Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe hétéro

VU SUR LE NET: L’objet familial humain (3)

VU SUR LE NET: L’objet familial humain (3)



… Un laps de temps assez long s’ensuit où la conversation à table va bon train et où l’on semble ne plus faire attention à moi. Papa vient de déboucher une seconde bouteille de vin de Bordeaux censée accompagner les viandes et les gestes déplacés se font de plus en plus manifestes. Le vieux type hyper-membré à qui j’ai fait une gorge-profonde se montre le plus entreprenant avec ma mère. J’apprends, par les hasards des mots échangés, qu’il se prénomme René. Je le vois peloter les seins de ma mère sans que pour autant mon père en éprouve une quelconque jalousie. René a plongé sa grosse main virile dans le soutien-gorges maternel et celle-ci se laisse masser les nichons, maintenant dégagés, avec un contentement indécent. Elle est ivre et ne pense plus qu’à son plaisir de femelle en chaleur qui a du mal à se contenir, à table. Je surprends l’ami de René en train de caresser discrètement la cuisse de maman. Cette salope a écarté les jambes afin de facilité les attouchements multiples de ces deux messieurs célibataires et ravis de l’aubaine. L’insistance des deux vieux finit par faire gémir ma mère qui se contorsionne sur sa chaise:

_On peut niquer ta femme?, interroge soudain René.

_T’as pas besoin de demander! Ne vous gênez pas, les gars!

« Par ici, ma poulette! »….Maman est conduite illico sur le canapé du salon, déshabillée, sucée, tâtée, branlée et les deux pervers se régalent à se partager ses trois trous pendant que mon père prend des photos pour immortaliser l’instant, avant de se joindre à eux. Maman est partouzé comme la dernière des chiennes pendant une bonne heure. René m’ordonne, de temps à autre, de lui lécher le cul pendant que ma mère le suce, avidement. Les trois orifices occupés, maman jouit à plusieurs reprises et je me surprends, malgré une sévère excitation, en train de lui envier sa position centrale. Je devrai me contenter, après la fête, de lui faire, avec la langue, sa toilette intime (anale et vaginale), les mains ligotées dans le dos, un outil de contention en métal fixé à ma queue par mon père afin d’empêcher toute possibilité d’érection lors de mon travail, pourtant appliqué, de nettoyage complet. Je souffre le martyre tant le corps maternel m’échauffe les sens. Je renifle pourtant sa chatte humide et poisseuse avec la conscience certaine d’un immense privilège que je tiens à faire durer. Il arrive souvent que maman jouisse de mes caresses buccales lors des séances de lavements qui me sont accordées comme une grâce du ciel, mais ses orgasmes inopinés se paient de punitions paternelles redoutables, à mon encontre: le baîllon-boule et le fouet.

Solidement bondé et entravé à un poteau de tortures, dans la cave ou le grenier, seulement nourri et hydraté, durant deux longues journées, de sperme et d’urine en quantité. Je soupçonne ma mère de se laisser aller à le faire exprès afin d’avoir la satisfaction perverse de pouvoir pisser sur moi ou dans l’entonnoir enfoncé et fixé à mon rectum. Mais, certains amis de mes parents n’hésitent pas, lors de ces fameuses périodes de châtiments, à faire venir saillir leurs gros chiens ou encore à se livrer à des séances d’humiliations extrêmes et s**tos, en toute impunité, sur ma personne et avec la bénédiction parentale. Une fois, encouragée par mon père, ma mère a fini par venir se positionner accroupie au-dessus de mon visage pour avoir la satisfaction étrange de connaître enfin les frissons dépravés de la défécation buccale. Elle réalisa, cette fois là, son fantasme le plus inavouable. Je pouvais voir distinctement sa grimace de dégoût lorsqu’elle s’était retournée vers moi pour contempler son chef-d’œuvre intestinal et odorant qui me tartinait la bouche maintenue grande ouverte par un appareil fixé au préalable par mon paternel. Ce jour-là, j’avais joui sans même avoir eu recours à la masturbation. Un orgasme intense et instantané, comme une réaction physiologique immédiate, au-delà de toute justification rationnelle possible. Quelque chose de l’ordre du mysticisme….

A suivre.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire