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Ch. 9 : Lettre à Laura (13)

Ch. 9 : Lettre à Laura (13)



Je me souviens de tout, je me souviens de nous.

Je me souviens de notre premier plan à trois.

6h du mat’, je me réveille en nage avec une irrépressible envie de pisser. Autour de moi, toi et Anna dormez comme deux marmottes. Normal que j’ai chaud. Je ne réalise toujours pas que j’ai deux femmes dans mon lit et même si nous n’avons pas encore tenté l’expérience à trois, je me dis que je suis un sacré veinard.
C’est Anna qui dort côté porte, alors le plus habilement possible, j’essaye de lui passer par dessus sans la sortir de son sommeil. Mince, raté. Je suis au dessus d’elle, face à face, elle ouvre un œil, encore à moitié dans les vapes:
– Mmmh, qu’es tu fais petit coquin?
– Rien j’ai simplement besoin d’aller aux toilettes, rendors-toi.
Je l’enjambe et je sors discrètement. Je file dans la cuisine boire un verre d’eau et ensuite direction les toilettes pour soulager ma vessie. À mon retour dans la chambre, Anna s’est tournée. Elle est à ma place et dort sur le côté face vers toi. Je me glisse doucement sous les draps afin de finir ma nuit. Mais Anna se tourne vers moi et me chuchote:
– Ça y est, tu as fait ton affaire?
– Oui.
– Je voulais te dire que j’ai trouvé ça cool entre nous hier soir.
– Oui c’était sympa.
– Je sais que pour toi ce n’était qu’un jeu, mais peut être qu’un jour, on pourra se retrouver tous les deux sans elle.
– Ta proposition est très intéressante, mais je ne veux pas te donner de faux espoir. C’est Laura que j’aime et je la respecte trop pour aller voir ailleurs sans son consentement.
– Ok, je comprends, tu es vraiment un mec bien, je l’envie, on en trouve rarement des comme toi.
– Merci, c’est gentil, mais ne désespères pas, tu es ravissante et tôt ou tard, tu trouveras le prince charmant.
– Mouais, on verra, pour le moment j’ai arrêté de chercher.
Je passe mon bras sous elle, elle se blottit contre moi, pose sa tête sur mon épaule, je caresse légèrement la sienne amicalement, on s’endort de nouveau.

Il est 9h30, je me réveille seul. Je me lève et vous entends ricaner dans la cuisine. J’enfile mon short et vous rejoins. Vous êtes à table, vous prenez le petit déjeuner. Toi en peignoir et Anna dans un de mes tee-shirt que tu lui as prêté. Tu me chambres:
– Alors gros bébé, tu as bien dormi? J’espère que tu es en forme car nous on pète le feu.
Anna me lance un grand sourire complice. En plaisantant je vous répond:
– Bah oui, moi je suis chaud, allez à poil toutes les deux, je vais vous prendre tout de suite.
Fou rire général. L’ambiance est étrange, on sait tous ce qu’il va se passer et pourtant on agit comme si nous étions une bande de pote en vacances ou si on faisait une colocation. Pourtant je suis très impatient et je me demande quand et comment ça va commencer. Je viens t’embrasser pour te dire bonjour, puis je m’assoies. Anna me taquine un peu:
– Et moi, j’ai pas le droit à un petit bisou?
Je me relève et je lui fais la bise.
– Après ce qu’on a fait hier, tu peux au moins m’embrasser sur la bouche.
Je te regarde, comme pour avoir ton approbation.
– Vas-y mon cœur, aujourd’hui tu es libre de tout.
Je pose mes lèvres sur celles d’Anna et je me rasseois.
– Qu’est ce qui vous faisait rire comme ça avant que j’arrive?
La petite blonde en riant:
– On se racontait quelques anecdotes croustillantes.
– Ouais, avec Anna, ça fait des années qu’on est dans le même club de danse, on a fait plusieurs spectacles ensemble et même quelques soirées et pourtant, on a jamais vraiment pris le temps de se connaître.
– En tout cas, vous avez l’air de bien vous entendre.
– C’est plus facile quand on a une passion en commun… Le sexe.
Ça rigole de nouveau.
– Je peux avoir une anecdote?
– Anna me racontait qu’un jour…non vas-y ce sera plus drôle si c’est toi qui raconte.
– En fait à une époque, il y avait un brésilien au club qui donnait des cours de tango, de salsa, tu vois le genre?
– Oui d’accord.
– Moi j’avais 19-20 ans, lui la trentaine et il était vraiment pas mal, beau métisse, boule à zéro, bien foutu, et demande à Laura, il essayait de sauter tout ce qui bouge. Et un soir je suis tombée dans le panneau.
– Ça arrive…
– Ouais enfin…bref, j’étais en broîte avec deux copines, on était bien déchirées et bon, disons-le clairement, j’avais envie de baiser. Le type me reconnait et m’invite à danser. Il n’a pas arrêté de me faire du rentre dedans, que ça fait longtemps qu’il m’a repéré au club, qu’il me trouve super belle, que je danse trop bien etc etc. Moi j’étais flatté et je me suis un peu laissé tripoter. À la fin ça m’a excité, on a été dans les chiottes, j’ai baissé son froc pour le sucer. Je l’ai branlé à peine 30 secondes, il a ejaculé sur mon chemisier ce con. J’ai pas pu me retenir, j’ai éclaté de rire. Je peux te dire qu’après,il la ramenait moins le soi-disant « Don Juan ».
– Après, ça peut arriver à tous les mecs, la fatigue, l’excitation…
– Non, mais 30 secondes, tu te rends compte, c’est rien.
– Il est précoce, c’est tout.
– Oui et il se vantait de me faire jouir toute la nuit.
– Bah, il peut te faire l’amour plusieurs fois pendant 5 minutes.
Anna éclate de rire et me questionnes:
– Et toi alors ça t’est déjà arrivé.
– Je confirme, lui dis-tu. Il a tenu plus de trente secondes, mais il y a une ou deux fois où j’ai réussi à le faire craquer en 2-3 minutes.
– C’est vrai, mais tu m’avais tellement chauffé que je n’ai rien pu contrôler. Ça veut dire que tu m’excites bien ma chérie. C’est plutôt une bonne chose.
– Ça veut dire que toutes les autres fois, je ne t’excites pas?
Nouveau moment de rigolade.
– Anna, ce qui est bien avec mon chéri, c’est qu’il remet le couvert rapidement.
– Ha ouais, t’es comme ça toi? Intéressant!!!
– Oui et la deuxième fois ça dure toujours plus longtemps…
– Mais il ne faut pas que ça dure des heures non plus, moi je n’aime pas quand c’est trop long.
– Moi c’est pareil, ajoutes-tu
– C’est dingue vous n’êtes jamais contente, quand c’est trop court, c’est nul, quand c’est trop long c’est chiant. On ne sait jamais avec vous.
– La plupart du temps c’est génial mon chéri ne t’en fais pas. Mais ça dépend des femmes aussi, on est toutes différentes. Certaines aiment que ce soit long, d’autres que ça aille vite, il y en a qui aime les bites énormes, d’autres des plus petites, certaines jouissent facilement, d’autres jamais…
– Comme nous les mecs, certains sont précoces, d’autres tiennent la distance, il y a des mecs qui aiment les gros seins et les autres les petits nénés, les chattes poilues ou toute lisse.
Anna me fixe:
– Toi tu les préfères comment?
– Moi? Alors j’aime les minous tous lisses et gros seins mais pas trop genre pas plus de 95c.
– Tu es mal tombé avec moi, je suis plate comme une planche à pain.
– Oui mais tu as d’autres atouts.
– Dis-moi tout.
– Bah, tu es lisse, tu es mignonne et franchement tu as un super cul.
– Merci, mais les fesses de Laura sont plus belles que les miennes.
– Non désolé, ne te vexes pas ma chérie, mais côté popotin, il n’y a pas photo.
– Il a raison. Mais moi j’ai mes jolis seins bien fermes et bien rond. J’aimerais avoir plus gros, mais mon 85c lui convient parfaitement.
La comparaison de vos deux corps m’émoustille, j’ai une demie érection. J’ai très envie de vous, mais je me tais, je ne souhaite pas précipiter les choses, préférant que ce soit vous qui preniez les choses en main.

La fin du repas se termine sagement et pendant que je débarrasse la table, Anna me demande si elle peut prendre une douche:
– Oui bien sûr, fais comme chez toi, les serviettes sont dans le placard de droite.
– Je te remercie, je fais vite.
Pendant que la blondinette se lave, je te rejoins dans la chambre. Tu es debout devant ton armoire, le peignoir ouvert. Tu cherches quelques chose à te mettre. Je viens t’enlacer par derrière:
– Je ne sais pas toi, mais j’ai grave envie de sexe.
– Oui moi aussi, je suis conne, je n’ai pas osé aller dans la douche avec elle. Je t’embrasse en ôtant ton peignoir:
– Attendons qu’elle sorte de la salle de bain et on lui dit de nous rejoindre sur le lit.
On s’allonge sur le plumard, tu retires mon short et on commence à se faire du bien en se caressant.
Quelques instants plus tard, nous entendons la porte de la salle d’eau qui s’ouvre, puis se referme. Anna entre dans la chambre drapé d’une serviette alors que tu me masturbes. En laissant tomber la serviette à ses pieds:
– Vous auriez pu m’attendre, bande de coquins!
J’ai le cœur qui bat la chamade, elle est nue, debout devant nous et la bataille va enfin démarrer.

Elle nous rejoint en montant à quatre pattes sur le lit. Elle te caresse la cuisse, remonte sur toi pour embrasser tes seins, puis ta bouche, vous vous souriez. Elle m’embrasse, puis je t’embrasse avec passion en caressant tes seins. Nos langues se mêlent, jouent l’une contre l’autre hors de nos bouches. Anna descend entre mes cuisses, elle se saisit de ma lance turgescente et me lèche la hampe pendant que tu me bisoutes dans le cou. Tes lèvres descendent sur mon torse, mes tétons se retrouvent coincés entre tes dents que tu mordilles gentiment. J’ai chaud et j’ai le souffle court. Ta langue tournoie sur mon nombril. Notre amante me suce toujours, goulument, vous vous embrassez à nouveau et me sucez ensemble. Ma respiration s’accélère, je gémis. Elle te tend ma queue, tu l’avales comme tu sais si bien le faire, une gorge profonde, hum…j’adore. Anna s’occupe de mes bourses, qu’elle gobe et elle se délecte en aspirant cette peau élastique.

Tu viens maintenant t’asseoir sur mon visage, face à elle qui a repris sa fellation. Je raffole de ton anus et je le déguste plein d’entrain. Tu pousses de longues plaintes déchirantes. Anna me crache sur le gland, me branle bien en me suçant énergiquement, les bruit de succion résonnent dans la chambre.
Vous vous regardez et vous souriez, cette complicité naissante s’affirme un peu plus et elle vient t’embrasser encore. Ma langue chatouille ton bouton rose, ma figure est barbouillée de tes sucs, tu ne tiens plus en place:
– Oh mon cœur, j’ai envie de te sentir en moi.
Tu viens t’empaler sur ma queue, dos à moi. Je ressens la chaleur de ton sexe et de ta mouille qui recouvre entièrement ma verge. Nous poussons un premier cri de jouissance ensemble. Anna continue ses caresses, elle salive sur ses doigts et vient te masser le clitoris. Elle te tête les seins, puis elle vient m’embrassez en me malaxant les couilles pendant que tu montes et descends sur mon soldat au casque arrondi. Elle te masse à nouveau le pubis et le clito, elle t’emporte loin dans un espace de bonheur, ton vagin se contracte, je suis serré en toi et tu hurles ta jouissance dans un orgasme ahurissant. Tu t’allonges sur le côté pour reprendre tes esprits, j’en profite pour changer de partenaire.

Je me mets sur Anna, on se galoche fiévreusement, elle presse mes fesses. Je me fraye un chemin entre ses cuisses et la pénètre de mon majeur. Elle mouille énormément. Après quelques aller-retour, je retire mon doigt pour faire place à mon membre gorgé de sang. Je la besogne soigneusement en essayant de lui procurer le plus de plaisir. Elle me sourit en gémissant rapidement.
Tu es de nouveau parmi nous, allongée à nos côté, tu nous caresses d’une main, pendant que l’autre explore ton minou dégoulinant. Puis tu m’embrasses, alors que mes coups de reins sont de plus en plus intenses. Notre amie exprime son plaisir crûment:
– Oui, c’est bon, baises-moi encore, plus fort, fais moi crier comme une chienne.

Changement de position, je la retourne, elle s’allonge sur le ventre et je viens la prendre en levrette. Tu t’es assises en face d’elle, sa tête entre tes cuisses. Tu te caresse les seins puis la chatte. Pendant que je la culbute puissamment, cette dernière lape tes petites lèvres brillantes d’humidité. Tu me souris, heureuse qu’on se partage la même femme.

Vos gémissements combinés m’électrisent, je sens que je vais bientôt rendre les armes. Mais je ne veux pas décevoir la douce Anna qui en demande encore. Alors je me retire afin de reprendre un peu de force. Je lui écarte les fesses, j’observe son petit trou tout rond et je la gratifie d’un savoureux anulingus pour la faire patienter. Elle jouit en continuant de te manger. Elle est en transe, cuite à point. Je la transperce à nouveau, de manière vive et brusque. On ne l’entend plus car tu appuies sur l’arrière de son crâne, liant sa bouche à ta minette. Toi aussi tu es au bord du gouffre, tes pleurs te plaisir en atteste.
Je me décarcasse pour lui donner les derniers coups de bite, mais les œufs sont cassés, la mayonnaise monte, je m’extirpe de sa chatte béante et j’éjacule sur ses fesses en beuglant. Un, deux, trois, quatre, cinq, six et sept jets de sperme de plus en plus clairs s’écrasent sur son magnifique popotin. Tu étales cette pluie blanchâtre et tu me donnes un doux baiser avant que je ne m’écroule près d’Anna, qui elle, est sur son petit nuage. Nous restons là quelques instants, allongés côte à côte, en sueur tous les trois. Nous divaguons sur le plaisir que nous avons pris. Anna nous dit qu’elle est libre le weekend prochain et qu’elle est prête à remettre ça. En lui caressant le bras, tu t’excuses:
– Désolé, le weekend prochain ça ne va pas être possible, on part une semaine en vacances en camping. Mais à notre retour pourquoi pas…

En voyant l’heure, Anna nous prévient qu’il est temps qu’elle rentre, car comme souvent le dimanche midi, elle doit aller déjeuner chez ses parents.
Elle est repartie sous la douche, tu l’as accompagné en toute amitié cette fois.
Elle nous a ensuite quitté en nous remerciant pour tout et en nous embrassant. On se retrouve tous les deux. On se dit qu’on a passé un moment formidable.
– Il faudra retenter l’expérience.
– Oui mais pas avec n’importe qui
– Ne t’en fais pas ma chérie, les vacances sont là pour faire des rencontres…

À suivre.

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