Ma relation avec Maître Alain continua quelques temps ainsi.
J’étais devenu en quelques semaines une bonne lope.
Il me confiait quelque fois à Jamel qui m’utilisait comme vide couille. Son énorme engin circoncis ne me faisait plus peur, j’étais rodé.
Alain me conduisit un jour dans une foret . A poil, ne gardant que mes chaussures, un collier autour du cou, tenu en laisse il me fit parcourir de long en large les sentiers de ce lieu de rencontre gay.
Ayant ainsi appaté les promeneurs intéressés, il m’attacha à un arbre, les fesses tendues, la bouche à portée.
Ceux qui voulurent abuser de moi cette après midi là le purent sans mal.
Toutes les pénétrations anales se firent, et ce fut toujours le cas, avec protection.
Mon Maitre était dur quequefois, vicieux et imaginatif toujours, mais soucieux de ma santé.
Une autre fois je fut livré en gang bang dans un sauna, les yeux bandés.
Je ne compte plus le nombre de bites qu’il me fit sucer, ni celui de celles qui forcèrent mon arrière train.
En sortant de ces séances , je retrouvai le domicile conjugal éreinté. Ma femme prenait celà comme la fatigue saine d’une journée de travail qu’elle savait fatiguante.
Notre vie conjugale et sociale continuait son train train.
Au cours de certaines sorties en soirée, j’eus l’occasion de croiser certains « amis » à qui j’avais été confié.
Un regard appuyé, un sourire complice, et la discrétion réciproque jouait. maître Alain savait choisir mes relations.
Un soir que nous étions, ma femme et moi, au restaurant, Alain fit son apparition.
Il était accompagné d’un ami que je ne connaissais pas, sans doute peu enclin à partager nos jeux.
Dès le début de notre relation, je lui avais indiqué clairement que ma vie privée devait le rester. Il avait acquiescé.
Nous nous vimes au même instant et, à son sourire moqueur, je sus qu’il allait venir nous parler.
– tiens bonjour Bruno! Quelle heureuse surprise! comment allez vous ?
– bonjour Alain, bien, merci et vous même ?
– ca va . Vous ne me présentez pas votre charmante compagne ?
– si, bien sur , Hélène, je te présente Alain, un client. Alain, Hélène mon épouse.
– ravi de faire enfin, dit il en appuyant fortement sur enfin, votre connaissance belle Hélène. Vous êtes charmante, celà ne m’étonne pas que Bruno vous cache
– heureuse de faire votre connaissance Alain mais mon mari ne me cache pas, il aurait trop de mal.
Aprés quelques échanges courtois , Alain partit enfin rejoindre sa table. J’en étais soulagé. Bien qu’il fut étrange que ma femme et mon Maitre se rencontrent fortuitement , j’en avais éprouvé une sorte d’excitation profonde mêlée d’un malaise indéfinissable.
– tu ne m’avais jamais parlé de lui mon chéri!
– oh tu sais, c’est un client parmi tant d’autres , tentai je d’évacuer le sujet.
Nous n’en parlames plus jusqu’à la fin du repas mais lorsque je revins d’être allé payer l’addition, Alain était en grande conversation avec mon épouse.
– Chéri, Alain nous invite à boire un verre à la Rumba.
C’était le nom d’une boîte de nuit assez sélect et assez rétro.
– Ecoute, je suis un peu fatigué, ça aurait été avec plaisir
– ne sois pas rabat joie, pour une fois que l’on peut sortir …
– oui Bruno, renchérit Alain en me fixant, acceptez donc
– c’est d’accord m’entendis je dire
La personne qui accompagnait Alain nous fit ces adieux et nous nous retrouvames installes sur une banquette, buvant du champagne dans une semi obscurité.
Hélène était installée entre nous deux . De temps en temps Alain se penchait à son oreille, lui murmurait quelques mots qui la faisait sourire ou rire c’était celons.
La lumière fut plus vive, nul doute que je l’eus vue rougir.
Je ne pouvais ignorer l’attirance qu’il provoquait sur la gent féminine, j’espérai simplement qu’il n’irait pas plus loin que le simple flirt, à peine caché, auquel j’assistai.
Clasiquement, la serie de danses langoureuse arriva.
– bruno, permettez moi d’inviter votre épouse à danser.
Avant meme de connaitre ma réponse il avait tendu sa main en sa direction , elle s’était levée et je les avais regardé s’éloigner.
La piste étant peu fréquentée, j’eus une vue imprenable sur le couple qu’ils formaient.
Je dus m’avouer que cette vision dégageait un érotisme certain.
Je trouvai ma femme belle. Ses 165 centimètres supportaient aisément ses 60 kilos, entretenus par une pratique sportive journalière.
Ses cheveux blonds, mi longs , encadraient un joli visage mangés par 2 yeux d’un bleu océan. Elle portait avec élégance des vetements choisis avec gout.
Petit à petit, la distance entre les 2 danseurs, au début conforme à la bienséance , se réduisit.
Au deuxième morceau, une feuille de papier n’aurait pu trouver sa place entre eux deux.
Je voyais distinctement Alain lui parler.
Au début souriante et suivant le rythme imposé par la musique , elle commença à avoir quelques mouvements désordonnés .
Je la vis me lancer quelques regards inquiets, elle avait peur de ma réaction.
De réaction il n’y en eut pas.
J’étais subjugué par ce que je voyais . Jaloux oui, mais aussi excité par cette situation, incapable de réagir,
Je me doutais bien qu’Alain devait frotter son gros sexe en érection contre elle.
Hélène , de son coté, ne devait plus savoir non plus comment réagir partagée surement entre l’excitation et la crainte.
La main d’Alain devint plus ferme sur le bas de son dos et mon épouse, vaincue et consentante se laissa dompter.
Ils se séparèrent enfin et je pus voir Alain lui donner subrepticement un morceau de papier qu’elle tint caché dans sa main fermée.
A notre retour à la maison, nous fimes l’amour intensément, elle excitée par sa séance de dirty dancing, moi par la torridité du spectacle auquel j’avais assisté.
Je me doutai que la boite de Pandore avait été ouverte, je ne imaginai pas à quel point
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