Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe lesbiennes

Ch. 9 : Lettre à Laura (1)

Ch. 9 : Lettre à Laura (1)



Je me souviens de tout, je me souviens de nous.

Je me souviens de notre relation fusionnelle, de notre complicité sexuelle que nous n’avons jamais retrouvé avec quelqu’un d’autre. je ne pensais pas rencontrer, un jour, une femme qui aime le sexe autant que moi, une femme aussi avide d’expériences coquines. Si je suis l’homme que je suis aujourd’hui, c’est un peu grâce à toi.

Je me souviens le pourquoi du comment:
Pendant mes années étudiantes, nous étions une bande de quatre copains, inséparables, toujours fourrés ensemble.
Il y avait Ronan, Matthieu et Yann. Ce dernier était en couple avec Elodie depuis le lycée. C’est lors de la St-Valentin que ça m’a fait « tilt ». Les voir heureux, amoureux et complices m’a donné envie d’être avec quelqu’un avec qui je pourrais tout partager. J’étais enfin prêt à me caser, lassé des coups d’un soir.

Je me suis inscrit sur un célèbre site de rencontre. Une photo de moi, torse nu à la plage (histoire d’avoir un peu de succès) et le lendemain, j’ai lu le message que tu avais laissé.
« Bonjour, je te trouve très mignon, j’aimerais en savoir plus sur toi. Bisous, Laura. »
Je me souviens de ta photo de profil, une photo prise en contre-jour, où je ne distinguais que ta silhouette.
une présentation classique, mais des centres d’intérêts identiques aux miens, m’ont poussé à te répondre.
Ce soir-là, nous avons fait connaissance, le feeling était bon et on s’est donné rendez-vous, le lendemain soir, dans un bar de Nantes.

Je me souviens être arrivé le premier et dès que je t’ai vu, j’ai été subjugué par ta beauté. Une ravissante rousse aux couleurs des feuilles d’automne, des cheveux lisses et longs. Un visage d’ange avec tes grands yeux bleus méditerranée, ton petit nez, tes lèvres décorées de rouge « pétant » et ton sourire qui m’a fait fondre sur place. Nous avons le même âge, 22 ans, tu as quelques centimètres de moins que moi et une silhouette assez fine. Tu étais habillée chic, classe, une vraie citadine.

Nous avons beaucoup discuté. Si bien que je connaissais presque tout de toi. Tu étais étudiante en langue étrangère, pour devenir prof d’anglais. Tu aimais la musique, le cinéma, les voyages et le sport. D’ailleurs, tu pratiquais la danse. Tu aimais également le foot, grande supportrice du FC Nantes et ton chouchou était Mickaël Landreau.
Je ne comprenais pas comment une femme aussi belle, cultivée, avec beaucoup d’humour, pouvait être célibataire. Tu m’as expliqué que tu étais difficile et que tu te lassais très vite. Mais surtout qu’à cet instant, tu te sentais prête pour le grand amour. Nous étions sur la même longueur d’ondes.
On s’est quitté en s’embrassant longuement, et tu m’as invité à venir passer la soirée chez toi, le soir suivant.

Je me souviens de cette journée, il nous était impossible de nous concentrer en cours, chacun de nous pensant fort à l’autre. Nous avons échangé beaucoup de texto, tellement impatient de se revoir.

Il est 19h, je sonne à l’interphone de ton immeuble, ta douce voix me répond de monter au premier étage. Dans la cage d’escalier, mon pas est rapide, je suis pressé de te retrouver et te goûter à nouveau à tes lèvres.
Ma main moite frappa la porte de ton 50m2. Tu m’as ouvert dans une belle robe blanche, pieds nus sur ton parquet massif. Tes bras ont enlacés mon cou et nous nous sommes embrassés. Nos langues se sont enroulées, mes mains sur tes hanches n’osaient pas encore aller à la découverte de ton corps.
Nous avons pris l’apéro et commandé des pizzas, que nous avons mangé devant la télé. On se bécotait, on se papouillait, on se câlinait.

Je me souviens que tu as voulu que je reste dormir chez toi, moi je n’espérais que cela. je ressentais que tu avais très envie de moi, et c était réciproque.
Tu es allée dans la salle de bain pour te préparer, pendant que moi, dans ta chambre je me déshabillais. je me suis allongé sur le dos en boxer, les mains derrière la tête. J’ai éteint la lumière au plafond et j’ai allumé la lampe de chevet, faisant place à une ambiance un peu plus romantique et j’ai repris ma position. J’avoue que j’étais un peu nerveux, espérant que tout allait bien se passer.

Je me souviens de ton apparition, telle une déesse, dans une petite nuisette noire. J’étais sans dessus-dessous devant tant de grâce. Tu avais vite compris, devant l’émoi formé dans mon boxer, que je ne souhaitais qu’une seule chose: Te voir nue.
Debout, au pied du lit, tu as fait demi-tour sur toi-même, tu as tourné la tête à droite, en me lançant un regard coquin et tu as fait glisser la bretelle de ta parure de nuit, le long de ton épaule. Tu as ensuite réalisé le même geste du côté gauche et ta nuisette est tombée à tes chevilles. J’étais très attentif à ce merveilleux spectacle que tu m’offrais.
Mon rythme cardiaque s’est accéléré, je ne pouvais rester impassible devant ton corps. J’ai découvert ta nuque, ton dos, ta chute de rein, tes fesses fermes et rebondies, tes cuisses légèrement écartées, tes mollets formidablement galbés. Tu étais exquise.
Mon érection est devenue incontrôlable, lorsque tu t’es retournée. J’ai observé tes superbes seins. Un magnifique 85C en poire, que tu as toujours trouvé trop petit. De beaux seins bien fermes, aux petites auréoles roses et tes jolis petits tétons dressés. Mes yeux ont continué leur décryptage sur ton ventre plat, aux abdominaux légèrement dessinés, un nombril peu profond, très sensuel et un minou tout lisse qui ruisselait. Je t’ai scruté dans les moindres détails comme si tu étais la première femme nue que je voyais.
je t’ai trouvé parfaite avec tes mains fines, tes jolis pieds, tous les quatre ornés d’une « french ». Tu prenais vraiment soin de ton corps.

Je me souviens quand tu es passé à l’action.
Tu es monté sur le lit à quatre pattes, avançant vers moi à petit feu, telle une lionne dans la savane. Tes doigts ont agrippé l’élastique de mon boxer, de chaque côté de mes hanches, j’ai soulevé mon bassin pour te faciliter le retrait du textile. Tu as pris quelques secondes pour contempler tout mon corps, particulièrement ma verge tendue. En la prenant en main,tu m’as révélé, conquise:
– Whaou!!! Elle est merveilleuse, elle est bien grosse comme j’aime, je sens qu’elle va me faire bien jouir.
Surexcité, je t’ai entraîné vers moi en te tirant par les bras. On s’est embrassé fougueusement, nos corps serrés l’un contre l’autre, les pointes de nos langues frétillaient ensemble. Nous avons roulé plusieurs fois sur le lit, sans nous décoller, un coup moi au dessus, une minute après, toi sur moi. Tes seins contre mon torse et nos sexes qui se frôlaient, tu mouillais beaucoup.
Une fois sur toi, j’ai commencé à t’embrasser dans le cou, ma main droite remontant ta cuisse, ta hanche, ton ventre, s’arrêtant sur ta poitrine. J’ai palpé ton sein gauche, j’ai pincé ton téton si doux, si dur. Tu t’es mise à ronronner.
Agenouillé au dessus de toi, c’est ma bouche qui est venue à la rencontre de ce sein, j’ai gobé ton mamelon en jouant de la pointe de ma langue sur ton téton. Tu n’es pas resté inactive. tes mains se baladaient sur tout mon corps. Et quand elles ont atterri sur mon phallus en béton, tu m’as branlé doucement. J’aimais ça et je te l’ai fait ressentir en t’embrassant à nouveau et en mordant ta lèvre inférieure.
Nous étions fous de désirs, ma main est venue chercher ton abricot, tu as écarté les jambes pour me faciliter le passage. Mon index et mon majeur se sont engouffrés en toi, mes va-et-vient t’ont fait lâcher de longs soupirs:
– Oh oui, j’adore, plus vite…
J’ai trifouillé ta petite chatte remplie de liquide gluant, puis tu as léché mes doigts souillés de tes sécrétions.
J’ai fini par descendre, en embrassant encore tes seins, ma langue s’est perdue dans ton nombril, j’ai embrassé l’intérieur de tes cuisses et tes adducteurs. Tu étais en extase, tu avais deviné que ma langue allait entrer en collision avec ta foufoune.
J’ai pris un immense plaisir à te goûter pour la première fois. Ma langue s’est enfoncée dans ta chatte odorante et trempée. Je l’ai léché passionnément en buvant ton nectar salé.
Les jambes repliées en arrière, j’ai aspiré tes petites lèvres et je me suis attardé longuement sur ton clitoris joufflu. Tu gémissais en me guidant:
– Encore, oui comme ça, c’est trop bon
Tu as déversé un torrent de cyprine lorsque tu as atteint l’orgasme.
Je t’ai embrassé pour te faire partager le fruit de ta jouissance, qui était imprégné sur mes lèvres, mon nez, mon menton.

Tu m’as ensuite susurré:
– Mets-toi debout, je vais te faire plaisir à mon tour.
J’étais en pleine allégresse lorsque tes doigts ont enroulé mon chibre. De ton pouce, tu as titillé mon urètre et tu as étalé mon liquide pré-séminal sur mon gland. Pouce que tu as délicieusement sucé. Tes dents ont croqué gentiment mes roubignoles, tu les as gobé, sucé, léché avec ferveur. Ta langue a parcouru le long de mes boules et de ma queue. Puis tu l’as enfourné dans ta bouche. Fini les jeux de langue, tu m’as pompé très vite, t’arrêtant seulement pour me faire des gorges profondes. Ma tête levée en arrière, j’ai râlé une bonne dizaine de fois:
– Putain, c’est trop bon!
– Putain, tu suces trop bien…

Quand je me suis aperçu que tu prenais un énorme plaisir pour la fellation, j’ai osé:
– Et bah dit donc, toi tu aimes la bite…
– Oui, t’imagines même pas!!! m’as-tu répondu fièrement. Cette réponse m’a convaincu qu’entre toi et moi ça allait être génial.

Je me suis rallongé, on s’est embrassé, dorloté. Tu m’as demandé de venir sur toi. Installé entre tes cuisses, j’ai pris mon sexe en main et j’ai frotté mon gland contre ton bonbon rose. Plus chaude qu’un volcan, tu as haussé le ton:
– Vas-y, mets la moi.
Mon gland, humide de ta salive, s’est laissé glisser entre tes lèvres et s’est réfugié dans ta grotte d’amour. Mes mains calées sous tes fesses, mes va-et-vient de plus en plus vivaces, notre étreinte de plus en plus intense. Nous gémissions à chaque clapotis de nos sexes.
Toi : « HAN; HAN; HAN »
Et moi: Oh oui Laura,HUM, Oh oui, tu es bonne.
Tout en faisant l’amour, nos lèvres ne se quittaient plus, nos mains exploraient, effleuraient, tâtonnaient toutes les parcelles de nos corps unis l’un dans l’autre.

Tu as décidé de changer de position. tu es venue sur moi en me chevauchant, en belle amazone que tu étais. Tu ondulais ton bassin sensuellement. Tu m’as avoué ta préférence à être au dessus, qu’il n’y avait que dans cette position que tu avais atteint tes rares orgasmes étant plutôt clitoridienne. D’ailleurs tu as accéléré le rythme, en frottant de plus en plus ton bourgeon contre mon pubis. Tout en malaxant tes seins, je t’ai promis que je m’emploierais de tout mon possible pour te faire jouir dans n’importe quelle position.
– Tu es trop chou; en me déposant un tendre baiser.

Tu as remué de plus belles sur ma queue, tu as senti les spasmes dans ma grosse veine bleue. Ma jouissance était imminente. Et c’est dans un dernier coulissement que tu a crié de plaisir alors que j’éjaculais en toi de longs jets puissants. Tu t’es avachi sur moi, je t’ai serré fort contre moi et on s’est embrassé.
– Merci, c’était vraiment super
– Pour moi aussi, en caressant tes cheveux.

Je me souviens que nous avons refait deux fois l’amour cette première nuit ensemble. Des ébats doux et tendres en apprenant à nous connaître. Nous nous sommes endormis, blottis l’un contre l’autre.

Cette belle nuit n’était que les prémices de notre relation qui allait devenir plus coquine, plus cochonne, plus perverse…

A suivre.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire