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This is Halloween…

This is Halloween…



La soirée avait été quelque peu arrosée, trop arrosée en fait. La conversation était partie sur le thème d’Halloween et des costumes que nous comptions porter pour la prochaine session. Du coup, entouré de filles qui aimaient coudre elles-mêmes leurs costumes, j’écoutais leur conversation qui portait sur les corsets et le fait que les miss ne pouvaient guère manger avec, regardant avec envie les mecs dégustaient avec plaisir les bons petits plats préparés…

Sur le coup, je ne perçus pas les signaux d’alerte émis par mon épouse et ses amies quand je sortais ma bourde :

– Bah… vous n’avez que des appétits d’oiseaux de toute manière.

Pour toute réponse j’eu un regard noir de ma femme et je laissais filer, préférant ne pas provoquer une discussion futile. J’allais faire un tour à la cuisine chercher d’autres plats. Au mon retour, le sujet avait changé et chacune exposait son point de vue sur le film d’action de l’été. L’incident était clos, du moins je le pensais.

Les semaines passèrent et Halloween se trouvait désormais à un peu plus d’un mois. Le salon avait pris l’aspect d’un atelier de couture où mon épouse régnait en maître, chassant impitoyablement les enfants dans leur chambre pour ne pas être dérangée. Gérant la partie logistique, j’avais totalement délégué à ma femme la gestion des costumes, d’autant plus que, vue la thématique choisie – Bal Costumé Grand Siècle, je comptais remettre une ancienne tenue qui me plaisait bien : un costume complet de mousquetaire.

Remettre ce costume en état fut rapide pour mon épouse, elle se consacra ensuite aux robes magnifiques qu’elle savait faire et qu’au plus profond de moi je désespérais de ne pas pouvoir porter. Elle en faisait deux, toutes les deux dans un style Louis XIV, la première était d’un bleu nuit profond, l’autre d’un rouge flamboyant.

Le we approchait. Nous partîmes dès le matin afin d’avoir le temps de préparer les lieux. Tandis que je m’appliquais avec l’équipe logistique à transformer la demeure louée pour l’occasion en une sorte de relais de poste, plus apte à l’ambiance, une équipe cuisine s’était mise en place et nous avait concoctés plein de petites choses agréables à dévorer.

Comme il se doit, l’installation des lieux prit plus de temps que prévu et j’étais encore en train de tester les enceintes de la sono quand tout le monde était paré pour la soirée costumée. Du coup, je fus tiré vers notre chambre par mon épouse et deux amies avec un « Dépêche-toi ! Va te changer ! On s’occupe du reste ! ». Là, ma femme me poussa vers la salle de bain en insistant sur la qualité de mon rasage qu’elle voulait optimale. La connaissant, je pris cela pour une suggestion plus qu’agréable pour ce qui allait se passer entre nous après la fin de la soirée…

Bien rasé de près, sortant de la douche, je trouvais mon épouse magnifique dans sa robe bleu nuit et sur le lit au lieu du costume de mousquetaire que j’avais laissé plus tôt dans la journée la superbe robe rouge… Devant ma mine quelque peu soupçonneuse, ma femme savourait cet instant, l’on aurait dit un chat jouant avec une souris.

– Ainsi nous avons des appétits d’oiseau… Bien, tu vas pouvoir vérifier toi-même ! Fit-elle en sortant d’un tiroir un corset d’un rouge tout aussi flamboyant que la robe.

Je la regardais sans vouloir comprendre.

– Tourne toi, nous n’avons pas de temps à perdre. Nous sommes attendues toutes les deux en bas.

– Toutes les deux ? fis-je remarquer

– Oui toutes les deux ! conclut-elle d’un air ferme et définitif. Ne discute pas et approche, je vais te préparer…

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Et avec un ton plus doux :

– Laisse-moi jouer à la poupée, mon cœur.

L’instant d’après, je ressentais la pression du corset. Ma femme serrait et je sentais ma taille se creuser, la rendant désormais plus féminine. Elle y allait de bon cœur et je comprenais désormais ce que les filles ressentaient en en portant un. J’avais le souffle court, je ne pouvais guère respirer pleinement et j’avais du mal à bouger. Me retenant à la table pour ne pas reculer quand mon épouse tirait sur les cordons du corset, je prenais plaisir à cette transformation, à ce piège savoureux.

Puis, restant debout, ce fut le tour des bas. Rouges et opaques, ils dissimulèrent mes jambes en les gainant… Mon épouse me les fixa au corset et profita pour me caresser les jambes, laissant glisser ses mains gantées de bleu sur le rouge de mes jambes. La réaction fut immédiate et ma femme le savait. Elle se mit à genoux, devant moi, officiellement pour attacher les bas aux jarretelles du corset. Ce fut la première fois où elle prit en bouche mon sexe tendu. J’étais fou de bonheur et j’explosais sous la force de ses caresses buccales. J’en tremblais.

Ma femme avait les yeux qui brillaient. Elle aussi savourait cet instant spécial. Mais elle savourait autre chose…

Se relevant, elle me désigna du doigt, en disant un petit « pour toi » doux, une boite recouverte de velours noir et d’un ruban rouge fait du tissu de ma robe. Un « Merci » un peu inquiet sortit de mes lèvres en prenant la boite mystérieuse.

J’ouvrai alors la boite et y découvrais une cage de chasteté de plastique transparent avec un anneau.

Le regard de ma femme semblait celui d’un loup devant sa proie.

– Ce soir, c’est moi qui mène la danse ma jolie. Je ne veux pas voir de trace de virilité ! Enferme-moi ta chose là-dedans, m’ordonna-t-elle d’un ton sec qui n’autorisait aucune réponse autre que ma soumission totale…

La chose ne fut pas aisée. Je n’avais pas encore eu l’occasion de porter une cage même si cela faisait partie de mes fantasmes. Et là, c’était mon épouse qui m’ordonnait de m’y soumettre… Au bout de trois ou quatre essais, l’affaire fut conclue et le petit claquement sec du cadenas se refermant scella mon sort. Mon sexe était désormais enfermé dans cette cage transparente. De l’anneau pendait une chaine en acier dont les premiers maillons étaient pris dans le plastique de la cage.

Le reste alla très vite. Les boudins gonflant la robe furent attachés le long de mes hanches. Mon épouse me combla d’aise en me mettant deux prothèses remplissant l’espace vacant devant dans le corset. Elles étaient de dimension généreuse, apte à satisfaire bien des envies coquines. Ayant la chance de faire la même pointure que ma femme, j’eu le privilège de porter ses bottillons de style victorien, bottillons que je portais parfois en cachette sans que mon épouse le sache. Une paire de longs gants rouges compléta la tenue, puis ce fut le tour des jupons et de cette robe rouge, flamboyante, attirante. Je restais sans culotte, volonté de mon épouse.

Il ne restait plus que les derniers détails et je fus conduit devant le miroir d’une coiffeuse. Là ma chère et tendre domina me fit assoir le dos au miroir et commença à changer les traits masculins de sa soumise. Elle avait mis des gants de latex pour ne pas abimer le vernis de ses ongles. Le plus étrange fut de mettre les faux cils. Seul je n’avais jamais osé essayer lors de mes tentatives en solo de maquillage. L’instant était magique, jamais je n’aurais cru que cela puisse être aussi envoutant et excitant. Et la cage, du coup, modéra fortement cette sensation, ne laissant apparaître sur la robe aucune marque masculine. Je tentais de masquer mon état mais ma femme le remarqua :

– Ca te plait ? Je le savais, ma jolie…

Sa voix avait pris des accents sauvages, chargés d’une sensualité torride.

3

D’un tiroir, elle sortit une longue perruque et me la mit. Les mèches tombant sur le visage me montrèrent sa couleur auburn. Ton rouge sur rouge. Des boucles d’oreilles clipsées furent la touche finale et je fus enfin autorisée à me retourner. Je fus surprise, sidérée de voir ce résultat. Je voyais dans ce miroir l’image d’une femme aux traits carrés certes mais néanmoins séduisante, débordante de sensualité, aux formes généreuses en forme de ce violon si envoutant.

– Ca te plait, ma jolie ? Fit ma femme d’un air enjoué.

Debout sur les talons des bottines, guidée dans mes pas par la main de ma domina, j’étais radieuse et d’une petite voix remplie de reconnaissance, je lui fis un petit oui timide. J’en aurais presque pleuré de bonheur. Elle me lâcha la main, regardant sa poupée soumise faire ses premiers pas.

D’un coup, d’un ordre sec, elle me figea. Surprise, je me tournais vers elle puis, obéissant à un nouvel ordre, je m’approchais d’elle en trottant sur les fins talons des bottines. Elle me demanda alors de relever sa robe sur le devant. Mes mains gantées de rouge relevèrent les pans de sa robe bleu nuit profond pour découvrir au niveau de son entre-jambes une culotte de latex doté d’un membre énorme, dressé, attendant son heure. Je connaissais bien ce modèle, il comportait deux godes internes de bonne taille…

D’une main elle attrapa alors la chaine qui pendait entre mes jambes et tira dessus telle une chienne vers sa promenade journalière.

– Tourne-toi, fit-elle d’une voix sourde mais emplie d’un désir puissant, torride. Appuie-toi sur le lit. Je veux ta croupe en l’air !

L’instant suivant, elle me troussait, cherchant mon intimité sous mes jupons. J’étais telle une pucelle s’offrant à son amant, à la fois impatiente et craintive. Les mains de ma domina me caressaient, me cherchaient, elles jouaient avec mon intimité, avec la cage et nos respirations devenaient de plus en plus rapides.

– Tu en as envie, ma jolie, je sais que tu en as envie… Sa voix était devenue rauque.

Je sentis alors une humidité fraiche se posant sur ma rosette, vite suivie d’un doigt inquisiteur. Je compris alors la véritable raison de ses mains recouvertes de latex… Un second doigt vint vite, puis un troisième, explorant avec une tendresse forte et envieuse ma chatte anale en me lubrifiant totalement. J’en gémissais de plaisir.

Les doigts quittèrent mon antre humide et je sentis le gland du sexe de latex de ma domina se poser contre ma rosette. J’étais prête, j’allais devenir celle que je voulais être…

Ma femme se mit à pousser lentement mais avec force…

Après avoir explosé de plaisir de ses va-et-viens en moi, répercutés dans ses appendices de latex plongeant en elle, ma domina retira doucement son sexe masculin artificiel de mon antre dilatée et le remplaça, non sans mal, par un plug de plexis transparent encore plus imposant que son prédécesseur. Je ne pouvais plus, j’explosais à mon tour d’un orgasme inédit. De mon sexe resté courbe par la contrainte s’écoulait sans secousse ma liqueur blanche tandis que mon corps était parcouru par des spasmes de plaisir d’une puissance encore inconnue. Ma domina venait de me donner mon premier orgasme anal…

D’une main douce un peu indulgente, elle effaça les traces blanches de ma laitance avant de m’ordonner un « Ne bouge pas ! » sec et sans appel. Je n’osais plus bouger, mon fondement était rempli comme jamais il ne l’avait été auparavant.

Un clic connu retentit dans mon dos. C’était celui du smartphone de mon épouse. Elle le déposa devant moi sur la couette du lit. J’y voyais mon anus dilaté et une corole de plexiglas transparent écarter mes fesses, et offrant par transparence toute la profondeur désormais comblée de mon intimité.

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J’ai voulu alors me redresser et me lever mais d’un ordre strict, elle m’oblige à ne pas bouger. Le froid soudain d’une chaine en acier m’entourant la taille me fait sursauter. S’allongeant sur moi, ma domina relia alors cette chaine au plug. Celui-ci se redressa vers le haut et s’inclina en moi et j’étais prête à vaciller une nouvelle fois car ma prostate était sous pression mais ma princesse redressa la situation en attachant l’autre extrémité du plug à la chainette de ma cage.

Le plug ne pouvait plus désormais sortir de cette grotte humide sans ouvrir les cadenas…

– Ca y est, tu peux te redresser.

Je tentais alors d’enlever mes avant-bras du lit et j’avais l’impression d’être fondue dedans, avec un effort qui me parut long, j’arrivai à me tenir debout sur mes hauts talons l’anus plein, prête à exploser de nouveau.

Ma tortionnaire préférée me montra alors les clefs des deux cadenas de ma prison intime. Elles étaient munies chacune d’une pince de métal à bout caoutchouté. Plongeant ses mains gantées sous ma robe au niveau de la poitrine, elle me retira mes appendices mammaires et plaça sur chacun de mes tétons une des pinces. La douleur fusa ! Mais peu à peu, elle se transforma en une délicieuse sensation d’étirement, me titillant en permanence en subissant la pression des deux appendices mammaires remis en place.

Après m’avoir rhabillée, examinée, faite tourner sur moi même, ma princesse me dit :

– Nos amis nous attendent, la soirée va être amusante et longue, profites en bien ma chérie ! Après, je m’occuperais encore de toi…

Quelques minutes plus tard, deux femmes se présentaient sous les vivas admiratifs des amis dans la grande salle du gite. Les deux souriaient, ce qui renforçait leur grâce. L’une, en bleu, resplendissait d’une féminité assumée et satisfaite, l’autre en rouge présentait une touche de faiblesse désarmante et dans cet état d’esprit savourait pleinement sa nouvelle condition féminine de soumise sous la forme d’une cage bloquant sa masculinité et d’un plug énorme remplissant totalement son intimité dilatée. Un avenir singulier et quelque peu lesbien allait désormais s’ouvrir à elle…

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