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Exhib de mes gros seins 3

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Mes exhibs 03 : L’escort girl de mon mari

Bonjour,
Comme je l’ai expliqué lors de mon premier récit, à la suite d’une chirurgie plastique sur ma poitrine qui était petite, je suis maintenant avec un 105 D, qui ravit mon mari Pierre, et qui me donne l’envie de me montrer.
Pierre l’a parfaitement compris, et cela nous a permis de relancer notre vie amoureuse de façon importante.
Ayant des jambes très acceptables, j’en ai profité pour raccourcir la longueur de mes jupes de façon significative.
C’est sous la demande non déguisée de mon mari que je l’ai fait. Mais je dois avouer que bien que les regards des hommes me gênent parfois cela me fait très plaisir d’être regardée, et désirée par ces hommes qui me croisent dans la rue.
La complicité que j’ai avec Pierre est très grande, et si je m’habille parfois de façon provocante pour sortir, c’est uniquement avec lui à mes cotés.
Si parfois alors que je suis habillée normalement et que je suscite l’envie chez des hommes, n’étant pas accompagnée de mon mari, je fais comme si rien était. Je lui raconte le soir à la maison, et cela nous sert parfois pour élaborer pour le futur, un scénario plus chaud en sa présence.
Pour l’anniversaire de Pierre, je comptais bien lui faire une surprise.
Je m’étais achetée une petite mini robe noire moulante très décolletée.
Cela marche toujours ce type de petite robe avec les hommes.
Pas de soutien-gorge, avec ce décolleté en V si profond.
Le creux entre mes seins était plus que visible.
Je dirais même vertigineux.
Je suis ravie de cette nouvelle poitrine un peu trop grosse, qui tient toute seule malgré tout ;
C’est vrai que ce type de robe moulantes et décolletées très bas, se portent sur des poitrines un peu menues ; mais comme la je ne comptais pas sortir pour la soirée, le jeu serait amusant.
Mes tétons sont limites de sortir. Des que je vais bouger, ils ne pourront que se propulser dehors.
La longueur de la mini robe était, cuisses. L’idée me vient de la raccourcir de 7 cm.
Histoire de laisser bien voir la bande de dentelle de mes bas résilles.
Je me suis achetée des escarpins vernis noirs à talons aiguilles très hauts, bien plus hauts que ceux que je porte régulièrement ; Ils font donc 17 cm de hauts.
Comme je connais mon Pierre, il va vite deviner que je ne porte pas de culotte, pas même un string ficelle.
Je me maquille, je me regarde marcher devant le miroir de l’entrée.
Mes jambes sont superbes comme cela, tendues par ces talons aiguilles.
Je me regarde et me souris, je fais plus que pute dans cette tenue.
Pierre va me violer en arrivant, c’est sur.
La sonnette retentit, je vais ouvrir.
C’est pierre.
Ses yeux se posent sur mes seins si exposés, puis descendent sur mes cuisses, regardent mes jambes si haut perchée.

— Tu es superbe chérie, et il m’embrasse

Je me dégage, et me dirige vers le salon en me dandinant comme une professionnelle du sexe.

— Viens chéri, j’ai préparé le champagne pour ton anniversaire.
— Je m’attendais à une surprise de ta part, mais la c’est au-delà de mes espérances.
— Arrêtes, tu vas me faire rougir
— Mais moi aussi j’ai une surprise, nous allons au restaurant, j’ai réservé une table.
— Ha oui c’est une surprise, mais il faut que je me change ?
— Pas du tout tu es parfaire comme cela.
— Pierre tu exagères, je me suis habillée comme cela ici, pour te faire une surprise ICI, Mais pas pour aller au restaurant. Regardes, je fais femme de mauvaise vie pour sortir.
— J’ai envie de sortir avec une pute ce soir, la plus sexy des putes ce soir, ma femme.
— Allons, je n’ai pas mis de culotte en plus, pas même un string
— Je sais, j’ai vu quand tu marchais en venant au salon, et c’est ce que je veux.
— Chéri, tu es fou,
— Oui, tiens bois une deuxième coupe de champagne
— Tu veux me saouler pour me faire sortir comme cela ?
— Non je veux que tu sois consciente, mais un peu d’alcool va te désinhiber un peu.

Je bois ma deuxième coupe d’un trait ;

— Tu l’auras voulu ( je suis folle, mais existée comme jamais )

C’est comme un défi de ma part, mais je sais que Pierre, s’il me guide dans cette aventure, me protègera.

— Laisses moi mettre mon manteau, je ne veux pas que les voisins me voient sortir comme cela dans la rue.
— Ok, tu ne mets ton manteau que pour aller à la voiture. Ensuite tu ne l’as pas de la soirée.
— Ok, mais tu me dis si ma mini remonte trop derrière ?

Nous voilà partis, j’ôte mon manteau dans la voiture. hooo assise, je sens le cuir en direct sous mes fesses nues.
Je ne peux rien cacher de mon minou épilé. Mon mari est ravi. Il pose sa main sur le haut de ma cuisse, me caresse, haaa il glisse ces doigts sur ma chatte.

— Mais tu es mouillée ?
— Tu parles, avec ce que tu me fais faire, je suis trempée
— Je t’adore
— Moi aussi, mais arrêtes, je vais être une fontaine en arrivant au restaurant.
— O k, j e ne te touche plus.

J’ai envie de dire dommage, mais je suis déjà rouge comme tout, le sang me tape dans les tempes, comment je vais pouvoir me tenir dans ce restaurant.

— J’espère que ce n’est pas un grand restaurant. Je risque d’être refouler pour tenue indécente ?
— Ne t’inquiètes pas les call girls sont reçues dans tous les établissements sélects.
— Tu l’auras voulu, je suis ta pute d’un soir, tu peux me demander ce que tu veux.

Je me rends compte en roulant que le haut de ma robe ne tient pas fermée sur ma poitrine proéminente. Je suis obligée de rabattre régulièrement le tissu sur mes pointes de seins.
Je vois que mon mari, sans rien, dire mate de coté, HUMMMM le petit salaud il ne dit rien, mais je constate qu’il bande dans son pantalon.
Il se concentre sur la route ; sûrement pour arriver dans un état plus convenable au restaurant.
Nous arrivons, je n’ose pas descendre.
Dans la voiture, je suis la, à tirer sur le bas de cette mini robe. Quelle idée j’ai eu de la raccourcir !
Bon il faut y aller, mon mari m’ouvre la porte.
Ma descente semble intéresser quelques passants !!!!
Impossible de sortir avec les jambes serrées, je ne fais que leur montrer mon intimité ; je me relève vite sur le trottoir.
Je sens les gens qui me regardent.
Mon mari est hilare il me voit tirant sur le bas de cette mini pour essayer en vain de cacher la bande de dentelle en haut des bas.
En plus des bas résilles noirs, vraiment je fais trop p ….
Tanpis, autant jouer le jeu. Mon mari est mon client ce soir, me voilà escorte girl.
Je commence à marcher, je suis les jambes serrées, mais hyper tendues, sur ces talons aiguilles si hauts qui me cambrent les reins.
Pierre, mine de rien, prend un pas de recule par rapport à moi, de temps en temps, pour me mater de derrière.
Il me voit tirer sur la bas de ma mini tous les 5 mètres. C’est un enfer.
Je me regarde dans les vitrines au passage, je suis folle, je fais plus provoc que la pire des prostituées.
Je sens mes seins qui ballottent librement au rythme de mes pas qui claquent sur le trottoir.
Haaa, les hommes qui me croisent me dévisagent, plutôt me déshabillent du regard. Je sens leurs yeux qui se posent sur mes seins si dévoilés. Ils me semblent suivre le mouvement de ma poitrine qui oscille.
Cela fait déjà deux fois que je repousse discrètement la pointe d’un sein qui sortait.
Je tourne la tête vers mon mari, qui matait mes fesses.

— Dis donc cela semble te plaire de me montrer comme cela ?
— J’adore, tu as un cul d’enfer, et des jambes à damner tous les hommes.
— Arrêtes, je suis obligée de tirer dessus cette mini tout le temps. Je me demande si parfois on ne voit pas le bas de mes fesses qui dépasse.
— Tu penses bien que je ne te le dirais pas si cela arrivait.
— Chéri, tu es fou de me faire faire cela. Que vont penser les gens qui me regardent ?
— Que j’ai bien de la chance d’être avec la pute la plus exhibe de paris !
— Arrêtes de me dire cela, je suis trempée en ce moment.
— Marche en te déhanchant un peu plus, juste pour voir ce que cela fait ?
— Tu veux vraiment ? Comme cela ?

Et je fais quelques pas en me déhanchant comme la pire des vampes. J’arrête immédiatement sentant ma mini robe remonter.

— La c’est vrai qu’on voit un peu la pliure du bas de tes fesses quand tu fais cela.
— Haa, salaud, et tu ne me l’as pas dit.
— Bien sur que non, regardes comme je bande, je vais jouir dans mon pantalon si tu continues.
— Non, la c’est trop, regardes les types derrière ils ont du tout voir.
— Sûrement, cela doit les exciter comme moi.
— Ho que doivent ils penser de moi dans cette tenue ?
— Que tu es une pute très exhibe et très salope pour sortir sans culotte sous cette microminirobe ?
— Arrêtes chéri, je ne peux pas rester sur là trottoir ainsi, rentrons.
— OUI, nous rentrons mais dans le restaurant que voilà.
— Tu crois vraiment ?

Et la je suis vraiment inquiète en train de tenter de tirer sur le bas de cette mini robe qui me semble remonter comme un élastique sur mes fesses. J’en oublie presque mes seins qui pointent en avant avec arrogance. En entrant dans le restaurant, les yeux du maître d’hôtel me rappellent que mon décolleté est un appel au viol. Il devient rouge cramoisi. Cela promet pour la suite de la soirée.
Il nous dirige dans la salle, les discussions retombent un peu. Je vois des gens qui se retournent sur mon passage. La tension monte en moi, encore plus de les sentir si proche.
Le maître d’hôtel nous dirige vers la deuxième partie de la salle qui est en demi-étage six marches plus hautes. Ha il faut que je monte cet escalier devant tout le monde. Heureusement je leur tourne le dos et ne les regarde pas. Je suis morte de honte.
Vite que je m’assoie !!!!

— Chéri, avec ce que tu me fais faire, ce n’est pas une coupe de champagne qu’il me faut maintenant mais un double whisky ???
— Demande accordée.
— HO petit salaud, tu veux me saouler, tampis, whisky
— Le serveur se fait un plaisir, de revenir avec nos verres, et de s’attentionner, en nous servant nos glaçons et autres amuse-gueule.

Cela fait déjà deux fois que je replace la pointe d’un sein qui s’échappe. Cela ne lui échappe pas à lui, il bande le petit salaud.

— Chérie, tu es la plus sexy des escortes girls que je n’ai jamais vues, et c’est mon plus beau cadeau d’anniversaire.

Comment une femme peu résister à de tels compliments ? ( ma parole je dois commencer à être sous l’emprise de l’apéritif )
Je commence à regarder la carte, le maître d’hôtel me conseille en restant à côté de moi ; ( tu parles d’un voyeur. hummmm j’aime bien ses yeux qui plongent sur mes seins )
Je sens que mes fesses nues sont en directes sur cette chaise. ( je vais sortir avec des marques de canevas, c’est sur)
Je trouve une solution pour parer à mon indécence entre mes cuisses, en posant ma serviette sur mes cuisses. Ouf! . Les serveurs semblent en être désolés. Ils ont du tous constatés que je suis sans culotte, et épilée. Pourvu qu’ils n’aient pas remarqué que je suis mouillée.
Le repas se déroule tranquillement, nous parlons avec Pierre comme des jeunes amoureux.
J’en oublie parfois que mes pointes de seins jouent les filles de l’air. Ma canaille de mari se garde bien de me le faire remarquer. Les serveurs en profitent ainsi que les hommes des tables voisines.
Mon mari me sert du vin en mangeant, je n’ai pas envie de refuser, je me sens juste un peu partie. En plus je crois que j’ai envie de jouer la femme un peu pompette qui ne se rend pas compte de la tenue outrancière dans laquelle elle est.
Je pensais qu’à la suite du restaurant, nous allions rentrer sagement. Erreur …
Pierre me propose d’aller prendre un verre dans un club pas loin, pour danser un peu.

— Chéri, tu exagères, déjà que j’ai accepté de sortir dans cette tenue, mais la pour aller danser, c’est impossible, on ne va pas arrêter de voir mes fesses ?
— Ne t’inquiètes pas, on m’a indiqué un petit club ou les femmes qui s’y trouvent sont habillées comme toi ce soir.
— Un bar à putes tu veux dire ?

Il me regarde avec un petit rire, :

— Oui c’est un peu cela, mais tu es mon escorte girl ce soir ? Donc pas problème ?

J’hésite, j e le regarde dans les yeux,

— Je te préviens, je ne veux pas coucher avec d’autres hommes !
— Nous sommes d’accord, il n’en est pas question, pour ce soir, tu es une professionnelle qui est avec son client, et qui ne s’occupe que de lui. Cela te va ?
— Tu te rends compte de ce que tu vas me faire faire ?
— Bien sur, je vais exhiber la plus garce des escortes girls de Paris.
— Tu es un vrai petit salaud, mais je t’adore.
— C’est normal, je suis avec la plus belle des salopes.

Je ne sais pas pourquoi mais ces mots qu’ils me soufflent à l’oreille, me troublent. Même plus, m’existent. Je suis trempée entre mes cuisses.
Le café arrive ainsi que l’addition.
Les serveurs semblent déçus d e me voir partir
Je me lève pour aller aux toilettes. Il faut que j’aille me sécher. Je suis comme une fontaine.
Je me fais à nouveau une descente d’escalier. Je tiens ma mini, pour éviter de laisser mon minou à la vue de tous.
Nous voilà sur le trottoir,

— Il est où ton club ?
— Pas très loin, nous pouvons y aller à pied
— Tu le fais exprès de me faire marcher dans cette tenue dans Pigalle ?
— Bien sur, tu n’aimes pas ?
— Salaud.

Il voit mes yeux qui brillent ( bien sur que j’aime le faire, même si j’ai peur, surtout si j’ai peur de laisser par maladresse voir le bas de mes fesses ou laisser sortir une pointe de sein.)
Je marche toujours avec difficulté, ces talons si hauts m’obligent à avoir les jambes tendues et les reins cambrés. Je n’ai pas pris d’autres chaussures, je suis obligée de continuer perchée sur ces échasses.
Nous arrivons enfin à ce bar, club ???
Il y a une petite piste de danse, où se trémoussent deux couples et trois filles qui visiblement ont la tête de l’emploi.
Quelques types autour de cette piste de danse. Ils sont vautrés dans des canapés bas.
Pierre me dit discrètement :

— Vas t’asseoir sur un tabouret haut du bar. Je reviens tout de suite, je vais aux toilettes.
— Tu ne me laisses pas seule ?
— Mais non, de toute façon si un homme t’accoste, c’est simple, tu es une professionnelle qui est avec son client pour la soirée. Il ira chercher ailleurs.
— Ne reste pas trop longtemps malgré tout, je ne suis pas rassurée.
— OK

Je vais vers le bar, je vois ce tabouret haut. Comment me hisser là dessus, avec mon semblant de mini robe, sans créer une atteinte à la pudeur ?
Bien sur, cela commence à intéresser les types dans la salle. Ils ont tout tourné les yeux vers mes cuisses, que je croise très haut pour essayer de cacher mon minou épilé. Mais cela ne fait que dévoiler encore plus le côté de mes fesses nues qui apparaît au-dessus de mes bas résilles.
Le type qui est au bar, se rapproche de moi et m’adresse directement la parole. Ce doit être le patron du club. :

— Dis moi tu es une nouvelle dans le quartier ?

Il me tutoie. Il me prend vraiment pour une prostituée. Autant continuer de jouer le jeu. Et je lui réponds le plus sûrement du monde ( du moins j’essaie )

— Oui, je suis avec un client ce soir, il voulait prendre un dernier verre, et danser un peu.
— Tu fais comme chez toi. Avec la paire de nibards que tu as, tu peux venir ici quand tu veux. Les mecs aiment bien mater les gros nénés.

( Je souris comme si j’étais habituée à ce langage, alors qu’au fond de moi je suis rouge de honte ) Je sens que la pointe de mon sein gauche est sortie. Le patron du bar l’a vu bien sur, je ne peux pas jouer l’effarouchée.

— Tu peux laisser ton décolleté s’ouvrir, ici, personne te dira rien, et surtout pas moi.
— Merci. ( Je suis folle, comment je fais pour répondre cela ???) Je replace malgré tout la pointe de mon sein sous le bord du décolleté. ( Je ne peux pas faire plus, le reste reste visible. Mon mari revient, il est rayonnant, en me matant assise sur ce tabouret.
— Tu es la plus sexy du bar ma chérie. Me glisse t il a l’oreille.
— Salaud, je suis folle d’accepter de jouer les call girl pour toi ce soir.
— Tes yeux brillent, tu adores jouer ce rôle.
— Oui j’ai honte. Je suis trempée. Ils vont tous le voir si cela continue.
— J’espère bien. Viens danser un peu avec moi au milieu de la piste.

Je descends de mon tabouret. Je tire sur ma robe qui était resté coincée en hauteur.

— Marches en te déhanchant que je te vois hyper sexe.

Haaa pourquoi je lui obéis. Je me sens avancer doucement en me dandinant comme une allumeuse professionnelle ; les projecteurs sont sur moi maintenant.
Je commence à danser, en me déhanchant encore plus. Pierre est devant moi à essayer d’esquisser quelques mouvements en rythme. Il bande comme un âne dans son pantalon.
Je me rends soudain compte que le sol est un miroir.
Pierre me fait un clin d’œil qui veut dire continue. Des hommes assis, viennent danser autour de moi comme si rien était.
Haaa leurs yeux que je sens remonter sous mes fesses nues, haaa entre mes cuisses, sur mon minou, je n’en peux plus.
La musique se calme et nous entamons un slow. Je me réfugie dans ces bras.

— Tu es superbe, ce soir chérie, c’est un spectacle de feu que tu nous donnes ce soir.
— Pierre, il faut arrêter, ne me fais pas aller plus loin, sinon ils vont tous mes violer.
— OK Chérie, on ne va pas plus loin. Ils bandent déjà tous au moins autant que moi.
— Et avec ce que je sens sur mon ventre ??????
— Cambres toi juste encore un peu plus en dansant, pendant que je maintiens la robe remonter sur tes fesses. Tu vas leur laisser un souvenir inoubliable.

Je sens ses deux mains sur mes hanches qui continuent de remonter ; haaa il doit dévoiler toutes mes fesses nues. Et pourquoi je me cambre en arrière malgré moi ???????

— Chéri, partons maintenant ils doivent tous voir que je suis trempée.
— OK ( il n’insiste pas plus. Je fais cela uniquement parce que j’ai confiance en mon mari ).

Nous repartons vers le bar, pour régler nos consommations.
Le patron du bar s’adresse toujours à moi comme si j’étais une prostituée très rodée.

— Tu reviens quand tu veux avec tes clients. Mais la prochaine fois garde au moins un string, tu allumes trop les types ici, et tes copines vont être jalouses si tu continues tes numéros de sep.
— Pas de problème je ne recommencerais pas ( Tu m’étonnes, je ne risque pas de le refaire ici.).

Mon mari qui en remet une couche :

— C’est moi qui ai demandé à ma partenaire, d’être sans culotte pour la soirée. Vous ne lui en voudrez pas trop pour la prochaine fois ?
— Bien sur que non.
— Et pour la poitrine, s’aurai été dommage de se priver de ce paysage si vallonné ?

Joignant le geste à la parole, je sens sa main qui passe sous mon sein gauche, me le palpe en l’exposant à ce type qui doit bander derrière son comptoir.

— C’est vrai qu’ils sont beaux tes nénés, tu peux les montrer sans crainte ( Il continue de me tutoyer cette andouille ) Mon mari éclate de rire.
— Bon allons-y.

Nous sortons.
C’est au moins 2 ans du matin, pas de monde dans cette rue noire.
Je marche exprès cette fois-ci en me déhanchant, Pierre est en arrière, Je sens que je suis à nouveau les fesses à l’air.

— Encore, Chérie tu me fais trop bander.
— Comme cela ????? ( hummm et je continue encore plus cambrée, haaa que j’ai envie qu’il me prenne)

Soudain, il me prend par le coude me pousse dans une porte cochère ; Haaaa ouiiiii il va me prendre j’en suis sure, haaa que j’ai trop envie, ouiiiii
Il fait sombre dans ce passage, je lui défais avec fébrilité sa braguette. hoooo comme il bande, il me tient la nuque avec ces mains , haaa ouii moi aussi j’ai envie de le sucer, de le prendre dans ma bouche. Je suis penchée en avant, la mini robe sur la taille. haaa ouiii sa main me caresse les fesses, haaa oui me fouille la chatte. haaa j’ai trop envie, Je le veux en moi, dans mon ventre.
Je me redresse. Il me soulève avec ces deux mains sur les fesses et d’un coup me pénètre le minou. haaaaaa ouiiiiiiii son sexe me remplit en une seule fois. haaaa c’est fou je jouie sur la première pénétration..
Haaaaa je ne contrôle pas mes orgasmes successifs. Je sens ses mains m’écartant en même temps mes fesses.

— oui prend moi partout.

Il ressort, haaa j’ai un manque

— Continues de te branler chérie, je vais t’enculer petite salope.
— haaa ouiiiii ( jamais mon mari ne m’a traitée de la sorte, mais que cela m’excite, haaa oui j’en veux encore )

Je sens son gland si gros qui pointe sur mon anus, haaa il va me déchirer, il est trop gros, haaaaaaaaa mais je le veux quand même ; haaaaaa , son gland passe mon sphincter, haaa cela me brûle, mais je continue de me caresser le clito en même temps. Je jouis encore. haaaaa sa queue continue de me pénétrer les entrailles. Je ne peux retenir un cri.
Haaa ouiii il monte et descend en moi. Je me branle la chatte comme jamais.
Soudain en relevant la tête je vois deux hommes dans l’encadrement du porche, qui nous regardent, ils se branlent comme des fous en nous matant ;
Mon mari continue, haaaa ouiiii encore, haaaaa je sens les spasmes de mon Pierre qui me dilatent encore plus l’anus. Je me resserre sur sa tige, haaa ouiii mon anus le pompe. ouiiii je sens ces giclées en moi.
Les deux hommes se sont rapprochés, ils sont devant moi. Ils éjaculent à leur tour.
Pierre ressort doucement de mon anus. Il me penche un peu en avant en montrant mes fesses écartées.

— Comment vous trouvez ce petit cul messieurs ?
— Super, mais quels lolos elle a aussi la salpe

( décidément mon vocabulaire s’élargit ce soir)
Je me redresse, replace ma robe au mieux, du moins au moins mal.

— Messieurs le spectacle est terminé pour ce soir

Je me tourne vers mon mari :

— Vous pouvez me raccompagner chez moi, Monsieur ?

Et, Pierre de renchérir :

— Bien sur Madame, et je vous retiens pour mon prochain passage sur Paris.

Les deux types nous regardent nous éloigner vers la voiture. Je leur fais un petit déhanché supplémentaire pour leur laisser un souvenir.
Le dernier commentaire que j’entends, c’est :

— Quelle salope, elle reste à poil sous sa tenue de pute.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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