Comme tous les étés, je rejoignais mes parents dans leur résidence secondaire en Corse. Pourquoi à 25 ans, je passais mes vacances avec mes parents ? Car cette résidence est au bord de mer, avec une petite plage privée, que l’on devait partager avec nos voisins, un couple ayant la soixantaine qui passaient leur vacance enfermé chez eux.
Bref, cet été, je partis en Corse mais sans ma copine qui malheureusement, devait rester chez nous pour son travail avant de peut être me rejoindre plus tard. Quelques jours après mon arrivé, je croisais totalement par hasard mon ex dans une pharmacie. Par courtoisie, car on était resté en bon terme, je l’invitais à venir passer une après-midi au bord de cette fameuse plage privée.
Mais je l’avais invité par pure politesse, je ne pensais pas qu’elle me prendrait au mot. Du coup, quelques jours plus tard, je passais tout un après-midi en sa compagnie sur cette plage. Très vite après son arrivée, elle enleva son tee-shirt, dévoilant sa poitrine. J’avais oublié à quel point elle avait une poitrine opulente et magnifique. J’étais un peu gênée de regarder sa poitrine, et un peu excité en même temps, les sentiments se mêlaient. Puis, elle enleva son short, elle ne portait qu’un petit string noir.
– Tu peux me mettre de la crème ? Il ne faudrait pas que je choppe un coup de soleil. Me demanda t-elle.
Ainsi, je me plaçais près d’elle à genoux, je vaporisais du produit tout en commençant à bander à cause de la situation. Délicatement, j’étalais le liquide sur le dos, tout en massant, n’oubliant pas de passer sur les cotés tout prés de sa poitrine. Puis, je descendis aux mollets remontant rapidement vers les cuisses que mon ex n’hésitait pas à ouvrir pour me faciliter l’accès, à ce moment là mon érection était totale !
– Je fais l’autre coté ?
– Bien entendu, tu as commencé il faut finir le travail !
Maintenant sur le dos, je plaçais mes deux mains sur chaque sein, elle appréciait, la bouche entrouverte, les yeux fermés, ses cuisses se serraient et se desserraient, je devinais que la source de son puits d’amour commençait à s’humidifier. C’est à ce moment là que je commençais à reprendre mes esprits, me rendant compte que j’étais sur le point de tromper ma copine, la femme que j’aime.
– Excuse moi mais…
Je n’eus pas le temps de finir ma phrase.
– Alors les jeunes, on s’amuse bien ?
C’était ma voisine sexagénaire, Marine, c’était la première fois que je la voyais sur cette plage et l’une des rares fois où elle apparaissait sans son mari. Malgré quelques rondeurs, elle était toujours agréable à regarder. Du coup, l’arrivée de ma voisine fit s’estomper toute la tension sexuelle qu’il y avait entre mon ex et moi, ce qui était une bonne chose car cela m’évitais de lui dire que je ne voulais finalement ne rien faire avec elle. On se contenta alors de profiter du soleil pour bronzer et c’était mieux ainsi car je ne voulais pas tromper ma copine.
Le soir, lorsque je sortis les poubelles, je tombais nez à nez avec cette Marine qui engagea tout de suite la discussion à mon grand étonnement.
– Je suis désolé pour cet après-midi, j’ai l’impression de vous avoir interrompue au pire des moments vous et votre copine.
– Euh non pas du tout, en plus ce n’est pas ma copine mais mon ex.
– Ah, vous êtes célibataire ?
– Non, mais ma compagne n’a pas pu me rejoindre à cause de son travail. Elle doit me rejoindre la semaine prochaine en principe.
– Ah oui d’accord, bon je vous souhaite de passer une bonne fin de soirée.
– Merci, vous aussi.
Le lendemain matin, à mon réveil, ma mère m’indiqua que notre voisine Marine était passé plus tôt dans la matinée car elle voulait que je passe chez elle à 16h pour l’aider dans je ne sais quoi. Ma mère ayant accepté pour moi, je me rendis alors chez elle à l’heure voulu.
– Bon, vous voulez que je vous aide à faire quoi au juste ?
– C’est plutôt moi qui va vous aider.
– A quoi ?
– A garder votre copine.
– Je ne comprends pas.
– C’est simple, si vous ne voulez pas que je dise à votre compagne ce qui allait se passer si je n’étais pas arrivé sur la plage hier, il va falloir me faire monter au septième ciel.
– Quoi ? Vous n’oseriez pas ?!
– Bien sur que oui, d’ailleurs si vous voulez une preuve, je peux commencer par en parler tout de suite à vos parents, je ne suis pas certaine qu’ils soient heureux d’apprendre que leur fils et le genre de type à tromper sa compagne.
J’étais totalement surpris et effrayé par ses menaces car je savais que si ma copine l’apprenait, elle me quitterait tout de suite et définitivement.
– Bon, commencez par vous déshabiller jeune homme.
– Mais… Mais… Ca ne vous gène pas de tromper votre mari ?
– On a un accord lui et moi, si on a l’occasion de se faire plaisir avec quelqu’un de bien plus jeune on ne se prive pas. A notre âge, il ne faut pas se priver des bonnes choses. Bon, il est temps que tu m’en mettes plein la vue alors mets toi nu !
– Mais je ne veux pas tromper ma copine !
– Et pourtant la tromper avec moi et votre seul moyen de sauver votre couple, c’est terriblement ironique je sais.
– Bon, encore une fois, il est temps que j’en vois plus que sur cette plage hier !
L’ordre était impératif, je finis alors par enlever chacun de mes vêtements jusqu’à mon boxer qu’elle vint elle même me retirer lentement. Puis, elle a commencé par tourner lentement autour de moi pour me décortiquer sur tous les angles, avant de se rapprocher. Du bout des doigts elle effleurait mes fesses, provocant mes premiers frissons. Ses caresses sont devenues plus précises autour de mon sexe dont je ne parvenais pas à maîtriser l’érection. Elle pinçait fortement la pointe de mes seins mais la douleur m’apportait un début de jouissance.
– A partir de maintenant, ton pénis m’appartient, tu as compris ?
– Oui.
– Dès qu’une envie de me faire prendre me prend, tu viens me satisfaire. Bon, vas sur le canapé, la tête dans les coussins, replie tes jambes et présente moi tes fesses.
Une fois en position, ses doigts s’attardèrent le long de ma raie des fesses, provoquant en moi de nouveaux frissons avant d’en provoquer d’autres bien plus intenses en me léchant mon trou ! Une fois la surprise passée, car c’était la première fois que l’on me faisait cela, je dois bien avouer que c’était étrange mais pas désagréable du tout.
Elle cessa de me lécher mon trou pour s’occuper de mon pénis après m’avoir fait changer de position. Je dois bien admettre que c’était divin, elle savait y faire. J’étais transporté dans un monde de jouissance inouïe ! Je croyais être dans un rêve.
– Est-ce que les petites vierges dont tu-as l’habitude t’ont déjà fait autant de bien ?
– Non, lui répondis-je avec difficulté.
Elle me sourit et re-goba mon gland pour me sucer tendrement. Ses lèvres bien serré sur mon sexe, aspirant légèrement, sa langue jouant avec mon gland et sa tête changeant d’angle constamment, sans oublier sa main qui me masturbait au rythme de ses va et vient… Pendant qu’elle me prodiguait la meilleure fellation de ma vie, je la vis se doigter avec deux doigts.
Tout à coup, elle cessa de se doigter et de me lécher, elle porta à ma bouche ses deux doigts que je léchais pendant quelques secondes avant qu’elle ne se serve de l’un des deux doigts que je venais de lécher pour me titiller l’entrée de mon anus. Puis, elle reprit la fellation avec des va et vient m’envoyant au fond de sa gorge sans négliger mes testicules.
Sa poitrine montait et descendait à une allure folle, comme mon cœur, j’avais l’impression qu’il allait exploser. Soudain je sentis que je n’allais pas tenir très longtemps. Je finis quelques minutes plus tard par lâcher un torrent de sperme. Comme jamais j’en avais lâché. J’étais tellement dans un autre monde que je n’ai même pas eu l’idée d’avertir Marine.
Malgré cela, elle n’a pas lâché mon sexe et je l’entendais d’ailleurs tout avaler. Une chose était certaine, j’avais totalement oublié ma compagne. Seul comptait maintenant Marine et le fait qu’une femme ayant la soixantaine me faisait chanter pour baiser m’excitais énormément.
Alors que je me levais du canapé pour me rhabiller, elle m’arrêta.
– Non mais vous faites quoi ? On est loin d’avoir fini, il va falloir s’occuper de moi maintenant !
Elle me pris par la bite pour me conduire à sa chambre, on s’allongea tous les deux sur son lit.
J’ai commencé par l’embrasser tout en lui caressant ses seins. Mes caresses sont arrivées au niveau de son nombril et ensuite à l’élastique de sa culotte. J’ai commencé à lui la baisser. Débarrassé de son ultime barrière, j’ai glissé ma main vers son pubis. J’ai juste effleuré les grosses lèvres et cela s’est répercuté par un gémissement long. Je me suis vite mis entre ses jambes et j’ai attaqué son sexe avec ma langue.
J’étais maintenant au-dessus d’elle pour l’embrasser. Lorsqu’elle écartait un peu ses cuisses, nos deux sexes se touchaient, ma queue avait repris sa vigueur, elle était dure et me faisait même un peu mal. Voyant mon érection de retour, elle m’enfila un préservatif avant de diriger mon pénis vers son sexe. Je poussais lentement et pénétrais ainsi son intimité tant convoitée, je me mis à la pistonner, lentement puis plus violemment, lui arrachant des cris de plaisir, elle se raidit, et eut un puissant orgasme.
Je mis ses jambes sur mes épaules de façon à la pénétrer plus profondément, je sentais ma queue buter au fond de son vagin, elle grimaçait légèrement.
– Vous avez mal ?
– Non… Et… Tu n’as pas intérêt à ralentir la cadence !
Je me retirais de cette chatte ruisselante à sa demande, elle se plaça alors à quatre patte pour que je puisse la prendre en levrette, je la percutais et m’enfonçais d’un trait au fond de son minou.
– Prends moi plus… Plus violemment !
J’obéissais à son ordre avec plaisir, j’accélérais encore mes mouvements, elle commençait à gémir de plus en plus fort sous les coups de buttoir de ma queue avant d’accélérer encore le mouvement en donnant des grands coups en avant sans aucune retenu. D’un seul coup son corps se raidit et c’est dans un orgasme puissant qu’elle tomba.
– Redonnes moi ta bite !
Reprenant mes esprits, je me retirais d’elle. Elle était maintenant à genoux le visage au niveau de mon sexe. Elle était entrain de me lécher ma queue. Elle s’appliquait à bien me sucer et elle me reprit mes testicules dans une main puis elle enfonça un doigt dans mon anus. Sentant que je ne pouvais plus me retenir je me retirais de sa bouche et je commençais à me branler devant son visage après avoir retiré la capote.
Elle avait gardé la bouche ouverte pour accueillir mon sperme. Elle accéléra le mouvement de son doigt dans mon cul alors que son autre main jouait avec mes burnes. Elle les caressait, les malaxait, les serrait de plus en fort. N’en pouvant plus j’éjaculais sur son visage plusieurs giclées de spermes. Elle en avala certaines tandis que les autres allèrent partout sur son visage.
– Je n’ai plus besoin de toi pour aujourd’hui, reprends tes affaires et retourne chez toi te reposer en attendant que je fasse de nouveau appel à toi.
Une fois de retour chez moi, je pris une douche tout en me masturbant en pensant à Marine.
Ajouter un commentaire