Le verre de bienvenue
Je suis une femme de 47 ans, châtin clair, silhouette appétissante qui après avoir élevé ses enfants, a retrouvé une activité professionnelle. Mes collègues sont en majorité plus jeunes mais la différence ne se voit pas trop car je fais plus jeune que mon âge. J’ai signé un CDI il y a quelques jours et, comme de coutume, je fête cette signature en payant son verre. Ainsi, le vendredi suivant, après avoir prévenu mon mari que je rentrerais un peu plus tard, me voilà partie dans un bar des environs, accompagnée de collègues. Plus aucune place n’est disponible. Connaissant cet endroit, ils décident de s’installer à l’étage, dans des salons en forme d’alôves. Mes collègues me précèdent donc dans l’escalier tandis que mon responsable, passant le dernier, a les yeux rivés sur mes fesses moulées dans mon jean. Je choisi un cocktail léger. Après avoir bu quelques gorgées, je suis un peu gaie, riant pour un rien. Voulant me lever, je trébuche et me retrouve assise sur Paul .
« Oh, excusez-moi. Je ne sais plus ce que je fais. »
Paul qui n’en demandait pas tant, profite de l’occasion pour passer ses mains sous mon tee-shirt et me peloter les seins. Légèrement éméchée, je lui réponds mollement :
« Ne profitez pas de la situation ! »
Sans force, je ne peux pas faire grand-chose et Paul, gardant une main sous le tee-shirt, essaye de déboutonner mon jeans. N’y arrivant pas, il demande à Thomas de s’en occuper. Je suis toute molle et ne réagit pas. M’auraient-ils drogué ? Une fois le bouton enlevé, le jean glisse le long de mes jambes. Le tee-shirt est rapidement enlevé révélant mes jolis seins. Mon string est aussi retiré et laisse apparaître mon minou bien taillé. Je ne réagis pas et regarde çà comme si ce n’était pas moi. Le spectacle que je donne d’une femme complètement nue excite Thomas qui lance :
« Pour avoir eu 3 enfants, tu dois aimer le sexe. Je suis sûr que tu as déjà vu pas mal de bites défiler dans ta vie ! »
Sans grande réaction, je m’entend répondre :
« Oui tout pleins. Mais plus depuis que je connais que celle de mon m… »
Là, je reste sans voix car Thomas vient de sortir son engin. Thomas a une bite courte mais d’une grosseur impressionnante.
« Tu vas venir me la sucer ! » dit Thomas.
Encore sous le choc, je me mets à genoux mais il est tellement gros que je ne peux le prendre en bouche. J’ai besoin de mes 2 mains pour le branler. Je me contente juste de lui lécher la hampe et le gland.
Rigolard, Mario plaisante :
« C’est pas encore aujourd’hui que tu vas te faire sucer. Mais moi, je pense qu’elle va y arriver. »
Il sort alors son sexe. Je suis à nouveau impressionnée, non plus par la grosseur, mais par la longueur. J’entreprends de le sucer et Paul ne voulant pas être en reste, sort sa queue aux proportions normales, pour goûter aux plaisirs buccaux de son employée. Je sens ma mouille lui descendre sur mes cuisses. La vue de ces membres dressés m’a excitée et je pompe à en perdre haleine. Thomas ne pouvant apprécier ces fellations, me prend pour me coucher sur la table. Il se met à me lécher la fente pendant que les 2 autres me mordillent les tétons. Thomas me titille le clitoris et introduit un, puis deux puis une partie de sa main dans ma chatte.
« Eh les mecs, regardez le trou qu’elle a. Enfin une chatte à la taille de ma bite. »
Rapprochant mes fesses près du bord, il me pénètre d’un coup, ce qui a pour effet de m’exciter encore plus :
« Vas-y, défonces moi avec ta grosse queue, plus fort. »
Après un certain nombre de va-et-vient, je m’assoit à califourchon sur le sexe de Paul, offrant ma chatte à la queue de Mario pour une double vaginale.
« Je n’ai jamais vu ça de ma vie, à part dans les films de cul, s’extasie l’un d’eux. »
Après quelques minutes de ce traitement et ayant atteint un orgasme fabuleux, je reste les cuisses écartées, allongée sur la table, croyant cette orgie terminée. C’était mal connaître les 3 lascars et surtout Paul dont la pensée du cul moulé dans le jean avait rendu de la vigueur à son membre. En un rien de temps, je me retrouve par terre, à quatre pattes, les jambes écartées donnant une vue imprenable sur ma petite rondelle. Paul m’enfonce délicatement un doigt dans le fondement. Je crie que ça fait mal car je suis rarement sodomisée, ce qui a pour effet d’exciter encore plus les 3 compères. Mario lui met sa bite dans ma bouche et Paul entre un puis deux doigts dans mon anus. Une fois bien dilaté, il fourre alors son sexe et me lime comme un fou. Tout le monde va m’enculer, même l’énorme pieu de Thomas va entrer, avec un peu de mal quand même. Pantelante, je m’empale ensuite sur le sexe de Thomas, le cul bien en évidence et, chacun leur tour, Paul et Mario me prennent en sandwich. Après plusieurs orgasmes, je reçois des giclées de sperme sur le visage et les seins. Les 3 compères n’en reviennent pas.
« Il faudra recommencer parce que des femmes aimant la baise à ce point-là, ça ne se trouve plus. On fera passer ça sur des heures supplémentaires ! »
Pantelante, dégoulinant de sperme, épuisée, Le patron m’emmène chez lui pour me laver et me déposer propre et rhabillée chez moi. Je me réveille le lendemain avec un gros mal de crâne et mes deux trous sensibles.
« Alors ma chérie.. Cette soirée c’est bien passée ? Tu sembles épuisée ! »
« Heu…Oui Oui mon amour !!! »
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