Voilà, c’est décidé, je vais aller à cette invitation où l’on me promet un après-midi mémorable, la personne au téléphone m’a dit que je n’allais pas le regretter et que j’avais une invitation spéciale que nous devrions être une bonne douzaine de participants.
J’ai donc pris mon jeudi, le jeudi 12 juillet 2018. Je suis parti très tôt ce matin de Caen, quand j’écris très tôt cela veut dire 9h, ce qui devrait me permettre d’arriver à Tours un peu avant midi. Je suis aussi attendu au restaurant en compagnie d’une inconnue. Pas une inconnue complètement inconnue, non je connais bien la partie physique de cette belle femme et un peu aussi une de ses qualités : l’exhibitionnisme. Nous devons déjeuner ensembles ce midi, nous avons RDV sur un parking où elle m’a dit qu’elle m’attendrait.
J’arrive au lieu-dit, le parking est presque désert, il est 11h45 et je recherche mon inconnue. Je ne mets pas longtemps à la retrouver, soit elle est effectivement une exhibitionniste soit elle parfait son bronzage pour l’été.
Je remarque de suite ses belles épaules bien sculptées, j’aime les épaules des femmes, l’endroit où je pose généralement le premier baiser quand je les rencontre mais pas la première fois, quand je sais que je ne leur suis pas indifférent. Mais là je remarque aussi ses belles jambes et mes yeux vont jusqu’à son entre cuisse, une belle culotte ou string en coton blanc assez transparent.
Elle ne m’a pas vu arriver ou bien reste t’elle exprès comme cela. Ma verge se raidit à cette belle vue, l’envie de lui poser une main sur sa cuisse gauche me traverse l’esprit, mais je reste gentleman et ne m’y aventure pas. Je dois trouver rapidement une solution pour lui informer ma présence sous peine d’avoir une bosse sur mon pantalon de toile, bosse qu’elle aurait vite fait de remarquer et qui me trahirait. Je prononce d’un ton interrogatif : Petite Fleur Sexy ?
Elle tourne la tête, se redresse, écarte ses jambes et s’assoit sur les sièges arrières de ce cabriolet, une jambe à l’intérieur et l’autre à l’extérieur. Ses jambes écartées suffisamment pour faire remonter sa robe le longs de ses belles cuisses, ce qui a pour effet de me montrer que je ne me suis pas trompé, sa culotte est bien en coton blanc mais pas transparente. La vision de cette culotte me fait imaginer une belle fente épilée mais pas entièrement et ne fait que d’accroitre un autre effet celui de me faire bander au point de ne pouvoir le cacher. Sa robe elle est transparente et je vois ses seins, surement un 95c voire 95d, la fente est bien prononcée, je m’imagine en train d’y poser ma verge raidit et elle l’enveloppant avant de commencer un doux massage…
Je bredouille un bonjour timide, je suis plus qu’intimidé, comme un adolescent devant sa première petite amie nue sur une plage
Elle me répond un bonjour un peu timide aussi mais bien moins que le mien et me sourit, un beau sourire aguicheur qui ne peut laisser indifférent aucun homme. Et je ne reste pas indifférent je ne sais où poser mon regard. Sur ces yeux et trahir mes pensées, sur sa poitrine généreuse ou bien plus bas.
Elle me propose de laisser ma voiture sur le parking et que l’on prenne la sienne, elle connait mieux Tours que moi et donc que cela sera plus pratique. Je bredouille à nouveau un oui et lui dit que je dois aller chercher ma veste de toile légère dans ma voiture et la garer si possible à l’ombre. Un beau mensonge, ce parking est en plein soleil et pas une seule ombre, mais je dois débander
Voilà c’est fait, j’ai pris mon temps, je devais absolument reprendre mes esprits et quand je reviens, elle m’attend au volant de son Audit blanche comme ses sous-vêtements qui surprise ont disparus. Luc reste concentré, ne bande pas à nouveau me dis-j, mais comment faire en voyant, entre ses cuisses, cette belle fente épilée mais pas complètement, et ses seins, des tétons que j’aimerais mordiller. Je me mettrais bien de suite à genoux d’attaquer l’apéritif par ce bel amuse-gueule qu’est son entrecuisse.
Elle me dit : « Il fait chaud, vous ne trouvez pas, je me suis donc mis à mon aise, vous pouvez en faire de même, cela ne me dérange pas » Pour faire chaud, il fait effectivement chaud, même très chaud, je suis en nage.
Nous allons manger, non pas dans un restaurant, dans sa tenue, nous ne passerions surement pas inaperçu, mais au bord de la Loire. Le repas, un pique-nique qu’elle nous avait préparé, a été très agréable. Au cours de la conversation, nous avons parlé de tout et de rien, boulot, vie de famille, nos us et coutumes, le seul sujet étrangement qui ne soit pas arrivé sur la table fut le sexe. Même au moment, au dessert, une tarte maison aux mirabelles, elle me demande si elle me plait. Comment répondre autrement que par l’affirmative ? A quel homme cette belle femme ne pourrait-elle pas plaire ? Si je n’avais pas RDV dans ce club à 14h, je crois ben que je lui aurais proposer de passer toute l’après-midi ici ou bien dans une chambre d’hôtel et de faire ce que des amants font généralement l’après-midi dans ces conditions. Mais avant que je puisse proposer quelque chose d’impossible, elle me dit qu’elle aimerait bien que l’on se revoit plus longuement, qu’elle n’est pas libre cette après-midi qu’elle va comme tous les jeudis à son club. Je lui demande un club de quoi, sport ? activités entre amies ?
Elle vient de s’allonger sur le capot de l’Audit, elle me dit qu’elle fait toujours une petite sieste de quelques minutes et elle me répond : « activités entre personnes adultes et consentantes. C’est quelque chose d’un peu atypique qui se pratique en club privé »
Je ne fais pas la relation avec ce que je vais faire moi aussi cette après-midi. Elle est allongée là devant moi, les bras derrière la tête, une jambe relevée, offrant ou m’offrant ainsi sa belle poitrine et son triangle d’or. Je n’ai jamais été dans cette situation et je suis plus que déstabiliser. Poser une main sur elle, vouloir et ne pas oser… Puis s’aventurer davantage ?
Nous avons fini de manger, il est presque 13h30, cela fait à peine 2h que nous sommes ensembles, presque 2h que je salive, que mon cœur est dans le rouge, que l’envie de… me vient sans cesse à l’esprit. J’ai envie d’aller me masturber, mes couilles doivent être pleines comme rarement elles l’ont été surement. Paradoxalement je suis heureux même très heureux en sa compagnie mais j’ai une telle envie d’aller plus loin sans pouvoir ou oser ?
Elle vient de me déposer à ma voiture sur le parking. On s’est fait la bise, juste une bise en tout bien tout honneur. En me faisant la bise, elle m’a murmuré à l’oreille « Une autre fois surement … » Je n’ai rien su répondre. Surement c’est mieux que peut-être !
Je suis monté dans ma voiture, il y faisait une chaleur épouvantable, vite la climatisation. Elle était au volant de la sienne en train de régler quelque chose, le GPS ?
Sa robe était bien remontée, je contemplais ce corps que j’aurais tellement aimé honorer, satisfaire, lui faire plaisir, mais le désirait-elle ? Je ne le serais peut-être jamais ? Je démarre et m’éloigne ayant toujours en vision ce corps…
J’arrive à mon RDV, un club privé où je dois passer du bon temps. J’ai mis plus de temps que prévu, mon GPS ayant eu quelques soucis dû à des travaux. Sur le parking du club une dizaine de voitures dont une Audit blanche cabriolet, est-ce la même, non je ne le pense pas, mais elle me rappelle Petite Fleur Sexy avec qui je viens de passer 2h de rêve.
Je rentre dans le Club privé, je suis attendu. On me dit que ma surprise est arrivée et m’attend en compagnie des autres hommes. J’entre dans la salle et que vois-je ?
A suivre…
Bises et au plaisir Petite Fleur Sexy
Luc
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