Histoires de sexe lesbiennes Histoires de sexe viol Histoires gays

Connaissance de Monique, l’amie d’enfance d’Annie

Connaissance de Monique, l’amie d’enfance d’Annie



                 En mai, profitant d’un long week-end et qu’Eloïse, ma prof, ne renoue avec son mari, je téléphonais pour prévenir de mon arrivée, Jean au téléphone m’annonçais que j’étais le bienvenu, de venir avec ma guitare et qu’Annie se languissait de me voir.
A dix neuf, plus besoin de l’autorisation de mes parents pour m’absenter,  je leur indiquais juste que  je passais le long week-end chez un copain, eux s’inquiétant pour mon examen proche, je les rassurais en leur expliquant que j’avais besoin de me vider la tête.

Billet en poche je pris le train, direction la gare située à une vingtaine de kilomètres du lieu de résidence de Jean et Annie, question de discrétion.

Sac dans une main, étui de guitare dans l’autre, je descendis du train et ne vit qu’elle sur le quai désert à cette heure matinale.

Je n’avais pas vu Annie depuis des mois, trop occupé à m’occuper d’Eloïse, elle était là encore plus belle et sexy que dans mes souvenirs, tout de cuir vêtue, pantalon très très près de corps et des cuissardes, mes bagages à ses pieds, elle se jeta dans mes bras et notre baiser de retrouvaille fut des plus fougueux, reprenant notre souffle de cette divine apnée, je reprenais mes bagages quand elle me présenta Monique, son amie d’enfance.
Je levais la tête, reposais mes affaires et lui fit la bise, Annie me présenta, Monique indiqua qu’elle était enchantée de faire enfin ma connaissance, depuis le temps qu’Annie parlait de moi.

Monique, cheveux courts grisonnants, avait un très joli visage, petits yeux ronds, belle bouche, elle avait beaucoup de charme, sensiblement de même taille que ma parente, pantalon en jeans très moulant, son postérieur était un peu plus large, bottines et imper court en vinyle qui cachait manifestement une poitrine généreuse et plus opulente que celle d’Annie, pourtant honorablement pourvue.

Je m’installais à l’arrière de la voiture, nous étions juste sortis de la ville que Monique nous fit part qu’elle était jalouse de ne pas avoir eu droit à un baiser aussi fougueux que celui échangé entre Annie et moi, je retirais ma ceinture de sécurité, m’avançais sur le bord de la banquette, prêt à donner à Monique un baiser tout aussi attentionné.
Annie, arrêtée sur un arrêt de bus scolaire tourna son visage vers Monique qui la regardait, leurs lèvres ne se touchaient pas que déjà les langues dansaient la farandole, je n’existais plus, je contemplais ces deux femmes matures, s’embrasser, une première  pour moi, goulument, si goulument que de la salive coulait à la commissure des lèvres d’Annie.
Quand enfin, après une longue apnée, quand leur bouche se décollèrent, Annie tenait Monique par les cheveux et sans rien demander à cette dernière, celle-ci aspira la bave qui avait coulé du menton à la bouche, sorti un kleenex d’une poche, l’essuya et déposa un petit baiser sur sa bouche.
Manifestement elles étaient plus qu’amies d’enfance, j’avais remis la ceinture de sécurité en place et leur fit part de ma remarque, Monique m’indiqua que je n’avais pas tord et commença à me narrer leur histoire.

Elles s’étaient connues en primaire, élèves en CM1, dans la même classe, elles étaient pensionnaires. Habitant non loin l’une de l’autre elle se voyaient pendant les vacances. Toujours dans la même classe en CM2, puis 6e, leur amitié fut de plus en plus forte.
Annie pris le relai, c’est en 5e qu’elle pris conscience de l’attirance qu’elle avait pour Monique, leur corps changeait Monique avait une poitrine plus développée que les filles de la classe, son émoi grandissait un peu plus à chaque cours de piscine, sous la douche après le sport et le soir avant le coucher.
C’est sous la douche, alors que les autres filles aux lavabos se lavaient les dents qu’Annie avait osé un baiser, pas offusquée Monique avait souri. Monique précisa qu’Annie avait rougi. Puis quand le dortoir s’était endormi, c’est Monique qui était venue, donner un baiser encore bien naïf à Annie.
Ce n’était que plus tard lors de vacances qu’elles avaient découvert ce que l’on pouvait faire avec la langue, que leurs mains avaient été à la découvertes l’une de l’autres, qu’Annie était fascinée par la grosseur des seins de Monique mais aussi par les petits tétons qu’elle s’évertuait à faire grossir et que cette dernière était surprise de la sensibilité des tétons d’Annie. Il en fut ainsi de leur amitié, de leur amour jusqu’en terminale. Callé au fond de la banquette, silencieux, je bandais.
 Puis chacune prit un chemin différend, poursuivant chacune leurs études, changèrent de région.

Des années plus tard, dans un centre commerciale, à une caisse différente, elles se sont vues, reconnues, se sont attendues sur le parking puis les chariots vidés, Annie rejoignit Monique dans sa voiture, elles s’étaient racontées leur vie depuis la terminale et elle avait échangé le baiser des retrouvailles. Annie avait invité Monique chez elle le jour même, elles avaient fait l’amour tout l’après midi. Leur amitié, leur amour, l’histoire avait repris son cours, c’était il n’y a que quelques mois.

Arrivés à la maison je fus présenté à Roger le mari de Monique, bel homme de quarante cinq ans, plus grand que Jean mais plus petit que moi, une belle carrure, très jovial, le courant passa de suite.
Nous étions posé, Roger, Jean et moi, sur le canapé à bavarder quand les femme nous rejoignirent.
Elles avaient retiré cuissardes et bottines, Annie avait passé des mules à talons hauts, Monique des escarpins à hauts talons également, Annie avait retiré son blouson de cuir et mis un bustier en cuir, délassé nous pouvions remarqué qu’elle ne portait pas de soutien gorge de même que Monique qui exhibait une poitrine plus que généreuse, jamais rien de pareil en réel, grâce à un décolleté plus que plongeant.

 

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire