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Mon histoire – Partie 24 – Enlèvement 2

Mon histoire – Partie 24 – Enlèvement 2



A ce moment précis, Jamel est fort occupé à faire reluire la chatte affamée d’une bourgeoise entre deux ages.
Il s’est taillé une jolie réputation de gigolo auprès d’une certaine catégorie de femmes respectables, aisées mais désœuvrées et mal baisées.
Elles aiment son côté exotique, voyou. Elles adorent son physique musclé, sa peau brune. Elles vénèrent sa grosse bite épaisse et endurante.
Qu’importent les tarifs exorbitants que demande le monsieur, pourvu qu’elles entrevoient un petit coin de 7ème ciel entre ses bras.
Si , en plus, il leur dit qu’elles sont les plus belles, les plus aimablement baisables, elles sont prêtes à toutes les folies pour ses jolis yeux foncés..

Ainsi donc, il est entrain de s’occuper du minou de Madame Amandine.
– quand nous verrons nous ? Lui avait elle demandé-
– je vous laisse le choix dans la date. Lui avait il répondu..

Elle a du dire à son cocu de mari , surement notaire ou banquier, qu’elle avait une soirée de bienfaisance chez les petites soeurs des pauvres pour justifier son absence.

Le con investit n’est pas de première main, des naissances multiples ont facilité le passage du mandrin , que des jeunettes, tout juste post pubères auraient du mal à digérer.
La douairière ,elle , le sent. Elle sent du derrière aussi. Une flatulence inopportune sans doute .
Mais Jamel n’en a cure. L’argent n’a pas d’odeur.

– Mon amour, mon bel étalon, mon pur sang , sailli ta jument en chaleur, lui crie la darone de marmots surement cosanguins.
Le sexe de Jamel, habité d’une vie propre, fait son oeuvre dans les entrailles de la cliente du soir.

Ses érections spontanées restent un mystère pour ces dames, du moins pour celles à qui il reste un brin de lucidité. Les autres, sures de leurs charmes, ne s’étonnent pas que le gland ne puisse plier.
Anne, une de ses maîtresses, dépourvue de rondeurs féminines , l’avait surnommé du nom du roi des forêts.
– Mon chêne , lui disait la plate Anne, fais moi jouir de ta branche noueuse.
La dame se voulait poétesse..
Bref, il est donc entrain de limer le vieux minou élimé quand 3 hommes cagoulés font irruption dans la chambre.

– Ciel, mon huissier ! S’écrie l’ancienne croyant au constat..
– Je peux me retirer ? Demande l’amant d’Amandine ?
-Ouais. T’as fini de tirer. Lui répond une voix sourde. Toi la vieille , tu vas rejoindre ton cornard….

La dame sortie, le reste de l’équipe, dont je fais partie, rentre dans l’appartement.
S’adressant à Jamel, et après avoir ordonné une fouille complète, Pierre demande
– tu étais ou hier soir ?
– Ici, pourquoi ?
– pas d’histoire avec moi. On t’a vu courir après une blonde.
– pff les seules blondes après qui je cours , ce sont les marlboro.

Paul revient avec un téléphone éteint qui était planqué .
– c’est quoi le code ?
– j’en sais rien , je l’ai trouvé dans la rue.
– c’est ça, prends moi pour un con. C’est quoi sa date de naissance ?
– 15 Avril 1985 répond Muriel
– essaye 1985
– ca marche….. C’est bien le portable que l’on cherche.
– t’es dans de sales draps, mon gars. Tu ferais mieux de te mettre à table tout de suite.
– si je vous dit que je ne sais rien…
– Ok. On l’embarque . On prend tout ce qui peut nous être utile.

Jamel, les yeux bandés, les mains menottées , tout juste habillé d’un survêtement est emmené à l’usine.
Il est placé dans une cellule.
On le déshabille . Il est nu et la clim est baissée bien en dessous de 20 degrés.
Pierre décide de le laisser mariner pendant que ses hommes font parler le matériel saisi.
Le portable, à part les appels sortants aux disparues, révèle un numéro entrant inconnu et , lui aussi, intraçable.

Il reste donc à faire parler le prisonnier.
Il est amené dans une pièce aux murs lisses et gris.on l’attache sur une table, les bras en croix. Son bandeau est enlevé.
Des électrodes sont posées sur ses testicules et une sonde métallique est enfoncée dans son anus. Le tout est relié, par des cables électriques à une machine.

Le visage toujours masqué, mon ami s’adresse à lui.
– on sait que tu es impliqué dans les enlèvements. Je pense que c’est toi qui opères. Je veux savoir ou tu as emmené la fille d’hier soir.
– Va te faire foutre.
– Bien , on a pas de temps à perdre . Tu vois ce cadran ? Lui dit il en lui montrant l’engin auquel il est relié, d’habitude les mecs craquent au palier 100. Tu veux vraiment savoir ce que ça fait de prendre du jus dans les couilles ?
– vous n’avez pas le droit.. Si je crève vous aurez l’air fins.
– on s’en fout si tu y restes. Nous on existe pas, on est des fantômes. Ok on commence à 120.

Il tourne le cadran, appuie sur un bouton et le hurlement qui sort du corps de Jamel me glace le sang
Les cris cessent, il s’est évanoui. Pierre me rassure, avec ce système , sauf s’il a le coeur fragile, il ne risque rien…
Il est ranimé à coups de seaux d’eau glacée.
– alors? Tu te décides ? Non ? On recommence ?
– non , ça va, vous avez gagné. Détachez moi..

Chose faîte, rhabillé, un café chaud à la main, il nous raconte enfin son histoire..
– j’ai été mis en relation avec ces types par un copain qui a quitté la région
– le nom de ce copain ?
– Alain..
– ok continue.
– je dois juste enlever les femmes qu’ils me désignent et les amener dans un endroit précis sans leur faire de mal. Je ne connais ni les noms, ni les visages.. Le lendemain un compte à l’étranger est crédité.
– l’adresse ou tu les livres ?
– c’est à 20 km d’ici. En pleine campagne. Une maison isolée au bout d’un chemin en gravier.
Le portail est en acier, vert. Je sonne, on m’ouvre. Deux gars viennent prendre la fille, je m’en vais en suivant. Je peux vous montrer sur une carte.
Et il nous indique l’endroit.
– et la fille d’hier soir ? Elle allait bien quand tu l’as déposée…
– euh!! Elle a essayé de se tirer, j’ai du un peu lui cogner dessus pour la faire se tenir tranquille…mais je ne l’ai pas trop amochée

Et c’est là qu’il prend un énorme crochet du droit d’un Pierre fou de rage..
– s’il lui arrive quelque chose, même ta mère ne te reconnaîtra pas….

Avec les moyens dont ils disposent, le nom du propriétaire est vite trouvé. Apparemment, il s’agit d’un particulier qui a mis cette maison en location.
Il est bien trop tard pour lui poser des questions qui permettraient d’en savoir plus sur les occupants.

En attendant Pierre décide de mettre les lieux sous surveillance. Il envoie donc André et Philippe en repérage et en planque.
– Demain on passe à l’action.

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