Je ne résiste pas à l’envie et au plaisir de raconter dans le détail mes expériences libertines lors d’un séjour passé chez ma tante et mon oncle, il y a quelques années… C’était Geneviève et Charles. Geneviève était une sœur de ma tante Mado, de quelques années sa cadette…
Je n’étais qu’un jeune homme .Mais c’était une époque où je me faisais jouir très souvent.
Ma tante Geneviève, elle a 48 ans à cette époque. J’éprouvais pas mal d’envies pour elle, et quand elle venait à la maison pour dîner, le soir, dans mon lit, je me caressais en imaginant plein de choses, en pensant à son corps. C’est une belle femme, assez grande et bien faite pour son âge ; elle est assez typée, elle est très brune, avec des cheveux courts à la garçonne, des beaux yeux verts, de belles jambes et surtout une grosse de poitrine à laquelle je rêvais…
Je louchais dans son décolleté, je regardais ses seins bouger sous ses vêtements quand elle marchait et imaginait leur forme, leur consistance.
Cette année-là, au début des vacances d’été, il fut convenu que j’irais justement loger chez mon oncle et ma tante, dont la fille, ma cousine Anne, était chez ses grands-parents. Il y avait donc une chambre pour moi. Ça me plaisait d’aller habiter chez eux, j’aimais bien leur maison, mais surtout de la connaître mieux dans son cadre de vie de tous les jours, et disons-le, dans son intimité.
Mon oncle Charles devait être en voyage d’affaires les premiers jours et je devais donc être seul avec elle pendant le début de mon séjour. Ça a commencé dès le premier matin au petit déjeuner ; j’arrivais en pyjama dans la cuisine, elle y était déjà, en chemise de nuit en coton imprimé, sous laquelle j’observais tout de suite qu’on ne distinguait pas de trace de soutien-gorge dans son dos quand la chemise de nuit se tendait. Fasciné, pendant qu’elle me préparait mon chocolat, je regardais bouger ses gros seins libres, en m’efforçant d’en deviner la forme et les pointes sous le fin tissu de jersey.
Après le petit déjeuner, je m’enfermai dans ma chambre et me branlai tout de suite en pensant à tout ça, j’étais très excité, je giclai abondamment et très vite. L’après-midi, sous prétexte de faire la sieste, je recommençai et me fis jouir en pensant au corps pulpeux, aux seins ballottant de cette belle salope de Tantine Geneviève, à son entrejambe à l’air sous sa chemise de nuit…
Le lendemain, sur ce plan-là, déception au petit déjeuner, elle portait un peignoir en éponge suffisamment épais pour ne pas laisser deviner grand-chose. Mais ensuite, dans la matinée, je passai devant la porte de sa chambre, elle était entr’ouverte et j’entendis un bruit d’eau qui coule, un bruit de douche.
Le cœur un peu battant, je me souviens avoir poussé un peu la porte.
Je la voyais de dos en train de se doucher avec la douche téléphone, et selon les mouvements qui la rapprochaient du rideau de douche, je distinguais mieux la forme de son cul, je devinais par moment l’ombre de sa raie des fesses… Je bandais déjà comme un a****l en rut.
Elle coupa l’eau, zut c’était fini ! Et puis non, ça y est, elle se retourna pour att****r la serviette éponge. Avant qu’elle ne s’enveloppe dans la serviette, , elle me fit face, et je distinguai derrière la transparence floue du rideau de plastique, de façon assez vague, la forme de ses gros seins qui bougeaient, les bouts plus sombres de ses tétines, mais surtout le triangle noir en bas de son ventre, cette chatte que j’avais tant envie de voir, ces poils, cette toison qui me sembla très importante, ce qui m’excita encore plus si c’était possible…
Je ressortis sans bruit de la chambre et allai tout de suite dans la mienne me soulager. J’étais très excité, en quelques branlées mon sperme inonda ma main et mon ventre, j’étais cramoisi, la figure en feu, le cœur battant la chamade. Deux fois encore dans la journée, je me fis jouir en pensant à ce corps nu, à ces fesses, à ces seins, à ces poils de brune entrevus, images défendues et donc encore plus excitantes. J’en avais mal à la bite.
Le lendemain matin, je me réveillais vers 9 heures, la maison était silencieuse, elle devait être encore au lit. L’excitation me reprit et je bandai à nouveau en pensant à Tatie Geneviève, en rêvant encore à son corps. Je restai dans le lit, mais je baissai mon pantalon de pyjama pour pouvoir commencer à me toucher. De plus en plus excité et poussé par des désirs un peu exhibitionnistes, je retirai complètement mon pantalon de pyjama et aussi le haut, j’étais complètement nu sous le drap, en train de me caresser, c’était excitant et très bon.
C’est à ce moment que la porte s’ouvrit, et que ma tante entra dans la chambre.
— Alors, petit paresseux, encore au lit à cette heure ?
Dans la demi-pénombre, elle alla directement à la fenêtre et tira brusquement les rideaux, la lumière entra à flot. Elle était vêtue de son peignoir de bain en éponge et devait sortir de sa salle de bain, ses cheveux encore humides mais, autant que je pouvais m’en rendre compte, déjà parfumée, de ce parfum très féminin qui me donnait des idées à lui tout seul. Tout ceci se passa très rapidement, et elle arriva vers moi à côté du lit, et avant que je n’aie eu le temps de rien dire ou faire, en disant :
— Allez debout, on se bouge !
Elle fit ce à quoi je ne m’attendais absolument pas : elle attrapa le drap et dans un grand geste, elle ouvrit complètement le lit…
Sur le moment, elle resta sans rien dire ; vraiment surprise par le spectacle que je lui offrais : entièrement nu, la bite raide. Je n’osais pas bouger, et j’étais partagé entre la confusion extrême et l’excitation de m’exhiber ainsi devant elle. Deux raisons pour lesquelles, je sentais que ma figure devait être cramoisie, presque de la couleur du bout de ma bite. Il faut dire à ce stade du récit qu’à cet âge j’étais encore loin d’avoir atteint ma taille d’adulte, il s’en fallait de près de vingt bons centimètres, mais que ma bite avait, elle, je pense, sa taille définitive, qui est normale pour un adulte.
Par contraste, et comme j’étais assez fluet, pas du genre très costaud, il pouvait sembler que j’étais comme on dit « très bien monté ». Peut-être ce phénomène peut-il expliquer l’attitude et la réaction de ma tante à ce moment ? Avec le recul, je me le suis souvent demandé. Car à ma grande surprise, sa réaction ne fut pas celle à laquelle on aurait pu s’attendre, par exemple de refermer le lit avec le drap qu’elle tenait toujours dans la main gauche, et de sortir en disant quelque chose du style discret : « Je t’attends pour le petit déjeuner », ou bien plus réprobateur : » « Quand tu seras calmé, tu viendras déjeuner… »
Non, ce ne fut rien de tout cela. Gardant le drap dans la main, elle contemplait ma nudité et après ce silence qui me parut très long, elle fit, d’une drôle de voix, un peu sourde :
— Eh bien, dis donc, toi, tu m’avais caché ça, hein ? En voilà un drôle de machin, hein ! Qu’est-ce que tu étais en train de te faire, hein, petit cochon ?
Figé, je ne pouvais rien répondre, la figure toute rouge, et encore trop excité, je ne pouvais pas débander. Alors l’incroyable se passa : sa main gauche laissa retomber le drap sur le pied du lit, ce qui me donna l’impression d’être encore plus nu, puisqu’elle ne pouvait plus aussi facilement le remettre en place sur moi, et sa main droite prit la ceinture en éponge de son peignoir, et faisant balancer comme un pendule le morceau d’environ vingt centimètres qui pendait en dessous de sa main, elle amena l’extrémité de la ceinture au-dessus de ma bite toujours dressée. Puis elle l’abaissa pour qu’elle vienne en contact avec la base de mon organe, et la remonta doucement vers l’extrémité. Le tissu éponge me frôlait agréablement, et quand il arriva au gland je me cambrais sous la caresse…
— Là, comme ça, c’est bien, hein ? me murmura-t-elle doucement. Se passant la langue sur ses lèvres.
Maintenant elle maintenait le bout de la ceinture sur le bout de ma bite, et je me mis à haleter sous la caresse, en me cambrant pour aller à la rencontre du bout de tissu qui me frôlait. Je sentais mon cœur qui battait à se rompre, pour mieux m’offrir j’écartais largement mes cuisses, exhibant mon entrejambe sans plus aucune pudeur. Jusque là, je n’avais pas osé la regarder, mais là je le fis et ce que je vis ne fut pas pour me calmer. Elle avait les yeux sur mon bas-ventre, mais le regard me parut trouble, la bouche entr’ouverte, et c’est là que je m’aperçus que sa main gauche avait disparu sous le peignoir, entre ses cuisses.
Je haletais de plus en plus, car elle avait raccourci le morceau de ceinture qui lui servait pour me toucher et maintenant elle s’en servait comme d’un pinceau sur le bout du gland. Je sentais mon spasme venir, je le voulais, j’avais envie de gicler devant elle, cette salope qui se caressait en me faisant jouir. Je gémis et, secoué par le plaisir, je vis le sperme jaillir de mon membre et se répandre sur mon ventre. La caresse de la ceinture ne me suffisait plus, j’attrapai sans aucune pudeur ma bite à pleine main pour me finir, un sperme blanc et épais sortant à grandes giclées…
Un peu dégrisé, je refermai mes jambes et remontai mes genoux dans une attitude un peu plus pudique, ma bite se ramollissant un peu. Ma tante plongea sa main droite dans la poche de son peignoir et en retira un mouchoir.
— Ça va mieux ? Attends, je vais t’essuyer un peu…
Elle commença à m’essuyer le ventre avec une main, puis avec les deux mains, maintenant elle m’essuyait aussi le bout du gland en me tenant la bite avec la main gauche. Je me laissais faire, c’était bon, puis je me rendis compte que cet « essuyage » se prolongeait et était agréable. Elle continuait à me frotter le bout du gland, je me remis à bander, de nouveau excité, elle me touchait, elle me caressait ! Je ne rêvais pas ! Elle jeta le mouchoir par terre, sa main droite me tenait la bite, me caressant le gland. La main gauche se glissa sur mes couilles, puis entre mes jambes.
Déjà fou de désir, je me laissai faire. Elle abandonna alors ses caresses pour dénouer la ceinture de son peignoir, et en un clin d’œil, elle l’ouvrit et tomba par terre. Elle ne portait rien en-dessous, et m’offrait son corps entièrement nu. Les yeux écarquillés, je contemplai, ses gros seins lourds ballottant et pointant en avant, son bas-ventre recouvert d’une épaisse toison en triangle, noire et frisée, remontant assez haut, comme un buisson épais, jusqu’à une limite bien nette avec le ventre lisse.
Elle m’enjamba alors pour venir se mettre à califourchon sur moi. Dans ce geste, elle offrit son entrejambe à ma vue, découvrant sa vulve rouge et ouverte au milieu de sa toison de brune fournie. À cheval sur moi, je sentis cette partie chaude et humide de son corps se poser sur ma bite ; en même temps, elle me prit les deux mains dans les siennes pour les poser sur ses seins ! Affolé de désir malgré mon éjaculation récente, je les pris à pleines mains, ils étaient lourds. Je les soulevai pour en sentir le poids, j’en touchai les bouts, les tétines durcies par le désir. Pendant ce temps, je sentais qu’elle me prenait la bite, la soulevant pour la rentrer en elle, pour que je la pénètre. En même temps, elle se coucha sur moi, ses seins s’écrasèrent sur ma poitrine et elle descendit son bassin pour mieux s’empaler sur ma bite, en me disant :
— Allez, vas-y, vas-y, remue-toi, petit cochon !
Dès que je commençai à donner instinctivement des coups de reins, elle se mit à haleter, puis à gémir, en murmurant :
— Oh, mon petit salaud, que tu es bon, vas-y, vas-y ! Remplis-moi !
Entre deux gémissements, elle colla sa bouche à la mienne et sa langue chaude me fouilla. Nous nous embrassions maintenant à pleine bouche et à pleine langue. J’y allais en même temps à grands coups de reins, ma bite coulissait dans sa chatte béante et trempée. Toujours haletante, elle se mit à rouler sur le côté en m’entraînant avec elle, en me disant :
— Viens sur moi, maintenant, viens !
– Oui Tatie.
– Pine moi !
– Oui Tatie.
Je basculai par-dessus elle, et me retrouvai promptement couché sur elle, en train d’y aller entre ses cuisses ouvertes. Elle se mit à gémir de plus en plus fort, elle m’entoura mes jambes avec les siennes :
— Oui ! Oui ! Fort ! Fort !
Je n’en pouvais plus, moi non plus, ça venait ! Je gémis aussi en giclant délicieusement, en me vidant en elle dans un spasme bien plus fort que dans mes masturbations, en sentant un plaisir beaucoup plus intense… Je continuai à donner des coups de reins jusqu’à ce que mon plaisir soit épuisé, je m’arrêtai alors, mais elle me prit les fesses à deux mains en continuant à haleter et en me forçant à continuer à grands coups
— Encore, encore, ne t’arrête pas ! Oui ! Oui !
Elle en voulait encore plus, tant que ma bite était encore suffisamment raide pour que ça marche, pour que ça coulisse en elle. Bien que vidé de mon désir, je m’appliquai à lui fournir à grands coups ce qu’elle voulait ; dégrisé, je pouvais contempler de manière plus lucide le spectacle incroyable pour moi de cette femme respectable, de cette mère de famille, de ma tante, qui jouissait comme une bête sous mes coups de queue…
Petit à petit, elle se calma, je ralentis mon rythme, puis finis par m’arrêter. Nous restâmes quelques instants comme ça, épuisés, encore haletants. Puis elle me prit par les épaules et me repoussa doucement en me disant :
— Voilà, enlève-toi maintenant.
Je me retirai d’elle et roulant sur le côté, me retrouvai allongé sur le dos, à côté d’elle, serré contre elle sur le petit lit à une place. Sans me dire un mot, elle se leva, et debout me tournant le dos, ce qui me donna l’occasion de contempler son cul, elle attrapa son peignoir, l’enfila rapidement et sortit de la pièce. J’étais là, allongé sur le dos, la bite ramollie et encore trempée, je n’avais quand même pas rêvé tout ça, je venais de faire l’amour à ma tante après qu’elle m’eut au préalable délicieusement branlé avec la ceinture de son peignoir…
M’étant rhabillé de mon pyjama, je me rendis à la cuisine où elle se trouvait déjà, en train de préparer le petit-déjeuner, comme si rien ne s’était passé. Je la trouvais belle et désirable, je ne pouvais oublier son corps et les détails intimes que j’avais découverts, ni sa jouissance et le bruit de ses gémissements de plaisir, du plaisir que je lui avais donné… J’aurais voulu prolonger cette intimité avec elle, l’embrasser encore, mais non, c’était vraiment comme si rien n’avait eu lieu, j’étais le jeune neveu en pension chez sa tante, en train de prendre le petit déjeuner
Très à l’aise apparemment, elle s’adressait à moi de manière naturelle :
— Tu veux encore du chocolat ? Il fait beau, qu’est-ce que tu vas faire aujourd’hui ?
J’étais quand même un peu abasourdi par cette attitude, je trouvais même que cela accentuait le côté physique de cette aventure, on avait bien joui ensemble et puis voilà, c’était fini… la vie continuait comme avant, on n’y faisait aucune allusion, on ne savait même pas, après tout, si on était susceptible de recommencer…
Le lendemain matin, je dormais encore quand ma tante entra dans la chambre pour me réveiller. Je ne fus pas long à émerger du sommeil quand je m’aperçus qu’elle était en chemise de nuit et qu’il était visible, même dans la demi-obscurité de la chambre, que celle-ci était transparente… Elle alla à la fenêtre pour ouvrir les rideaux, et dans le contre-jour, m’apparut nue sous le tissu léger d’une chemise de nuit qui semblait faite d’un tissu pour moustiquaire…
Elle se retourna et marcha vers moi, sous le tissu léger, je voyais très bien ses seins qui bougeaient au rythme de sa démarche et le triangle sombre de sa chatte qui se découpait sur sa peau. Je sentis son parfum quand elle s’approcha de mon lit et, comme la veille, elle arracha le drap d’un seul coup. J’étais torse nu, car il faisait chaud la nuit, mais mon pantalon de pyjama était déjà soulevé par mon érection naissante provoquée par ce spectacle matinal. Elle me prit la main et me tira hors du lit en me disant seulement d’une voix rauque :
— Viens.
Me tenant par la main, elle m’entraîna hors de la chambre, vers la sienne qui était au fond du couloir. Je la suivis en contemplant ses fesses que faisait rouler sa démarche, sous la chemise de nuit, la bite maintenant complètement dressée sous mon pantalon de pyjama. Arrivée dans sa chambre, elle fit passer sa chemise de nuit par-dessus sa tête et m’exhiba son corps nu, sans obstacle. Sans dire un mot, elle prit la ceinture de mon pantalon de pyjama et me le baissa, découvrant ma bite dressée verticalement. Elle me redit alors :
— Viens… d’une voix sourde et m’entraîna vers le lit où nous nous assîmes côte-à-côte.
Bien que très excité par le désir fou d’elle, je n’osai rien faire, je ne savais pas trop par où commencer… Elle me prit dans ses bras et colla sa bouche à la mienne, nos langues se rencontrèrent à nouveau, elle prit ma main et la posa sur ses seins, que je commençai à pétrir maladroitement.
— Embrasse-moi le cou.
Je ne me fis pas prier, puis j’osai descendre ma bouche vers ses seins, elle me les offrit.
— Tète-moi… Suce-moi les bouts !
Et je pris dans ma bouche sa grosse tétine, en suçant et en aspirant. On s’allongea sur le lit et elle prit ma main pour l’amener sur son ventre, j’osai descendre ma caresse, j’arrivai dans les poils, puis plus bas, c’était très humide, tout coulant…
Elle guida mes doigts pour que je la pénètre :
— Voilà, vas-y, comme ça, oui.
Je sentis alors sa main sur ma bite, des doigts experts me découvraient, me caressaient agréablement le gland.
— Viens, mets-toi debout, maintenant !
Je m’exécutai, debout devant elle qui était assise sur le bord du lit. Elle prit ma bite entre ses doigts et elle pencha la tête en avant. Sans oser le croire, je sentis sa bouche sur mon gland, elle me suçait ! C’était hyper bon, très doux, je sentais sa langue qui me titillait. Brusquement elle cessa, et m’attirant à nouveau près d’elle, elle me roula un gros patin à pleine bouche, je sentis le goût de ma bite et de mes secrétions dans sa bouche et sur sa langue, c’était très excitant.
Puis elle me fit allonger sur le dos, sur le lit, et se mettant à califourchon au-dessus de moi, elle me présenta sa chatte, je voyais sa vulve dilatée devant ma figure, elle s’abaissa encore un peu, je compris ce qu’elle voulait, j’avançai mon visage, je plaquai ma bouche contre sa vulve, je la léchai à pleine langue pendant qu’elle oscillait légèrement du bassin pour venir à la rencontre de mes caresses buccales. Ensuite, elle se laissa descendre pour venir à plat ventre sur moi, et s’empaler sur mon sexe tendu tout coulant aussi. Je commençai à y aller à grands coups immédiatement.
— Touche-moi les fesses !
Je les pris à pleines mains, j’osai laisser aller mes doigts dans sa raie, explorer son anus, puis redescendre dans les poils, de part et d’autre de la fente dans laquelle mon membre allait et venait.
— Oui, oui, comme ça, vas-y mon chéri, oui !
Elle gémissait comme une bête et de temps en temps, prenait ma bouche à pleine langue. Puis, dans le même scénario que la veille, je vins sur elle pour la besogner en missionnaire mais, beaucoup trop excité, je ne pus me retenir et je giclai très vite, trop vite à son goût, car mon rythme se calmant et même s’arrêtant pratiquement, elle ne pouvait pas jouir comme elle en avait envie.
Malgré ses « Encore, vas-y, encore, fort ! », j’avais fini et je me vautrais sur elle un peu épuisé. Vivement elle me repoussa et me coucha sur le dos. Là, à genoux sur le lit au-dessus de moi, elle s’agita de façon lascive, se caressant les seins et se branlant ostensiblement avec deux doigts dans son vagin dégoulinant de mon sperme. J’entendais le bruit mouillé que faisaient ses doigts en allant et venant. C’était un spectacle trop érotique pour que je reste indifférent et ma bite se mit à se redresser assez vite.
Elle se pencha sur moi et se mit à me sucer le gland de façon experte, puis à me lécher la hampe de la bite en descendant vers les couilles, qu’elle me lécha aussi, puis elle me demanda de me retourner, de me mettre à genoux sur le lit, je le fis en lui présentant mon derrière. Là, je sentis qu’elle écartait mes fesses, puis qu’elle me léchait la raie, l’anus ! De nouveau, je n’en pouvais plus de désir, et elle m’attira sur elle pour que je reprenne ma besogne interrompue un moment, ce que je fis de nouveau, à grands coups.
Ma bite coulissait incroyablement dans son vagin hyper lubrifié par ses sécrétions et par le sperme que j’avais répandu en elle. À chaque coup, mon pubis venait heurter le sien, buter sur sa vulve, lui arrachant des gémissements r. Elle criait littéralement, maintenant, et ne savait plus trop ce qu’elle disait :
— Oui ! Oui ! Mon chéri, oui ! Ouiiii ! Ouiiiiiii ! C’est bon, mon chéri…
– Oui tata, je te baise !
– Oui comme un grand !
– Oh, oui, petit salaud, mon petit cochon, mon chéri, vas-y, vas-y, comme ça, fort, fort. Ouii, ouiiiiiiiiii !
– …
– Oh Yves, doucement…
– Hmmmm Hmmmm
– Vas-y, tu fais ça bien !
– …
– J’aime ta queue, laboure-moi la chatte, plus vite, baise-moi fort…
– Tiens, prends ça, Tata ! Ah, dis-donc, tu aimes ?
– Oui oui ! J’te mets un doigt dans le cul, hein petit cochon !
– Oh oui !
– Ça aussi c’est nouveau !
– J’ai mal à la bite tellement je bande !
– Oui je la veux tout au fond ! Engrosse-moi !
– Alors, tu la veux plus profond ? J’en peux plus ! Moi !!!
– Ne t’arrête pas, me supplia-t-elle. C’est trop bon, tu es raide comme un bout de bois. Va plus vite et plus fort.
– Continue ! Oui… Putain ! Oui ! Oh ! Oui !
– Vas-y ! Vas-y ! Baise-moi fort. Oui ! Oui ! Oui ! Je te sens bien. Tu es gros, tu es fort dans ma moule. Ouiiii !!! Ouiiii !!!
J’y allais comme ça pendant un bon moment avant de jouir de nouveau moi-même et de gicler encore une fois, pendant que, rassasiée maintenant, elle se contentait de gémir doucement pendant que je jouissais en elle.
Après un moment passé à récupérer tous les deux, encore haletants, elle me repoussa doucement par les épaules, je me retirai d’elle et me relevai, la bite à moitié ramollie, encore à l’horizontale. Elle se releva aussi, se drapa rapidement dans un peignoir qui traînait par-là, et gagna la salle de bains où j’entendis le bruit de l’eau qui indiquait qu’elle faisait une toilette intime.
Le reste de la journée, comme la fois précédente, se passa de manière absolument normale et le soir mon oncle Charles rentra de voyage. Je me dis alors que pour le reste de mon séjour chez eux, ce genre d’expérience serait terminé, dommage, mais tant pis, ça me faisait de beaux souvenirs…
Je me demandais quand même comment ça se passait entre eux, en revenant de voyage, il devait avoir envie d’elle, ils allaient certainement faire l’amour ce soir, et j’aurais bien aimé entendre ou même voir comment ils faisaient. Je décidai d’essayer de les espionner, je découvrirais toujours des choses excitantes à ce sujet.
Une fois dans ma chambre, après leur avoir souhaité bonne nuit, je me mis en pyjama, mais je restai éveillé en guettant les bruits dans la maison. Au bout d’un moment, ils montèrent aussi à l’étage et je les entendis passer devant ma chambre pour gagner la leur, au fond du couloir. J’eus l’impression, à leurs petits rires que c’était bien parti pour être coquin… J’entendis ensuite l’eau couler dans la salle de bain, puis de moins en moins de bruits parvenaient à ma chambre, ils devaient s’être couchés. Je m’enhardis alors à entrouvrir la porte de ma chambre, sur le couloir, et à écouter. Je réalisais que j’entendais des petits bruits, des gémissements étouffés, qui semblaient me parvenir en direct, comme s’il n’y avait pas eu de porte entre eux et moi. Intrigué et à nouveau très excité, je sortis à pas de loup, pieds nus sur la pointe des pieds dans le couloir.
La moquette étouffait le bruit de mes pas et j’avançais silencieusement vers leur chambre.. Je continuai à avancer, le cœur battant, mais aussi le sexe déjà dressé tout dur dans mon pantalon de pyjama.
J’arrivai à la porte, elle était effectivement entrebâillée, mal fermée peut-être dans leur hâte de venir faire là ce dont ils avaient envie… La porte était entrebâillée d’un centimètre environ, ce qui ne me permettait pas de voir, mais de très bien entendre en tous cas. Le dialogue était sans équivoque et m’excita au plus haut point : j’entendais des bruits mouillés de bouche et les soupirs de Geneviève, qui disait :
— Oui comme ça c’est bon. C’est bon !
Puis sa voix à lui disant :
— À toi maintenant…
À vrai dire, je devinais bien un peu ce qu’ils devaient se faire, mais je voulais en avoir la confirmation, je n’en pouvais plus de désir, d’envie de voir, de les voir faire.
Enhardi par ce désir, je poussai très légèrement la porte, en espérant qu’elle ne se mette pas à grincer, j’ouvrai un peu, encore, encore, et par la porte maintenant entrebâillée, en collant un œil, je pus jeter un regard dans la chambre. Le spectacle valait le déplacement, la lumière de l’éclairage public de la rue sur laquelle donnait la fenêtre entrait par les persiennes ajourées et éclairait la chambre en clair-obscur. Charles à genoux sur le lit et Geneviève à demi allongée devant lui, et qui sans équivoque possible était en train de le sucer.
Il se déplaça un peu, ce qui le mit alors de profil par rapport à moi, je voyais très bien la forme de son sexe dressé verticalement, la bouche de Geneviève qui s’activait sur le bout de son gros bâton. Puis elle s’enleva et je distinguai encore mieux le sexe dressé de mon oncle. Il lui dit :
— Viens sur moi.
Il s’allongea sur le dos et elle pivota pour venir se mettre comme à califourchon sur lui, tête-bêche, en lui présentant son entrejambe au-dessus de sa figure. Il la saisit par les hanches pour la faire descendre vers lui et j’entendis distinctement le bruit mouillé que faisait sa bouche et les halètements de plaisir de Geneviève. Avec sa main maintenant, il lui appuyait sur le dos pour la courber en avant vers son propre sexe dressé sur son ventre.
Dans la lueur de la fenêtre je la vis distinctement prendre la bite pour la redresser suffisamment pour pouvoir la porter à sa bouche et elle commença à de nouveau le sucer. Les yeux exorbités par ce spectacle hyper érotique de ce couple en 69, qui s’activait avec des bruits de bouche, je n’en pouvais plus de désir. Impatient, je déboutonnai en grand ma veste de pyjama et je baissai mon pantalon, qui tomba sur mes chevilles. Je me branlais, c’était vraiment très bon en les regardant. Dans tout ça, du reste, je ne m’étais plus préoccupé de la porte, que j’avais progressivement repoussée dans l’excitation du spectacle, et qui était maintenant beaucoup plus largement ouverte, mais je me sentais protégé et caché par l’obscurité complète du couloir par rapport à la chambre.
À ce moment, ils arrêtèrent leur jeu de sucette-léchette, il la repoussa en disant :
— Voilà, voilà, arrête-toi…
Probablement parce qu’il ne voulait pas finir dans sa bouche et en garder pour la suite. Elle se releva en lâchant sa grosse bite qui revint se plaquer sur son ventre comme un ressort bandé, c’est le cas de le dire, et ils se retrouvèrent tous les deux à genoux sur le lit. Il passa derrière elle en lui prenant les seins à pleines mains et en l’embrassant sur la nuque, une de ses mains descendant sur son ventre, puis dans ses poils. Dans cette position, ils étaient tous les deux tournés vers la porte et je m’étais instinctivement un peu reculé pour être complètement plongé dans l’obscurité du couloir, nu et en train de me branler que j’étais. C’est alors que se passa un événement inattendu, que je n’avais absolument pas prévu.
Une voiture passa dans la rue, qui d’habitude était calme la nuit, on entendit le bruit, et au moment où elle passa sous la fenêtre, qui était au premier étage, la lumière de ses phares illumina les persiennes et éclaira largement la chambre… Non seulement la chambre, mais aussi la porte ouverte et moi debout, pyjama ouvert, pantalon baissé, sexe dressé dans ma main, une attitude ne laissant aucune équivoque sur mon état d’excitation.
Naturellement, à ce moment, ils m’ont vu tous les deux, et pendant une seconde qui me parut une éternité, il ne se passa rien, la voiture était passée, tout était maintenant retombé dans la demi-obscurité. Pétrifié, je ne bougeai plus, et c’est alors que je vis Charles lâcher Geneviève, enjamber le lit pour se mettre debout, et se diriger vers moi, avec sa grosse bite dressée verticalement, comme jaillissant de ses poils de sexe. Il arriva sur moi, et me saisis un bras, je pensai que j’allais recevoir une véritable raclée, mais non à ma grande surprise, je sentis son autre main qui expertisait ma bite et mes jeunes couilles dans l’obscurité, en même temps il m’entraîna vers le lit sur lequel Geneviève, toujours à genoux, avait une main glissée dans son entrejambe, sous le triangle noir de sa toison.
Éperdu, je me laissai faire, marchant avec difficultés, à petits pas à cause de mon pantalon sur mes chevilles. Arrivé au lit, du reste, Charles m’arracha ces vêtements, je me retrouvai entièrement nu, et sans avoir prononcé un mot, il me poussa vers Geneviève. Elle me prit dans ses bras et sa bouche se colla à la mienne, sa langue me fouillait, ses mains me caressaient par-devant, ma bite, mes couilles, mes poils, se glissaient dans mon entrejambe.
Puis, passant sur le côté, il prit mes mains et, en posant une sur les seins de sa femme et l’autre dans ses poils de sexe, pour la première fois il parla :
— Vas-y, petit cochon, pelote-la bien, elle aime ça.
Puis il s’abaissa vers mon ventre et je sentis sa bouche qui commençait à me sucer… Excité comme je l’étais déjà, je ne pus pas résister et très vite, je jouis en gémissant et je sentis que j’éjaculais à grandes giclées dans sa bouche. Il me repoussa alors et je le vis rouler un gros patin à Geneviève, peut-être pour la faire profiter de mon sperme qu’il avait dans sa bouche.
Il la renversa sur le lit, elle écarta docilement les cuisses, et venant sur elle, il se mit à la limer à grands coups de reins en haletant comme une bête en rut qu’il était à ce moment. Elle râlait de plaisir, prononçant des mots sans suite puis, lui-même se mit à gémir pendant qu’il éjaculait, ses coups de reins ralentirent, puis s’arrêtèrent.
La séance était finie, et tout le monde manifestement avait bien joui. Mais ils étaient là, tous les deux sur leur lit, encore l’un sur l’autre, et même je crois l’un dans l’autre, mari et femme après l’amour, et moi, très gêné, tout nu, allongé sur le lit à côté d’eux, la bite ramollie encore toute mouillée de mon sperme, je ne savais vraiment pas trop quelle attitude prendre. Je me levai le plus vite possible et me sauvai dans ma chambre sans rien dire…
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