Attention : ceci n’est que fiction. Aucune mineure n’aura été abusé et toutes ressemblances seraient fortuites. Bonne lecture !
Emeline avait les mains moites quand très tôt ce matin là , elle poussa la porte de la boulangerie du petit centre-ville. Le propriétaire était un ami d’enfance de son père. Il lui avait donné rendez-vous à 5h00 précises.
Le père d’Emeline était un homme très influent au sein de leur petit canton. C’était un entrepreneur du bâtiment qui s’était reconverti dans l’immobilier. Il avait fait fortune en rachetant la plupart des commerces d’une petite ville située dans le sud de la France. L’entrepreneur en avait modernisé les services, et attiré ainsi une clientèle plus régulière, et plus aisée. Dix ans après, la ville était en plein essor. Son père avait grandement fait fortune depuis. C’était un homme dur, à l’esprit vif et acéré. A l’inverse de lui, Emeline était une petite souris des champs. Elle tenait de sa mère sa douceur, et son teint pâle. D’une discrète élégance, de longs cheveux blonds. D’ailleurs la jeune femme préférait le calme de sa chambre d’adolescente et ses piles de vieux livres, aux grands projets d’extension de son père.
Emeline ne souhaitait pas faire carrière. Du moins, à presque 17 ans et déjà son bac en poche, elle n’en savait toujours rien. Avant toute chose, elle voulait voyager. Visiter les lieux qui la faisaient tant rêver dans ses vieux livres.
Mais son père avait refusé de lui payer son année sabbatique. Pire, sous prétexte qu’elle ne connaissait pas la valeur de l’argent, il avait décidé qu’elle irai travailler.
Entre deux tournées de bières sur la terrasse de leur maison, son sort avait été scellé. Son père connaissait le propriétaire d’une boulangerie qui cherchait régulièrement des saisonniers. Il organiserait les choses avec cet ami afin qu’il la reçoive, et dès ce lundi matin.
Et c’est pour cela qu’Emeline se retrouvait là, à avancer hésitante vers l’arrière boutique de la boulangerie.
«Bonjour… Il y a quelqu’un ? »
Emeline se tenait debout au milieu d’une grande salle de confection. Il y avait des machines de cuissons de différentes tailles, bordées de tables en inox. Le long des murs, des étagères métalliques chargées de sacs de jute. Et ça et là, étaient stockés des rangées de bocaux et plateaux de service en tous genres.
« Ah tu es là ! » lança une voix tonitruante juste dans son dos.
Emeline se retourna dans un sursaut. Elle ne l’avait pas entendu arriver. L’homme venait de rentrer dans la salle en passant par une porte située à sa droite. La soixantaine, il était de taille moyenne, plutôt trapu. Des cheveux gris et hirsutes couronnant un visage peu avenant.
Il était à quelques centimètres d’elle et Emeline eut un geste de recul. La jeune femme n’était plus aussi sûre de vouloir travailler pour cette homme. Mais il ne lui laissa pas plus le temps de réagir. Il saisit la main d’Emeline dans une large paume de mains, la rapprochant de son ventre proéminent.
« Mademoiselle Emeline. Ajouta t-il d’un ton étonnement jovial.
Entre. Sois pas timide. Ton père, cette vielle carne m’avait prévenu de ton arrivée. On a fait classe ensemble tu sais ! Et c’était un fameux cochon ton père à cette époque. Mais j’imagine qu’il n’a pas dû s’en vanter ce salaud !
Alors comme ça tu veux bosser pour te payer du bon temps au soleil ? »
Emeline peinait à se libérer de son empoignade, quand elle se retrouva saisie par les déclarations de cet inconnu.
« Viens suis moi ; j’ai quelques papiers à te faire signer, et les différents postes de travail à te présenter. Je m’appelle Jean-Claude et je suis le propriétaire de la boulangerie ».
Il avait repris sur un ton parfaitement neutre et professionnel. Et la jeune femme cru un instant qu’elle avait mal interprété ses propos.
« Comme tu l’as compris je t’engage en qualité de saisonnière. Au taux horaire de base. Si j’ai besoin de toi le week-end, comme ça peut arriver pour des grosses commandes, t’auras juste à valider les heures effectuées auprès de moi. C’est ok pour toi ? »
La jeune fille se contenta d’hocher la tête, encore un peu intimidée.
L’homme reprenait déjà, sans plus attendre.
« Tu vas enfiler un tablier et me montrer ce que tu sais faire de tes dix doigts. Parce qu’ici tu vas devoir payer ta croûte ma jolie ! Pas de temps pour les branleuses dans ma boutique. »
L’homme l’entraina à sa suite dans l’atelier et lui tendit un tablier en tissu blanc, accroché à une patère.
Elle saisit le vêtement et le suivit jusqu’a une petite pièce meublée chichement. Le lieu devait servir au patron pour son administratif. Dans un coin de la pièce trônait une vielle armoire d’archivage.
Au milieu un simple bureau, où s’entassait factures et courriers. Trois chaises dépareillées remplissaient le reste de l’espace.
Le boulanger lui tournait le dos, farfouillant dans un petit tas de documents placés devant lui.
Emeline attendait, les mains serrées sur son tablier.
Puis il lui fit enfin face. La jeune femme fit un pas pensant qu’il lui donnerait un contrat ou formulaire à remplir, mais au lieu de cela, l’homme lui tendit de vieilles photos jaunies. Emeline resta interloquée par ce qu’elle tenait entre les doigts. Leur contenu, obscène, la glaça d’effroi. C’était des photos de son père, plus jeune. Beaucoup plus jeune. Il était nu sur la plupart des clichés. Son sexe ou la bouche, plongés dans des monceaux de chairs enchevêtrés. Les femmes qui apparaissaient sur les photos étaient à l’inverse, plutôt d’âge mûr. Elles exhibaient leurs chattes béantes aux trous luisants et rougis. Certaines de ces modèles amateurs étaient photographiés les cuisses largement ouvertes, leurs anus béants et gonflés. Sur d’autres encore, on pouvait y voir son père, au pied de deux femmes nues. Le visage collé à une toison pubienne grisonnante et fournie. La main entièrement enfoncée dans le sexe de la seconde.
Le boulanger franchit l’espace qui les séparait.
« Maintenant tu vas m’écouter ma jolie.
Tu l’as compris c’est ton père sur ces photos. A l’époque, il était le chouchou de ces dames. Tu ne le savais pas, hein… » Son ton était redevenu dur, et sournois.
Elle n’avait rien imaginé tout à l’heure. Cet homme n’avait pas les meilleures intentions la concernant. Il s’approcha un peu plus d’elle. Et la jeune femme se trouva vite acculée à la porte. Il lui prit les photos des mains et déposa le lot sur une étagère qui se trouvait à leur portée. Emeline n’avait juste qu’à baisser les yeux pour regarder l’horrible petit tas. Il s’agissait d’une vingtaine de clichés. Et c’était bel et bien son père qui faisait ces choses avec toutes ces femmes. Et elle voyait pour la première fois son géniteur dans des positions qu’elle n’aurait jamais souhaité voir.
Et ce sexe…comment l’ignorer. Sa queue était large comme son poing. Le gland légèrement plus gros et d’une couleur beaucoup plus sombre que le reste du membre. Sur une des photos, une des femmes avait la tête plongée entre les cuisses à peine velues de son père. Le coup tendu dans un effort visible pour contenir deux bourses énormes, dans sa bouche.
Profitant de sa stupéfaction, le boulanger glissa ses mains larges sous le chemisier de la jeune fille. Il lui tata les seins, tirant sans douceur sur les mamelons à travers son soutien-gorge.
Emeline n’osait plus bouger. Elle sentait l’haleine de l’homme sur sa joue. Il soufflait comme un a****l en rut dans son cou. Elle voyait la sueur perler à son front, sa peau jaunie par la cigarette. Emeline pouvait même prendre l’odeur du tabac froid sur sa chemise. Les yeux de son bourreau écarquillés par l’excitation. Éprouvant l’élasticité de sa poitrine, il n’avait pas lâché ses seins sous le tissu fin du vêtement. Il souleva son chemisier, à la recherche du contact avec sa chair juvénile.
Emeline resta comme pétrifiée quand il exposa sa poitrine menue à son regard lubrique. À l’été de ces quinze ans, la jeune fille avait connu ses premiers émois sexuels. Avec un garçon du camping voisin, à peine plus âgé qu’elle. Mais ça s’était arrêté à quelques baisers maladroitement échangés ; et des caresses non assumées, sur des parties de son corps dénudé. Le jeune garçon avait convaincu Emeline de le suivre à l’écart. Et c’est derrière les cabines de douches du camping qu’ils s’étaient embarrassés, longuement ; tout en se frottant l’un contre l’autre frénétiquement. Le jeune garçon avait bien tenté de dénouer le haut de son bustier, mais la jeune femme s’était affolée. Et malgré la pointe durcie de ses seins, avait stoppé tous attouchements, de peur de ne pas maîtriser la suite des événements.
Là, les sensations n’étaient pas du tout les mêmes. Elle ne sentait plus ses jambes. Le sang bourdonnait à ses tempes… L’homme s’acharnait sur ses seins. Il lui tordait les pointes. Tirait sur leur chair. Il avait fait glisser les bonnets du sous-vêtements sous ses seins. Écrasant et frottant les deux globes l’un contre l’autre. Et cet homme, aux manières douteuses et au physique repoussant, l’excitait terriblement… Emeline rougissait de honte. Et de plaisir…Une larme de cyprine coula de l’orifice inviolé de sa chatte. Humidifiant le coton de sa culotte sage.
Sous ce traitement, la jeune femme ne put retenir un cri. Puis un autre. Elle perdait pied.
« Je crois que l’on m’a envoyé une vraie Salope en herbe, lui souffla t- il à l’oreille dans un ricanement.
« Tu aimes quand on te tripote, hein. Si je mets la main dans ta culotte, es ce que je sentirai ta mouille de petite pute ?
Répond pas. T’y passera quand même.
La jeune femme agita la tête, confuse. Dans un refus. Elle ne pouvait pas perdre sa virginité avec cet homme grossier. Ni de cette manière, et encore moins sous le chantage !
Comme si il avait deviné à son regard affolé, l’homme lui pinça méchamment les seins. Attirant son buste tout contre lui.
« Ton père aurait beaucoup à perdre tu sais. Il ne sait pas que j’ai gardé ces vieilles photos, mais tu sais qu’elles pourraient atterrir dans des mains peu enclines à garder ça secret…
Relâchant la pression sur ses seins, il continua de lui chuchoter à l’oreille.
« Je te propose un deal. Je te donne le job, mais ne t’emmerde pas avec le boulot. Je garde ces photos pour moi. Et toi tu viendra tous les lundis à la boutique. Nous serons seuls. Si on te pose des questions tu diras à ton père que tu bosses sur l’administratif avec d’autres apprentis. Pour ta formation bien sûr. T’as compris ?» Le vieil homme lui tordit encore les seins, comme pour la faire sortir de sa torpeur.
Un frisson lui traversa l’échine. Elle était folle d’écouter cet homme. Elle pouvait encore tout raconter à ses parents, et s’enfuir en hurlant de la boulangerie. Mais Emeline craignait par-dessus tout le scandale, et les doigts pointés sur sa famille.
Mon dieu…ces photos de son père étaient obscènes ! Emeline avait même reconnu certaines des femmes photographiées. Deux d’entre elles avait siégé au conseil d’administration de la ville. Et en effet ne niaient pas connaître son père depuis sa période étudiante. Mais pire ! L’une d’entre elles était devenue une proche amie de sa mère depuis les premières années de mariage de ses parents. Sa mère était elle au courant du passé sulfureux de son père ?
Toutes ces questions raisonnaient dans la tête de la jeune fille. S’en était trop !
Et elle fondit en larmes.
Le boulanger prit conscience de ses gestes …et de la situation. C’était la fille d’un homme très influent ! Et mineure de surcroît.
De peur de n’être aller trop loin sans doute, il entreprit de la calmer.
La torture de ses seins cessa. Il remit son chemisier en place et desserra les mains de la jeune femme qui étaient restées jointes.
« Calme toi. Tout va bien. Ni toi ni moi n’allons parler de ce qui vient de se passer, hein ? C’était rien. Je t’ai fait visité la boutique et l’atelier. Je t’ai raconté quelques anecdotes sur ton père et c’est tout hein ? Tout va bien. »
« Et les photos ? » Reprit la jeune femme dans un souffle.
« Ben les photos ça dépendra de toi… » lui dit-il en la regardant en biais.
L’homme avait peut être craint un instant des conséquences à son encontre, mais la tentation de pouvoir abuser de la jeune femme était trop forte. Elle le regardait de ses yeux clairs et humides. Ses cheveux s’étaient défaits et sa blouse ouverte laissait apparaître sa poitrine naissante.
Deux globes clairs remontaient en cadence dans l’échancrure. La jeune fille avait le souffle court. Le boulanger était sûr que s’il approchait il pourrait entendre son petit cœur affolé. Et pour couronner le tout, son attitude de vierge effarouchée l’excitait terriblement.
« Tu n’dis rien. Et moi non plus. Je t’engage et tu viens quand tu veux. Seul notre petit arrangement comptera pour moi si tu acceptes.»
« Je n’ai jamais eu de petit ami. Lui dit elle d’une voix presqu’éteinte. Je ne veux pas coucher avec vous ».
« Sois rassurée ma mignonne. Je sais y faire avec les petits minous comme le tien. Je laisserai ta pastille intacte, ajouta t’il d’un ton aigrillard. Et puis j’ai pleins d’idées pour toi. Tu verra on va s’éclater ! Et t’en redemandera ! »
« Allez fait pas cette tête, reprit-il. Je sais être très discret et je serai gentil avec tes petits trous. Allez..viens là… » Et sans attendre, il l’entraina vers son bureau, et la fit s’asseoir.
Emeline se laissa faire. Figée entre stupeur, et le choc des sensations qui incendiaient encore son corps inexpérimenté.
« J’ai peut-être été abrupt avec toi. Mais tu ne dois pas avoir peur de moi ma jolie. Je crois que toi et moi on pourrait s’entendre. Tu as besoin de ce job, et maintenant que tu sais que j’ai des infos dérangeantes sur ta famille, je te conseille d’être très gentille avec moi. Tu verras, je te le rendrai bien ma mignonne.. »
Il s’était agenouillée face à la jeune femme, les mains sur ses genoux. Et il ne pouvait ignorer le tremblement irrépressible de ses cuisses.
« Chut…ça va aller. On va s’amuser un peu tous les deux.
Je vais t’attacher à cette chaise. Je n’aime pas les putes qui gigotent. Tu vas me laisser jouer avec ton petit minou. Je veux voir la marchandise. Je t’ai promis de te laisser pure pour ton futur mari, donc t’inquiètes tu en sortira intacte.
C’est le deal. Je fais de toi ma chose. Ma jolie vide couilles, et en échange je ferme ma grande gueule au sujet de ton cher papa. Tu vois, c’est pas la mort ! Et je t’assures que si t’es sage, et que tu te tiens à notre petit marché, tu en tirera beaucoup de bénéfices. »
Le vieil homme avait débité son argumentaire d’une traite, sans même se soucier du désarroi dans lequel il plongeait la jeune fille.
Elle restait là, les cuisses serrées dans sa jupe droite et sage. Elle avait voulu faire bonne impression pour son entretien d’embauche, même si presque conclu d’après son père. Emeline en jolie poupée de chiffons, garda les bras le long des accoudoirs, la chemise entrouverte. Et ce le temps qu’il lui noue les poignets de part et d’autres de la chaise. Elle n’eut pas non plus le réflexe de replacer son soutien-gorge, et sa poitrine menue resta offerte, la pointe des seins visible sous le tissu fin.
Il remonta sa jupe sur ses hanches, découvrant la peau pâle de ses cuisses. Des jambes longues, aux fines attaches. Le boulanger roula le chemisier dans ses mains et le fit passer derrière la nuque gracile d’Emeline.
Maintenant Emeline se trouvait exhibée, sous le regard perçant et lubrique du boulanger. Les seins presqu’à hauteur de son visage. Le ventre dénudé. La jeune femme portait une simple culotte de coton blanc. Il lui ôta ses ballerines et lui passa les jambes de part et d’autre des accoudoirs. Les bras coincés sous ses jambes, la jeune fille était totalement écartelée. Les cuisses grandes ouvertes. Même si Emeline n’esquissait aucun mouvement, la peau de son cou et de son visage se mirent à rougir, prenant une teinte rosée dès plus excitante pour le boulanger.
Il passa la main sur le sexe de la jeune fille encore couvert. Le tissu était bel et bien humide…La Salope mouillait d’être ainsi traitée. La pression des doigts de son tortionnaire se fit alors plus forte. D’abord sur les lèvres de sa vulve encore close. Puis sur son clitoris durci. Il écrasait et tirait le petit bouton de chair, étirant les lèvres de son sexe dans un mouvement régulier allant de haut en bas. Tout cela sans montrer la moindre impatience à dévoiler son sexe de la culotte qui l’oppressait.
Emeline retenait son souffle. Pinçant les lèvres, les narines frémissantes. Refusant de laisser s’échapper un son. Comme dans un rêve étrange elle se voyait, mais ne se reconnaissait pas. Le boulanger glissa enfin les doigts entre les plis humides de sa culotte, dégageant entièrement son sexe aux lèvres engluées. Sa chatte à peine dénudée s’ouvrit comme une fraîche corolle, dévoilant de jolies lèvres charnues d’un rose tendre et délicat. Ses lèvres étaient surmontées d’un fin duvet blond, à peine fourni. Le contraste était d’ailleurs saisissant avec le rose presque rouge des plis intérieurs de sa vulve. Un rouge luisant et vermillon, comme le clitoris qui dardait son nez sous son fin chapeau.
Le boulanger garda les mains de part et d’autre de cette chatte offerte, mais inviolable. Cette petite pute qui s’ignorait, le rendait fou d’envies. Mais il lui en avait fait le serment.
Il resta là donc à observer l’objet de son désir. Cette chatte rougie était saisissante de beauté… Il ajouta un peu de pression de chaque côté, et sa vulve s’entrouvit encore un plus. Le petit trou de sa chatte formant un «o » obscène d’où s’ecoulait un filet glaireux. Elle était excitée la Salope. Elle ne pouvait plus le nier…
Le boulanger se dit Alors, qu’avec le temps, et un peu de savoir faire, il pourrait en faire sa chienne. Et à ce moment là, c’est elle qui viendrai. Il se fera un plaisir d’en user et d’abuser. Pour le cul, oui, mais surtout pour faire enrager cet enfoiré de Gérard. Depuis que monsieur avait réussi il se prenait pour le roi de la ville. Faisant, ou défaisant les réputations en fonction de son bon gré.
C’est pour cela que sans plus attendre, il entreprit de découvrir son nouveau joujou.
D’abord en ouvrant grand les yeux et les narines. La chatte de la jeune fille exhalait une odeur forte et douceâtre. Une petite tâche humide était apparue sur le tissu vieilli du fauteuil.
La petite cochonne mouillait de plaisir, hors il n’avait même pas commencer à jouer avec elle…Ça le rendit fou. C’était inespéré. Il ne s’attendait pas du tout à ce que cette jeune oie soit aussi docile.
Puis il fit quelque chose qui précipita définitivement Emeline dans un monde qui serait le sien dorénavant, celui de la soumission et du sadomasochisme .
Il se mit à lui serrer la nuque, d’une main rude et ferme, puis plongea tête la première entre ses cuisses. Il aspirait sans douceur son clitoris gonflé. Lappant de sa langue rugueuse l’appendice de chair. La bouche du boulanger était collée à sa chatte, il lui enfonçait la langue frénétiquement, et de plus en plus loin, comme si il s’agissait de sa propre queue. Puis cette même bouche remonta le long de sa vulve. Mordant aux passages les lèvres baveuses de la chatte enflammée .
Emeline n’en pouvait plus. Elle croyait mourir sous cette débauche sexuelle. Les yeux fermés , la gorge renversée cherchant l’air sous cette main qui écrasait sa trachée, elle jouit dans un spasme long et brutal. Emeline, secouée de frissons incontrôlables, ne put retenir un sanglot.
L’homme plongea alors sa main dans sa bouche entrouverte. Tirant sur sa mâchoire, la forçant ainsi à sortir la langue afin de ne pas étouffer.
Mais il n’en avait pas fini avec elle. L’homme se redressa et quitta son sexe béant pour saisir la pointe dardée de ses seins dans sa bouche. Fouillant de ses doigts la bouche d’Emeline, sans s’arrêter, il alterna entre caresses et morsures.
Au bout de cinq minutes de ce traitement, la peau d’Emeline était d’un rouge ardent. Les chairs à vif. Sa bouche et sa chatte salivaient dans un flot qu’elle ne pouvait contrôler.
Puis vint le second orgasme. Plus chaud que le premier. Comme une lave liquide à l’intérieur de son ventre.
Et c’est d’elle-même qu’elle ouvrit plus grand la bouche. Léchant et sucant chacun des doigts qui lui fouillaient la bouche sans ménagement .
« Tu es parfaite ma jolie…on peut dire que tu es une vraie Salope qui s’ignorait ! Je vais m’occuper de ton éducation tu vas voir ! Paroles de J-C, dans un mois à peine ton pti cul saura réciter l’alphabet sur ma queue, ajouta t’il dans un rire gras.
Elle dû consentir à cesser de le sucer quand il glissa sa main hors de sa bouche endolorie.
Et de ses doigts pleins de la salive de la jeune femme , il entreprit de caresser l’anneau serré de son anus. La chair fine et flétrie se contracta dans un réflexe primaire. Mais le boulanger ne se découragea pas pour autant. Il accentua les mouvements circulaires de son pouce et dans un glissement presque naturel, il réussit à la pénétrer entièrement de son pouce. Le vieil homme, le pouce happé par ce cul si chaud, lisse et étroit, fut tenté de le lui forcer définitivement. Un doigt ou sa queue, sous l’excitation cette petite chatte serait peut être capable d’accepter…Mais il ne voulait pas effrayer sa jeune pouliche. Patience…il devait être patient. Voir comment elle encaisserai déjà ces premiers échanges…
La sentant se tendre et se rétracter sur son pouce, il prit tout de même la décision de l’éprouver encore un peu.
Et sans s’inquiéter de ses crispations il enfoncea son doigt si fond qu’il eut la paume collée à son cul. Ça y est…il était passé. La jeune femme tenta de s’y soustraire. Soulevant le bassin afin de fuir cette main intrusive. Mais le vieil homme lui assena une petite claque sèche sur sa chatte entrouverte. Provoquant un réflexe incontrôlable de contraction autour du pouce qui l’écartelait déjà profondément.
A partir de cet instant, le vieil homme ne lâcha plus la moindre parcelles de son corps, le regard comme fou .
Il alterna entre claques sur ses seins, sa bouche et sa chatte ouverte.Tout en gardant le pouce enfoncé dans son cul.
Le troisième orgasme surprit ainsi la jeune femme. Car il vint d’abord du bas des reins…Emeline jouit violemment en s’empalant d’elle-même sur le doigt de son bourreau.
Le souffle court, les membres tremblants, Emeline, dans un long cri, rejeta la tête en arrière.
Quelques minutes plus tard, elle tentait de reprendre ses esprits…Le boulanger lui…
Elle l’entendait se branler de plus en plus fort derrière elle. Il avait le souffle rauque. Des bruits de chairs humides qui coulissent, résonnaient dans la pièce. Puis il lui empoigna les cheveux, tirant sa nuque à l’extrême. La tête à l’envers, le regard embrumé mais les yeux grands ouverts, Emeline vit qu’il avait extrait son membre de son pantalon. Ses deux bourses énormes et velues compressées par sa main disponible.
« Sors ta langue, Salope . »
Il s’approcha jusqu’à se branler sur son visage revulsé par la contorsion. Frottant sur son front et ses yeux, ses bourses lourdes et secouées par sa masturbation frénétique.
« Tire ta langue, tire-la. »
Et tout en empoignant sa chevelure blonde, il juta sur son visage et sa langue tendue, dans de longs jets chauds et sucrés.
Il essuya sa queue sur son visage souillé. Mit une claque taquine à un de ses seins tout en la félicitant de son instinct exacerbée de femelle.
« Toi, t’apprendra vite à satisfaire un homme ma cochonne.
Allez assez joué. Rhabille-toi et va te debarbouiller dans l’atelier. En rentrant, tu diras à ton père que je t’attends lundi prochain, pour commencer.
Et notre arrangement restera entre nous. Si tu caftes à qui que ce soit , je te jure que je me ferai un plaisir de dire à tout le monde comment tu m’as offert ton cul pour un simple job d’été. Après tout, tel père, telle fille ! »
Une fois libre de ses mouvements, les jambes chancelantes, Emeline replaça ses vêtements sur son corps meurtris. Quand elle pu enfin marcher , ses cuisses étaient trempées. Sur son visage, le sperme sechait déjà. Formant sans doute un masque grotesque et visqueux.
Emeline s’empressa de quitter la pièce. Trop troublée pour faire autre chose que de s’exécuter.
Cinq minutes plus tard, elle quittait la boulangerie sans demander son reste.
Le boulanger n’ayant même pas pris la peine de la raccompagner. Emeline, vaincue, s’était sentie congédiée. Comme un vulgaire objet utilisé, et jetable pour le coup.
La jeune femme fut honteuse de ses pensées orgueilleuses. Après tout n’avait elle pas plus matière à rougir ?
Car pour sûr, ce lundi, elle serai là comme convenu.
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