A cette époque, j’étais étudiant en 1er année d’Architecture à Grenoble, j’avais 19 ans (51 aujourd’hui). Je venais de quitter le domicile confortable de chez mes parents, une grande maison dans le Var, pour m’installer dans une chambre universitaire.
Quelques jours après la rentrée, je suis abordé par une jeune fille, qui logeait au même étage que moi, dont j’avais remarqué ses regards à mon égard qui me laissaient penser que je ne lui étais pas indifférent. Elle avait un corps magnifique, très bien proportionné, elle devait mesurer un petit 1,60m, brune, les cheveux mi-longs, avec des yeux noisettes. Je m’étais dis que malgré un visage pas très harmonieux, je pourrai tenter quelques choses avec elles si le « gibier Grenoblois » s’avérait difficile à att****r! Mais c’est elle qui s’est lancer.
Après quelques banalités sur nos études respectives, nos prénoms et nos âges…..elle me propose de venir partager un plat de pâtes dans sa chambre. Ne voulant pas presser les choses, je prétexte une soirée travail avec un collègue de promo, et lui dit que ce n’est que partie remise. Elle se contente de ma réponse avec un grand sourire et me laisse devant ma chambre. Je la regarde s’éloigner en admirant son magnifique petit cul bien serré dans son jean’s. elle s’arrête à 3 portes de la mienne et entre dans sa chambre.
Il est 1h du matin quand je rentre, je gare ma voiture devant mon immeuble, et monte les escaliers jusqu’au 1er étage, niveau ou j’habite. Je glisse la clé dans la serrure et au moment d’entrée dans ma piaule, une porte s’ouvre. c’est véro, ma voisine qui sort et qui me dit:
– « il me semblait bien que c’était toi qui arrivait, si tu n’es pas trop fatigué, j’ai la télé dans la chambre, et un bon film vient de commencer, demain c’est samedi donc si ça te dit, tu es le bienvenu. »
C’est vrai que je n’étais pas très fatigué, que en plus la « pêche » de la soirée a été prometteuse, mais pas concluante. Je décide donc d’accélérer mon approche avec Véro.
– « Ok, je prends vite une douche et j’arrive, je prendrai le film en route. »
Je passe en vitesse sous la douche, enfile un caleçon et un T-shirt et m’empresse de venir taper délicatement à sa porte pour ne par réveiller tout l’étage…
La porte s’ouvre, Véro m’accueille avec un grand sourire, me laisse entrer et referme la porte derrière elle. je me retourne vers elle et lui dit:
– « Désolé pour ma tenue, mais je suis en mode décontrac. »
– » Pas de problème, moi aussi regarde »
Effectivement, je n’avais même pas pris le temps de voir quelle était couverte d’un simple shorty bleu ciel et d’un débardeur blanc un peu ample, mais qui laissait parfaitement deviner une poitrine de belle taille et d’une tenue parfaite. Ces tétons marquait légèrement le tissu et l’idée de jouer avec me montait immédiatement au cerveau.
Les lits des chambres étant des lits en 90, elle se penche pour att****r et replacer ses oreillers contre le mur pour nous aménager un genre de canapé de fortune. Dans cette position son shorty entrait dans ces fesses et se transformait quasiment en string, dégageant entièrement ces jambes et ses cuisses magnifiques. S’en était trop.
– « Dis moi Véro, si tu veux voir le film, tu ne devrais pas rester dans cette position »
Elle me regarde par dessus son épaule avec un grand sourire, se relève et me lance:
– » On s’en fou du film, non? »
Et, fait un pas vers moi. Nous sommes si près que ses tétons bien plus apparent qu’au début effleure mon T-shirt. Son sourire est magnifique et se lèvre entrouverte me donne envie de ne plus perdre de temps. Je pose une main sur sa joue, mes doigts caressants délicatement sa nuque et l’autre sur sa taille. Elle passe une main derrière ma nuque et d’une légère pression me fait incliner la tête. Je la sens de mettre sur la pointe des pieds, se serrer contre moi et là, elle me roule une « pelle » d’anthologie. Un baiser gourmand, délicat, et profond, que du bonheur….mes mains descendent directement vers ses fesses, elles sont encore plus ferme que je l’imaginais. Je la soulève par les fesses, elle enroule ses jambes autour de ma taille et sans que nos bouches se séparent, je m’assoie sur le lit. Elle est assise sur mes cuisses, j’att**** son débardeur et le remonte pour le lui retirer nous obligeant à nous décoller un instant.
Je profite de cet instant pour découvrir ces seins, deux magnifiques pommes surmontées de deux mamelons à peine plus sombre que sa peau douce et blanche. ils ne sont pas énormes, mais de très belle taille (bonnet C) et d’une tenue parfaite. D’une main je commence à les caresser, mes doigts font rouler les tétons déjà dur d’excitation.
– « ils te plaisent? » me dit-elle en se levant
-« Ils sont magnifique, parfait, tu as un corps magnifique », en me levant également, tout en retirant mon T-shirt et qu’elle retire son shorty.
Elle est totalement nue devant moi, sa petite toison brune contraste avec la couleur blanche de sa peau. elle est à croquer. Elle approche ses mains, att**** l’élastique de mon caleçon pour finir de me déshabiller.
-« Oh mon dieu, dit-elle en se saisissant de mon membre tendu, je crois que ça ne va pas être possible, il est énorme. »
Je la sens réellement inquiète, c’est la première fois que je la vois sans son magnifique sourire.
-« Mon mec précédent, enfin mon premier mec faisait à peine la moitié ».
– « Ne t’inquiète pas je serai doux, délicat, et à ton écoute. Ça n’a jamais posé de problème, ça ne va pas commencer avec toi. »
Je tentais de la rassurer même si je lui mentais un peu car à mes débuts je reconnais avoir manqué de délicatesse…
-« Nous irons à ton rythme, lentement et tu verras que tu apprécieras et que tu en redemanderas » lui dis-je en venant poser mes lèvres sur les siennes qui reste fermées d’inquiétudes.
je lui prend la main, m’allonge sur le petit lit étroit et l’invite à venir me rejoindre. Elle s’installe sans quitter des yeux mon sexe moins tendu qu’auparavant mais toujours imposant. Elle vient se lover contre moi, vient poser un doux baiser sur mes lèvres et me dit:
-« Il faut que je te dise, mon mec précédent, qui a été le premier et le seul jusqu’à présent, était mon voisin à Valence, mais surtout mon ami d’enfance. Et ensemble nous avons eu nos premiers rapports, très moyens pour tout dire. Et surtout pas très imaginatifs, alors quand je t’ai vu le jour de ton arrivée, je me suis dit que je venais de croiser celui qui allait me faire découvrir la vie. Mais là, depuis quelques minutes, j’ai des doutes sur ma capacité à tout essayer et découvrir avec toi »
– « Ne t’inquiètes pas, je saurai t’écouter et te faire découvrir tout ce que tu veux quand tu le voudra »
Son visage s’illumine un peu avec un petit sourire, j’approche mes lèvres des siennes et nos bouches, nos langues retrouvent mouvement de voltige comme si rien n’avait interrompu notre premier baiser. Mes mains redeviennent baladeuses tout comme les siennes. j’embrasse ses lèvres, ses joues, son cou, je descends lentement jusqu’à venir me poser sur un de ses tétons que je caresse de la langue. Véro lâche un petit gémissement qui me fait comprendre qu’elle commence à se détendre.
Je m’attarde longuement sur ses seins, passant d’un à l’autre tandis que ma main les pétries délicatement. Ses mains me caressent le dos, les épaules et la tête, ses doigts passent dans mes cheveux et ses gémissement s’intensifient. Je glisse lentement vers son trésor, mais sans précipitation m’arrêtant longuement pour couvrir son petit ventre plat de baisers passionnés. Je descends encore et atteint enfin son île aux trésors, je frotte délicatement mon visage sur sa toison brune et entretenue, l’odeur est douce, l’environnement est chaud et humide. Je soulève lentement ses cuisses tout en les écartant jusqu’a ramener ses genoux de part et d’autre de ses seins. je me trouve face à son sexe entrouvert et déjà débordant de plaisir. Je plonge à la rencontre de son fruit déjà trop mûr, ma bouche vient se poser sur son sexe et de ma langue je la lèche en partant de son anus et remontant lentement mais avec un légère pression jusqu’à son clitoris gonflé sur lequel je m’attarde quelque instant. Ses mains fichées dans mes cheveux se crispent, elle écrase mon visage sur son sexe, ses jambes viennent me serrer la tête comme dans un délicieux étau. Je ne bouge plus, j’aspire et titille seulement son bouton d’amour.
Et c’est après moins d’une minute à m’occuper de son clitoris qu’elle est prise de spasme, son corps s’agite, je la maintient en place tant bien que mal, et elle atteint un orgasme puissant et bruyant qui dure quelques secondes,
mais qui à l’époque m’a sembler une éternité. Puis elle relâche son étreinte me permettant de remonter pour l’embrasser et partager avec elle le gout de son plaisir si puissant.
Après un long et délicieux baiser, elle s’est lové contre moi, m’avouant que c’était la première fois qu’elle « subissait » un cunnilingus et m’a fait promettre de recommencer. j’ai bien évidement accepté en la serrant contre moi. Sa jouissance a due être si puissante quelle s’est endormie dans mes bras presque instantanément.
Je me suis dit à ce moment là que ce n’était pas mon jour, mais que ça valait le coup d’attendre. Je venais de tomber sur une formule 1 avec qui je venais de commencer le rodage……
Et contrairement à ce que je pensais la nuit n’était pas terminée…
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