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L’été sera chaud (5)…

L’été sera chaud (5)…



Lundi 8 juillet 2013 (Saint Thibault)

Ce matin, quand il s’éveille, il repense encore à cette nuit et ça lui donne la trique. Il se fait donc une rapide mise à jour, mais ça ne suffit pas à son goût pour rentrer sans risques dans le string. Donc il décide pour aller déjeuner de mettre son short. On verra plus tard.

Il entend du bruit dans la cuisine et s’y dirige. Il me trouve en nuisette relativement transparente. En tout cas assez pour qu’il se rende compte que je ne porte même pas de petite lingerie dessous. C’est carrément plus érotique que ma nudité totale d’hier soir et ça lui réveille son engin dans le short. Heureusement qu’il n’a pas mis le string!

Surtout qu’il y a aussi Ju qui arrive un peu après, lui en cache-sexe, et Lola juste derrière avec une nuisette elle aussi, mais un peu moins transparente. On ne voit pas suffisamment à travers, mais l’absence de marques en reliefs sur les côtés des hanches indique qu’elle ne porte certainement aucun sous-vêtement elle non plus. Mon neveu est encore plus content d’avoir mis ce short, il est assez ample pour masquer tant bien que mal son érection maintenant bien établie et qu’il cache un peu plus en s’asseyant à table.

Ce qu’il ne sait pas, c’est que quand il est sorti de sa chambre, Lola était déjà dans la notre avec son père en train de lui mettre un petit coup matinal vite fait en levrette, et lui a offert en échange une petite pipe, avec déglutition complète pour ne pas laisser de traces.

Après le brunch qui devient quasi-traditionnel, Thibault retourne vite dans sa chambre se branler pour faire redescendre la pression et enfin réussir à enfiler le string. Quand il revient, nous aussi sommes tous de nouveau dans cette tenue à nous dorer au soleil.

En fin d’après-midi, Ju annonce qu’il va faire quelques courses au centre commercial et Lola propose de venir l’aider. Ils vont donc se préparer. C’est assez sommaire puisque Ju enfile un short et un T-shirt et Lola juste une petite robe coton par-dessus son string.

A peine les deux partis, Je me lève de mon transat et plonge dans la piscine. Thibault me suit pour se rafraichir un peu, le corps et les idées.

Mon neveu a une surprise quand je ressors car les nœuds des cordons du string se sont relâchés et je l’ai au niveau des genoux. Je ne me gêne pas et l’enlève carrément, me trouvant totalement à poil, lui faisant face sans rien masquer de mon mont chauve:
– Bon allez, au point où on en est… Profite, c’est la Saint Thibault, justement!

Thibault ne sait pas comment réagir en ayant cette chatte toute lisse juste au-dessus de ses yeux, mais je ne change pas de position et lui propose:
– Dis donc, et si tu te mettais aussi à poil?
– Euh, je sais pas si c’est le bon choix…
– Pourquoi? Tu bandes encore et tu débordes du string, c’est ça?
– Oui…
– Oh, ça va, tu l’as déjà fait hier soir. Allez!

Vaincu, Thibault enlève son string avant de ressortir de l’eau et se rassoit dans le transat, la queue pointée vers le ciel. Le frottement en sortant du tissu a même décalotté son gland. Mais il ne cherche pas à masquer tout ça, il finit par trouver agréable de pouvoir bander en toute impunité devant sa tante.

Je me met sur le ventre sur un matelas par terre et lui demande:
– Tiens, rends-toi utile, passe-moi de l’huile solaire.

Il hésite, puis se dit que l’occasion est bonne de tripoter un peu une femme, sa tante qui est plus. Il se met donc à genoux à côté de moi et s’enduit les mains pour me masser d’abord au niveau des épaules. Puis il descend le long du dos et s’arrête sur le haut des fesses. Il change de position et se met à mes pieds pour s’occuper des chevilles et des jambes le long desquelles il remonte en hésitant à aller plus haut. Comme je choisis ce moment pour écarter un peu les jambes et lui offrir par ce mouvement une vue imprenable sur ma rosette et ma fente, son érection est maximale. Il prend son courage à deux mains et s’avance à cheval au-dessus de mes genoux pour enfin m’enduire les fesses.

Il s’enhardit à les malaxer de plus en plus franchement, ses doigts s’égarant progressivement dans le sillon entre les deux globes. Sa bite bat la mesure et commence à laisser perler des gouttes de pré-sperme qui tombent sur mes jambes. Un de ses doigts atteint enfin le petit œillet plissé quand je mets un terme à cette aventure en le remerciant. Il se rassoit tandis que je me redresse et me retourne:
– Je vois que c’est pas ça qui t’a calmé. Mais c’est normal, et tu sais quoi faire.

Fort de cette permission, il prend sans attendre sa bite en main et se met en mouvement, ne se privant pas de me regarder ouvertement. Il est surtout absorbé par mon abricot bien lisse que je lui expose généreusement tout en continuant la conversation:
– Tu sais, c’est naturel d’avoir des pulsions. Et le mieux c’est de les assumer. Moi aussi ça m’arrive, et aussi à ton oncle et à ta cousine. Et dans ce cas, nous ne nous privons pas. D’ailleurs, je vais t’accompagner, c’est assez excitant de te voir te branler à ma santé.

Et sans attendre sa réaction, j’envoie ma main vers ma chatte où je commence à m’activer. Ce qui précipite la jouissance de Thibault qui n’a que le temps de prendre son short pour éjaculer dedans afin de ne pas en mettre partout.

Je termine ma branlette et lui dis:
– Tu vois, ça va mieux maintenant, non?

Je le décide à rester comme ça pour attendre le retour des autres. Retour qui ne tarde pas, et en découvrant Thibault à poil, Ju le félicite:
– Eh bien dis donc, je pensais pas que tu te laisserais aller aussi vite. Bravo!

Et il se déshabille illico pour nous rejoindre, suivi dans ce mouvement par Lola. Thibault n’en mène pas large au début, puis il réussit à se décontracter en essayant de penser à autre chose. Tout va bien jusqu’après le diner, lorsqu’il se retrouve coincé entre sa tante et sa cousine sur le canapé pour écouter de la musique, tandis que son oncle est dans le fauteuil à côté.

Le contact de ces cuisses chaudes et la vue de ces deux paires de seins juste sous son nez lui procurent une érection qu’il essaie vainement de réprimer, puis de masquer. Au bout de peu de temps, sa bite décalottée se libère d’entre ses cuisses. Il s’en excuse:
– Euh, pardon, je sais pas ce qu’il m’arrive…
– Mais non, c’est pas grave, on a l’habitude. Ça arrive aussi à ton oncle.
– Ah, et même toi, Lola, ça te dérange pas?
– Non, c’est juste naturel de bander, pas vrai P’ap?

Et Ju commence à se tripoter un peu pour se mettre en forme tout en disant:
– Vous avez raison toutes les deux, je vais lui montrer, il se sentira moins seul!

Il finit pas se retrouver en pleine érection, et se permet encore quelques va-et-vient:
– Voilà, tu vois, et une bonne branlette c’est bon aussi de temps en temps. Sauf que là, je vais la garder en état pour tout à l’heure dans la chambre. Tu viens, Caro?

Et il se lève, la bite bien raide au-dessus de l’horizontale, suivi presque immédiatement par moi. Thibault reste un moment assis en repensant aux dimensions de la queue de son oncle. C’est justement Lola qui le sort de sa rêverie en lui faisant la remarque:
– T’as vu le sexe de mon père, comme il est vigoureux?
– Euh, oui, c’est vrai, à côté du mien…
– Oh, le tien est pas mal non plus, t’as pas à être complexé. Bon, bonne nuit, j’y vais.

Et comme elle se lève, il la suit et ce n’est pas de se trouver tout le long du trajet juste derrière le petit cul tout nu de sa cousine qui lui calme son érection.

Et une fois dans sa chambre, Thibault a de nouveau du mal à s’endormir. Il pense trop à ce qu’il vu hier soir et il doit se faire v******e pour ne pas retourner nous espionner.

Au bout d’une demi-heure, il ne peut plus se retenir tellement l’envie de nous mater le taraude. Il en a une érection qui lui fait mal tellement elle est intense. Et donc fatalement, il refait le même chemin que la veille, sauf que cette fois il ne prend même pas la peine d’enfiler un caleçon. Et comme la veille, il constate que nos rideaux sont entr’ouverts et que de la lumière passe à l’extérieur.

Mais il y a une légère différence, la lumière semble plus forte. Il s’en réjouit car dans ces conditions il ne profitera que mieux du spectacle. D’autant plus que la pénombre derrière la maison le cache on ne peut mieux.

Il s’approche donc doucement et regarde par la fente entre le chambranle et le rideau de droite. Et là, ce qu’il voit le scie encore plus qu’hier: Lola, nue comme un ver, à genoux entre les jambes de son père, tout aussi nu, est occupée à lui tailler une pipe d’enfer. Elle pompe sa bite et lui malaxe les couilles tout en engloutissant son gland dans sa bouche. Lui, tenant la tête de sa fille entre les mains, la pousse le plus loin possible sur sa queue. Elle en bave et doit régulièrement se dégager pour ratt****r son souffle, puis elle y retourne avec enthousiasme. Debout à côté d’eux, je me branle en les regardant.

Après un moment, Ju se retire de la bouche de notre fille, la retourne comme un fétu de paille, lui écarte les jambes et l’embroche d’un seul coup. Lola pousse un long soupir de satisfaction et commence à bouger son bassin. Ju l’accompagne dans ses mouvements et Thibault assiste à une magnifique partie de jambes en l’air qui est d’autant plus excitante qu’elle se déroule entre père et fille.

Comme pour en rajouter au spectacle, je viens me positionner sur le lit devant la tête de ma fille, jambes grandes ouvertes et Lola plonge sur mon sexe comme un chat sur une souris. Elle m’offre un cunnilingus qui me fait tordre de plaisir sous ses coups de langue.

Toutes les positions imaginables y passent et nous semblons insatiables. Pour mon neveu, ce n’est clairement pas la première fois que nous baisons ensemble car nous passons d’une position à l’autre, comme dans un ballet bien réglé et nous lui offrons (sans le savoir?) une bien meilleure séquence que celles qu’il aurait pu visionner sur des sites pornos. Inutile de préciser qu’il se caresse copieusement la bite, essayant de ne pas y aller trop fort pour faire durer le plaisir.

Pour finir, Lola, à califourchon sur Ju, dos à lui, se fait pénétrer par son père jusqu’au fond de son cul pendant qu’il lui pétrit sa magnifique poitrine. Elle se laisse ensuite basculer vers l’arrière, pose ses mains de chaque côté du torse de Ju et pousse sur ses pieds pour soulever son bassin. Son corps est complètement arqué et ses seins pointent vers le plafond. Je viens devant elle lui caresser le clito pendant qu’elle descend jusqu’à être emboitée à fond sur la queue de son père. Elle exprime son plaisir:
– Oh, oui, … vas-y, … encule-moi fort, … fais-moi jouir, … je veux sentir ton sperme gicler dans mon cul, … donne-moi tout … Ouiiiii …

Ju lui laboure le ventre avec une force et une cadence inouïes jusqu’à ce que, ensemble et en rugissant de plaisir, ils atteignent l’orgasme. Je les accompagne en me branlant avec un gros gode vibrant.

A aucun moment Ju ne s’est retiré du corps de Lola. Il a donc tout éjaculé dans son fondement et ça n’a pas l’air de les émouvoir outre mesure, au contraire.

Nous sommes maintenant calmés et nous nous embrassons tous trois tendrement. Thibault estime qu’il est grand temps de nous laisser une dernière parcelle d’intimité pour savourer cet amour familial assez particulier auquel il vient d’assister.

Il se replie donc dans la chambre contigüe puis file dans sa chambre où, faute de mieux, il se soulage par une longue séance de masturbation. Et enfin il s’endort car toutes ces émotions l’ont épuisé. Ça a vraiment été sa fête!

A suivre…

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