LU SUR LE NET
Je m’appelle Nicolas et j’ai aujourd’hui 33 ans. L’histoire que je vais vous compter m’est réellement arrivée il y a dix ans maintenant. Tout commence en 1992 alors que je poursuis des études commerciales. Cela fait trois ans que j’ai quitté ma Bretagne natale pour venir étudier à Paris. Ma famille étant d’origine modeste, j’ai eu la chance d’être logé pendant deux ans pour une somme modique dans un studio appartenant à leurs amis. Hélas, leur fille, fraîchement mutée à Paris, vient juste de s’y installer. Aussi dois-je me mettre à la recherche d’un nouvel appartement. Après trois semaines de recherches intensives, je trouve enfin le studio idéal dans le quartier animé des halles. Certes, le loyer (540 € d’aujourd’hui) est un peu élevé, mais par rapport aux autres logements délabrés que j’ai visités, j’ai un véritable coup de foudre. Il ne me faut pas longtemps pour m’apercevoir que j’ai visé un peu trop haut et que je suis incapable d’en assumer le coût. Une fois la caution et le premier mois de location payé, il me reste à peine de quoi me nourrir et ce n’est pas ma bourse et les quatre heures de cours hebdomadaires que je dispense qui me permettent de subvenir à mes besoins. A l’aide d’un prêt étudiant souscris en début d’année, je parviens à régler les deux premières mensualités mais n’ai pas les moyens d’acquitter les suivantes.
Après trois relances de la part des propriétaires, ceux-ci me convoquent chez eux un samedi soir. Ces derniers, que j’ai rencontrés dans mon studio lors de la remise des clés, disposent, outre leur domicile, de quatre studios, tous loués à des étudiants. Jacques, haut fonctionnaire au ministère de l’équipement, et Chantal, femme au foyer, sont respectivement âgés de 58 et 54 ans. Jacques est un homme trapu, viril et d’allure sportive tandis que son épouse, de type nordique, est plantureuse avec une poitrine généreuse, des hanches larges et une peau laiteuse qui lui donne, malgré son âge, une apparence assez jeune. Très mal à l’aise, sachant que je n’ai aucune issue, je me rends donc chez eux dans leur appartement situé près du parc Monceaux, m’attendant à une résiliation de bail immédiate. Je pénètre leur vaste appartement bourgeois, qui tranche avec les 20 m² de mon logement. Contrairement à ce que j’ai imaginé, l’accueil est cordial. Ils m’offrent de partager un apéritif avec eux. Je m’assois sur le fauteuil situé devant le canapé où ils ont pris place. Nous discutons beaucoup de la Bretagne, où ils passent régulièrement leurs vacances mais je suis toujours tendu en attendant qu’ils abordent le sujet qui justifie ma présence. Petit à petit, la conversation dévie sur des sujets plus personnels. Chantal me demande si je suis célibataire, si je trouve le temps pendant mes études de profiter de la vie… Devant la courtoisie de notre conversation, je me décontracte et commence à me livrer. Je leur avoue que j’ai rencontré beaucoup de jeunes filles, surtout dans les soirées étudiantes, mais qu’effectivement le programme très chargé de mes études est difficilement compatible avec les sorties et les rencontres et que, malheureusement, il me faut faire un choix.
C’est alors qu’ils décident d’aborder le problème du loyer. Je leur dis que je suis désolé, que j’ai été trop ambitieux et leur demande de m’accorder un mois pour me retourner, en leur assurant de faire tout mon possible pour leur rembourser ma dette. Je leur propose même, ayant quelques talents de bricoleur, de faire gratuitement tous travaux qu’ils jugeront utiles dans leurs appartements pour les dédommager. Jacques me répond qu’il a une autre proposition à me faire, que lui et Chantal me trouvent très « sympathique », qu’ils aiment bien les jeunes et que si je suis « compréhensif et docile », ils consentiront à oublier provisoirement mon ardoise. Je sens immédiatement une bouffée de chaleur m’envahir. L’alcool aidant, je me surprends à leur demander ce qu’ils attendent de moi. Jacques me répond qu’ils sont mariés depuis 28 ans et qu’ils trouvent tous deux que leur vie sexuelle manque de piment et qu’un jeune homme comme moi pourra l’agrémenter agréablement mais qu’ils ne veulent rien m’imposer et que la décision m’appartient. N’ayant pas l’habitude de boire des alcools forts, mon troisième whisky a levé toutes mes inhibitions et, l’esprit échauffé par leur proposition, je leur réponds que l’idée ne me déplait pas. Jacques et Chantal se déclarent ravis de ma réponse et me disent que je ne regretterai pas ma décision. Le regard de Chantal m’enflamme et, m’attardant sur ses courbes avantageusement mises en valeur par sa robe décolletée, je sens alors les battements de mon cœur s’accélérer alors que mon sexe gonfle immédiatement. Contrairement à beaucoup de récits que je lis ici, cette situation ne correspond à aucun de mes fantasmes de l’époque. En effet, je préfère généralement les filles un peu plus jeunes que moi mais, à ce moment, mon excitation brutale est plus forte que tout. Le regard de Chantal s’abaisse vers mon pantalon qui ne peut plus dissimuler la nature de mes pensées. Tout s’enchaîne alors très vite.
D’un ton qui me paraît sec, Jacques me demande de me lever et de me déshabiller. Je ressens cette demande comme une révélation. Habituellement si simple dans mes rapports avec les filles, je me sens désormais comme un objet sexuel et, à ma grande surprise, cette situation m’excite de plus en plus. D’un côté, je suis un peu honteux et, de l’autre, je me sens moralement dédouané par cette dette que j’ai envers eux. Je ne me soumets pas, je paye mon loyer, tout en sachant que j’en retirerai bien plus de plaisir qu’en signant un chèque. Face à eux, j’ôte mes vêtements un par un jusqu’à ce que je me retrouve seulement vêtu de mon caleçon distendu par mon érection. Pendant ce temps, Jacques se caresse le sexe par-dessus son pantalon tandis que son autre main s’égare dans l’entrecuisse de Chantal, dont le regard brillant traduit l’excitation.
Lentement, Jacques remonte la robe de Chantal, qui a écarté les jambes, et la vue de ses cuisses un peu grasses et laiteuses me fascine. Mon excitation est à son comble lorsque Jacques m’ordonne d’ôter mon caleçon. Comme un robot, je m’exécute et laisse apparaître mon sexe, dont la rigidité m’est presque douloureuse. Jacques retire alors la culotte de Chantal et je vois apparaître sa magnifique chatte. Au milieu d’une touffe clairsemée de poils clairs se détachent ses lèvres ouvertes et humides. Jacques me demande alors de me masturber, ce que je fais avec précaution, craignant de déverser mon plaisir sous leurs yeux et de gâcher la fête.
Chantal déboutonne la braguette de Jacques, dont l’érection surgit dans toute sa splendeur. Son sexe décalotté, bien tendu à la verticale, est plutôt épais avec un gros gland violacé. En dehors des films X, c’est la première fois que je vois un sexe masculin en érection autre que le mien. A ce moment, je me souviens m’être étonné de sa rigidité qui, pour un homme de son âge me paraissait exceptionnelle (j’apprendrai plus tard qu’un traitement médical à base de cortisone, qu’il suit depuis une quinzaine d’années, exacerbe sa libido). Contre toute attente, cette vision m’excite encore plus. Cette femme quinquagénaire les cuisses ouvertes, dévoilant sans pudeur sa chatte dégoulinante de jus alors qu’elle caresse le sexe luisant de désir de son mari, est une image qui me fait l’effet d’un électrochoc. Jacques me demande de m’approcher de sa femme, toujours allongée sur le dos cuisses ouvertes, et de m’agenouiller, ce que je m’empresse de faire.
Mon nez se retrouve alors devant la vulve frémissante de Chantal, dont les effluves me transportent dans un état second. Ivre de désir, je plonge ma langue au plus profond de son intimité. Quel délice ! L’odeur enivrante de sa chatte me rend littéralement fou. Je lape frénétiquement le liquide qui s’écoule lentement vers son anus. Son clitoris, érigé comme une petite bite, tressaute à chaque coup de langue. Je m’abreuve de son nectar comme si c’était la première fois que je savourais une femme. Je lèche sa vulve de haut en bas et m’égare par moment jusqu’à son anus. Ses gémissements me montrent que cette feuille de rose l’excite au plus haut point. Jacques se lève et enfourne sa grosse bite dans la bouche de son épouse. De son pied, Chantal me caresse le sexe d’un mouvement régulier qui m’électrise d’avantage. Après quelques minutes, Chantal dégage son mari, att**** mes cheveux et attire mon visage vers le sien. Elle m’embrasse alors fougueusement. Sa langue a une odeur particulière, mais pas désagréable, que j’attribue au sexe de son mari. Le frottement de sa poitrine plantureuse aux tétons proéminents contre mon torse me met dans un état proche de la jouissance. Ses aisselles dégagent une odeur poivrée qui accentue l’odeur de stupre qui envahit la pièce.
Alors que nos langues se mêlent dans un ballet voluptueux, mon sexe s’introduit dans le fourreau liquéfié de Chantal qui m’aspire totalement. Le plaisir est tel que je reste quelques instants sans bouger de peur de ne pouvoir me contrôler. Enfin, j’entreprends des mouvements de bassin qui me procurent des ondes de plaisir qui se répercutent dans tout mon corps. Au bout de quelques minutes, Jacques, qui se masturbait en nous regardant, se relève et sépare ma bouche de celle de sa femme, dans laquelle il engloutit son sexe turgescent. Je reporte donc toute mon attention sur les gros seins laiteux et les aisselles odorantes de Chantal, que je lèche amoureusement jusqu’au moment où la main de Chantal m’agrippe de nouveau les cheveux pour me rapprocher de sa bouche. Celle-ci étant occupée par la bite de son mari, j’ai un mouvement de recul mais, devant son insistance, décide de me laisser faire. Chantal retire alors de sa bouche le sexe ruisselant de salive de Jacques, qu’elle plonge dans la mienne. La première seconde est interminable. Suis-je devenu bisexuel ? Je peux refuser mais le désir que me procure cette situation est plus fort que tout. Bien que cela m’aurait paru impensable deux heures plus tôt, je n’en éprouve aucune répulsion mais plutôt un état de plénitude sexuelle. N’écoutant que mon désir, je décide d’aller jusqu’au bout en remettant à plus tard toutes ces questions.
Le sexe de Jacques est savoureux. Il libère un liquide salé que j’avale sans complexe. Sa légère odeur me rend fou. Je m’étonne de sucer un sexe d’homme comme si je l’avais fait toute ma vie. Ma main s’empare de ses grosses couilles velues que je malaxe tendrement. Sa queue me déforme la bouche et j’arrondis mes lèvres autour de sa hampe en évitant bien le contact avec mes dents, ce que je déteste quand on m’administre une fellation. Ma langue commence un ballet voluptueux autour de cette tige brûlante qui coulisse dans ma bouche. Pendant ce temps, Chantal que je n’ai pas cessée de pénétrer, me lèche l’oreille en me murmurant doucement des encouragements :
« Elle est bonne la queue de Jacques, tu l’aimes, suce-la bien, lèche-la, tu vas voir comment elle va te récompenser… »
Jacques manifeste son plaisir par des gémissements de plus en plus bruyants. Ceux-ci me font comprendre le plaisir cérébral que les femmes peuvent ressentir lorsqu’elles sucent un homme. Mon éjaculation étant imminente, je me retire de la chatte de Chantal pour m’occuper de son mari. Je lèche sa hampe, ses couilles, son périnée puis reviens sur son gros gland. Je suis devenu une machine à donner du plaisir. Jacques commence à se masturber dans ma bouche en imprimant des mouvements qui font buter son gland sur ma glotte. D’une main, je caresse alternativement les fesses musclées et les couilles pleines de Jacques tandis que de l’autre je me branle. Chantal passe derrière son mari et je devine qu’elle plonge sa langue dans l’entre fesse de son époux. Nous le dévorons des deux côtés. Lorsque nos deux langues se rejoignent sur le périnée de Jacques, elles s’enlacent voluptueusement. Le plaisir est total.
Au bout d’un moment, je décide de me retirer pour lécher la vulve de Chantal, mais Jacques me prend fermement la tête pour diriger brutalement sa queue luisante de salive et de liquide séminal dans ma bouche. Brutalement, il s’active de plus en plus vite en moi. Le contact de son gland avec ma glotte me donne des nausées mais je suis complètement immobilisé. Je sens son sexe durcir d’avantage, tressauter puis soudainement expulser de longs jets copieux dans ma bouche. Je veux me retirer mes ses mains puissantes m’en empêchent. Contraint, j’avale sa semence chaude au goût salé qui ne me déplaît pas. Jacques laisse quelque temps son sexe dans ma bouche pour que je le nettoie puis, satisfait, se retire. Il me demande de m’occuper maintenant de son épouse. Il se lève, prend une boite de préservatif et m’en donne un que j’enfile sans attendre. Je me précipite sur Chantal pour pénétrer sa chatte baveuse qui n’attend que ça. J’empoigne ses grosses fesses puis me dirige dans son puits d’amour que je commence à labourer activement. La mine défaite, Chantal halète bruyamment. Fou de désir, je la martèle sauvagement. Sa vulve liquéfiée m’absorbe tout entier. Après quelques minutes, un orgasme dévastateur nous terrasse. Il me faut quelque temps pour reprendre mes esprits.
M’attendant à être congédié, je suis agréablement surpris lorsque Jacques et Chantal me disent que ma prestation les a convaincus et qu’ils seraient ravis de poursuivre cette expérience. Ils me proposent alors de m’installer chez eux le temps qu’il me plaira et que ma seule contribution sera de me mettre entièrement au service de leur plaisir. Cette proposition relance immédiatement mon érection. Je leur dis que le moment que nous venions de passer a été une découverte pour moi et que je suis tout disposé à poursuivre notre relation. Jacques me fixe alors les règles du jeu. A partir d’aujourd’hui, je devrai satisfaire tous leurs caprices sexuels. En aucun cas, ils n’entraveront ma liberté de mouvement et ne me solliciteront pendant les plages horaires consacrées à mes études. Dans un premier temps, ils seront mes seuls amants mais, en fonction de mon apprentissage, ils se réservent la possibilité de me prêter à d’autres couples. Par ailleurs, Jacques me demande de leur fournir, dès que possible, un certificat de séro-négativité. Après un moment feint d’hésitation, j’accepte ce contrat qui, désormais, nous unit tous les trois.
Chantal s’approche alors de moi et me demande de m’allonger. Elle engloutit mon membre dans sa bouche pulpeuse qui accentue immédiatement mon état d’excitation. Je caresse ses seins lourds qui remuent au gré des mouvements de sa bouche. En même temps, les caresses qu’elle me prodigue sur les fesses me font trembler de désir. Soudain, je sens un de ses doigts se pointer sur mon anus qui s’ouvre pour absorber l’intrus. Pendant ce temps, mon nouveau maître, dont l’érection commence à revenir, me présente son membre que j’embouche de nouveau avec délectation. Quelques minutes suffisent pour qu’il retrouve toute sa rigidité. Sur un signe de Jacques, son épouse se lève, me positionne à quatre pattes, et passe derrière moi. Je sens sa bouche sur promener sur le bas de mon dos, puis mes fesses pour se diriger lentement vers le centre. Lorsque je sens sa langue se poser sur mon anus, je me déchaîne sur la queue de Jacques, me doutant de ce qui m’attend. Moi, l’hétéro accompli, souvent homophobe dans les propos, vais me faire enculer. La langue de Chantal, qui me pénètre de plus en plus profondément, me lubrifie l’anneau culier tandis que le souffle de sa respiration me chatouille agréablement la raie. Je découvre le plaisir absolu. Sa langue va et vient dans mon cul comme une petite bite. Je voudrais que cet instant dure toujours. Tous ceux qui connaissent cette caresse conviendront avec moi que rien n’est plus délectable. Jacques frappe maintenant mon visage de sa grosse bite veinée. Je comprends que le scénario est probablement prévu de longue date mais mon désir m’empêche de protester.
Chantal se retire, écarte son mari, se place à quatre pattes devant moi et écarte ses fesses généreuses à deux mains en me disant :
« à ton tour de t’occuper de mon cul ».
La vision de cet anus clair au milieu de ses grosses fesses de femme mure est pour moi le plus beau spectacle du monde. Je lui obéis de bonne volonté et y plonge ma langue le plus loin possible. Jacques se lève, prend un petit pot dans un tiroir et passe derrière moi pour remplacer sa femme. Il m’enduit le petit trou d’une matière froide et y entre aussitôt un doigt qu’il fait aller et venir lentement. Petit à petit, je ressens une onde de chaleur m’envahir alors que deux autres doigts rejoignent le premier et me branlent doucement le cul qui s’ouvre de plus en plus sous cette caresse inédite. Ce ne sont que bruits de succion et gémissements. Je suis au paradis.
Après quelques minutes, Jacques se redresse, enfile un préservatif et commence à frotter sa queue entre mes fesses qui se tendent sans pudeur vers lui. Moi, qui n’ai jamais été pénétré n’y pensé l’être un jour, vais subir l’assaut d’un mâle, bien calibré au demeurant. Jacques positionne alors son gros gland contre ma rondelle et l’introduit par à-coups tout en douceur. Quand la douleur est trop vive, je lui dis et il attend quelque temps avant de poursuivre. Lorsque je sens ses couilles buter contre mes fesses, je suis le premier étonné à l’idée d’avoir sa grosse tige en moi. De son côté, Chantal ruisselle de plaisir. Ses cuisses sont trempées de mouille, mais je n’ose la pénétrer, sachant que ma jouissance est imminente. Aussi je décide de continuer à lui lécher les orifices.
Jacques me prend les fesses à deux mains et commence à aller et venir lentement dans mon anus vierge que je sens s’ouvrir pour l’accueillir totalement. Le plaisir est intense. Instinctivement, mon cul va chercher ce sexe qui me donne tant de plaisir. Après quelques va-et-vient, Jacques me redresse à genoux, me recouvre la bite d’une capote et la dirige vers l’anus palpitant de Chantal, bien lubrifié par mes soins. La facilité avec laquelle ma queue, pourtant de taille conséquente, entre me prouve qu’elle est une habituée de la sodomie. Jacques se déchaîne alors dans mon trou, qu’il laboure maintenant à grands coups de rein. C’en est trop pour moi. Après quelques secondes, je déverse tout mon plaisir dans le cul de Chantal qui gémit de plaisir en se masturbant tandis que je sens la queue de Jacques tressauter dans mon anus. L’intensité de mon orgasme est telle que je manque de perdre connaissance. Je reste hébété quelques minutes, réalisant que ma sexualité vient de basculer. Désormais, rien ne sera plus comme avant. Je me relève puis demande à Chantal où se trouve la salle de bain. Me retrouvant seul, je me sens terrassé par ce qui vient de se produire. Après une bonne douche, je prends congé de mes hôtes tendrement enlacés dans le canapé, qui me réitèrent leur proposition de venir m’installer chez eux.
Chemin faisant, je ne vous cache pas que, rassasié de plaisir, je me sens brusquement honteux de ce que je viens de faire et décide de chercher un autre appartement sans prévenir mes propriétaires. Mais, une fois rentré, je passe une nuit quasiment blanche à me remémorer ma soirée. Le désir ne tarde pas à me tarauder de nouveau les reins à un point tel que je dois me masturber pour pouvoir enfin trouver le sommeil. Le lendemain, après avoir mûrement réfléchi, je décide d’assumer mes penchants en acceptant l’offre qui m’est faite. Une semaine plus tard, je me rends avec mes affaires chez mes nouveaux hôtes.
Jacques et Chantal m’ont aménagé une chambre qui est très à mon goût. L’aventure peut commencer. La première nuit est inoubliable et me permet de constater que Jacques est plutôt dominateur. C’est lui qui fixe les règles. Il profite allégrement de mes orifices et de ceux de sa femme. Quand nous faisons l’amour, je ne peux profiter des charmes de Chantal qu’avec son accord. Une semaine après mon arrivée, je présente à Jacques et Chantal mon certificat de séro-négativité, ce qui nous permet de supprimer le préservatif de nos ébats. Le premier mois est torride. Durant la semaine, je me lève à 6H30. J’ai pour consigne de m’enduire chaque matin l’anus de lubrifiant puis de préparer le petit déjeuner de Jacques, qui se lève à 7H00. Il se dirige alors vers la cuisine pour déjeuner. Sachant ce qui m’attend, le seul bruit de ses pas déclenche mon érection. Dès qu’il s’assoit, je lui sers son café et des toasts avant que ne démarre ce qu’il appelle la « mise en bouche ». Je m’agenouille pour extraire son membre, souvent à demi-durci, de son pyjama et lui administre une fellation dont, selon ses dires, je suis très vite devenu un expert. Pendant que monsieur déjeune, je m’active sur sa grosse queue que je suce consciencieusement. Quel émerveillement que de sentir cette masse gonfler dans ma bouche jusqu’à remplir tout l’espace. Parfois, il se contente d’exploser dans ma bouche en de longs jets crémeux que j’avale au milieu de ses grognements de satisfaction ; d’autres fois, quand il est moins pressé, il me relève, me courbe sur la table et, de ses mains puissantes, m’enserre la taille pour plonger en moi son gros bâton qui me laboure les reins en de longs mouvements alors qu’il ahane comme un bûcheron. Mon cul s’habitue très vite à ce traitement et c’est dans un état second que je sens sa semence inonder mes entrailles. Je fais tout mon possible pour ne pas jouir sachant que, pendant qu’il se rend à la salle de bain, il m’autorise à rejoindre Chantal restée au lit. J’arrive alors dans sa chambre dans un état d’excitation que je vous laisse deviner. Chantal m’offre généralement sa chatte et son cul à déguster, ce que je fais avec application. Je ne me lasse pas de m’enivrer de son odeur et du goût de ses secrétions vraiment très abondantes. Quand elle est prête à jouir, elle me demande de venir en elle. Je plonge alors avec délice mon sexe turgescent dans sa fente ruisselante et quelques minutes suffisent à nous faire exploser dans un orgasme dévastateur. Parfois, elle m’autorise à m’accroupir sur elle pour jouir sur sa poitrine opulente. Je plonge alors ma queue dans sa bouche pulpeuse et quand je sens que le point de non-retour est atteint, je me retire pour asperger ses gros seins de giclées abondantes. Souvent, elle me demande de la nettoyer avec ma langue. La bouche imprégnée du goût de mon sperme et des sexes de mes deux amants, ma journée peut commencer. Aujourd’hui encore, le souvenir de ses moments suffit à me faire bander à chaque fois que j’y pense. Oubliant tout principe, je deviens très vite esclave des plaisirs qu’ils me procurent.
Souvent, le soir, ils se servent un apéritif en regardant le journal télévisé tandis que je dois calmer leur désir avec ma bouche. Tous deux habillés tandis que je dois me dénuder entièrement, ils ne m’offrent que leurs sexes à déguster. Je passe de l’un à l’autre, toujours sous l’autorité de Jacques. Ces séances peuvent durer une heure. Ensuite, selon leur désir, ils me demandent de les faire jouir ainsi ou nous nous rendons dans leur chambre où je dois satisfaire toutes leurs fantaisies. J’adore tout particulièrement les moments, où Jacques s’allonge sur le dos et me demande de m’accroupir pour m’embrocher sur son engin alors que Chantal se place en levrette devant moi. J’ai alors toute la liberté des mouvements. Je me lève puis m’assois sur la queue de Jacques et, à chaque fois que je décule, mon sexe pénètre celui de Chantal. Je pense que rien ne peut procurer de plaisir plus total. Ma bite et mon cul deviennent alors le centre d’un plaisir absolu qui m’irradie tout le corps. Le plaisir nous mène rapidement à un orgasme foudroyant qui nous laisse hagards de longues minutes.
Le week-end, ils me convient à les rejoindre dans leur chambre le matin. Après avoir dégusté le petit déjeuner que je leur ai préparé, nous faisons longuement l’amour sans retenue. Lorsque Jacques honore sa femme, il me charge de les préparer et c’est ma main qui introduit la queue du maître dans le vagin ou le cul accueillant de son épouse. Je les excite alors mutuellement de ma langue, passant des couilles de Jacques aux fesses de Chantal, me précipitant sur leurs sexes dès qu’ils sont disponibles. Quand ils ont joui, ils me demandent souvent de m’agenouiller devant eux et de me masturber jusqu’à ce que mon plaisir jaillisse. Lorsque Jacques a retrouvé sa forme, il aime nous demander à moi et sa femme de nous mettre en levrette. Il se positionne derrière nous et, tandis que Chantal et moi nous embrassons, profite des orifices que nous lui offrons. Quand il ne peut plus retenir son plaisir, il présente sa queue congestionnée devant nos bouches impatientes d’accueillir sa semence et se répand sur nos visages ravis, que nous nous léchons mutuellement. Je dois dire que j’ai vécu mes moments de plaisir les plus intenses au cours de ce premier mois.
Juste avant les vacances de printemps, mes amants m’informent qu’ils ont invité le soir même un couple d’amis très proches, à qui ils ont parlé de mes dispositions, et ils me demandent de les satisfaire en tous points. Intrigué et passablement excité par cette perspective, je fantasme immédiatement sur la soirée qui s’annonce. Lorsque le moment arrive, je ne tiens plus en place. Electrisé par le bruit de la sonnette, mon excitation retombe brutalement lorsque je vois apparaître leur couple d’amis. Plus âgés qu’eux, ils me paraissent avoir plus de 60 ans. La femme quasi-obèse a des hanches enrobées de graisse, une poitrine énorme mais affaissée et des jambes épaisses ; l’homme est malingre, plus petit que sa femme, assez laid et complètement chauve. Bref : deux véritables remèdes contre l’amour. Néanmoins, le regard qu’ils portent sur moi m’indique qu’ils me trouvent plutôt à leur goût. La soirée se présente mal. A l’invite de Jacques et Chantal, les deux invités s’assoient de part et d’autre de moi. Après avoir échangé quelques banalités avec les hôtes, la grosse femme me pose une main sur le genou et leur dit :
« Je vois que vous n’avez pas exagéré en nous disant qu’il était très séduisant ! »
Elle s’adresse alors à moi :
« Montre-nous ta bite et ton petit cul qu’on voit si le reste est aussi plaisant. Allez, à poil ! »
Me sentant pris au piège, je jette un regard à Jacques qui, d’un geste de tête, me fait comprendre que je dois obéir.
Une fois nu, ma voisine me triture le sexe, me malaxe les fesses, me retourne et m’introduit un doigt dans l’anus qu’elle pénètre sans ménagement. Ma libido est alors à son niveau le plus bas. J’ai beau me dire que c’est un mauvais moment à passer. mais rien n’y fait : ce couple me dégoûte. La femme me force à m’agenouiller face à elle, retrousse sa robe, sous laquelle je m’aperçois qu’elle ne porte pas de culotte, et m’aplatit le visage contre son abondante touffe poivre et sel plus qu’odorante en m’ordonnant :
« Lèche-moi la chatte ! »
Sa forte odeur dénote une hygiène plus que douteuse. Prenant le parti de respirer par la bouche et réprimant mon dégoût, ma langue pénètre ce vagin démesurément ouvert. La harpie est très excitée. Contraint, j’avale ses sécrétions qui dégoulinent littéralement contre mon menton. La pression que ses mains exercent sur ma nuque m’est douloureuse. J’écarte des deux mains ses fesses monumentales pour créer un appel d’air qui me permette enfin de respirer. Ma caresse buccale doit la satisfaire car je sens ses grosses cuisses gélatineuses se resserrer tel un étau autours de ma tête. Alors que je m’applique à la tâche, je sens deux mains empoigner mon cul. « Enfin, pensés-je, Jacques ou Chantal viennent à la rescousse ! » Je me retourne pour constater que ces derniers nous regardent attentivement tandis que le mari de celle que je lèche s’est positionné derrière moi pour me tripoter alors qu’il se caresse de l’autre main. Cette nouvelle situation n’a pas échappé à son épouse puisqu’elle me saisit les épaules pour me retourner et me pencher vers le sexe du mari.
La vision de son petit sexe recroquevillé me révulse mais le regard dur de Jacques et Chantal, dont l’attitude passive me fait soudainement comprendre que la situation ne les excite pas plus que moi, me pousse à l’engloutir. Quelle déchéance ! Mes yeux fixent la toison grise et éparse surplombant ce sexe défaillant, que je m’applique à sucer en espérant que le supplice cesse bientôt. Après quelques minutes, je m’aperçois que mes efforts sont vains. Bien que ma caresse provoque une semi-érection au mari, sa bite n’est pas assez ferme pour me laisser l’espoir d’une conclusion rapide. Une main sur ma nuque, la femme règle mes mouvements à son gré. La quasi-impuissance de son mari ne l’empêche pas de plonger son élastique au fond de ma bouche en prononçant des mots crus qui accentuent mon malaise.
« Lèche ma bite, fais-moi bander, t’aimes ça les bites de vieux, hein ! Tu vas voir, j’vais t’en donner moi … ! »
J’ai beau aspirer son chewing-gum, lui caresser les cerises, qui font office de testicules, le branler énergiquement, le résultat que j’obtiens est loin d’être satisfaisant. Je n’en peux plus. Je m’apprête à rompre la position pour m’en aller lorsque le semblant de queue que je suce libère un liquide abondant dans ma bouche. Surpris, sachant que la condition de son propriétaire est difficilement compatible avec une telle décharge, je me retire pour m’apercevoir que le vieux me pisse allégrement dans la bouche en me disant :
« Bois déjà ça, t’auras le reste quand tu t’appliqueras mieux ! »
Fou de rage, je recrache tout et frappe violemment ce vieux dégénéré.
C’en est fini, je ne peux en supporter plus. Dans un état second, je me rhabille et, le goût encore amer de cette humiliation dans la bouche, quitte l’appartement sous les protestations de Jacques et Chantal. Errant dans Paris, je trouve refuge dans un pub dans le quartier de Montparnasse, où je passe la nuit en attendant le petit matin. Après mûre réflexion, je me décide à renter « chez moi » pour me reposer. Je ne me réveille qu’en début d’après-midi. Jacques étant à son travail, je décide d’en profiter pour retrouver Chantal. Je la rencontre dans le salon de forte mauvaise humeur. Elle me reproche de n’avoir pas rempli mon engagement, me dit que Jacques est furieux et que j’en suis le seul responsable. Je lui rétorque que la soirée m’a dégoûté mais Chantal me répond qu’elle ne veut rien savoir, qu’un ordre est un ordre, qu’ils ont maintenant une dette envers leurs amis qui sont partis furieux et que je vais le payer très cher. Les deux jours qui suivent sont très éprouvants pour moi. Jacques et Chantal ne m’adressent plus la parole et, bien sûr, ne me font plus participer à leurs ébats. Je ne sais plus quoi faire.
Le samedi matin, je commence à perdre patience. Cela fait trois jours que mes amants ne me touchent plus. Je me lève avec la ferme intention de leur dire que cette situation ne peut pas durer et que si tel est le cas je préfère m’en aller. Alors que je déjeune, Jacques et Chantal me rejoignent. La vision de Chantal, qui ne porte qu’une nuisette à demi-transparente, et Jacques, dont le pantalon de pyjama est déformé par une érection monumentale, m’électrise. Chantal s’approche de moi, me demande de m’agenouiller, et colle sa toison au léger goût d’urine contre ma bouche. J’introduis immédiatement ma langue dans sa fente, dont l’humidité m’indique que les préliminaires ont démarré sans moi. « Quel bonheur ! La punition est levée et tout va pouvoir recommencer comme avant. » Jacques baisse son pantalon, se positionne derrière sa femme et glisse sa grosse queue dans son sillon fessier. Celle-ci se frotte contre nous deux tandis ses mouvements de bassin se font de plus en plus rapides. D’une main, elle empoigne mes cheveux et se branle la chatte contre mon visage trempé de secrétions. Ses gémissements se font halètements puis cris :
« C’est trop bon, vous me rendez folle, faites-moi jouir … Jacques, mets-la-moi dans le cul, mets-la-moi au fond… »
Jacques ne se fait pas prier pour obéir à Chantal. Ses mouvements deviennent si brutaux que j’en ai mal aux vertèbres. Lorsqu’elle explose dans un cri de jouissance, je me régale de sa liqueur au parfum enivrant. Chantal se dégage alors que Jacques, qui n’a toujours pas joui, dirige vers moi, toujours à genoux, son sexe fraîchement sorti des fesses de sa femme en me lançant :
« Tête-moi ! »
Toujours aussi rigide, sa bite force autoritairement mes lèvres. Avec application, ma bouche se fait ronde autour de lui. Malgré l’endroit d’où il vient, il est très propre et seul un léger goût me rappelle qu’il a visité les entrailles de Chantal. Contrairement à l’accoutumé, Jacques est très doux et me laisse le sucer à ma guise. Au bout de quelque temps, alors que nous n’avons toujours pas joui, il se retire en me laissant sur ma faim. Il me dit qu’il préfère se réserver pour plus tard et qu’une surprise m’attend.
« Enfin, après la punition, la récompense ! »
Jacques m’annonce que pour fêter la fin de notre brouille, ils ont décidé de profiter de ce beau temps ensoleillé pour me convier à un pique-nique en forêt de Saint-Germain. Ravi, bien qu’un peu déçu (je pensais que la surprise aurait un caractère plus sensuel), j’accepte leur invitation de bon gré. Vers midi, nous nous rendons en voiture près de Maison-Lafitte. Après une petite promenade en forêt, nous décidons de nous arrêter pour déjeuner. Le repas se déroule cordialement. Nous sommes tous très détendus et profitons pleinement de ce pique-nique. A la fin du repas, Jacques me propose de fumer le « calumet de la paix ». Il sort alors de sa poche un joint énorme qu’il me tend. Très étonné (je ne pensais pas qu’ils pratiquaient ce genre de récréation que je croyais plus réservé aux personnes de mon âge), je refuse poliment en lui disant que ce n’est pas mon truc (en fait, je n’ai jamais essayé). Il insiste lourdement en me disant que cela multiplie le plaisir sexuel et que les effets sont très provisoires. Il l’allume et me le tend en me disant d’en profiter car, comme il conduit, il ne peut pas se permettre de mettre en péril sa carrière au ministère de l’équipement, qui a notamment en charge la sécurité routière. Ne voulant pas le contrarier, je m’exécute. Dans un premier temps, je n’éprouve rien de particulier mais, après quelques bouffées, je sens une décontraction et une euphorie me gagner. Au lieu de me modérer, mon état de félicité me pousse à continuer jusqu’au moment où je me sens complètement parti. Conjugué au vin que nous avons bu, ma désinhibition totale ne tarde pas à me provoquer une érection monumentale. Je ne peux m’empêcher de me caresser le sexe par-dessus mon pantalon pour entretenir le désir qui m’anime.
C’est alors que Chantal, prise d’un besoin pressant, se lève pour se soulager. Jacques se tourne vers moi et me demande d’accompagner sa femme près d’un fourré à proximité. D’un pas hésitant, j’accompagne Chantal suivi de Jacques. Après quelques pas, Chantal me demande de retirer ma chemise et de m’allonger sur le dos puis elle baisse sa culotte et s’accroupit sur mon visage. La vision de sa croupe écartelée et de sa chatte aux lèvres proéminentes à deux doigts de ma bouche m’excitent comme un fou. De ses deux mains, elle écarte ses orifices puis pousse. Alors que je reçois quelques gouttes sur le menton, Jacques me saisit la nuque puis colle mon visage au sexe de Chantal en m’ordonnant :
« Bois tout »
Je sens alors un premier jet jaillir de sa chatte puis un jet dru, salé et odorant qui m’inonde la face. Sans volonté, j’ouvre la bouche pour en absorber la plus grande quantité possible mais, devant l’abondance, je m’étouffe et laisse s’écouler le trop plein qui m’éclabousse le cou. Une fois la vessie de ma maîtresse vide, celle-ci me demande de la nettoyer soigneusement, ce que je m’empresse de faire. Chantal se relève alors puis essuie mon visage ruisselant de son urine. Mon sexe est douloureux à force d’être dur. Je dis alors à mes deux maîtres :
« Je n’en peux plus. Faites-moi jouir »
Jacques, regardant Chantal avec un air complice, me répond alors :
« Sois patient, ta surprise t’attend. Tu vas jouir comme jamais ! »
Puis ils me demandent de les suivre vers la voiture. Nous parcourons quelques kilomètres jusqu’à un parking situé vers la sortie de la forêt.
A notre arrivée, je suis plus que jamais sous l’emprise de la substance qu’ils m’ont fait fumer. Néanmoins, je remarque qu’il y a une vingtaine de véhicules, dont beaucoup sont occupés par des hommes seuls qui nous dévisagent avec insistance. Nous franchissons une barrière puis prenons un petit chemin qui s’aventure dans la forêt. Après une centaine de mètres, nous nous arrêtons dans une petite clairière. Jacques m’ordonne alors de me « foutre à poil ». Je me déshabille entièrement mettant à nu mon sexe toujours aussi dur. Je suis totalement sous ses ordres, n’ayant plus qu’un impératif : jouir. Je remarque alors que Chantal me filme avec un caméscope. Je tente de protester mais elle s’approche de moi pour me bander les yeux avec un foulard. L’esprit trouble, j’entends la voix de Jacques qui me paraît lointaine me dire :
« Tu dois comprendre une fois pour toute que tu es maintenant à notre service et que tu dois nous obéir totalement. Agenouille-toi et branle-toi »
Sans plus penser à la proximité du parking et des personnes que j’y ai vues, je m’exécute, décidé à me soumettre plus que jamais à leur volonté. Privé de la vue, je ne me préoccupe plus que de mon désir qui me rend fou, espérant secrètement que Chantal va enfin m’offrir sa bouche, sa chatte ou ses reins.
Tout à mon affaire, je perçois alors des bruits de pas qui se dirigent vers moi. Deux mains se saisissent de ma tête alors qu’un gland bien dur force ma bouche.
« Enfin, Jacques a décidé de me baiser » pensé-je.
J’avale avec gourmandise ce sexe offert mais il ne me faut pas beaucoup de temps pour m’apercevoir qu’il est beaucoup moins volumineux que celui que j’ai pris l’habitude de sucer. Lorsque mon nez bute contre un pubis rasé, j’en suis sûr, je suce un autre homme que Jacques. Quelques heures avant, pris de panique, j’aurais cessé immédiatement ce jeu mais maintenant, sans volonté et surexcité, j’en suis incapable. Je m’attelle donc à satisfaire cet homme qui m’offre sa bite à déguster. J’entends alors la voix éloignée de Jacques dire :
« Approchez, profitez de notre esclave, prenez-le, on vous le prête, jouissez de lui ! »
Mon cœur s’accélère. Il y a d’autres personnes ? Les bruits de brindilles écrasées me le confirment aussitôt. Combien sont-ils ? Qui sont-ils ? Ne supportant plus de ne pas le savoir, j’ôte le foulard qui me couvre les yeux. Lâchant la queue que je suce, je tourne la tête et vois alors une dizaine d’hommes de tous âges qui s’approchent de moi.. Assis sur un tronc d’arbre légèrement en retrait se tient Jacques qui ne perd pas une miette du spectacle tandis que Chantal filme la scène. Jacques se lève et dit :
« Prenez votre temps, il y en aura pour tout le monde. Il n’y a que deux règles : toutes les sodomies devront se faire avec capotes et vous devrez jouir sur son visage ou son corps. Si vous les respectez, vous pouvez profiter de notre ami le temps et le nombre de fois qu’il vous plaira ! »
Les hommes se placent en cercle autour de moi.
Plusieurs d’entre eux font déjà jaillir leur virilité de leurs braguettes. La situation surréaliste me fait perdre la tête. Mon appétit de sexe est trop fort. Je regarde à peine ses hommes, dont l’âge va de 25 à plus de 60 ans. Je ne vois que ces queues à satisfaire. J’embouche de nouveau la bite de l’homme que j’ai délaissé. Ma prestation doit lui plaire car il se retire brutalement pour m’asperger le visage de trois ou quatre giclées abondantes. Il s’éclipse aussitôt pour céder la place à un homme entre deux âges qui prend immédiatement place dans ma bouche libérée. Je sens sa queue gonfler tandis que des mains me triturent le derrière puis des doigts me forcent le sphincter. Mes mains s’égarent sur les braguettes encore fermées pour y extirper ces membres pleins du jus qui va bientôt m’asperger. De chaque côté, des hommes se masturbent en se frottant à mes joues. Je ne peux relever la tête et ma vision se limite à ses sexes gorgés de sang qui s’agitent de tous côtés. Des mains me saisissent la tête pour la diriger sur des queues en rut qui m’investissent sauvagement la bouche. Beaucoup jouissent après quelques caresses seulement. Fasciné, je fixe ces queues qui m’inondent de sperme épais et chaud qui recouvre mon visage. Malgré les consignes de Jacques, des petits malins ne se retirent de ma bouche qu’au dernier moment, après m’avoir déjà gratifié d’une ou deux giclées que j’avale sans rechigner. A chaque jet, j’ai l’impression que c’est moi qui jouis. Jamais rassasié, je me jette d’un sexe à l’autre, avide de ces déluges de sperme que je provoque.
Mon anus n’est pas en reste. Plusieurs hommes se sont placés derrière moi et se succèdent dans mon cul.. Malgré la douleur que je ressens au début, je leur tends ma croupe pour les absorber totalement. A chaque coup de rein, je gémis davantage. Maintenant, ce sont deux queues qui m’écartèlent la bouche. Je malaxe énergiquement ses paires de couilles pour les vider de cette sauce qui récompense mon labeur. Enfin, la main salutaire de l’homme qui m’encule me saisit le sexe et quelques mouvements suffisent à ce que je jouisse enfin dans un orgasme foudroyant tandis que son grognement et les soubresauts de sa queue m’annoncent qu’il se vide en moi. Je n’ai pas le temps de me remettre qu’il cède la place à un autre homme. Un homme âgé précipite sa queue dans ma bouche. Moins d’une minute suffit à le faire jouir alors qu’il est à peine en érection.
Totalement déchaîné, malgré mon orgasme, mon érection reste intacte. Les mots crus de mes assaillants contribuent à mon excitation. Depuis notre arrivée, de nouveaux hommes sont apparus et à chaque sexe rassasié lui succède un nouveau. Je ruisselle de sperme. Les uns se vident sur mon visage, d’autres sur mes fesses ou mon dos. L’odeur de foutre en devient écœurante. Malgré tout, je ne me lasse pas de voir ces hommes se branler frénétiquement sur moi, de voir leurs sexes cramoisis gonfler jusqu’au moment où ils expulsent leur liqueur sur mon corps. Le frottement du latex brûle les parois de mon anus qui pourtant en réclame toujours plus. Les vapeurs de cannabis m’envahissent toujours la tête et contribuent à entretenir mon désir. Entre deux éjaculations, j’aperçois Chantal qui, une main sous sa jupe, me filme en gros plan de l’autre. A ce moment, pour la première fois je comprends que je ne m’appartiens plus mais que je suis à eux et que leur plaisir coïncide totalement avec le mien, qu’ils sont pour moi un révélateur. Mon seul regret est que je meurs d’envie que la bouche de Chantal me libère de ce désir qui me tenaille toujours les reins et que les hommes, qui me possèdent et ne se soucient que de leur plaisir, négligent. Cela fait plus d’une heure que je me livre à eux et certains commencent à revenir pour un second service. J’ai l’impression que mon cul ne se refermera plus jamais tant il s’est ouvert sous les assauts de ces mâles brutaux qui me possèdent. Je suis maintenant recouvert de sperme des cheveux aux cuisses et, sans volonté, me prête à toutes les exigences de ceux qui jouissent de moi. Ainsi, certains se frottent le gland sur ma langue jusqu’à ce qu’ils se répandent sur moi, d’autres me prennent la main pour que je leur pénètre l’anus.
Après maintenant deux heures de fantaisie, il y a un moment d’accalmie. La plupart des hommes sont repartis, seuls trois hommes en quête d’un retour de forme attendent à mes côtés tandis qu’un homme bedonnant, qui n’a pas encore eu l’honneur de mon cul, frotte son sexe mollasson contre ma raie à la recherche d’un état digne de me pénétrer. Couché sur le côté, je n’en peux plus et n’ai qu’une envie : me reposer. La voix de Chantal me tire alors de ma torpeur :
« Ah, Mario, te voilà ! On commençait à s’impatienter. On attendait plus que toi. »
Puis regardant dans ma direction :
« Le voilà, il est à toi. Profite-en, nos amis l’ont bien préparé. »
Me redressant quelque peu, je regarde dans leur direction et aperçois un colosse d’au moins deux mètres au look de camionneur, âgé d’une quarantaine d’années. Jacques, toujours la bite à l’air, lui serre chaleureusement la main. Apparemment, ils le connaissent bien. Jacques s’adresse à son épouse et lui dit :
« ma chérie, à toi l’honneur »
Celle-ci donne son caméscope à Jacques, se baisse, ouvre la fermeture éclair du nouvel arrivant et en extirpe un sexe, qui me sort immédiatement de ma torpeur, ainsi que mes voisins d’ailleurs. Je n’ai jamais vu cela. La bite, pourtant de taille démesurée, de Jacques paraît presque de taille presque modeste à côté. L’engin, pourtant encore au repos, pend quasiment jusqu’à mi-cuisse : une vraie bite de cheval. Chantal entreprend un lent mouvement masturbatoire entrecoupé de doux baisers sur son gland de la taille d’une petite clémentine. Le monstre ne tarde pas à se redresser lentement mais sûrement. Même Jacques semble fasciné. Le phallus se déploie, se redresse et s’allonge sans cesse. La bouche de Chantal se pose sur le gland, maintenant congestionné, qu’elle a du mal à engloutir. Les sexes des trois hommes à mes côtés, maintenant au garde à vous, me paraissent minuscules à côté. Cette vision excitante a également redonné un coup de fouet au gros qui se trouve derrière moi, puisque je sens son sexe se redresser jusqu’à ce qu’il s’introduise dans ma rondelle. Cette nouvelle sodomie, conjuguée au spectacle qui s’offre à moi, me remet immédiatement en condition. L’homme se branle maintenant dans la bouche de Chantal, qui donne l’impression que sa bouche va éclater sous la taille du pieu. Les mains crispées sur mes hanches, mon sodomite qui savoure le même spectacle que nous par-dessus mon épaule, m’annonce dans un couinement que mon cul lui a vidé les couilles. Tandis qu’il se retire de mon anus endolori par cet après-midi de tous les excès, Jacques se lève, casse l’étreinte fascinante que forme sa femme et ce phénomène, qu’il dirige vers moi.
« C’est la cerise sur le gâteau » me dit-il en faisant s’accroupir le colosse sur mon torse.
Les battements de mon cœur s’accélèrent. Avec mes 70 kg, je suis écrasé sous ce poids d’au moins 120 kg. Sans possibilité de fuir, je suis contraint de prendre en bouche ce bâton turgescent qui pointe vers moi. Paniqué, je sens ce membre énorme s’enfoncer progressivement dans ma bouche. En quelques secondes, elle est remplie d’un liquide séminal aussi abondant qu’une éjaculation. Ma bouche étant distendue, je suis contraint de l’avaler à petites gorgées. Mario me saisit une main et me fait comprendre qu’il veut que je lui caresse les couilles. J’ai l’impression de toucher deux oranges. A ce moment, j’espère qu’il ne va pas se vider dans ma bouche car je risque l’étouffement. A chaque fois qu’il essaie de s’enfoncer plus en avant, je réprime des haut-le-cœur. Ce traitement dure une dizaine de minutes sous le regard vigilant de Chantal et Jacques qui se caressent les parties intimes en me filmant. Enfin, l’homme se redresse. Je me place immédiatement à genoux et, bouche ouverte, branle son membre pour accueillir sa jouissance sur moi quand d’un ton violent Jacques m’ordonne :
« Pas comme ça, offre-lui ton cul. Je veux te voir écartelé par sa queue. »
Ce n’est pas possible ! Je ne peux pas, le jeu est fini, j’arrête tout. J’essaie de m’enfuir mais je suis vite maîtrisé par Jacques et son ami qui me plaquent au sol. Je les supplie. Je suis prêt à tout mais pas ça. J’ai exécuté tous leurs caprices mais là c’est trop. Rien n’y fait. Jacques demande juste à Chantal de me lubrifier l’anus. La simple application du gel suffit à reveiller les douleurs causées par le traitement que j’ai subi aujourd’hui. Sachant que je n’ai d’autre choix, je caresse de nouveau la queue de Mario en espérant que le supplice sera écourté mais celui-ci ne tarde pas à se présenter derrière moi.
Le bougre pointe son énorme dard sur ma rondelle qu’il presse lentement jusqu’à ce que j’en absorbe le bout. Progressivement, je me sens investi par cette énorme matraque. Lorsque la douleur m’arrache un cri, mon enculeur stoppe sa progression puis recommence lentement. Sous les regards attentifs de Chantal, Jacques et les trois hommes qui sont restés pour le spectacle, Mario met de longues minutes pour m’enfoncer la moitié de sa queue dans les entrailles. A plusieurs reprises, j’ai l’impression qu’elle va m’ouvrir en deux. Enfin, j’apprends à pousser sur mes sphincters pour m’ouvrir au maximum pour accueillir la bête. A force de patience, le bougre parvient enfin à s’enfouir entièrement dans mon boyau. La sensation est tel que j’ai l’impression d’accueillir trois sexes les uns derrière les autres et que le gland va me ressortir par la bouche. Petit à petit, mon anus se forme à cet hôte imposant et lorsque la douleur s’estompe, je m’aperçois que mon sexe frappe mon nombril et que je ressens les signes annonciateurs de la jouissance. Au fur et à mesure que Mario me ramone le cul d’un mouvement lent et régulier, le plaisir m’envahit. Je me laisse totalement aller à mes sensations. Petit à petit, Mario amplifie ses mouvements et ressort maintenant entièrement sa queue avant de la replonger dans ma croupe offerte. Au moment où je suis au bord de jouir, il se relève, repasse devant moi et place son gland congestionné entre mes lèvres tandis qu’il se branle activement. Pendant ce temps, Jacques force un des trois hommes à s’agenouiller derrière Mario et lui dit :
« Branle-lui le cul avec ta langue. Il adore ça »
J’aimerais tellement me faire jouir mais mes deux mains sont occupées, l’une à caresser les couilles pleines de Mario, l’autre à branler un autre homme. Mario, sous l’effet conjugué de ma bouche, de sa branlette et de la langue qui lui fouille le derrière annonce bientôt qu’il va jouir. Surexcitée par le spectacle, Chantal m’ordonne de bien ouvrir la bouche et de tout avaler. Soudain, un véritable torrent de foutre se déverse en moi. Les giclées, dont le volume et le nombre sont proportionnels aux dimensions de l’organe, se succèdent. Bientôt, ma bouche déborde de ce jus chaud et épais que je ne peux engloutir totalement. Le trop plein me dégouline sur le menton et le torse. L’homme que je branle en profite pour se vider sur ma joue. Je saisis l’occasion pour saisir mon sexe afin de me soulager lorsque Jacques m’ordonne de cesser. Echauffé par le spectacle, il réclame sa part.
Epuisé, je n’ai pourtant pas la volonté de refuser. Entièrement nu, il me demande de m’allonger sur le dos. Il s’agenouille entre mes jambes écartées qu’il relève en me saisissant derrière les genoux. Sans plus attendre, il précipite brutalement sa queue à l’intérieur de mon trou qui ne s’est pas encore refermé du précédent assaut. Contrairement à l’habitude, je le reçois sans trop de difficulté. En ponctuant chacune de ces phrases de coups de rein brutaux, il me dit alors :
« J’espère que tu as compris la leçon. Nous sommes tes maîtres. Tu dois nous obéir sans réfléchir. Ta bouche nous appartient, ton cul nous appartient, tu nous appartiens. Tu suces qui nous te désignons et tu te fais enculer par qui nous voulons. Maintenant, tu sais ce qu’il t’en coûtera de désobéir. Et n’oublie pas que maintenant nous avons un film de tes exploits ! »
En redressant la tête, je vois sa grosse queue entrer et sortir de mes fesses que j’écarte des deux mains. Ce traitement dure de longues minutes. Le sperme qui me recouvre a séché et, malgré le plaisir que j’éprouve, je me sens avili, humilié d’être utilisé de la sorte en public. Enfin, Jacques accélère les mouvements jusqu’à ce qu’il se plante définitivement au fond de mon cul pour y déverser son jus. Au même moment, sans me toucher, j’explose dans un orgasme trop longtemps contenu. Jacques se redresse et me dit :
« Tu nous as tous vidé. Ce sera tout pour aujourd’hui. On rentre ».
En me relevant, lorsque je sens le sperme de Jacques couler de mon anus béant le long de mes cuisses, la honte me submerge totalement.
Désormais, ma vie a basculé. Je suis pris dans un engrenage qui me met à la merci totale de Jacques et Chantal.
Ajouter un commentaire