Un rendez-vous est pris en milieu d’après-midi un vendredi. Fait étrange, elle veut mon adresse mais ne donne aucun autre moyen de la contacter que son adresse mail. C’est elle qui viendra me chercher chez moi. A l’heure du rdv, j’attends…encore… personne ne vient. Elle m’envoie un mail dans la soirée pour me dire que je ne suis qu’un petit branleur et que de toute façon j’allais chialer. Soit mon éducation commence, soit j’ai perdu toute chance de vivre mon fantasme. Attendons pour voir. Le soir même vers 01h, on sonne à ma porte, qui vient m’emmerder à cette heure ? J’ouvre et je vois un mec qui ne dit rien et me tend une cagoule. Bon ça fait flipper cette rencontre, j’hésite, mais voyant l’impatience du mec, je me lance, j’att**** la cagoule et je la mets sur ma tête. Je n’ai pas le temps de me changer, de prendre les clés ni même de fermer ma porte. Le gars m’embarque, je ne vois plus rien et j’ai même du mal à respirer. Je suis pieds nus, en short/débardeur, en train de marcher dans la rue, poussé par un mec que je ne connais pas à 1h du mat’. On monte rapidement dans une voiture. Je suis à l’arrière et je sens une présence à côté de moi. Quelques minutes plus tard, on s’arrête et je suis de nouveau traîné dans ce qui semble être une maison. Je passe la porte et on m’enlève la cagoule. C’est une femme qui est devant moi, mais ce n’est pas du tout la même ! Celle-ci est grande et avec ces talons, elle le paraît encore plus. Elle est rousse avec de longs cheveux, attachés très strict. Elle a un visage rond, blanc crémeux, une paire de lunette qui souligne un regard dur mais parfaitement maquillé, des joues rebondies surmontent une bouche pulpeuse superbement mise en valeur par un rouge à lèvre éclatant. Elle est en tailleur, jupe courte, bas résilles. On peut lui donner entre 25 et 30 ans. Ses vêtements laissent imaginer un corps généreux en chair comme je les aime.
Elle lance les hostilités : « A genoux devant ta reine, chien ! ». Un coup de cravache retentit sur ma cuisse parce que je ne m’exécute pas assez vite. Elle n’y va pas avec le dos de la cuillère, ça fait mal ! Elle entre dans une pièce et exige que je vienne à elle à 4 pattes. J’avance vite ce coup-ci. L’homme ferme la porte d’entrée derrière moi, tout en restant à l’extérieur. Je m’avance près d’elle, elle est assise dans un fauteuil et met ses pieds chaussés de talons sur mon dos. On reste comme ça pendant 10 ou 15 bonnes minutes, elle regarde du porno à la télé. Elle change de position de temps en temps et me file au passage quelques coups de talons dans les cotes… pas vraiment très bandante cette situation, dans quoi je me suis encore fourré ! Impossible de partir en plus ! Finalement elle se lève et me dit d’avancer dans une autre pièce à coup de pied dans les burnes. Là, je crois que j’ai changé d’univers on est dans les cellules d’un donjon avec tous les appareils de tortures imaginables. Elle me dit « champignon » … « quoi ? »…. bam un coup de pied dans les côtes « comment tu t’adresses à ta reine ? » … « pardon ma reine »…. « champignon est le mot de passe si tu veux qu’on arrête »… « d’accord ma reine ».
Elle ouvre une petite cage et me dit d’y entrer. Elle ferme la porte et remonte sa jupe courte. « Lèche ma chatte ! ». Je suis à 4 pattes enfermés dans une cage mais je veux lui montrer de quoi je suis capable. Je mets mon visage contre la grille, je sors ma langue et elle se tord pour se rapprocher. Sa moule est humide, elle sent si bon le sexe, je n’ai qu’une envie c’est de sortir de cette cage et la baiser sur un de ces instruments. Pour le moment, je lui bouffe la chatte, et je commence à bander. Et alors qu’elle agite de plus en plus fort son con contre ma langue, alors qu’elle commence à émettre des petits gémissements de plaisir, elle se relève et me pisse à la gueule ! « Vilain petit chien Ticky, il ne doit pas agiter sa queue sans ma permission, vilain ! » J’étais en train de me masturber. Après cette douche, elle me sort de la cage et m’attache à ce grand X accroché au mur. Elle soulève mon tee shirt et me pince les tétons, me donne des coups de cravache, me crache à la figure… « oh oui ma reine, continuez, par pitié ». Je ne pouvais plus me branler, et je bander comme un âne, je croyais que mon short allait se déchirer, surtout que par moment elle se frottait ou m’att****r vigoureusement les couilles. Ce que j’aurais voulu que la situation soit inversée pour lui planter mon dard dans le cul. Je ne sais pas combien de temps on est resté ainsi, moi accroché, et elle à me martyriser mais bon sang, qu’est-ce que c’était bon !. Et puis voilà qu’une jeune femme d’origine asiatique entre sans dire un mot. Elle est toute mince, frêle, fragile mais aussi presque complètement nue. Elle n’avait que des bas résilles et des très très haut talons Sans un mot, sans un regard, elle baisse mon short, se penche devant moi et s’installe sur ma queue. Ce n’est pas moi qui la baisait, c’est elle qui se plantait sur un god vivant. Je bandais déjà tellement que j’étais rapidement au bord de l’explosion. Elle a dû sentir les soubresauts de ma bite parce qu’elle sait retourner pour me sucer. Elle serra très fortement mes couilles avec sa main et j’ai déchargé là, au fond de sa gorge. Ma maitresse me prend violemment le visage et m’ordonne d’ouvrir la bouche. La jeune femme asiatique remonte vers mon visage et m’embrasse à pleine bouche pour y recracher mon sperme. 30 secondes plus tard, le mec qui était resté dehors entre, me détache, me remet la capuche et me ramène… à 3km de chez moi. Je marche pendant une heure. Il ne me reste que mon tee shirt sur le dos, plus de short, je pue la pisse, j’ai mal partout, j’ai le goût de mon sperme dans la bouche. Heureusement, il est encore très tôt et il n’y a presque personne sur le chemin. Je me retrouve à me cacher derrière des voitures, des poubelles, à vérifier qu’il n’y a personne dans la rue avant de l’emprunter. J’arrive chez moi complètement déconcerté, la porte était grande ouverte, et je me rends compte qu’il me manque différents appareils hifi et un ordinateur … Super nuit me suis-je dit en mode ironique ! mais bordel, qu’est-ce que j’ai aimé ça !
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