Comme certains le savent, je suis pour un mois en vacances avec mon mari dans les Alpes de Haute Provence.
Les mecs de notre groupe intime m’ont tous souhaité de bonne vacances :
« Tu vas nous manquer Michèle. Un mois sans orgie, tu vas dépérir ! Lol.>>.
« Caresse-toi devant moi ! Fais-toi très salope ! »
Je joue le jeu, mais avant de jouir en solo, je lui demande d’en faire autant. Après ces préliminaires un peu particuliers, Nous sommes de vraies grenades dégoupillées. Fascinée par son sexe dressé, j’ai une envie folle de le sucer. Je me jette sur sa hampe et le dévore avec gourmandise. Voulant me rendre la pareil, on se met en 69 et sa langue ferme et longue se met à si bien me fouiller que je coule sur son visage. Il m’ouvre les lèvres intimes avec ses doigts agiles et fureteurs. Sa langue se promène entre mon clito et l’entrée de mon vagin. Il joue avec ma mouille. Notre étreinte est intense. Mais je veux sentir son gros truc en moi. En quelques va et vient dans mon vagin surchauffé, il ne met pas longtemps à m’envoyer au septième ciel. Les contractions de mon vagin lors de mon orgasme déclenche chez lui une violente éjaculation. Il s’écroule à mes côtés, la queue gluante de nos ébats. Elle m’attire comme un aimant et je me met à lui nettoyer amoureusement avec ma langue. Le début de vacances s’annonce sous les meilleurs hospices. Au matin de notre arrivée, Il me réveille en dévorant ma petite chatte. D’habitude c’est moi qui le réveille en le suçant. Mais c’est ça les vacances.
Pendant qu’il me lèche, je lui pelote les couilles. Puis il arrête ses léchouilles, me soulève les jambes pour les mettre sur ses épaules et sans avoir le temps de vraiment comprendre se qu’il va faire, je sens son gland sur ma rosette.Avant de me pénétrer, il me regarde avec un sourire ravageur en me disant :
«Il est temps de te réveiller ma chérie ! Je vais te sodomiser, avant d’aller randonner. »
Je ne suis pas surprise et je suis même plutôt consentante et impatiente de recevoir son vit dans mes fesses. Mon corps lui appartient. Avec quand même un peu d’appréhension, voyant sa bite fièrement dressée, j’ai pensé que j’en avais de la chance d’avoir un tel amant à ma disposition. Je suis toujours prête à le recevoir.
Brusquement, d’un coup de reins, il m’a enfilée jusqu’à la garde. La surprise de cette pénétration brutale me fait pousser un cri strident. Il reste un instant immobile au fond de mon cul tout en titillant mon clitoris. Il est si sensible que les ondes de plaisir qu’il me procure font passer la première douleur de ma dilatation anale. Dans un souffle de plaisir, je luis glisse :
« Vas-y mon chéri, encule-moi bien. »
Ces mots l’électrisent. Il titille mon clitoris de plus en plus vite. Je suis au bord de la rupture. Je suis empalée sur son pieux. Sa bite va et vient en moi avec une facilité déconcertante. Sa queue, tel un piston, s’enfonce le plus loin possible. Je lui malaxe les couilles. Cette caresse le déchaîne. Je suis sa monture et il passe à un rythme effréné en hahanant comme une bête. A cet instant, Je suis comme emportée par une déferlante dans un orgasme tonitruant. Il ne peut se retenir plus longtemps et en grognant il explose dans mon fondement. Après un bon moment pour se remettre de nos émotions, nous nous levons pour aller prendre une douche et nous préparer pour une première rando en montagne.
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