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VU SUR LE NET: Le pouvoir de l’i******* (13)

VU SUR LE NET: Le pouvoir de l’i******* (13)



« -Tu es mariée à mon fils maintenant, tu fais partie de ma famille et dans cette famille c’est moi qui commande, c’est moi qui suis le maître. »
« -Mais, mais vous vous rendez compte de ce que vous dites beau-papa, je suis votre belle-fille maintenant et je suis prête à vous respecter, mais vous savez bien qu’il y a des choses qui ne se font pas, surtout en famille. » Sophie était apeurée et jouait la conciliation pour ce sortir de ce guêpier.
« -Oh oui tu vas me respecter, quant à ce qui se passe dans notre famille c’est moi seul qui en décide. »
« -je vous en supplie ne me faites pas de mal, pas aujourd’hui. »
« -Mais comme tu te trompes, je ne te veux pas de mal mais que du bien, comme l’autre jour. Tu crois que je n’ai pas vu que tu avais joui sous ma langue. »
« -Non, c’est faux, c’était un viol. » prononça t’elle avec difficulté.
« -Ne dis pas n’importe quoi, je sais que tu as aimé. Ne fais pas la sainte nitouche, ça ne marche pas avec moi. » Vociféra t’il en lui palpant les seins de son autre main.
« -Non arrêtez ne faites pas ça. »
« -Ta gueule petite salope, je vais t’apprendre qui commande ici. D’ailleurs c’est toi qui vas me faire du bien aujourd’hui ! » Dit-il en dégrafant sa bargette. Une énorme queue épaisse en sortit, Sophie en eut le souffle coupé en la voyant. Elle résista comme elle put alors qu’il l’obligeait à s’agenouiller devant lui. Elle perçut l’effroyable étrangeté de sa situation, comme si elle la vivait de l’extérieur, comme si elle en était la spectatrice.
Dans le bureau du maire, une jeune femme blonde et sublime dans sa robe de mariée, à genoux devant le père de celui à qui elle venait de dire oui, un homme colossal et énorme, laid et à peine habillé pour la circonstance. Le haut de son crâne chauve perlait de sueur, ses yeux bouffis par l’alcool étaient exorbités, il soufflait son haleine répugnante qu’elle avait inhalée alors qui lui parlait, tout la rebutait chez c’est homme. Mais là, devant son sexe monstrueux et turgescent qui empestait le fauve et l’urine elle reprit conscience, des larmes embuèrent ses merveilleux yeux bleus.
« -Pitié, pitié pas ça, s’il vous plaît. »
« -Ta gueule et suce moi petite pute. »
La bite malodorante s’appuya sur ses lèvres au rouge vermeil. La main de son beau-père se posa sur l’arrière de sa chevelure au chignon impeccable et elle n’eut d’autre choix que d’accueillir dans sa bouche la masse de chair et de veines palpitantes. Résignée et sachant que personne ne viendrait a son secours elle décida d’effectuer la besogne au plus vite. Sophie s’activa de son mieux, déployant tout ses talents pour écourter au maximum c’est horrible moment.
« -HAAAAAAAA ! Je savais que tu étais douée salope, une vraie chienne comme toutes celles de ta famille je suis sûr. »
Le sexe dégoulinait de salive, la bouche de Sophie était emplie des déperditions de l’hygiène douteuse de René. Ses longues boucles d’oreilles aux mille éclats se balançaient à un rythme soutenu quand enfin il explosa dans sa bouche.
« -Avale ! » Ordonna-t-il d’un ton qui dissuadait de toute contestation. Et elle avala, elle avala tout, bien qu’il y en eut une grosse quantité, elle avala bien qu’elle ne l’eut jamais fait, même après les demandes insistantes et répétées de Paul. Le sperme dégoulina dans sa gorge et sur ses lèvres, elle se surprit à en trouver la texture onctueuse et son goût loin d’être désagréable.
Il se retira et rengaina son engin, lui caressa la joue et comme gêné se dirigea vers la porte. Avant de partir il se retourna.
« -Merci d’y avoir mis autant d’application, tu es très douée, c’était très bon. Ce con de Paul a de la chance de t’avoir comme femme. »
Elle était furieuse, furieuse d’avoir été touchée par son compliment.
Sophie avait failli s’enfuir, tout quitter mais toute sa famille était là, leurs dire quoique ce soit aurait été pire, qui l’aurait crue, qui aurait pu la défendre ? Son pauvre père était déjà bien abattu par la disparition de sa mère et tous se réjouissaient tant de ce jour de fête, elle aurait semé le chaos, elle ne le voulut pas. A l’église devant le curé quand elle dit une nouvelle fois oui, elle savait déjà que Paul n’était plus l’homme de sa vie.
La fête dura longtemps, elle finit par danser et apprécier la soirée, à rire avec sa famille et ses invités. Elle évita au maximum son nouveau mari, qui sentant sa gêne, resta penaud dans son coin.
Au moment de rentrer chez eux, Paul était un peu éméché et son père leurs proposa de les reconduire. Les deux jeune gens auraient préféré éviter cela mais aucun ne protesta. Il grimpa avec eux dans l’appartement en prétextant de monter quelques uns des cadeaux qu’ils avaient reçus. Alors que René se servait un verre dans le salon, Sophie se trouva seule avec son mari dans la chambre.
« -Fais le partir d’ici immédiatement ! A la mairie il m’a forcée à lui faire une fellation, le jour de notre mariage. Ton père est un porc pervers et dégénéré. Vire-le de chez nous. » Sophie lâcha cela d’un coup, ne pouvant plus le retenir, surtout avec son agresseur dans la pièce voisine. Paul fut désarçonné, il avait soupçonné qu’une chose pas clair s’était passé au vu de l’attitude de son épouse et à la connaissance des comportements de son géniteur. Il n’avait pas imaginé que cela ait été si loin, il avait juste craint un pelotage un peu poussé, mais pas plus. La colère l’étreignit il allait faire ce qu’elle lui disait, oui cette fois-ci…, mais déjà devant la porte l’appréhension de l’affronter ressurgissait. Sa femme n’eut pas le temps de s’apercevoir de son hésitation quand la porte de leur chambre s’ouvrit brusquement à l’entrée de René torse nu, le spectre de la peur les glaça.
« -Bon on a passé une bonne journée et une soirée pas trop mal, j’ai envie de finir tout ça en beauté. »
« -Papa sors d’ici, s’il te plaît. »
« -Ha oui et pourquoi ? »
« -C’est notre nuit de noce et, et on aimerait un peu d’intimité. Ca serait gentil que tu rentres chez toi maintenant. »
« – Votre nuit de noce, comme si vous n’aviez jamais fait ça avant, laisse-moi rire. Ha, ha,ha comme je lui ai dit tout à l’heure, elle fait partie de notre famille maintenant et c’est moi qui décide dans cette famille. Pas vrai Paul ?»
« -Heu, oui papa, c’est vrai, mais »
« -A la bonne heure. Bon, vous avez déjà baisé, rien de nouveau sous le soleil. Surtout que si tu es aussi doué là-dedans que pour tout le reste, tu n’as pas dû la faire grimper aux rideaux souvent. »
« -Mais enfin comment tu nous parles ! Et je te signale que j’ai réussi mes études de droit et »
« -Ouai des trucs de scribouilleurs, rien de bien impressionnant. Bon tout ça pour dire qu’il est temps que ta jolie femme connaisse ce qui a de meilleur côté physique dans notre famille et là tu sais que tu ne m’arriveras jamais à la cheville fiston. » René écarta son fils de son chemin et s’approcha de Sophie. Il l’enlaça puis commença à l’embrasser dans le cou. Elle était tétanisée, pétrifiée contre le torse dénudé, imposant, bedonnant et fétide de son beau-père. Il lui tripotait les fesses à pleine main, quand il s’arrêtât net.
« -Dégage de la chambre Paul, j’aime pas me donner en spectacle. » Dit il en se retournant vers son fils qui était resté planté bouche bée. Il regarda sa femme qui l’implorait du regard mais il ne pouvait rien faire. Il baissa les yeux et recula lentement.
« -Paul ! Non ! Ne me laisse pas ici, fais quelque chose. Ne sois pas un lâche.» implora Sophie sentant le mince espoir qu’elle avait eu en lui s’évanouir.
« -Et referme la porte derrière toi morveux, ce qui se passe ici ne te concerne plus. »Ricana René. Paul s’exécuta, abandonnant sa femme à son père.
Sophie allait se faire violer par un monstre, par le père de son mari, par une brute puante et énorme. Elle s’attendait à ce qu’il se jette sur elle, mais il n’en fit rien.
« -Tu vois, ton mari est un lâche, un minable. Si moi j’avais une femme comme toi, personne ne pourrai la toucher. » Lui dit-il en continuant de l’embrasser sensiblement du cou jusqu’aux lèvres, en lui caressant la cuisse au travers du tissu immaculé de sa robe. Il la déshabilla avec une grande délicatesse et elle se retrouva uniquement parée de ses sous-vêtements ivoire. Un soutien-gorge affriolent accommodé à une petite culotte à dentelle et à un porte jarretelle sexy. Il l’allongea, elle ne pouvait résister à sa force, à son autorité, à son désir. Il lui embrassa tout le corps, sa seule réaction venait de ses yeux pleins de larmes et de sa peau parcourue de frissons. Il repoussa le tissu de ses seins et se mit à lui lécher goulûment les mamelons, sa langue était efficace et quand il lui mordilla les frissons s’accrurent. Puis il descendit le long de son ventre y répandant ses lèvres grasses et sa salive. Il embrassa sa culotte et la lécha jusqu’à la tremper. Quand elle sentit qu’il l’agrippait pour la lui ôter elle tenta de l’en empêcher mais dut de nouveau abdiquer. Elle serra les cuisses, il força sa tête et lui lapa la chatte. De nouveau son énorme langue rugueuse lui écarta les lèvres, s’amusa de son clitoris et imperceptiblement, contre sa volonté première elle desserra l’étreinte de ses jambes, se laissant aller au plaisir, se laissant emporter par l’orgasme.
René avait dit vrai, ce n’avait jamais été l’extase totale avec Paul, sans être mauvais, il ne l’avait tout de même nullement transportée au septième ciel. Un plaisir que René venait de lui procurer seulement avec sa langue. Alors quand il remonta au-dessus d’elle en dégrafant son pantalon, elle ne broncha pas, encore écœurée par ce qu’il lui faisait subir, mais aussi curieuse des sensations qu’il se targuait de pouvoir lui procurer. Il la pénétra lentement, faisant progresser son engin dans ses chairs avec délicatesse pour qu’elle s’acclimate à son diamètre. Il s’immobilisa et lui enleva son soutien-gorge. Quand il se remit en mouvement des ondes de plaisirs merveilleuses se propagèrent en elle et elle ne put se retenir d’y réagir en gémissant puis en couinant bruyamment. Ce qui satisfit René qui accéléra la cadence et leurs plaisirs. Il posa ses lèvres sur les siennes, elle se dégagea, il insista en lui tenant le visage et elle finit là aussi par l’accepter et par y répondre. Sophie posa ses mains sur ses épaules, lui caressa le dos, il ne la violait plus, ils faisaient l’amour. Elle finit par jouir d’un extraordinaire orgasme, il ne tarda pas à la rejoindre en déversant un sperme abondant au fond de son vagin.
René s’effondra sur le lit en respirant bruyamment, le corps recouvert de sueur. Sophie se dégagea, se leva du lit.
Paul vit ressortir sa femme de leur chambre à coucher, nue, il n’osa croiser son regard. Il était en boule sur le canapé, comme un chien battu. Sophie le toisa, il leva le regard vers elle.
« -Ton père vient de me baiser, tu as soif ? Moi je sui desséchée. » Paul prit cela comme de la compréhension, comme un pardon de sa femme.
« -Je, oui j’ai soif. »
Sophie revint de la cuisine avec deux verres d’eau, il se risqua à la considérer de la tête aux pieds. Son chignon blond était en friche et des mèches rebelles encadraient son magnifique visage à la pâleur rougie par l’effort. Une goutte de sueur perla de son cou vers ses seins où il remarqua des traces empourprées de morsures. Elle caressait d’un doigt distrait son ventre parsemé de chair de poule. Son sexe aux rares et fin poils blonds étaient trempé et de sa fente coulait par gouttelettes du sperme de son père.
« -Tu contemples ton œuvre. » dit-elle avant de vider d’un trait un verre d’eau. « -Tu n’es qu’une pauvre merde Paul. » continua t’elle en lui tendant le verre vide avec un regard de profond mépris.
« -L’autre il est pour ton père, il a soif lui aussi. Avant de rentrer dans la chambre elle se retourna légèrement, son magnifique cul à hauteur du visage de son mari. Il m’a dit qu’il devait se réhydrater avant de me baiser une deuxième fois. » Elle referma la porte derrière elle.
Le lendemain René ordonna à Sophie d’aller lui préparer un petit déjeuner, il la retrouva après avoir été uriner. Aussitôt Paul les rejoignit dans la cuisine. Alors qu’elle finissait de servir le café à son beau-père il la saisit et la fit asseoir sur ses genoux. Il but son petit noir d’une main et caressa le cul de sa belle-fille de l’autre. Il reposa sa tasse puis glissa sa grosse main rude sous le peignoir de Sophie pour lui palper les seins. Paul ne distingua pas bien car sa femme était de dos, mais il lui sembla que son père s’était même mis à les lui téter. Il avait un poids énorme dans le ventre, il se méprisait, il se détourna une fois encore. Son père se leva enfin et dit qu’avant de partir il prendrait bien une douche et sollicita Sophie pour qu’elle vienne lui frotter le dos. Malgré le bruit de l’eau il les entendit baiser encore. Enfin René rentra chez lui.
Sophie resta cloitrée dans la chambre deux jours de suite, puis peu à peu reprit une vie normale. La seule différence c’est qu’il ne pouvait plus la toucher.
René vint les voir au moins trois fois par mois pendant un an, il passait la nuit en compagnie de Sophie, l’initiant à de nouvelles pratiques sexuelles comme l’anilinctus et la sodomie.
En dehors de ça, Paul et sa femme vivaient normalement mais le sexe était devenu un sujet tabou entre eux. Elle ne lui accordait aucune attention sexuelle et il n’osait lui en réclamer. Sophie redoutait les visites de son beau-père, elle s’apercevait que le plaisir et les sensations érotiques qu’elle éprouvait augmentaient à chaque fois. Elle éprouvait de plus en plus de jouissance à être prise par cet homme qui savait mener avec force et délicatesse sa langue et sa bite. Elle appréciait aussi de plus en plus c’est aspect d’être une chose entre ses main, d’être dominée par ce vieux rustre, de se soumettre à ses perversions.
Par un jour pluvieux du mois d’avril ils apprirent le décès de la mère de Paul, renversée par une voiture en pleine ville. Paul était effondré, la veillée funèbre fut très pénible pour lui et il prit des somnifères pour ne pas craquer, il sombra dans le sommeil.
« -C’est bien son genre, dit René en observant son fils comateux sur son lit, s’échapper pour ne pas faire face aux difficultés de la vie. » Sophie eut un mouvement involontaire d’acquiescement.
Un peu plus tard elle rejoint René dans la pièce où était allongée la dépouille de sa femme. René était assis sur une chaise en face d’elle, il fit signe à Sophie de s’approcher, quand elle fut à ses côtés il l’attira à lui, lui caressa les jambes puis les cuisses. Sophie était choquée comment son beau-père pouvait-il agir ainsi en un moment pareil, devant le corps sans vie de sa femme.
« -René pas maintenant, pas ici, c’est indécent ! »
« -Elle en a plus rien à foutre maintenant, de toute façon niveau cul ça a toujours été un glaçon alors ça va pas la changer. » René lui passa la main entre les cuisses et lui caressa la fente à travers la culotte, elle sentit ses doigts rugueux sur son clitoris. Contre sa volonté, contre sa morale elle s’humidifia, ce constat la bouleversa, qu’était-elle en train de devenir ? Comment son corps et une part de son esprit pouvaient apprécier ce qui se passait, en ce moment et cet endroit ? Il lui baissa sa culotte, passa sa tête sous sa jupe et lui brouta la motte. Sa grosse langue lui lapait si bien la moule que malgré l’horrible gêne qu’elle éprouvait elle ne put s’empêcher de gémir. Elle ferma les yeux, tentant d’oublier où elle était, qui lui imposait cet acte sexuel, se concentrant sur ce qu’elle ressentait. La vague de plaisir augmenta et quand elle la sentit affluer sa situation lui revint de plein fouet et l’orgasme la submergea.

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