Je me suis aperçue bien des années après mon mariage que mon mari Karim était bisexuel. J’étais bien avec lui, il savait bien baiser, je prenais mon plaisir comme jamais avant. C’était même la débauche à deux. Souvent les week-ends, nous ne vivions que totalement nus chez nous pour pouvoir être excités et prêts à nous faire plein de petits câlins ou de grosses baises.
J’aimais ces jours là où sous prétexte de l’embrasser sur la bouche, je mordais ses oreilles, ou il me mettait la main sur la chatte et le cul à la fois. Il entrait un doigt dans le puits, et un autre dans le cul. J’aime bien ce genre de familiarité. Je rendais la pareille en le suçant et lui mettant moi aussi un doigt dans son anus. Ces jours là, nous passions une bonne partie de la journée au lit. Il commençait toujours par me lécher la chatte. Sa langue trouvait toujours de menus endroits que moi même je ne connaissais pas du tout, même si je me branle souvent.
Karim entrait dans mon puits une langue qui savait où trouver l’endroit pour me faire jouir. Ses doigts étaient soit dans mon cul, soit sur le clitoris.
C’est d’ailleurs lui qui m’avait dépucelée, alors que je ne savais rien du sexe. Je devais avoir les dispositions voulues puisque dès la première fois qu’il m’a caressé la chatte, il m’a fait jouir. A partir de ce moment, j’ai voulu sentir l’orgasme quand j’ai essayé pour la première fois de me faire du bien. J’ai vite trouvé l’endroit et le rythme pour arriver à jouir seule. Depuis, je le fait souvent, même s’il est là : il aime me voir faire. Ensuite, peut être 15 jours avant le mariage, nous avons fait l’amour. La première douleur passée, j’ai joui par la chatte encore une fois.
Quelques jours plus tard, il a voulu me sodomiser. Quelle merveille que de jouir par le cul. Je ne savais pas ce que c’était, maintenant je le demande régulièrement. Il a une façon à lui bien particulière : Il me met à quatre pattes sur le drap. Avec mes mains, j’écarte les fesses le plus possible. Il me masturbe la chatte, prend de ma mouille en quantité, me la pose sur l’entrée du rectum. Il entre deux doigts, jamais plus, il les fait aller et venir : quand ils coulissent bien, il les remplace par son gland. C’est là que commence réellement mon plaisir anal. Je sens bien l’anus s’ouvrir, son gland me pénétrer et le reste de sa queue qui envahi mes boyaux. Ensuite il s’arrête au fond, entre un doigt dans le con avant d’en mettre un autre lentement. Ce n’est que quand il commence à m’enculer réellement qu’il me doigte. Il me demande toujours de me masturber en même temps. Je ne sais jamais si c’est lui ou moi qui me donne l’orgasme
Quand nous baisons, nous nous disons les fantasmes : moi, c’est d’être avec deux hommes qui honorent à la fois ma fleur et mon petit trou. Lui, c’est d’avoir un amant qui le sucerait et qu’il enculerait. Je lui oui, à condition que je me serve de cet amant pour me faire mettre devant lui. Il refusait même que je sois partagée pendant une double pénétration que j’attendais.
Un week-end, quand nous étions en tenue du « dimanche » on sonne à la porte. Mon mari, malgré sa nudité, va ouvrir : il devait connaître le visiteur.
Ils se reconnaissaient depuis une semaine à peu près :
-Chérie, je te présente Rachid, un copain de classe avec qui nous nous sommes souvent branlés. Je t’en ai parlé déjà.
C’est vrai il m’en a parlé avec regret.
-Je lui ai demandé de venir aujourd’hui.
J’étais blottie dans un coin, un bras sur les seins et une main sur mon sexe. Après tout, je ne connais pas cet homme même si c’est un copain de mon époux.
– Je lui ai demandé de venir pour me sucer, il aime ça, je pourrais l’enculer après. Tu pourrais te branler en nous regardant.
– Je préférerais être sucée.
-Comme tu veux. Nous allons à la chambre ou sur le divan.
– Sur le divan, je préfère.
– Bien ma chérie.
Ce que je remarque surtout c’est qu’il bande déjà, alors que son copain est toujours habillé. C’est mon mari qui se charge de mettre nu son amant. Là, je vois bien sa bite, longue et grosse. Dommage qu’elle aille dans un cul d’homme alors que j’aimerais, moi, l’avoir pour mes fesses. Karim est couché sur le dos, Rachid est assis entre les jambes de mon mari : il ne perd pas de temps en fariboles, il s’attaque directement à la bite de Karim. Je vois bien la main qui enserre la bite. Elle descend très lentement vers les couilles. Le prépuce est tiré au maximum, moi qui fais ça, je n’arrive jamais à un tel résultat. Quand la main remonte aussi lentement, je vois que le gland est à nouveau bien à l’abri. C’est à ce moment que Rachid passe une main entre les jambes de mon époux pour chercher l’endroit où souvent je mets un doigt : dans le cul de mon mari.
Karim ferme les yeux pour bien profiter de la masturbation. Moi je mouille : c’est excitant de vois un homme en branler un autre, surtout quand c’est le sien. Je m’assois sur le fauteuil très près de Karim, j’écarte les jambes pour me branler. Je regarde la pine de Karim caressée par un autre que moi quand la donne change, Rachid abandonne la bite de Karim pour le prendre dans la bouche : si j’ai vu comment faisait la bite quand je le branlais, maintenant je peux voir l’effet d’une bouche sur la queue. Je vois une langue entourer le gland, le lécher un bon moment, la bite est tenue avec une main à la base, comme je fais, le reste est prisonnier de la bouche un bon moment. Rachid a commencé les vas et viens lentement : il accélère maintenant. Il sait fort bien faire une fellation, aussi bien, sinon mieux que moi.
Je me doigte maintenant, après avoir joui une première fois en mettant mes mains contre ma chatte, comme pour retenir mon plaisir. Mes premières caresses ne me suffisent pas, c’est pour ça que je me trouve avec deux doigts dans le con. Sans le faire exprès, mes doigts prennent la même vitesse que la bouche de Rachid. Sans doute satisfait de la fellation, Karim, enfin, prend un de mes seins sans sa main : là il sait bien me faire du bien. Il caresse d’abord le dessous de ma gorge pour ensuite me pincer légèrement le téton. Sans trop me faire mal, ensuite il caresse le tour, toute mon aréole est flattée lentement. J’adore. Je jouis plus vite que Karim, pourtant j’en ai encore envie.
Karim m’invite à poser ma chatte sur sa bouche. J’adore quand il me propose un cunnilingus, mais dans ces conditions exceptionnelles, c’est encore plus tentant. Je suis face à Rachid qui a une vue directe sur mes seins, ma chatte. Je profite des mains qui branlent mon mari. Je sens enfin la langue de Karim sur mon sexe. C’est moi seule qui décide de l’endroit où je désire sa langue ; Je la fait mettre d’abord sur le clitoris puis je saute mon puits pour qu’elle aille sur le rectum pour ensuite sentir la langue dans mon cul. Pour la fin, je réserve le meilleur : Karim remue sa langue dans mon con pour trouver, comme souvent, mes endroits sensibles. La vache, qu’il sait s’y prendre bien !
Je regarde la bouche de Rachid qui continue à sucer la bite de mon mari. Je suis bien placée pour voir quand il jouit dans cette bouche ; Il faut croire qu’il en avait réellement besoin : son jet de sperme est puissant puisque Rachid n’arrive pas à tout garder en bouche. Une coulée de sperme coule le long des commissures. Je jouis juste après Karim : je me relève pour les regarder.
Rachid se couche sur le ventre : j’ai juste aperçu sa queue un instant. Il est pas mal monté : j’aurais bien aimé qu’elle soit dans mon cul en double pénétration. Karim est vite à ses cotés, il caresse les fesses lentement comme pour moi. Il passe un doigt entre les fesses, il le descend lentement vers l’anus de Rachid qui réagit en relevant son arrière train : il est prêt pour la sodomie.
Mon mari ouvre bien les fesses de Rachid, crache largement sur l’anus ouvert. Je suis obligée de me masturber encore en le voyant faire. Je regarde attentivement la queue entrer dans le cul de son amant qui force pour se mettre en levrette. Je peux voir enfin comme il faut la bite de Rachid, joli morceau que je veux. Les allers et venues de Karim font relever la tête à la bite de Rachid. J’aimerais qu’il me la mette en se faisant enculer. Karim m’a interdit de jouir de cet homme, alors j’en prends mon parti, je me couche à coté des deux hommes, je me montre bien pour être vue, et je me doigte tout le temps que dure cette vraie sodomie. Je ne sais pas combien de fois j’ai joui.
J’arrête un instant, n’en pouvant plus. Je passe derrière mon mari, je caresse ses fesses un instant, je les écarte puis passe ma langue à la recherche de son cul.
Je sens et, il me semble, j’entends le jet de sperme de Rachid qui jouit. Karim ne tarde pas : son jet est puissant puisque le sperme sort du cul de Rachid.
Nous restons assis, pour une fois entre des deux hommes, complètement fatigués. Je m’amuse à les faire bander : le plus vaillant est Rachid. Tant pis pour les consignes de mon mari, je me baisse pour sucer la bite qui me tente. Karim ne dit rien, il me caresse le dos pendant que je suce un bon moment avant d’avoir la récompense ; une bonne rasade de sperme dans la bouche. Il est différent de celui de mon mari.
Il semblerait que la semaine prochaine Rachid revient. J’espère toujours me faire baiser par les deux à la fois.
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