Cindy, qui n’avait pas l’habitude d’être perchée sur d’aussi hauts talons, avançait le plus vite qu’elle le pouvait. La nuit tombait et bien évidemment elle n’avait pas aperçu un seul taxi libre depuis qu’elle s’était mise en route. Comme à chaque fois sa salope de belle-mère était partie avec ses filles en la laissant en plan et il avait fallu qu’elle se débrouille toute seule pour les corvées abandonnées par ces pétasses insupportables. C’était un miracle qu’elle ait eu le temps de tout faire et de se préparer pour la fête si rapidement.
La fête ! Elle avait attendu ce moment pendant des mois et il n’était pas question un seul instant qu’elle y renonce quels que soient les obstacles qui se dresseraient sur sa route… Perdue dans ses pensées, elle ne faisait pas attention où elle mettait les pieds et elle fut surprise en sentant qu’elle perdait l’équilibre. Son talon s’était pris dans une fissure qui traversait le trottoir et elle chuta lourdement sur le sol. Une rapide inspection lui permit de constater qu’elle ne s’était rien cassé : plus de peur que de mal. Mais en se relevant elle découvrit que le fin talon de son escarpin droit était brisé en deux. Au bord des larmes, elle maudit la malchance qui s’acharnait contre elle. Impossible d’aller à la soirée de ses rêves avec une unique chaussure ou même pieds nus, tout le monde se serrait moqué d’elle une fois de plus.
C’est alors que le destin lui fit un signe. De l’autre côté de la rue se trouvait un magasin de chaussures qui semblait encore ouvert malgré l’heure tardive. Cindy traversa en boitillant et poussa la porte de la boutique. Au son du petit carillon qui annonçait son entrée, une voix grave s’éleva depuis une arrière-salle : « Désolé, mais on va fermer. » Répondant d’une façon plus plaintive qu’elle ne l’aurait voulu, Cindy supplia qu’on lui fasse une faveur, les circonstances étant exceptionnelles.
Le vendeur, un grand Black bien bâti, apparu alors et détailla d’un air gourmand la grande fille blonde qui se tenait devant lui avec un seul pied encore chaussé. « D’accord, j’imagine que je peux bien recevoir une dernière cliente, finalement », dit-il en fermant la porte du magasin.
Quelques minutes plus tard, assise sur une banquette inconfortable, Cindy tendait son pied vers le jeune homme accroupi devant elle. Lorsqu’il posa ses mains sur sa peau nue pour attacher la lanière de cuir de la première paire qu’il lui faisait essayer, s’attardant un peu plus qu’il n’était nécessaire, elle prit conscience de l’incroyable tension sexuelle qui s’était installée immédiatement entre eux. Le moindre mot prononcé semblait chargé de sous-entendu et quand il lu proposa de l’aider à enfiler un autre modèle, elle ne pu s’empêcher de lui dire « Et si c’était plutôt vous qui m’enfiliez ? » Eclatant de rire, il fit glisser sa main sous la robe de la jeune femme et caressa son sexe déjà humide à travers sa petite culotte. Excitée mais ayant envie de plus qu’un doigt, Cindy repoussa sa main et s’agenouillant devant lui, elle déboutonna avec impatience le jean du vendeur et abaissa sans perdre de temps son boxer. Une bite plus longue et plus large que toutes celles qu’elle avait déjà pu voir jailli devant son visage. Le souffle coupé par la vue de cet énorme engin, sa bouche s’arrondit en une expression de surprise. Le jeune homme en profita pour fourrer sa grosse queue entre les lèvres de la cliente qui, instinctivement, commença à le pomper goulûment. Une main sur la tête de la blonde, il poussa sa bite en avant pour lui faire avaler ce gros morceau. Elle entama vaillamment une gorge profonde, faisant de son mieux pour sucer son partenaire. Lorsqu’il se retira de sa bouche en la complimentant sur ses talents de suceuse, Cindy se sentit fière de s’être montrée à la hauteur jusque là.
Elle qui avait toujours pensé que la levrette était une position un peu humiliante, se plia sans réfléchir aux désirs de l’homme qui lui demandait de se mettre à quatre pattes à même le sol malpropre de la boutique. Il posa un moment sa bite lourde et imposante sur le petit cul blanc de Cindy avant de la rentrer lentement dans sa chatte. Centimètre par centimètre il lui élargissait l’orifice et elle eut l’impression de perdre sa virginité une nouvelle fois, tant elle se sentait remplie. Sentant qu’il ne pourrait pas aller plus loin, il accéléra le rythme jusqu’à la pilonner vigoureusement en la tenant fermement par les hanches. Il la faisait gueuler tellement fort qu’elle se dit qu’on doit l’entendre jusqu’au bout de la rue, peut-être même plus loin encore. Son plaisir était intense, totalement a****l, jamais elle n’a jouis comme ça et elle en redemande, le supplie de continuer à la baiser à fond. Et c’est ce qu’il fait. Puissamment, sans ralentir, il vient taper tout au fond de sa petite chatte pendant un temps interminable. Ayant perdu le compte de ses orgasmes, elle senti qu’il se retirait finalement et l’absence de sa queue laisse un grand vide en elle. En grognant il se vida les couilles et gicla une quantité monstrueuse de foutre sur le cul, le dos et les cuisses de Cindy.
Une fois dehors, pratiquement incapable de marcher, elle va s’affaler sur un banc. Elle a du mal à réfléchir clairement, mais elle constate qu’elle a oublié sa culotte dans le magasin maintenant fermé par un rideau de fer. Elle est toujours pieds nus, aussi. Tant mieux, cela lui fera une raison de revenir le lendemain et de goûter encore à cette énorme bite noire…
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