que le fait de lui téléphoner en se faisant manger le minou avait un effet sur sa production de cyprine,
un vrai fleuve à consommer de suite pour ne pas créer une inondation.
Père remarqua tout de suite le débit un peu haché de la conversation :
— Qu’est-ce qui se passe ?
— Je suis un peu essoufflée, on est allé faire un petit footing sur la plage ce matin avec Eric.
— Cela se passe bien avec lui, il t’obéit bien ?
— On ne peut mieux. Actuellement, il est en train de me nettoyer ma … vaisselle.
— Continuer comme cela, cela me fait plaisir que tout va bien et à bientôt.
Fermant la communication, Marie-Claude me lance un regard furibond, tu n’es pas possible, je n’arrivais plus à me concentrer sur la conversation. Tu es un salaud de me faire des choses pareilles quand je parle avec ton père, tu m’avais promis de te tenir en sa présence.
— Dis-moi que tu n’as pas horriblement apprécié, le goût du risque est un puissant aphrodisiaque.
Pendant le reste de la semaine, on n’a pas arrêté de forniquer que pour aller à la plage, manger sur le pouce et faire des achats.
Le retour à la maison de mes amours
Le dimanche matin, avant de rendre l’appartement, Marie-Claude m’a appelé, ils voulaient rentrer en train de nuit plutôt qu’avec l’avion, Eric voulait essayer ce mode de transport. Je n’avais pas besoin d’aller les attendre, ils rentreraient avec les transports publics.
J’étais un peu déçu et impatient de les accueillir et j’aurai bien aimé les revoir déjà dimanche soir, mais j’en profitais pour aller au club pour passer le temps et faire un petit bridge avec les amis.
C’est fou ce que j’ai eu de chance en jouant. Tout me réussissait, même les fautes de mon partenaire , je réussissais à les ratt****r. Enfin sur les unes heure du matin, je rentrais à la maison où m’attendait un SMS de ma chérie. « Je t’aime »
Rassuré, je m’endormis comme une masse.
Pendant ce temps-là, sans que je m’en doute le moins du monde, mon fils broutait avec application le minou de celle qui venait de m’envoyer le « Je t’aime », alors qu’elle-même dégustait du bâton de berger humain avec conviction.
Vers les cinq heures de l’après midi, je rentrais à la maison, heureux de les retrouver, ils avaient bonne mine, quoique l’air un peu fatigué. C’est normal, le confort des wagons-lits n’est pas mauvais, mais le bruit ininterrompu des rails ne rend pas le sommeil profond.
Ils se jetèrent sur moi en m’inondant de baisers que je leur rendais avec intérêt. J’étais heureux de les avoir à nouveau avec moi. Il me semblait que je leur avais manqués. Dieu que c’est bon de se sentir aimé aussi fort.
Les jours passaient tranquillement, ils avaient repris leurs habitudes de se tenir ensemble, collés l’un à l’autre et chaque fois, c’était le bonheur quand on se retrouvait avec Marie-Claude dans la chambre. Je vivais à la maison, un petit paradis sur terre, car les deux étaient aux petits soins pour moi. Je ne me doutais pas que dès que j’étais parti, l’amour reprenait ses droits entre eux et qu’ils assouvissaient leurs passions sans retenue, jusqu’au jour où …
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