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Un amour d’esclave – Ch 13

Un amour d’esclave – Ch 13



Rien que tous les trois…

Amusez vous bien !

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« Le vendredi, j’étais déjà en weekend… Pas de cours prévu à la Fac sur mon emploi du temps, j’en profitais pour m’occuper de l’appartement de Maitre. Passer les derniers jours à faire l’amour avec mademoiselle Amandine à chaque fois que l’occasion se présentait m’avait fait manquer à tous mes devoirs d’intendante de Maitre.

Je n’allais pas pouvoir m’en occuper ce soir non plus : en partant au travail, elle m’avait ordonné de m’ouvrir sur le lit de Maitre dès que j’entendrai les clefs dans la serrure. De quoi augurer une autre très bonne soirée.

Le soir donc, je restais proche de la chambre au cas où elle rentre plus tôt que d’habitude. J’ai été un peu surprise de l’entendre rentrer à 16 heures pétantes, elle qui rentrait d’habitude vers 18h30. Mais au moins j’étais prête ! J’ai filé sur le lit, fesses en l’air et tête dans l’oreiller, lui exhibant mon entrejambe de la manière la plus indécente possible.

Elle est entrée dans la chambre, et j’ai sursauté en reconnaissant la voix de Maitre et non celle de mademoiselle Amandine »

« -C’est la meilleure façon de dire bonjour que j’ai vue depuis longtemps !
– Maitre !!! Vous êtes rentré !!!
– Je suis là mon ange… Oh non, reste comme tu es, tu es magnifique. C’est Amandine qui t’a demandé de te tenir comme ça pour moi ?
– Oui Maitre !!! Elle appelle ça m’ouvrir…
– Je comprends pourquoi ! »

J’ai sorti mon portable de ma poche et j’ai pris une belle photo du bas ventre exposé de ma petite esclave qui a sursauté en entendant le déclic, mais elle n’a pas abandonné sa position pour autant. J’ai envoyé la photo en question à Amandine avec une jolie légende « J’ai trouvé ça sur mon lit, c’est à toi ? »

Je suis allée m’asseoir sur le lit à coté de Câline et je lui ai caressé le haut du dos. J’étais tellement content de la revoir, ma petite esclave ! La réponse d’Amandine est vite arrivée, et je l’ai montrée à Câline qui a rougi mais souri en voyant notre discussion « Ouiii, mais j’ai fini de m’en servir, je te la rends ! A ce soir mes amours ! »

J’ai invité Câline à me suivre au salon, et elle est grimpée sur le canapé pour se rouler en boule sur mes genoux, comme elle aimait tant le faire. Sans que je ne lui demande, elle m’a raconté sa première fois avec Amandine dans tous ses détails, me remerciant souvent de lui avoir offert ce cadeau fantastique.

Puis enfin, Amandine est rentrée. Câline a bondi de joie en nous voyant nous embrasser passionnément, et après nous avoir laissé un moment seuls tous les deux, elle est venue se glisser entre nos jambes en faisant le gros dos, comme une chatte qui demande à ce qu’on s’occupe un peu d’elle. Je lui ai donné l’ordre de s’ouvrir et j’ai admiré son obéissance pour se mettre dans une position aussi…accueillante. Amandine avait dû se montrer très persuasive pour lui apprendre cette nouvelle posture !

Pendant qu’elle lui servait une gamelle de lait, j’ai glissé mon pouce dans le vagin grand ouvert de ma petite esclave et j’ai massé sa zone la plus sensible. Immédiatement elle s’est mise à mouiller très abondamment en couinant de plaisir. Pas besoin de va et vient énergiques, le simple fait d’appuyer sur la paroi de son vagin semblait suffire. Quand Amandine est revenue avec la gamelle, je lui ai fait signe de venir vers moi plutôt que de la tendre directement à Câline, et je l’ai glissée juste en dessous de son intimité ruisselante.

Le ploc ploc des gouttes de mouille dans sa gamelle a fait trembler Câline d’anticipation et quand j’ai jugé son lait suffisamment parfumé, elle s’est jetée dessus, assoiffée. Amandine lui caressait gentiment les joues et les cheveux, moi je continuais mes caresses, essayant de déconcentrer ma petite esclave adorée.

« – Câline m’a dit que tu l’avais faite languir trois jours avant de l’utiliser, je suis impressionné par ta retenue !
– Ca a été dur, crois-moi ! Autant pour elle que pour moi d’ailleurs, la pauvre. Tu aurais dû la voir, elle me lançait des regards de chatte en chaleur en se frottant à moi pendant que je me changeais !
– Tu es méchante avec elle, elle ne mérite pas ça…
– non, mais elle a eu de belles récompenses, n’est-ce pas Câline ?
– Elles valaient toute l’attente du monde, Maitre !

Le plaisir que me donnait Maitre commençait à être insupportable, et j’avais du mal à laper mon lait. Quand Maitre a repris la parole, j’ai failli m’étrangler.

– Tu as donc gagné notre petit pari, félicitations mon amour !
– Un pari Maitre ?
– Oui ma toute belle, j’avais parié avec Amandine qu’elle ne tiendrait pas plus de deux jours avant de te sauter dessus !

Ainsi donc c’était pour gagner son pari que mademoiselle Amandine m’avait faite languir si longtemps avant de me faire l’amour !!! Ce n’était pas qu’elle avait pas compris, ou que je ne l’avais pas assez excitée !!! J’étais sure que sans ce pari elle m’aurait sautée dessus dès la porte refermée et Maitre parti pour la semaine !

– Alors, qu’est-ce que vous avez gagné mademoiselle Amandine ?
– Mmmmmh, j’ai gagné le droit de demander à ton Maitre tout ce que je veux pour notre soirée de retrouvailles !!!
– Oh oui, je suis impatiente de voir ça !
– Pas que voir ma toute belle, tu vas participer aussi…

Toute contente d’être invitée à me joindre à eux pendant qu’ils feront l’amour, j’ai embrassé la main de mademoiselle Amandine qui m’a tendrement embrassée le front en retour

– Ce soir mon chéri, j’ai envie que tu encules Câline ! »

Câline a sursauté en entendant le gage que me donnait Amandine, et moi je l’ai regardée, l’air un peu sceptique.

Amandine avait vécu une très mauvaise expérience avec la sodomie, qui la bloquait complètement désormais. Un de ses exs l’avait prise par surprise, et malgré ses demandes de s’arrêter, il avait continué. Depuis, elle avait une peur bleue de la sodomie et aucune de mes caresses n’avait pu la détendre.

Et maintenant, elle voulait que je fasse pareil avec Câline…

Devant nos réactions, elle a compris que nous n’étions pas emballés par son idée, alors elle a essayé de se ratt****r

« – enfin, si elle te le demande très gentiment, bien sûr…
– Il est hors de question que j’oblige Câline à accepter, Amandine…
– Je saurais me montrer très convaincante pour qu’elle te le demande, alors !
– Câline, tu en penses quoi ? »

« Enculer…

De tout le vocabulaire que j’avais appris avec Maitre et mademoiselle Amandine, c’était ce mot là que je trouvais le plus sale. Sale au sens propre, et sale au sens figuré.

Au sens propre parce que…bon, pas besoin de vous faire un dessin…

Au sens figuré, parce que je n’avais jamais été prise par là… Mes précédents petits copains n’arrivaient pas à me donner du plaisir en me prenant…normalement… l’idée de me prendre par derrière ne leur est probablement jamais venue. C’était la seule partie de mon corps que je ne connaissais pas, que même Maitre ne connaissait pas…

La vulgarité du mot me faisait rougir, rien que d’y penser. J’essayais d’imaginer la sensation, d’imaginer la scène, mais complètement ignorante de cette pratique, je restais dans ce que j’avais toujours pensé de la sodomie : ça fait mal, et on a l’impression de souiller son partenaire. Je me sentais déjà très mal à l’aise quand j’éjaculais sans faire exprès sur Maitre ou mademoiselle Amandine, mais alors les souiller avec autre chose…c’était impensable pour moi.

Je remerciais Maitre silencieusement pour m’avoir demandé mon avis, et avec un petit pincement au cœur en pensant à mademoiselle Amandine, j’ai fait un signe de tête pour leur signifier que je n’étais pas prête à franchir le pas…

– Je suis désolée mademoiselle Amandine…
– Il n’y a pas de quoi mon cœur, on trouvera bien un autre moyen de t’utiliser ce soir !

J’ai embrassé sa main pour la remercier, puis je suis retournée à ma gamelle »

L’atmosphère était devenue très tendue après la proposition d’Amandine… Elle se sentait très gênée d’avoir demandé cela à Câline sans penser qu’elle pouvait ne pas avoir envie d’essayer. Quant à moi je lui en voulais un peu : on lui avait imposé une sodomie qu’elle avait mal vécue, et maintenant voilà qu’elle voulait m’imposer de faire subir la même chose à ma petite esclave ???

Elle m’a tendrement embrassé pour se faire pardonner, puis m’a assis sur le canapé avant de défaire ma braguette et de prendre mon sexe dans sa bouche. Câline nous regardait du coin de l’œil, et quand elle a eu fini son lait, je lui ai fait signe de se joindre à nous. Elle a posé sa bouche sur mon membre à son tour, et a cherché à se rapprocher des lèvres d’Amandine. Elle, joueuse, faisait exprès de l’éviter, et mes deux chéries ont fini par faire une course de bouches sur mon sexe dur comme du roc.

Finalement, Câline a rattrapé Amandine tout en haut, au niveau de mon gland, et les deux coquines se sont embrassées par-dessus : je gémissais de plaisir tellement c’était divin. Mes deux femmes me regardaient tout en continuant leurs caresses, puis Amandine a pris Câline en main pour me donner du plaisir. Elle l’a retournée pour qu’elle me présente son dos, puis l’a faite se pencher en arrière pour pouvoir prendre mon sexe dans sa bouche.

Cette nouvelle position offrait un angle très intéressant pour la gorge profonde, et Câline nous a de nouveau fait une démonstration de ses talents en avalant mon sexe jusqu’à la garde et en tenant la position de longues secondes. Amandine regardait la bosse qui déformait la gorge de Câline, l’air captivée…

« Le sexe de Maitre plongeait dans ma gorge plus profond que jamais. Même avec tout l’entrainement que j’avais, je manquais de m’étrangler à chaque fois que je faisais un petit mouvement de bouche pour le masser.

Je l’ai recraché en sursaut en sentant des doigts sur ma gorge. Mademoiselle Amandine voulait jouer avec moi, mais la surprise m’avait fait perdre le contrôle.

– Prévenez quand vous faites ça, mademoiselle Amandine !
– Pardon Câline. Décidément, je ne fais pas bien les choses ce soir, je ferais peut être mieux de vous laisser…
– Hors de question !

J’ai repris le membre de Maitre dans ma bouche, puis j’ai fait un signe à mademoiselle Amandine pour lui indiquer que j’étais prête. J’ai frémi en sentant de nouveau ses doigts sur ma gorge, mais cette fois j’étais prête. Elle me caressait très doucement, pour ne pas me perturber, puis au bout d’un petit moment, j’ai senti sa bouche prendre le relais. Elle m’a léché la gorge, tout le long de la bosse que faisait le membre de Maitre dans mon œsophage.

En reprenant ma respiration, j’ai souri à mademoiselle Amandine pour lui montrer qu’elle faisait les choses parfaitement bien. Pendant que je soufflais, elle léchait elle aussi le sexe de Maitre pour récupérer ma salive, avant de venir la partager avec moi.

– Vous voulez bien essayer quelque chose mademoiselle Amandine ?
– Quoi donc Câline ?
– Masser le sexe de Maitre avec vos doigts pendant qu’il est dans ma gorge ?
– Tu vas arriver à le tenir ?
– Au moins je vais essayer.
– D’accord. Fais-moi un grand signe si tu veux que j’arrête.

J’ai recommencé. Nouveau signal pour y aller, et cette fois mademoiselle Amandine a mis beaucoup plus de pression avec ses doigts, pour masser Maitre à travers la peau de ma gorge. C’était beaucoup plus difficile pour moi de tenir, mais en entendant le grognement de plaisir de Maitre, j’ai compris que ça valait vraiment le cou. Le coup pardon… »

Jamais je n’avais ressenti quelque chose de pareil pendant une fellation, Câline et Amandine m’offraient une caresse absolument divine. J’avais le sexe comprimé dans la gorge de Câline qui était au bord de l’explosion, mais je pouvais sentir Amandine qui me masturbait presque…

Câline a tapé sur le bras d’Amandine pour qu’elle arrête, et elle a recraché mon sexe en toussant, mais toute souriante.

« – Encore !!! »

Gourmande, ma petite esclave a recommencé, encore plus profond, pendant qu’Amandine reprenait ses caresses. Après quelques minutes de ce divin traitement, mon sexe était gonflé comme jamais et au bord de l’explosion, et Câline avait le visage recouvert de sa bave. Et malgré toutes ses léchouilles, Amandine ne parvenait pas à la débarbouiller entre deux sessions de ces fantastiques gorges profondes.

« – Je vais jouir Câline, stop…
– Une dernière fois Maitre, s’il Vous plait !
– Dernière ! »

Infatigable, elle a ravalé mon sexe, toujours plus profondément. Cette fois, elle s’est carrément agrippée à ma taille pour se l’enfoncer le plus loin possible. En voyant la bosse progresser de quelques centimètres dans sa gorge, je n’en revenais pas. Amandine, elle, ne s’est plus contentée de ses doigts pour me donner du plaisir, elle y est allée avec la bouche. Et elle a carrément mordu Câline à la gorge, qui a eu un bruyant haut le cœur mais n’a pas relâché mon membre pour autant.

Bien au contraire, elle s’agrippait toujours plus ferment à moi, et son visage était maintenant enfoui entre mes fesses, son petit nez appuyant fortement sur mes testicules. Entre ça et les dents d’Amandine que je sentais sur mon sexe, j’ai joui en grognant, utilisant toutes mes forces pour serrer les fesses et ne pas éjaculer aussi tôt. Câline a repris sa respiration bruyamment, obligée de cracher un énorme glaviot par terre pour dégager ses voies respiratoire. Parfaitement dressée, elle a immédiatement léché le sol pour le nettoyer, encouragée par amandine qui lui caressait la gorge délicatement.

La marque de ses dents était bien visible sur la peau du cou de ma petite esclave, qui s’est couchée sur le dos après son ménage terminé pour pouvoir reprendre ses esprits. Amandine en a profité pour continuer sa toilette, mais Câline l’en a gentiment empêchée

« – Arrière, vampire. Au secours Maitre, elle veut me manger ! »

Nous avons rigolé tous les trois quand finalement elle a laissé Amandine lui lécher gentiment le visage, profitant d’un petit moment pour nous reposer avant de passer à la suite.

« Mademoiselle Amandine ne s’était pas montrée très active jusque-là, mais elle a eu envie de se ratt****r. Elle m’a gentiment ordonné de me coucher sur les genoux de Maitre et de m’ouvrir. Pour rendre la position plus facile, je me suis simplement agenouillée devant Lui, et j’ai reposé le haut de mon corps sur Ses jambes. J’avais la tête délicieusement lovée sur Son entrejambe que je pouvais sentir tressauter de temps à autre.

Suivant mes ordres, je me suis ouverte en grand, les mains posées sur les fesses, tirant mes chairs de chaque côté pour permettre à mademoiselle Amandine un accès libre à mon sexe. J’ai couiné de plaisir en la sentant plonger son visage dans mon entrejambe, léchant ma fente de haut en bas a pleine langue. Puis elle s’est posée et a aspiré mes lèvres intimes, les mordant plus ou moins doucement du bout des dents.

Sa joue s’appuyait sur ma main, et je la sentais chauffer lentement… Mais ce qui me troublait le plus dans sa caresse, c’était de sentir son nez, son souffle, posé sur mon anus. J’ai eu à nouveau peur d’être sale, mais à entendre sa respiration de buffle, elle n’avait pas l’air gênée le moins du monde. Maitre s’est mis à me caresser amoureusement le dos, et tant d’attention ont commencé à me mettre dans tous mes états.

Mademoiselle Amandine a accéléré le tempo, léchant plus énergiquement mon sexe, prenant mon relais pour m’ouvrir encore plus grand les cuisses. J’avais beau faire défiler toute sortes d’image dans ma tête, je n’arrivais pas à imaginer tout ce que mademoiselle Amandine pouvait voir en m’exposant à ce point.

Indifférente à ma mouille qui devait lui maculer le visage, elle y a mis encore plus de cœur, passant son nez profondément dans ma fente, puis sa bouche en faisant de grands bruits de succions qui me faisaient rougir de honte. Elle partait de toujours plus bas si bien qu’elle mordait mes poils pubiens, ne les lâchant –si elle ne les avait pas arrachés avant, que quand son nez pénétrait mon vagin. Sa langue prenant le relais dans ma fente, puis dans mon vagin, son nez continuait sur mon périnée, puis sur mon anus.

Puis dans mon anus…

Je ne remarquais rien au début, puis au fur et à mesure, une nouvelle sensation… Son petit bout de nez qui se frayait un chemin –oh rien de bien loin, quelques millimètres n’à peine, dans mon anus. Ce n’était pas désagréable…au contraire. Comme je lui avais fait comprendre que je ne voulais pas tenter la sodomie, je mettais ça sous le coup de l’excitation, elle me léchait sans regarder où son visage allait, alors son nez frôlait l’entrée interdite.

Naïve que j’étais 🙂

J’ai sursauté quand j’ai senti sa langue aller jusqu’à mon anus. Elle m’avait comme…électrisée… Mademoiselle Amandine à pourtant continué, comme si de rien n’était. Je ne sentais plus sa langue entre mes lèvres, sur mon clitoris, ou dans ma grotte, j’avais l’impression qu’il n’y avait plus que son petit bout de nez qui se frayait un chemin entre mes fesses, pénétrant inexorablement mon anus.

Puis j’ai pensé à Pinocchio, et j’ai éclaté de rire toute seul comme une niaise.

Maitre me regardait, l’air amusé, ses yeux me demandant ce que je trouvais si drôle…

Si mademoiselle Amandine avait été Pinocchio, sa jolie promesse se serait transformée en un ou deux centimètres de plus dans mon anus. Maintenant que j’avais entrevu les plaisirs que me donnaient ces caresses, je ne pouvais qu’imaginer la sensation d’avoir quelques centimètres en plus dans mon fondement.

– Alors Amandine, qu’est-ce que tu es allée acheter de beau avec Câline hier soir ?
– Rien, on est juste allées faire du lèche vitrines en ville entre filles.

J’ai gémi de plaisir en imaginant deux centimètres de plus

– Zut, j’espérais que tu lui avais fait essayer un peu de cette lingerie dont tu nous avais parlée…
– lingerie ? Ah… euh… non, je n’y ai pas pensé.

Deux centimètres de plus, un cri de plaisir.

– Mmmmmh, on dirait qu’elle est prête !
– Oui ! »

Câline s’est redressée, et sans aucune attention pour moi, elle a embrassé passionnément Amandine, et a fini en lui grignotant le nez, une douceur que je ne l’avais jamais vue faire auparavant.

Ma journée dans l’avion avait été assez éprouvante, et quelque chose me disait que la nuit serait trop courte pour me remettre du décalage horaire. J’ai annoncé aux filles que j’avais besoin d’une douche pour me réveiller un peu. Câline m’a accompagné, laissant Amandine vaquer à ses occupations avant notre douce nuit tous les trois.

La douche avec ma petite esclave était un moment de grande tendresse. Agenouillée devant moi, ses mains couvertes de savon glissant sur ma peau, de mes pieds à ma nuque… Quand elle passait à mon sexe, c’était comme si elle vénérait une idole… Dans ces moment-là, nous faisions tous les deux preuves d’un contrôle incroyable : moi pour ne pas jouir d’autant de tendresse de sa part, elle pour ne pas aller plus loin. Sans être nymphomane, Câline aimait faire l’amour. Pas seulement pour jouir, ou pour me faire jouir, simplement pour le moment, pour ce qu’il représentait pour elle. Sa soumission, mon autorité… Sa dévotion, mon attention…

En voyant Amandine sur le pas de la porte dans un ensemble de lingerie à réveiller un mort, mon sexe s’est raidi instantanément, manquant d’assommer Câline, qui m’a jeté un regard noir

« – Je suis terriblement désolé !
– Et moi je suis terriblement jalouse ! »

Elle disait cela pour rigoler, elle savait très bien l’effet qu’elle pouvait me faire. C’est même elle qui m’a poussé hors de la baignoire pour passer à la suite. Elle m’a séché, puis m’a pris par la main et m’a guidé vers Amandine, qui a pris le relais.

« – Tu sens bon mon amour…
– Savon à la vanille mademoiselle Amandine, je sais que vous aimez bien cette odeur…
– oh ouiiii !!!
– Allez-y, je me rince et je vous rejoins dans un petit moment ! »

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A bientot pour la suite !

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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