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La nana de mon pote

La nana de mon pote



Il était presque 2 heures du matin quand mon téléphone a sonné. J’étais sur le point de me coucher. En voyant le prénom « Mathieu » sur mon écran, je me suis demandé ce qui se passait. Mathieu et Virginie, sa nouvelle copine, étaient repartis de chez moi moins d’une heure avant. Nous avions passé la soirée à discuter en écoutant de la musique et en picolant.
J’ai répondu et Mathieu m’a dit aussitôt :
« Tu es encore debout ? »
« Ouais. J’ai bu un dernier verre et je viens de sortir de la douche. Qu’est-ce qui t’arrive ? »
Il a soupiré dans son combiné. Le problème de Mathieu, c’est qu’il ne tenait pas très bien l’alcool. En repartant de chez moi, il titubait. Virginie avait dû l’aider à descendre l’escalier.
Il m’a dit :
« Tu es tout seul ? »
« Evidemment que je suis tout seul. Tu t’imagines quoi ? Que je suis allé chercher une pute après votre départ ? »
« Non, pas une pute. Je parle de Virginie. »
« Je ne comprends pas. »
Il a de nouveau soupiré, puis dit :
« Elle va sonner chez toi sans tarder. »
« Virginie ? »
« Ouais. »
Avant qu’il m’en dise plus, j’ai supposé qu’ils avaient oublié quelque chose chez moi. Un paquet de tabac ou un téléphone. Je me suis même mis à regarder autour de moi, sur la table basse du salon, que j’avais débarrassée, puis autour, dans le canapé, sur les fauteuils et sur le sol. Je n’ai rien vu.
Mathieu a ajouté :
« On s’est pris la tête en rentrant. »
J’ai fait :
« Ah, OK. Mais pourquoi elle vient chez moi ? »
« Parce qu’on s’est pris la tête sur toi. »
« Comment ça ? »
Nouveau soupir. Il y avait de la musique en sourdine derrière lui. Il tirait sur une cigarette et j’entendais les pas paresseux qu’il faisait sur le plancher du vieil appartement où il vivait. Les effets de l’alcool dévoraient la moitié de ses paroles.
Il m’a dit :
« Elle n’a pas arrêté de parler de toi sur le chemin du retour, comme quoi tu étais cool et super sympa, ce genre de trucs. Et une fois chez moi, quand j’ai voulu la toucher, elle m’a dit qu’elle n’avait pas envie, alors je lui ai dit de se barrer d’ici, mais elle m’a répondu qu’elle n’avait nulle part où aller, alors je lui ai dit qu’elle n’avait qu’à aller dormir chez toi, cette salope. Et puis elle s’est barrée. »
L’instant suivant, on a sonné à mon interphone.
Mathieu a dû entendre le bruit, car il m’a dit comme ça :
« Je vous laisse. »
Et il a raccroché.
J’ai reposé mon téléphone et je suis allé ouvrir.
C’était effectivement Virginie.

Elle n’était pas très grande. Elle avait de beaux yeux bleus et des petits seins. C’est le genre de chose qu’on remarque quand on a l’occasion de passer une soirée entière avec un pote : le volume des seins de sa nouvelle copine, ainsi que le dessin de son cul à travers son pantalon. Les hommes ont les idées mal placées, mais je ne vous apprends rien.

J’avais la trentaine, à l’époque. Comme Mathieu. Virginie était plus jeune. Je lui avais donné 22 ou 24 ans.
Elle est entrée et j’ai refermé la porte.
Elle m’a dit :
« Je suis désolée de te déranger. »
« Tu ne me déranges pas. Qu’est-ce qui se passe ? »
Elle a baissé les yeux et répondu :
« Mathieu m’a foutu dehors et je ne sais pas où dormir. »
Elle était brune, les cheveux mi-longs et raides. Elle portait un t-shirt blanc et une petite laine grise. Puis ce jean qu’elle avait sans doute déniché dans une friperie, ou qu’elle portait depuis le lycée.
J’ai décidé de ne pas lui dire que Mathieu venait de m’appeler.
« Tu veux un verre ? »
Elle a fait oui de la tête et je l’ai invitée à m’attendre dans le salon.

A mon retour, je l’ai trouvée assise dans le canapé, à la place qu’elle avait occupée pendant toute la soirée. Je lui ai tendu une bière et je me suis mis en face d’elle, dans un fauteuil.
On a pris une gorgée synchro et on s’est regardé.
Elle m’a dit :
« Je suis désolée de t’embêter à une heure pareille. »
« Tu ne m’embêtes pas. Tu n’allais pas passer la nuit dehors. »
« Je ne connais personne ici, à part Mathieu. »
« Je sais. Ne t’inquiète pas. »
Elle a souri :
« Tu es cool. C’était une chouette soirée. Et puis j’adore la déco de ton appart et la musique que tu écoutes. »

J’étais ivre aussi, mais je gardais les idées claires.
Y compris quand j’ai bien picolé, il m’arrive très rarement de tituber. Jamais comme Mathieu en tout cas. J’étais ivre et il y avait cette fille assise dans mon canapé. Elle me plaisait, mais une part de moi redoutait que mon pote ne trouve pas le sommeil et finisse par se pointer pour demander à sa nana de le suivre, d’arrêter son délire, en la traitant de tous les noms.
J’ai dit à Virginie :
« Tu veux prendre une douche ? »
Elle a secoué la tête :
« Ouais, je veux bien. »
« Je vais te donner une serviette. »
Elle m’a remercié. J’aimais bien son sourire et, sous l’effet de l’alcool, je ne parvenais pas à réaliser ce qui se passait vraiment. Cette petite nana était là, chez moi, après que son mec m’ait appelé pour me dire qu’elle n’avait pas arrêté de parler de moi sur le chemin du retour. Et à présent, elle allait prendre une douche dans ma salle de bains.
Seulement, il y avait un problème.
Je lui ai dit :
« Par contre, je te préviens, je n’ai qu’un seul lit. »
Elle a aussitôt répondu :
« Ce n’est pas grave, je me ferai toute petite. »
Et voilà. Tout était dit.
Non seulement elle allait prendre une douche chez moi, mais ensuite on allait dormir dans le même lit. L’idée ne m’avait pas traversé un seul instant de lui dire que je dormirais dans le canapé.
On a fini notre bière et je lui ai donné une serviette de toilette.

Pendant qu’elle se douchait, j’ai remis de la musique et je me suis envoyé une dernière bière. Ensuite, elle est sortie. Elle s’était rhabillée et ses cheveux étaient encore un peu humides. Elle m’a demandé un verre d’eau et j’en ai pris un aussi. Ensuite, on est allé vers ma chambre. J’ai allumé ma lampe de chevet, et c’est ici qu’elle m’a demandé :
« Tu dors comment, toi ? »
J’ai hésité, puis répondu :
« En caleçon, la plupart du temps, pourquoi ? »
Elle m’a dit :
« Ça t’ennuie si je dors à poil ? »

Une minute plus tard, on se glissait sous les draps en même temps. Je l’avais vue ôter son t-shirt, puis son jean et sa culotte. J’avais lorgné sur son cul et j’avais vu ses petits seins pointus. J’avais aussi eu le temps de voir qu’elle avait la chatte poilue.
On s’est couché sur le dos et j’ai éteint ma lampe. On n’y voyait plus rien et une mouche volait dans la pièce.
J’écoutais la respiration de Virginie qui était à poil près de moi, à ma gauche. J’avais gardé mon caleçon, mais je bandais. Mathieu ne s’était pas décidé à traverser des quartiers pour venir cogner à ma porte et reprendre sa nana. Je me suis convaincu qu’il dormait à cet instant, comme une souche.

Des minutes se sont écoulées dans le noir. De longues minutes au cours desquelles aucun signe de sommeil ne me parvint. Mon cœur battait trop vite pour ça, mais je bandais un peu moins, car Virginie ne disait rien, ne bougeait pas, et j’ai cru qu’elle s’était endormie.
Mais, d’un seul coup, dans l’obscurité, elle a dit :
« Tu veux me sauter ? »
Un long frisson m’a traversé le dos et j’ai soupiré.
Je lui ai répondu :
« Je ne veux pas qu’il y ait de problème avec Mathieu. »
« Il n’y en aura pas, a-t-elle dit aussitôt. Je lui raconterai que j’ai dormi ailleurs. Je trouverai un bobard. Mais je comprendrais que tu n’aies pas envie de me sauter. Dans ce cas, il faut absolument que je me masturbe, sinon je ne pourrai pas dormir. »
La seule idée que cette fille puisse se branler à côté de moi m’a filé une gaule incroyable.
Je lui ai dit :
« Oui, on va faire comme ça. »
Elle n’a pas répondu, mais elle a tardé à faire un geste. Mes yeux s’étaient plus ou moins habitués à l’obscurité. J’écoutais nos souffles qui se croisaient et je distinguais des formes dans la chambre. Ma tête tournait comme il faut et je bandais à mort.
Puis Virginie a remué sous les draps et s’est mise à gémir. De plus en plus, et de plus en plus vite. Elle se branlait. Je l’ai laissée faire pendant moins d’une minute, puis j’ai pris ma queue et je me suis mis à me branler aussi.

Une autre minute s’est écoulée, puis j’ai craqué : j’ai approché une main et j’ai effleuré un téton de Virginie. Elle a gémi plus fort encore et je me suis mis à malaxer son sein, sans cesser de secouer ma bite sous les draps.
Jusqu’à ce qu’elle approche une main à son tour et passe un doigt le long de la fente de mon gland.
Et alors, elle a dit :
« J’ai envie de me défoncer sur toi. »
Elle ne m’a pas laissé le temps de lui répondre. Elle s’est dressée dans l’ombre et s’est mise à califourchon sur moi. Elle a saisi ma queue entre ses doigts, puis elle se l’est enfoncée profond dans la chatte en gémissant encore plus fort. J’avais mal, tellement ma bite était dure, mais elle glissait entre les parois trempées de la chatte de la nouvelle nana de mon pote. Et moi je lui suçais les tétons, chacun leur tour. On s’est même embrassé avec la langue à un moment donné, juste avant qu’elle se retire et vienne poser sa moule sur ma bouche.
Ce goût, bon sang… Ce goût de chatte brûlante et d’anus qui se frottaient sur mon menton. Ce goût de mouille, de cul et de salive mélangés. Et les gémissements que la nana de mon pote continuait de pousser dans l’obscurité, tout en se branlant le clito.
Deux heures auparavant, elle était là, chez moi, avec Mathieu, et nous parlions en picolant. Et à présent, elle s’empalait pour la deuxième fois sur ma bite en me laissant tripoter ses petits nichons à volonté. Elle était à poil et, juste à temps, je lui ai dit de se retirer.
Alors elle a décollé son cul de mes cuisses et j’ai déchargé au bord de ses lèvres, pendant qu’elle se branlait. Mon gland était contre sa chatte, mais il a coulé, puis je l’ai senti goutter sur mon ventre. De grosses giclées bien liquides qui ont dégouliné sur mes couilles. Et Virginie n’a pas attendu que j’ai terminé pour s’empaler de nouveau sur moi.
Je ne me souviens pas qu’une chatte ait été aussi glissante que celle-ci. Le sperme collait partout le long de nos sexes et on s’est remis à baiser.
Il ne s’est pas écoulé trois minutes avant que je gicle de nouveau, mais en elle cette fois-ci. Trois secousses violentes et nos cris poussés synchros dans la chambre, dans l’appartement, dans tout l’immeuble.

On s’est endormi dans cette position, enlacés.
J’avais débandé, mais j’avais tenu à ce qu’elle reste sur moi, malgré que ce soit collant. On s’est réveillé dans une autre position et on s’est embrassé. Puis enlacé de nouveau.
Et on l’a refait avant de se lever.

J’ai fait du café.
On s’est préparé des tartines beurre-confiture de fraise et on s’est décidé à prendre une douche, tous les deux. On l’a refait sous le jet d’eau chaude, mais cette fois-ci j’ai éjaculé dans la bouche de Virginie.

J’ignore l’heure qu’il était quand mon téléphone a sonné.
La voix de Mathieu qui m’a dit :
« Je te réveille ? »
« Ouais. Qu’est-ce que tu veux ? »
Il a toussé dans le combiné, puis dit :
« Virginie a oublié son paquet de tabac chez toi, hier soir. On va passer le prendre dans un moment, tu seras là ? »
J’ai regardé autour de moi. La table du salon était couverte de bouteilles de bières que je n’avais pas pris le temps d’évacuer. Le paquet de tabac en question était ici aussi. Ivre, je m’étais endormi dans mon canapé. Je puais la sueur et le sperme, mais j’avais fait un sacré beau rêve.
J’ai répondu à Mathieu :
« Laissez-moi une petite heure pour me rafraichir les idées. »

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