Je m’appelle Sarah, trentenaire espiègle aux longs cheveux noirs bouclés et aux yeux couleur noisette, je suis mince mais avec des courbes attrayantes, avec des jambes et des fesses sur lesquelles les hommes aiment se retourner. Mais ce qui les perturbe irrémédiablement, c’est mon sourire irrésistible ??
Ce que je vous narre m’est vraiment arrivé, parfois ce fut intéressant et jouissif, parfois moins. Voici l’histoire d’une rencontre avec un inconnu qui s’est bien terminée ;o)
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C’était un de ses débuts de week-end où je n’avais envie de rien, oisive. Mon homme, Yann, était dans le même état d’esprit. C’est un bel homme, très charmeur, qui plaît beaucoup, notamment grâce à ses très beaux yeux bleus dans lesquels j’aime à plonger. Il est plus grand que moi, est mince et aime s’entretenir pour éviter d’avoir du bide sans aller jusqu’au excès qu’on voit partout en ce moment, ces grosses bosses disgracieuses et pas très confortables que les mecs aiment bien exhiber en se les comparant silencieusement les uns aux autres tout en s’empêchant de respirer. Vous voyez de quoi je parle ? Abdos proéminents et pec tellement dur que je préfère me blottir contre du carrelage quitte à choisir. Mais son atout caché, de taille très respectable, fait mon bonheur, et celui de quelques demoiselles, dans l’intimité des draps.
Bref, voyant se profiler un après-midi somme toute ennuyeux, il me propose une de ces situations coquines dont il a le secret et qu’il adore organiser sans toutefois me donner tous les détails. Tout ce que je sais, c’est que je dois me mettre au lit, nue à l’exception d’une serviette sur les fesses pour me tenir chaud, allongée sur le ventre, les yeux recouvert d’un masque opaque, bercée par une musique douce et relaxante. J’imagine qu’il me masque la vue pour stimuler mon imagination et laisser mon esprit vagabonder à d’imaginaires aventures avec un bel inconnu.
Il prend son temps tout de même pour arriver… Enfin je sens l’odeur du pain de massage au cacao, puis son poids sur le lit et enfin ses mains sur moi. Pas aussi adroites que d’habitude, je sens ses mains pratiquer un massage plus brouillon et moins précis. Ce petit coquin cherche à expédier le massage pour passer à autre chose ! Qu’à cela ne tienne, je profite des sensations douces de ses mains passant le long de mes méridiens, décontractant chaque muscle et atteignant bien vite les reins puis le bas de mon dos. La serviette me couvrant les fesses disparait très vite pour laisser la place à ces mains qui me malaxent les fesses et l’intérieur des cuisses.
Tout ça contribue à me donner chaud, et tout doucement, sans que je m’en rende vraiment compte, j’écarte les cuisses pour lui laisser l’accès à mon entrejambe. Là c’est un tout autre massage qui commence, celui de mes lèvres que je sens vite humides, puis au fur et à mesure que ses doigts parcourent mon sexe, s’insèrent entre mes lèvres, je sens mon envie monter. Je trémousse mon derrière tandis que ses doigts fouillent mon intimité désormais trempée.
De mon bras gauche, le plus près de lui, je cherche à le caresser, et je tombe directement sur sa grosse queue dure et tendue. Le coquin n’a pas perdu de temps… Je commence à le branler doucement, mais je trouve sa queue bizarre en main, je sens bien son épaisseur, mais le gland me semble différent et mon mouvement semble plus limité, comme si… A ce moment là, alors que j’ai les fesses tendues comme une jument qui attend sa saillie, toute excitée, je sens du coté droit un souffle chaud sur mon oreille, et mon chéri qui me susurre « Surprise ma chérie ! Tu as aimé le massage ? Apparemment la suite qui te motive plus, non ?!? ».
Passé l’incrédulité du moment, je décidai de profiter de la situation. C’est vrai que j’avais plusieurs mentionné le fantasme de me faire baiser par un inconnu, et mon chéri, toujours aux petits soins pour moi avait décidé de me faire ce plaisir, il faut que je note quelque part de l’épouser celui-là !
Je me retourne, m’assoie, n’enlève pas mon bandeau et bien décidée à prendre les choses en main dans tous les sens du terme, je saisis le sexe de mon inconnu. Il est large, le gland est épais, d’une bonne longueur. Je le caresse des 2 mains pour mieux en éprouver le gabarit. Une main saisit la mienne pour la poser sur la queue de mon chéri. Huuum, j’ai une bite dans chaque main, je me sens à la fois comblée et excitée par la situation, ravie d’avoir 2 beaux membres pour moi seule. Mes mains montent et descendent sur toute la longueur de ces deux sexes tendus et si durs…Malgré moi je compare, et si mon bel inconnu (ben quoi ?!? J’ai le droit d’imaginer qui je veux !) a une queue aussi large que mon homme, elle est moins longue mais il compense avec un gland plus épais…Et si je goutais ?
Yann, qui décidément lit dans mes pensées, doit m’avoir devancé car j’entends le bruit de l’emballage et en quelques secondes, le temps que je déguste le vit de mon homme, se présente à ma bouche la queue de mon inconnu, munie de son manteau.
Me voilà à genoux, en train de sucer 2 belles bites. Là, je me sens carrément salope, et j’adore ça. Ma bouche va de l’une à l’autre, offrant un merveilleux spectacle selon les dires de Yann qui, je le saurai plus tard, est en train de filmer. J’ai envie de l’essayer. Je me mets sur le dos, Yann m’embrasse, mordille mon cou, mes tétons, tandis que je sens un gland se presser contre mon sexe. Trempées, mes lèvres s’ouvrent comme une fleur dans l’instant, et je sens ce gros chibre me pénétrer centimètre par centimètre, le plaisir se diffuse par vague, et je l’exprime verbalement. Mon chéri qui s’est retiré n’en perds pas une miette. Pendant que je me fais prendre, je le branle en même temps, et lui filme le tout. Rapidement le rythme s’accélère, mes jambes enserrent ses hanches et j’imprime le mouvement avec mon bassin. De longues minutes passent, et le plaisir m’envahit, j’aime cette queue qui me procure du plaisir, ce qui est assez rare pour le noter.
Un long baiser de mon chéri calme le jeu, il me glisse à l’oreille « Je savais que tu aimais les grosses queues ma chérie. ». Il est vrai que ça fait cliché, mais il a raison. De mes nombreuses expériences libertines, je n’en ai retiré que rarement du plaisir.
Je me retrouve rapidement à 4 pattes, en train de sucer Yann et de me faire pilonner franchement par l’arrière. Mes gémissements sont étouffés par la colonne de chair qui m’emplit la bouche, que je reconnais être celle de Yann, puis les rôles s’inversent. Et là le plaisir atteint un autre niveau. C’est fou ça, dès que Yann me baise, je prends un pied dingue. Sa bite est vraiment parfaite pour moi. Je sens que la situation l’excite, il est dur et si épais, j’ai l’impression de me faire pénétrer par un barreau de chaise. Sa chair fouille la mienne et provoque tant d’affres de plaisir, il me fait monter en moins d’une minute et mes gémissements sont entrecoupés par des « Je viens ! ». Il ralentit très soudainement tout en me caressant le dos et me dit de calmer le jeu. Et oui cher lecteur/lectrice, il faut savoir qu’une fois que j’ai joui, c’est fini pour moi, j’ai le clitoris trop sensible et mon excitation retombe aussitôt.
Je suis toujours à 4 pattes, suçant avec application l’inconnu, les yeux toujours bandés, et Yann qui me caresse les fesses, l’anus. Je le vois venir…Et j’ai hâte de ce qui va suivre. Assez vite, sa queue presse contre mon œillet, et est vite absorbé par mon anus gourmand (et gourmet !). Il me sodomise de toute la longueur de ce formidable vit, j’éprouve des décharges électriques à chaque centimètre et je me retrouve vite en extase, déconnectée de la réalité. Je ne suis plus que plaisir, me concentrant pour ne pas oublier l’autre et le sucer. Je prends un pied incroyable, poussant des feulements de plaisir à m’en arracher les cordes vocales. Oh que j’aime sa bite dans mon cul. Il varie le rythme, tantôt rapide, tantôt plus lent, mais toujours plaisant. Je me sens si délurée à ce moment, enculée d’une part et une grosse bite dans la bouche d’autre part…Je veux les deux en moi.
Mon inconnu se place sur le dos, je m’empale dessus, mon sexe dégoulinant de mouille absorbant voracement son beau membre, et mon chéri se positionne derrière, appuie contre mon anus qui l’accueille volontiers. La sensation est indescriptible, le plaisir est d’une telle intensité, la pression des deux engins est intense et merveilleuse, je ne m’entends pas crier, je jouis en dix secondes tandis qu’ils s’activent tous les deux en moi. Je redescends péniblement de mon dixième ciel, essoufflée et leur intime d’un « J’ai joui » l’ordre d’arrêter les opérations. Mais ils ne s’arrêtent pas, au contraire, ils se remettent à accélérer, et je n’ai même pas le temps de leur dire stop que déjà les prémices d’un autre orgasme arrivent. Je me concentre sur le plaisir, et la vague me submerge encore une fois, violente, puissante mais moins que la première. Les grognements qui viennent d’en dessous et les spasmes de la queue qui remplit mon vagin me laisse à penser que M.Mystère est en train de remplir sa capote.
Cette fois je suis tellement essoufflée que je ne parle plus, mais j’entends Yann qui demande à son comparse de se retirer ainsi qu’il le fait. Je m’effondre sur le matelas, enlève mon bandeau, et reprends mes esprits tandis que les hommes s’éloignent et entament une discussion dont je n’entends que les échos.
Ils se sont habillés et je les entends sortir.
J’en profite pour descendre en douce et fouiller le portable de mon homme (Quoi ?!? Qui ne l’a pas fait ?) pour savoir qui est mon inconnu. Je tombe sur une discussion Whatsapp très équivoque, je regarde la photo du profil et horreur ! Il est laid ! Nom d’un chien, j’en connais un qui va se faire att****r !
…
Au final, Yann m’avouera qu’il avait fait exprès de coller une immonde photo de profil aux coordonnées de son complice car il s’était rendu compte que je fouillais un peu…
Ce soir là, je l’ai gratifié d’une belle pipe avec un final sur mon visage comme il les aime. Il m’a copieusement arrosé, et j’ai adoré son goût, son odeur, sa jouissance…
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