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Vengeance

Vengeance



Ayant fait le deuil de mon compagnon, je désirais tout de même me venger. Je me mis alors à surveiller sa petite dinde. C’était une ravissante petite blonde, bien foutu, de longues jambes, un cul de déesse et une paire de seins d’enfer.

Je découvris que la belle aimait les ballades en cheval. Je pris des cours accélérés et m’inscris dans son club d’équitation. On ne risquait pas de voir mon ex gland de mari vu qu’il détestait les bourrins à part dans son assiette. Petit à petit j’arrivais à mes fins et me fit de sa compagne une excellente amie.

On faisait de longue promenade ensemble et lorsqu’elle m’invitais chez elle, je trouvais toujours un moyen pour me désister.

Un jour, alors que l’on faisait notre ballade en pleine campagne, nous fûmes surprise par un violent orage. On tomba sur une maison abandonnée. On entra à l’intérieur les vêtements trempés. Il fallait vite se réchauffer sinon on risquait de prendre froid.

Je trouvais du bois et allumais un feu dans la cheminée. Une fois celui-ci bien partie, je me déshabillais.

-Fait comme moi Sylvie. Il faut retirer nos vêtements humides sinon nous allons prendre froid. »

Elle s’exécuta. Je retirais également mes sous-vêtements. Elle me regarda surprise.

-Il faut tout retirer, crois moi. »

Je suspendis nos affaires près du feu. Je pris la couverture que je ne manquais pas de prendre et l’enveloppait dedans. Je la frictionnais vigoureusement pour la sécher et pour qu’elle se réchauffe. Elle était légèrement halé et on voyait la trace de son bikini échancré. Elle était très belle. Je me séchais à mon tour.

-Ca va? » lui demande je

-Ca va! Heureusement que tu es là. Je suis incapable de faire ce que tu fais. »

-Pas de problème. Détend toi, je pense que nous allons rester un certain temps ici. L’orage ne se calme pas. »

-Tu crois? »

-Oui! Je vais faire rentre les chevaux. Installe toi près du feu et réchauffe toi. »

Je fis entrer les chevaux dans la pièce. J’amenais de la paille, que j’avais trouvé dans une pièce à côté et retirais leur harnachement. Je faisais tout cela nue. Depuis mon voyage au Maroc, je n’avais plus de pudeur en présence d’une femme. Je remis du bois dans le feu et allais bouchonner les deux chevaux. Elle ne me quittait pas des yeux.

-On dirait une amazone. » finit elle par me dire.

J’éclatais de rire. Pendant que je frottais les bêtes avec de la paille, je parlais avec Sylvie de tout et de rien. Elle ne me quittais pas des yeux, fasciné par mon énergie.

-Voilà, ils sont propre maintenant. » dis-je.

Je caressais les deux chevaux leur donnant du foin à manger. Le feu diminuait.

-Je vais chercher du bois à l’extérieur. »

Je sortis toujours aussi nue et 2 minutes plus tard j’étais de retour. La couverture gisait près du banc à côté de la cheminé presque éteinte. Sylvie n’était plus là. Je remis du bois et le feu reparti.

Je cherchais alors Sylvie des yeux et la trouvais avec les chevaux. Je fus surprise par ce que je voyais. Elle était à quatre pattes, nue, entre les deux bêtes, la tête baissée.

-Ca va Sylvie? » lui demande je en m’approchant.

Elle ne bougea pas, restant à quatre pattes.

-Je peux faire quelque chose? » demande je inquiète sur son état mentale.

-Tu peux…J’aimerais… que tu me bouchonnes aussi. »

-Pardon! »

-S’il te plait, bouchonne moi comme un cheval. »

-Tu es sûre? »

-Oui, je veux que tu me frottes. »

Je m’agenouillais près de ce corps magnifique, pris un poigné de paille et commençais à frotter doucement le dos.

-Plus fort, s’il te plait? »

J’appuyais alors comme elle le désirait laissant des marque dans son dos. Elle gémit. Je frottais alors son dos, ses fesses, ses jambes. Son corps ondulait sous ma main. Je frottais ensuite son ventre, ses seins. Elle gémissait un peu plus.

Trouvant que cela était suffisant, je me débarrassais de la paille et caressait son corps plus doucement. Elle frissonnait et respirait rapidement. Son corps ondulait merveilleusement sous ma main. Je passais alors ma main sur son ventre remontant vers sa poitrine dont les tétons dardaient d’excitation. Elle poussa un cri lorsque je les touchais. Sa poitrine était si parfaite que j’avais cru qu’elle se l’était faite opéré. Je ne vis pas de trace d’opération.

Je pétris un peu sa poitrine. Elle gémissait de plus en plus appréciant ma caresse. J’abandonnais sa poitrine et fit glisser ma main vers son pubis. Sa respiration s’accéléra. Mes doigts touchèrent son pistil humide de rosé. Elle cria à nouveau. Je lissais sa fleur, cueillant au passage sa liqueur. Je remontais alors ma main et lui présentais mes doigts devant sa bouche. Elle les suça avidement.

Je m’agenouillais alors derrière elle. Je pris ses fesses entre mes mains et caressais sa chatte juteuse l’ouvrant petit à petit. Doucement je déposais quelque baisé sur ses adorables fesses. Je me dirigeais petit à petit vers l’objet de mon désir. Je sentais qu’elle ne demandais que cela. Elle trembla à nouveau lorsque ma bouche se posa sur ses lèvres intimes. J’ouvris la bouche sortit ma langue et dégustais sa liqueur. Elle jouit sous ma bouche. Je la buvais alors avec voracité, maintenant ses fesses afin de ne pas perdre le contact tant son corps vibrait. Je faisais aller et venir ma langue entre son petit œillet bleu et sa chatte. Elle jouit encore une fois.

Elle se calma un peu. Elle me dit son désespoir lorsque je retirais ma bouche de sa grotte en fusion.

-Non ne me laisse pas comme ça! Bouffe moi je t’en pris. »

Ne tenant pas compte de ses désirs, j’allais chercher la couverture près du banc. Trouvant l’idée de nous installer avec les chevaux très bonne, leur chaleur permettant de nous réchauffer, je posais la couverture près d’elle. Je la fis s’asseoir dessus. Je m’agenouillais face à elle.

Nos yeux étaient plongé les un dans les autres. J’approchais mon visage du sien et posais mes lèvres sur les siennes, mes lèvres encore couverte de ses liqueurs. Elle ne se fit pas prier pour ouvrir sa bouche. Nos langues se mêlèrent furieusement. Notre baiser fut passionné.

Je finis par comprendre pourquoi mon mari m’avait quitté pour cette fille. Elle était belle, désirable, et savait bien embrasser. En plus je ne pouvais être que admirative sur la façon dont elle s’était offerte à moi.

Je quittais sa bouche et la fit s’allonger. Je m’installais confortablement entre ses cuisses et repris mon repas. Je ne pouvais quitter ma position tant la belle était délicieuse. Elle finit par avoir son orgasme. Elle sombra dans un profond sommeil.

Je m’allongeais près d’elle, roulait la couverture sur nous deux et m’endormis.

Je fus réveillais par la chaleur du soleil sur mon visage ainsi que de petit baiser. J’ouvris les yeux et la vit souriante face à moi. Elle finit par embrasser ma bouche.

-Je n’ai pas eu le temps de te remercier hier soir. C’e n’était pas ma première expérience avec une femme, mais se fut la plus intense. »

Ainsi donc la belle avait des aventures lesbiennes. Elle repoussa doucement la couverture. Sa bouche m’embrassa dans le cou et elle commença à explorer ma peau.

-On m’a dit que j’étais assez douée » dit elle alors qu’elle embrassait ma poitrine.

Elle était sur la bonne voie. Mon corps tangua et ma cyprine commença à perler. Elle quitta la poitrine descendit le long de mon ventre et arriva près de mon pubis.

-On m’a même dit que j’avais une langue très agile. »

Elle embrassa fiévreusement ma chatte et sa langue pointa entre mes chairs. Se fut à mon tour d’être emporté sur les vagues du plaisir. C’est vrai que la coquine était douée. Elle arrivait à la hauteur de mon initiatrice. J’eus mon orgasme, mon premier depuis ma séparation d’avec Ute.

Elle s’installa alors entre mes bras. On s’embrassa tendrement nous caressant mutuellement.

Il était temps de rentrer. On se s’habilla.

Alors que je scellais mon cheval, je la vis sortir un téléphone portable de son sac à dos. Je la regardais surprise.

-Je dois appeler mon compagnon pour qu’il ne soit pas inquiet. »

-Pourquoi ne l’as tu pas utiliser hier pour appeler du secours? »

Elle me regarda l’air malicieux.

-Je trouvais la situation trop excitante pour la gâcher avec un coup de fil. J’ai préféré éteindre mon portable et je n’en suis pas mécontente. Allo mon chérie…»

Je la laissais à sa conversation. Je pensais avoir été la seule maîtresse de la situation la veille, mais c’est elle qui m’avait en fin de compte possédé.

Je sentais que je n’étais pas au bout de mes surprise avec cette fille. Je ne comptais plus me venger maintenant. Je ne pensais plus qu’à une chose : la revoir au plus vite pour boire à nouveau sa liqueur

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