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Une famille en Or (3)

Une famille en Or (3)



Dimanche 25 juin 1989

Tout le monde se lève assez tard et après un petit-déjeuner copieux, Ju nous laisse pour aller faire quelques courses à Plan de Campagne.

Nous sortons pour un premier bain de soleil, et j’enlève directement le string:
— Allez, pendant qu’on est juste toutes les deux, profitons-en pour bronzer intégral!

Elle bloque un peu sur mon minou tout épilé, mais elle m’imite sans trop hésiter et s’allonge à côté de moi. Je lance la conversation:
— Hier, je te parlais d’épilation. Tu aimes la mienne?
— Euh, j’ai été plutôt surprise, mais en fait c’est assez mignon. On dirait une fillette.
— Et c’est tout doux, tiens!

Sans la laisser réfléchir, je lui prends la main et la porte à mon triangle. Je sens un peu de réticence, mais comme je fais ça d’un air vraiment innocent elle passe timidement ses doigts sur ma peau bien lisse en restant bien loin de ma fente:
— Oui, c’est vrai. Mais tu sais, ça me gêne un peu de te toucher, tu es ma cousine. Et en plus c’est la première fois que je touche une femme!
— Justement, nous on se connaît bien! Tu n’as pas à être gênée.
— C’est aussi cette ambiance très dénudée, ça me fait drôle. Les strings, la séance d’épilation, montrer mes seins et mes fesses à Ju…
— Voir les miennes, les siennes, son gros paquet bien moulé dans le string, lire les magazines de cul que je t’ai mis dans la chambre…
— Ah, c’est toi! Ça m’étonnait de trouver ce genre de magazine chez Sève.
— Non, ils sont à ton cousin! Et ça t’a excitée? Tu en a profité pour te branler?
— Oh, Caro, voyons!
— Allez, pas de cachotteries, on est des grandes filles, maintenant!
— Oui, bon j’avoue, je me suis branlée. Et je vous ai entendus ensuite…
— Ben quoi! Toi tu te branles, et nous on aurait pas le droit de baiser?
— Oui, mais vous pourriez être un peu plus discrets!
— Ça t’a choquée? Allez, en vérité, je suis certaine que ça t’a excitée ça aussi.
— OK, j’ai un peu honte de le reconnaitre, mais oui, ça m’a chauffée aussi de vous entendre et je me suis branlée une deuxième fois en m’imaginant à ta place.
— Y a pas de honte à avoir, ma place était super bonne! Allez, terminé les strings, vive le naturisme. D’ailleurs, je sais que tu as déjà vu Ju à poil, le mois dernier.
— Ah bon, il te l’a dit? J’avais pas osé t’en parler de peur que ça te contrarie. Sur le moment, je savais pas où me mettre. Mais bon, j’ai pas trop regardé…
— Pas d’excuse, je m’en fiche que tu l’aies vu tout nu. Désormais, plus de cachotteries!

A son retour, Ju montre son approbation pour le changement:
— Voilà une bonne initiative ! Je vous rejoins dès que j’ai rangé les courses.

Il revient donc à poil lui aussi, et je taquine Valy:
— Cette fois, en plein jour tu le vois bien mieux, non?
— Euh, oui, c’est sûr! J’avais même pas remarqué son épilation, l’autre fois.
— Tu devrais peut-être penser à améliorer la tienne, non?
— Pourquoi pas, j’y songerai…

L’après-midi se passe bien. Au début, Valy a tendance à masquer machinalement son triangle quand elle est face à nous, puis elle se laisse aller petit à petit et ne cache bientôt plus rien. Et Ju réussit à ne pas (trop) bander directement devant elle.

Ce soir, comme Ju et moi restons à poil, Valy ne cherche pas à renfiler un string.Nous nous installons tous les trois dans le canapé pour un gros apéro qui s’éternise à la place du diner et nous réussissons à la faire boire pas mal.

Je suis assise entre Valy et Ju qui a passé le bras par-dessus mon épaule et commence à me caresser délicatement un téton sous le nez de ma cousine. Evidemment, il se met à bander, sans que Valy ne le remarque pour le moment.

Comme il est grand temps de faire avancer les choses, j’empoigne carrément sa queue et le mouvement bien rythmé de ma main attire enfin l’attention de Valy.

En bon état avancé d’ébriété, elle plaisante en lorgnant sans détour sur mon action:
— Ben voyons, vous gênez pas tous les deux! Eh, je suis là!

Je ne m’arrête pas pour autant de branler ouvertement Ju devant elle:
— Merci de ta permission. Et tiens, au passage, j’ai repensé à la nuit dernière. Je parie qu’en fait tu es venue voir ce qui se passait dans la salle à manger, non?
— Ouais, bon, c’est vrai, je vous ai regardés faire!
— Et en te branlant, j’imagine!
— OK, en me branlant, j’avoue!
— Eh bien, comme tu es l’invitée, cette fois tu peux prendre ma place!
— Ouais, tu dis ça, mais tu serais bien surprise si je le faisais…
— Ah ouais, tu crois? Eh bien vas-y, ose!

Ju se lève et se présente devant elle:
— Chiche!

Relevant le défi, elle prend dans sa main la grosse tige dont le gland la nargue:
— Tiens, tu croyais que j’allais me dégonfler?

Et elle le branle sans hésitation, comme si elle avait toujours fait ça avec nous et tout en s’activant, elle me nargue les yeux dans les yeux.

Elle écarte même directement les cuisses quand Ju vient titiller son clito. Alors je me penche et je lèche le gland de Ju pendant qu’elle continue à le branler.

Je fais signe à Valy de me rejoindre, et la fellation continue à deux. Puis je la laisse sucer seule et je commence à lui caresser les tétons, et je me risque enfin à passer ma main entre ses cuisses à la place de celle de Ju.

A ma grande surprise, elle me facilite le travail en écartant les cuisses:
— Ah, mes salauds, vous m’avez bien eue! Mais t’arrête pas maintenant!

Je la branle pendant qu’elle s’applique à pomper Ju. Il sent que ça monte trop fort et qu’il risque de venir trop vite:
— Laisse un peu mon gland se reposer, et amusez-vous entre vous!
— Eh toi, je suis pas une gouine!
— Caro non plus, mais tu as l’air d’apprécier ses caresses, non? Donc tu es bi, et c’est encore mieux, tous les plaisirs possibles sont pour toi!

Elle ne proteste pas trop quand je viens bouffer sa chatte. Ju nous mate en s’entretenant tranquillement l’érection.

Valy ne résiste plus quand j’attire sa tête entre mes cuisses. Elle mange sans retenue mon clito et Ju en profite pour la prendre en levrette.

Elle jouit une première fois, puis il s’allonge sur le tapis, et Valy vient s’embrocher sur sa queue sans attendre.

Je m’accroupis sur le visage de Ju qui me broute pendant que je caresse les seins de Valy et que nos langues se mêlent. Elle a très vite un deuxième orgasme.

Ju nous fait changer de position. Je me mets en soixante-neuf sur Valy, et lui vient me bourrer par derrière. Il ressort de temps en temps pour lui donner son gland à sucer. Enfin, il éjacule dans sa bouche et elle avale tout comme une grande.

Pendant qu’il reprend des forces, nous continuons à nous caresser toutes les deux. Dès qu’il a retrouvé toute sa vigueur, il revient s’occuper de Valy de face.

Elle jouit encore une fois, mais lui n’a pas fini. Il me remet sur elle en soixante-neuf, et cette fois il m’encule pendant qu’elle me doigte. Il finit par monter en pression, et sa deuxième giclée de sperme est pour mon cul.

Bien épuisés, nous allons dormir, tous dans le même lit.

Lundi 26 juin 1989

Ce matin, plus besoin de faire semblant.

Ce qui me réveille, c’est les mouvements de Valy en train de tailler une pipe à Ju. Cette fois, elle n’avale pas tout et il termine d’éjaculer sur ses seins. Je m’empresse de la nettoyer avec ma langue, pour ne pas gaspiller.

Rien de tel que de commencer la journée qu’une bonne partie de jambes en l’air.

Plus tard dans la journée, je l’initie aux joies des godes et vibro-masseurs. Elle trouve ça super et nous les testons à deux. et Ju n’a que le droit de nous mater en se branlant et il s’en donne à cœur-joie.

Comme il réussit à ne pas éjaculer de toute la séance, nous le gratifions à la fin en le laissant nous arroser le visage.

Mercredi 28 juin 1989

Notre trio est bien rodé maintenant.

A force de se prendre un doigt dans le cul, Valy accepte enfin d’y prendre un gode, puis la bite de Ju, surtout qu’elle voit combien j’y prends du plaisir. Ju y va en douceur, avec beaucoup de lubrifiant. Malgré son calibre, ça se passe bien, le conduit ayant été rodé par le gode, et elle jouit du cul pour la première fois.

Du coup, le soir, elle veut essayer de faire comme moi, la double pénétration. Je me place derrière elle et l’encule avec le vibro pendant qu’elle chevauche Ju.

Elle a un orgasme énorme, et sollicité par les vibrations du gode et les contractions du vagin, Ju lui lâche tout au fond.

Jeudi 29 juin 1989

Ce matin, Valy s’est enfin décidée à retailler radicalement sa touffe. Je m’en charge, et elle choisit de garder juste un petit filet de poils, comme Ju. Le résultat est si mignon que je ne peut résister au plaisir de l’inaugurer de la langue.

Pour la dernière soirée, nous décidons de nous amuser un peu en commandant des pizzas.

Lorsque le livreur sonne, je vais ouvrir entourée d’une serviette de douche. Le petit jeune avec son casque est un peu déstabilisé, et j’entretien son trouble car la serviette commence à se dérouler. Je me tortille en faisant mine d’essayer de la retenir mais la serviette finit par tomber au sol.

Tout en farfouillant dans mon porte-monnaie pour le payer, je m’excuse:
— Allez, tant pis, au point où on en est! Bon voilà, j’ai l’appoint.

Le livreur, déjà scotché par mon mont chauve, est d’autant plus médusé qu’à ce moment Ju arrive, le gland sorti, et att**** les pizza en appelant:
— Valy, viens manger les pizzas tant qu’elle sont chaudes!

Elle arrive elle aussi avec seulement une serviette enroulée sur sa tête et va s’affaler jambes ouvertes dans le canapé:
— Ouf, cette douche m’a fait du bien!

Ju lance au livreur:
— Il fait tellement chaud! Vous voulez boire un truc frais avant de repartir?

Il est trop gêné pour oser accepter, et il se sauve en balbutiant un peu. Dommage, on aurait pu s’amuser un peu plus avec lui…

Vendredi 30 juin 1989

Aujourd’hui, mes parents sont de retour.

Je rentre à Marseille et je perds mes deux partenaires.

Ju part travailler en rando dans la montagne Corse pour deux mois, et Valy doit rentrer chez elle préparer son départ en tant qu’animatrice de camp de vacances.

Mais pour qu’elle pense souvent à nous, je lui prête un de mes vibros.

A suivre…

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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