Je n’ai pas toujours aimé le sperme autant qu’ aujourd’hui.
J’ai commencé à sucer à quinze ans et même si j’appréciais déjà d’avoir un sexe dans la bouche, j’avalais surtout je crois pour ne pas décevoir mon petit copain d’alors ou pour ne pas passer pour une oie blanche. Je me souviens avoir été très écœurée par les premières éjaculations que j’ai accueillies sur ma langue et que j’avais du mal à déglutir. Mais toujours je me forçais.
On en parlait bien sûr avec les copines mais c’est surtout ma tante Jacquie qui m’a été de bon conseil à ce sujet.
C’était une belle femme d’une quarantaine d’années, très épanouie, célibataire sans enfant, qui multipliait les aventures amoureuses et en parlait facilement avec moi.
Elle me disait :
» C’est normal, il y a des goûts pour tout âge ! Regarde l’alcool, c’est pareil, au début ça t’écoeure et après tu ne peux plus t’en passer ! Continue, tu vas finir par adorer ça, et en plus c’est bon pour la santé ! »
Elle avait raison.
Comme illustration à ses conseils, elle me montrait des films pornos de sa collection de vhs qui était bien fournie. J’étais admirative quand je voyais toutes ces femmes tailler des pipes à des sexes magnifiques et se régaler de leur jouissance, nettoyer les queues jusqu’à la dernière goutte, prendre même plusieurs éjaculations en bouche, avec un petit sourire de satisfaction. La magistrale fellation à la fin de l’orgie de Caligula m’avait laissée rêveuse.
Au fil de mes aventures sexuelles j’ai donc commencé à y prendre goût. Le déclic a eu lieu en terminale quand j’ai sucé Pierre dans les wc du lycée. C’était un beau garçon que j’adorais mais qui sortait déjà avec une des filles de ma classe. Profitant qu’il était en train de se faire virer de la classe pour impertinence, j’ai prétexté avoir mal au ventre pour sortir aussi et je l’ai suivi jusque dans les chiottes des garçons où il se dirigeait. J’ai entrouvert la porte et je l’ai vu debout devant une pissotière. J’ai attendu qu’il finisse d’uriner et avant qu’il ait le temps de remonter sa braguette je me suis mise à genoux devant lui pour le sucer sans échanger un mot. Il a été surpris mais s’est laissé faire. Sa queue sentait un peu…ça ma encore plus excitée ! J’ai nettoyé la dernière goutte de pipi qui perlait de son gland et l’ai enfourné avec gourmandise.
Quelle victoire quand j’ai senti son sexe durcir bien vite dans ma bouche ! J’ai baissé son pantalon et son caleçon d’époque (blanc avec des fraises !) pour caresser ses cuisses et ses fesses puis je lui ai fait une divine pipe, comme celles qui m’avaient impressionnées dans les films x qu’on dit « vintage » aujourd’hui, engloutissant sa queue, léchant ses couilles, les caressant, jouant de ma bouche et de mes mains avec une grande application…et beaucoup de plaisir. Du coup il a jouit assez vite, et pour la première fois je me suis régalée de sentir déferler ce foutre inconnu dans ma bouche, dans les chiottes déserts, pendant qu’il couinait comme un petit chien qui demande à sortir.
J’ ai tout aimé, la texture, le goût, cette saveur étonnante, épicée, salée, un peu âcre, qui ne ressemble à rien d’autre.
Je suis retournée en classe la bouche encore bien tapissée de son jus.
« Ça va mieux mademoiselle ? »
« Oui monsieur, je n’ai plus mal »
J’ai très vite compris que la fellation était ce qui excite le plus les hommes, surtout quand elle est complète et sans aucun dégout. C’était ma façon de prendre le pouvoir aussi. Notamment avec les hommes mûrs que j’affectionnais particulièrement quand j’avais vingt ans. Tous ces hommes mariés, entre quarante et cinquante ans, prêts à quitter leurs femmes et leurs enfants, parfois leur travail, pour ma bouche qui les faisait tant jouir.
Je les ai sucé partout, dans leurs voitures, sous leurs bureaux de cadres commerciaux quand je faisais des petits boulots, sur des aires d’autoroutes, dans des cages d’escaliers, sur leurs paliers, dans des chiottes de campings… je n’ai jamais regretté, leurs gouts m’excitent encore rien qu’à y repenser !
Mon mari le sait bien, il m’arrive d’avoir des envies subites de son sperme, comme on peut avoir envie d’un café. Il connait parfaitement mon regard trouble dans ce moment-là. Il sait qu’il va falloir bien vite me donner ma dose quelque soit l’heure et l’endroit et il ne m’a jamais laissée inassouvie.
Pendant de longues années il n’y a jamais eu d’infidélité entre nous. Je l’aime et je respecte trop le mariage pour aller voir ailleurs.
C’est lui qui a fauté le premier.
Il s’est fait sucer par sa nouvelle secrétaire (quel affront !) et me l’a avoué. Le salaud ! J’étais furieuse, me faire ça à moi, la reine des suceuses !
Je l’ai planté à la maison avec notre fils encore jeune alors qu’il avait prévu, comme tous les jeudis, d’aller faire un foot en salle avec ses collègues, j’ai rempli un sac de fringues, j’ai pris la voiture et je suis partie faire des kilomètres sans but précis, les fenêtres grandes ouvertes, la musique à fond, pour calmer ma colère.
Et puis j’ai eu une idée, un peu extrême avec du recul, mais qui m’emballait bien dans mon désir de vengeance.
22h05
Je passe devant le gymnase où se réunissent ces joyeux gaillards pour leur foot hebdomadaire. Il y a encore de la lumière. Je me gare entre les voitures de ses copains de travail, je monte dans les gradins : le terrain est désert. Je redescends dans le couloir et là j’entends un joli brouhaha à quelques pas de moi, ça chante, ça rigole fort. Je m’avance et entre dans le vestiaire. Vide lui aussi.
Ils sont tous sous la douche.
Aveuglée par mon envie de vengeance, j’y vais, je les rejoins tout habillée. Ils sont six, heureusement le futsal ne se joue pas à onze, en train de se savonner ou de se rincer gaiement dans un ambiance d’eau chaude et de buée. J’en connais certains, assez bien même.
« Louise ….qu’est-ce que tu fais là ??! » dit Paul, le chauffeur, en cachant son sexe.
Je ne réponds pas. Je regarde leurs corps, leurs sexe, leurs visages étonnés. Je reconnais le petit nouveau, Thomas, un joli jeune cadre dynamique qui cherche à prendre du galon. Je m’approche de lui sans faire attention à l’eau qui m’asperge, mes habits d’été sont déjà vite trempés, laissant deviner mes formes et je commence à l’embrasser avant qu’il ait pu prononcer un mot en posant une main décidée sur son sexe.
Il durcit immédiatement, avec un beau volume, et je m’agenouille pour le prendre dans ma bouche sans aucune hésitation. Les autres ne bougent pas, semblent ahuris au départ mais commencent eux aussi à bander bien vite à me regarder moi, la femme de Jean-Phi, en train de sucer comme une pro cette queue inconnue qui n’en demandait pas tant, et le finir proprement dans ma bouche comme dans une scène de film de cul.
J’avale. Je nettoie. Je m’essuie les lèvres d’un revers de main.
Les autres s’approchent enfin, queue à la main, ne disent toujours rien mais finissent par se décoincer un peu et surtout se disent qu’ils vont eux aussi profiter de l’aubaine. Je me retrouve très vite entourée de leurs bites tendues, toujours à genoux. J’ai décidé de les sucer, de TOUS les sucer. Je suis enragée, je commence à mouiller fort, les cheveux trempés, les habits collant à ma peau. Je saisis leurs membres, les branle, les goute à tour de rôle, passe de l’un à l’autre, les deux mains et la bouche toujours occupées. Les douches se sont tues, j’entends mes sportifs s’animer, gémir, souffler, m’interpeler.
« Mon dieu quelle salope ! »
Il y en a de toutes les tailles, deux grosses, une petite, une moyenne et une très grosse, énorme, celle de Dominique, le commercial Martiniquais embauché cette année. Elles me plaisent toutes, je les dévore en pensant à la salope qui a sucé mon mari.
Thomas, qui a déjà joui, entreprend de me déshabiller, je le laisse faire, je serai plus à l’aise comme ça. Les mains commencent à se balader sur mon corps, sur mes seins, mes hanches, mes fesses, un premier essaye de m’introduire sans demander la permission. Je me révolte.
« Je ne baise pas !! Je suis juste là pour vous sucer alors laissez vous faire et ne demandez rien d’autre !! »
Mais ils sont trop excités maintenant, j’aurais pu m’en douter si j’avais réfléchi avant !
Je suis à poil dans cette douche commune, le cul à l’air, devant six hommes en rut, s’ils veulent vraiment me baiser je vais avoir du mal à les retenir longtemps.
Je ne suis pas sans savoir qu’il y a quelques tensions au sein de leur entreprise, des petites luttes de pouvoir. Il y en a certains qui vont avoir à cœur de se défouler sur la femme de Jean-Phi !
Ils me tiennent maintenant, me caressent la chatte, y fourrent leurs doigts, dirigent ma tête sur leurs sexes, j’abandonne tout espoir de résistance quand un premier m’introduit. Sa queue est grosse, plus grosse que celle de mon mari et rentre profondément en moi, me procurant du plaisir instantanément. Il est déjà au bord de la jouissance, me besogne à grands coups de reins. La vache, que c’est bon !! Ça fait tellement longtemps que je n’ai pas eu d’autre bite que celle de mon mari dans le ventre…
Il jouit en moi, en criant, pendant qu’un autre se branle dans ma bouche frénétiquement en m’affligeant de noms d’oiseaux
« T’aimes ça hein, petite salope, t’as pas ça à la maison, hein ? Tiens, bouffe !! »
Et il me balance toute la sauce, dans la bouche et sur le visage, pendant qu’une deuxième queue m’a déjà pénétrée et me laboure consciencieusement. Le goût du sperme déclenche mon premier orgasme, je jouis comme une folle en déglutissant sa crème, en léchant ses couilles et sa tige poisseuse, sous les coups de reins de mon nouveau baiseur.
Ça dure comme ça pendant au moins une demi heure, ces vicieux se succèdent dans ma bouche et dans ma chatte, sans relâche, m’insultant, m’assaillant, puis se mettant presque en file indienne pour venir se soulager dans ma bouche, étaler leurs foutres gluants sur mes lèvres obéissantes, leurs liqueurs se mélangent dans ma gorge offerte. Heureusement personne n’a eu l’idée de me sodomiser.
J’ai parlé trop vite…
Dominique, qui est resté plutôt en retrait jusqu’ici profite d’une accalmie de jouissance pour venir me tourner autour comme un dompteur devant un fauve déjà nourri, son énorme chibre dur comme du bois en main, se demandant de quelle façon il allait me dominer. Les autres se sont assis contre les murs, se remettent de leurs chevauchées. La tension est encore palpable. Dominique prend son temps. Il marche autour de moi, sans me toucher, comme pour bien consciencieusement choisir son orifice. Je ne dis rien, le temps s’arrête.
Il vient se poster devant ma bouche, son sexe est incroyable, je n’en ai jamais vu d’aussi gros, même dans les films, son énorme gland frôle mon nez, me fait loucher.
« Crache dessus » me dit-il avec douceur « n’hésite pas à mettre de la salive… »
Je crache sur son gland, je fais venir toute la salive que je peux dans ma bouche pour lubrifier son sexe, j’utilise le sperme qu’il me reste encore sur le visage, j’essuie mes joues le long de sa
queue, j’étale autant que je peux, je bave tout ce que j’ai pour recouvrir chaque centimètre carré de sa chair tendue.
« Tu as fini ? Me demande t’il calmement
Je fais oui de la tête.
Il sort de mon champ de vision. Va se positionner derrière moi. Je ferme les yeux. Le silence est lourd.
« Écarte »
J’ouvre autant que je peux, une fesse dans chaque main et je le sens poser déjà son gland à l’entrée de mon sphincter. Il pousse, une première fois, mon anus se dilate, se déforme, je fais quelques respirations courtes et rapides pour me détendre, le passage est difficile mais je sens rentrer les premiers centimètres en moi. La sensation est incroyable ! J’ai mal mais le plaisir commence à se faire sentir alors qu’il me pénètre davantage encore. Le gland est passé, c ‘était le plus gros morceau mais il en reste tellement !
Il commence des petits va et vient lents qui lui font gagner à chaque fois un peu plus de terrain dans mes entrailles, il pousse encore, force l’entrée avec autorité jusqu’à ce que mon cul soit rempli de sa chair, j’écarte toujours les fesses au maximum, il en rentre encore, mon dieu, il en reste tant que ça ?! Je ne sais plus mais je n’ai pas encore senti ses couilles battre contre moi, preuve que l’introduction de mon anus n’est pas terminée.
Mon plaisir monte. Irrémédiablement. Violemment.
Je lâche mes fesses et commence à me caresser le clitoris. Ses allers retours sont plus rapides maintenant. J’ai l’impression que sa queue vient buter le fond de mon anus jusqu’à mes intestins, je halète, je commence à faire du bruit, à gémir de plus en plus fort alors qu’il accélère encore, pose ses grandes mains puissantes sur mes épaules et m’enfile soudainement le cul de toute la longueur de son pieu.
Je hurle. De surprise. De bonheur. Je n’ai plus mal du tout, il déchire mes entrailles avec délice et je sens monter une vague de plaisir dans mes reins, impossible à dompter, impossible à arrêter, qui grossit jusqu’à m’envahir le ventre.
Il me pilonne, me corrige, me chevauche comme un étalon le ferait d’une pouliche et je pars dans un orgasme foudroyant en sentant battre ses grosses couilles contre ma main, contre ma chatte, je jouis, j’exulte, j’éjacule même pour la première fois de ma vie tant le plaisir anal me dévaste, me libère.
Je perds connaissance.
Quelques gifles plus tard, quand je reprends mes esprits, j’ai la bouche pleine de sperme.
Je déglutis par réflexe, je me nourris de sa jouissance, comme du lait de noix de coco offert aux naufragés du Bounty, évanouis sur la plage. Son sperme est fort en goût, aux saveurs multiples, je prends mon temps pour le savourer.
On me redresse. On me met sous une douche chaude. Quelqu’un me tend une serviette, puis mes habits, j’enfile ce que je peux à la hâte, et je sors des vestiaires.
Dans le couloir je les entends rire et se taper dans les mains comme s’ils avaient gagné un match de coupe.
Il fait encore chaud dehors. Groggy je monte dans ma voiture. Mon sexe bat encore comme un petit cœur, mon clitoris est toujours gonflé. Je commence à me caresser à nouveau et je me fais jouir seule sur le parking, gavée de l’odeur et du goût de tous les sexes qui m’ont pénétrée et surtout du pieu qui m’a envoyé directement au paradis des orgasmes en violant mon intimité.
Je me sens déjà différente, changée, transformée. Je sais que cette folle soirée a modifié mes sensations à tout jamais. Mais je ne sais pas encore dans quelles proportions.
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