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au magasin de chaussures avec mon patron

au magasin de chaussures avec mon patron



Les magasins

* * *

Ce qui plaisait à mon patron, c’était de m’emmener dans les magasins et de me faire essayer vêtements, chaussures et même sous-vêtements –qu’il m’achetait d’ailleurs le plus souvent, me permettant de compléter et bien garnir ma garde-robe sexy secrète dans mon armoire personnelle au bureau et qu’il me demandait de mettre plus tard lors de quelques aventures ou simplement pour des petites séances perso dans son bureau à l’heure du café ou après 17h quand les bureaux se vidaient- avec toujours un épisode érotique d’exhibe et d’aguichage avec un ou des voyeurs, le vendeur, en vitrine, des clients ou dans l’arrière-boutique… Parfois, souvent même, cela finissait assez hard, autant que les circonstances le permettaient. J’en ai connu et vécu de multiples « sorties » du genre.

Un de ces premiers jeux fut de m’emmener dans un magasin de chaussures, dans lequel il me fit essayer des dizaines de paires d’escarpins à talons hauts, très sexy. Evidemment, il avait fortement insisté pour que je sois en jupe avec des bas et un porte-jarretelles en dessous.
Aussi, quand il aperçut le visage hagard d’un vieux mateur rougeaud à travers la vitrine qui lorgnait mes gambettes et mes petons essayeurs, il bondit de joie sur l’occasion :
« J……, là, il y en a un vieux qui vous mate, allez, montrez-lui un peu vos cuisses, vos bas et votre culotte, faites-le baver ce salaud ! ».
Discrètement, j’avisais ce lourd regard affamé de ce vieux mateur à l’affût derrière la vitrine, plus ou moins bien planqué derrière un pilier, qui attendait quelque vision d’extase. Inquiet, dansant d’un pied sur l’autre, le gars surveillait ses arrières et ses côtés tout en restant le plus près possible de la vitrine du magasin.

Mon patron me tendit une paire d’escarpins à bride à talons fins et hauts, pointus et sexy. Nonchalamment, je les sortis de la broîte, les contemplais sous tous les angles, les lui montrais et en même temps les montrais bien au voyeur, qui bavait d’envie, haletant dans l’attente de me voir les essayer.
Je jouais le grand jeu. Je croisais mes jambes avec un des pieds très haut au niveau du genou pour enlever mes jolies chaussures –escarpins à talons hauts aussi- que je laissais choir à mes pieds sur la moquette du magasin (j’avais su aussi que beaucoup d’hommes fétichistes des pieds et des chaussures des femmes adoraient voir l’intérieur déserté par les pieds).
A ce jeu, alors que je chaussais un escarpin et attachais méticuleusement et très lentement la bride, ma cuisse relevée commença à dévoiler aux yeux du vieux mateur à l’affût sous ma jupe une belle vision de mes bas marrons clair et de la chair blanche au-dessus du liseré du bas, juste décoré par la jarretelle noire.
Décroisant langoureusement et donc laissant décalées mes deux cuisses entrouvertes (forcément, un pied était chaussé et l’autre non), je lui donnais à voir un instant la vallée entre mes deux intérieurs de cuisses, ponctuée par ma culotte de nylon noir qu’il put deviner. Je me penchais en avant pour mettre le deuxième escarpin à mon pied à même le sol cette fois. Du coup, ce fut mon décolleté pigeonnant qui, légèrement aplati sur mes cuisses, s’offrit à lui généreusement car mon chemisier bien déboutonné laissait voir mon soutien-gorge balconnet –noir évidemment- et les deux globes, dont les tétons affleuraient le rebord en dentelle.

Une fois chaussée, je me levais et je déambulais dans le magasin, sous les yeux de mon patron et du vendeur –off course que mon patron m’avait choisi un vendeur homme !- tout en me rapprochant le plus possible de la vitrine (le visage du vieux mateur à moitié accroupi était à vingt centimètres de mes jambes, seule la vitre nous séparait). Alors, coquine en diable, encouragée par les yeux brillants de lubricité de mon patron, qui n’arrêtait pas de me complimenter à voix haute pour mieux émoustiller le vendeur, je me penchais totalement en avant comme pour mieux réajuster une bride mal serrée. Du coup, mes fesses se tendirent sous la jupe qui les moula à outrance et remonta haut et bien au-delà du mi-cuisses dévoilant l’arrière de mes bas et la chair au-dessus pour le seul bénéfice du vieux mateur, qui devait se régaler et saliver derrière la vitre. Interceptant un regard et un clin d’œil de mon patron à l’adresse du voyeur comblé, je compris qu’il fallait poursuivre dans cette voie.

Le vendeur, un jeune boutonneux, qui d’ailleurs commençait à mettre du rose aux joues, proposa que j’essaie une paire d’escarpins d’un autre genre, plus classiques mais bien pointus et vernis noirs : la bombe sexuelle quoi !
Encouragée par mon patron, je me rassieds et je laisse mes pieds aux mains du vendeur qui, sous les yeux hagards et envieux du mateur (il avait un imper pour cacher sa bandaison), se saisit des escarpins à bride, qu’il déchaussa délicatement et rangea dans leur broîte. A l’aide d’un chausse-pied, tenant dans le creux de sa main mon peton gainé du nylon fin de mes bas, il me fit enfiler la nouvelle pièce de cuir de toute beauté, alors que, je posais mon autre pied déchaussé –ne voulant pas (faisant semblant de ne pas vouloir) le poser à même le sol- sur sa cuisse car il était accroupi devant moi. Je le posais d’ailleurs tellement haut sur sa cuisse que je sentis son sexe à travers son pantalon. Un mouvement des sourcils de mon patron, qui n’en perdait pas une, m’encouragea, m’exhorta à aller plus loin. Mon pied quasiment nu, seulement « habillé » par mon bas nylon fin, poussa son investigation et je sentis la tige grossir sous la plante de mon pied caresseur et le gland fourmiller contre mes orteils ; alors par des mouvements imperceptibles, je massais avec mon pied ce sexe de plus en pus dur à travers l’étoffe du pantalon. Le vendeur, affolé mais pas dupe, mit un temps fou pour me chausser un pied… cela lui permit aussi de bien lorgner ma culotte qu’il avait en vue directe car évidemment, pour renforcer les visions du vendeur, de mon patron et du mateur qui, à l’extérieur, s’était aligné « dans l’axe », je laissais mes cuisses un peu entrouvertes afin qu’ils puissent se repaître de la vue de mes bas, de leur limite, de la chair blanche au-dessus et de ma culotte noire très transparente. Il dut se résoudre à me laisser reposer ce pied au sol et il entreprit de me chausser le deuxième escarpin vernis : il mit tout autant de temps, écartant même encore plus mes genoux, ce qui lui donna une belle vue sur ma chatte qui mouillait et dont les poils devaient bien se deviner à travers le tulle fin. Me dégageant un instant, avant de me lever, je me tournais vers le vieux mateur affolé et je lui offris la même vue qu’au vendeur. Ce coup-ci, les yeux lui sortirent de la tête et il ne les détachait pas de mon entre-cuisses ni de mes escarpins, tout en se masturbant consciencieusement en me fixant, bien caché par les deux pans de son imperméable. Je me levais fit deux ou trois tours, faisant un peu claquer les talons sexy sur le carrelage :
« on les prend J…….. ceux-là ! » me dit-il un peu surexcité, « ils sont magnifiques non ? » ajouta-t-il à l’adresse du vendeur, qui acquiesça bien entendu, tout en disant : « mais ceux à brides vous allaient très bien aussi… tenez, si vous voulez voir j’en ai un autre modèle en marron… assortis avec vos bas », lâcha-t-il à la fois confus et canaille.

Ce petit cirque n’avait pas échappé à un client d’un certain âge qui feignait d’essayer des mocassins tout près de nous. Il me regardait en coin avec un léger sourire, très intéressé.
« Allez essayez les marrons J…… … et puis ceux-là aussi après » lança mon patron assez fort; il n’avait pas envie d’arrêter ce jeu de sitôt. Docile et coquine, je me rassieds et à nouveau, je laisse le vendeur aux anges s’emparer de mes pieds, je lui tends mes pieds comme une offrande. Les escarpins vernis noirs m’ont été enlevés comme s’ils étaient en cristal ; mes pieds déchaussés se reposèrent doucement et directement cette fois sur la bite du vendeur à travers son pantalon –là il triquait comme une bête ! mon patron le voyait, le client aussi d’ailleurs. Je repris mes massages pédestres quelques instants: qu’elle était dure cette bite sous le nylon de mes bas ! J’écartais suffisamment mes cuisses pour que le mateur dehors, toujours là, puisse continuer à se rincer l’œil et je lui adressais même un léger sourire : il se masturbait à travers la poche (trouée ?) de son pantalon en reluquant cette scène.
Quand le vendeur m’eut chaussée avec cette nouvelle paire, en me levant, mains appuyées sur mes cuisses, je fis remonter ma jupe haut, dévoilant un bref instant à tous (enfin à mon patron, au vendeur, au client et au voyeur) ma culotte noire et la totalité de ma chair blanche sur le haut de mes cuisses au-dessus des bas. « Magnifique ! ça c’est sexy ! » lança mon patron, sans que les deux autres ne sachent s’il parlait des escarpins ou de ma culotte et de la vue offerte.
Je fis quelques pas, là aussi faisant claquer les talons, je les toisais tous du regard à tour de rôle (dehors le mateur ne savait plus comment tenir sans attirer l’attention des passants) et je lançais un : « comment vous les trouvez ? ».

« Ils vous vont très bien, ceux-là » dit le vendeur d’une voie mielleuse mais un peu nouée par l’excitation provoquée par mes massages.
« Hmm ! c’est beau ça aussi J……., tenez : essayez ceux-là » et mon patron me tendit une autre paire, afin que le jeu se prolonge le plus longtemps possible.

Bien chauffée mais aussi flattée de me voir appréciée par ces quatre types différents, chacun dans un rôle et un statut particuliers, je me pliais de bonne grâce à prolonger ce jeu. A chaque essai, je tournoyais en faisant claquer les talons hauts au milieu de la carrée, je jetais un œil au vieux mateur dehors qui allait exploser. Quand je m’asseyais, entre deux paires, je montrais ma culotte, mes bas, ma chatte de plus en plus humide et dessinée sous le nylon fin. Le vendeur osait quelques caresses appuyées sur mes mollets à chaque occasion. Le mateur allait devenir dingue car je lui offrais les plus belles séquences, il avait ouvert sa braguette et, maintenant les pans de son imperméable d’une main pour se cacher, il avait sorti sa queue et se masturbait lentement en me fixant intensément : je voyais son gros gland et cela m’excitait –mon patron aussi se régalait de le voir de branler en me matant et m’encourageait à continuer : « tenez essayez ceux-là aussi ».

D’innombrables paires d’escarpins m’entouraient en jonchant le sol. Le vieux client avait l’air de se régaler à cette vision, il avait déjà une paire de mocassins pour lui mais il restait toujours dans le rayon pour continuer à se régaler de mon spectacle, en lorgnant de plus en plus ostensiblement. Il se hasarda à quelques commentaires avec mon patron, qu’il avait bien identifié comme étant mon amant : « je trouve ceux-là encore plus sexy que les autres… ils la chaussent bien » (sous-entendu : je me la ferais bien votre salope de maîtresse que vous amenez se faire mater et exciter les types) et mon patron répondit « les vernis noirs, c’est ce qu’il y a de mieux, c’est toujours plus sexy non ? ». Après un petit silence convenu, « oui, oui… bien sûr … mais ces marrons à brides, sont très jolis et chaussants » plaça le vendeur.
« J…….., on va prendre les deux paires hein ? les vernis noirs et les marrons à bride ».

Alors le vieux client s’approcha de nous et osa quelque chose de fabuleux : « C’est tellement beau ces escarpins. Tenez, je vous offre ces vernis noirs à brides si vous me faites une petite séance d’essayage privée, si Monsieur est d’accord, bien sûr… »
Comme je restais silencieuse, ne sachant comment prendre cela, mon patron sauta sur l’occasion, acquiesça et ordonna : « D’accord, J…….., hein ? Monsieur vous offre cette paire, vous lui devez bien une petite séance privée, allons-y… mais où… ? »
Le vendeur, flairant la bonne affaire –sous tous les angles-, ne laissa pas passer cette invitation : « si vous voulez, venez là, derrière, dans le local des stocks, il y a une salle avec pas mal de place et nous serons tranquilles pour essayer encore, vu que là-bas il y a toutes les pointures et tous les modèles » dit-il en continuant de caresser doucement mon mollet à travers le bas, tout en indiquant un couloir qui jouxtait la vitrine.

Mes trois paires de chaussures sexy furent payées et emballées, mon patron régla d’abord les deux siennes puis ce fut le tour du client qui paya sa « tournée » et me tendit la paire qui allait justifier la petite séance privée.
Tous quatre, nous sortons du magasin et contournons la vitrine pour nous engouffrer dans le couloir conduisant au « dépôt ». Alors, en passant devant le vieux mateur qui avait les yeux brillants de lubricité, mon patron s’arrêta un instant, lui chuchota quelques mots à l’oreille et je constatais avec un certain plaisir qu’il nous suivait à petite distance dans le très long couloir.

Le vendeur ouvrait la marche de la petite troupe, je le suivais dans ce couloir un peu sombre avec les trois autres hommes derrière moi. Mon patron, presque naturellement et pour bien montrer aux autres qu’il était le maître, me mit la main aux fesses par-dessus la jupe, tout en me glissant quelques mots doux et des petits ordres à l’oreille « vous savez que j’adore ces escarpins, J……., vous êtes très belle et sexy, vous allez leur faire un petit numéro… on va se régaler ». Et là, joignant le geste à la parole, il souleva ma jupe dans le couloir pour bien montrer mes longues jambes, mes bas, ma chair au-dessus des bas et même ma culotte aux yeux exorbités du client et du mateur.

Alors que le vendeur s’immobilisait devant une porte aux multiples verrous qu’il mettait un temps certain à ouvrir, je sentis les trois hommes maintenant tout près de moi dans mon dos, le souffle court et puis progressivement des pognes venir caresser timidement mes fesses et mes bas ; je ne me retournais pas, les laissant agir et se régaler de me peloter dans la pénombre du couloir. J’avais reconnu la manière de me mettre doucement la main aux fesses de mon patron, qui avait dû les encourager. Je sentais leur souffle chaud et haletant sur ma nuque et dans mon dos, le mateur devait être tout rouge, en tout cas, ils me visitaient et exploraient mes fesses et l’intérieur de mes cuisses le long et au-dessus de mes bas, tutoyant ma chatte du bout des doigts ou plaquant leur paume entière sur mes fesses.

Le vendeur ouvrit enfin la porte et nous fit entrer dans un local à rayonnages des plus classiques, remplis d’escarpins de toutes tailles et de tous modèles, avec juste un espace « d’essayage » avec un canapé et deux fauteuils, sur lesquels ils invita les trois hommes à s’asseoir.

Mon patron prit immédiatement place dans un fauteuil faisant face aux autres et s’intronisa « maître de cérémonie », en rentrant immédiatement dans le vif du sujet :
« allez J……., essayez cette jolie paire que Monsieur vous a offerte … et vous en essaierez d’autres, à être là »,
dit-il sur un ton directorial qui ne me laissait pas le choix.
Heureux comme un collégien récompensé, le client me tendit la broîte contenant SA paire d’escarpins vernis noirs à bride, à talons très hauts. Devant eux, je m’assis sur une chaise pliante et je commençais mon « numéro ».

D’abord, je déchaussais un pied et le levant bien haut, donc je savais que je découvrais mes cuisses et mes bas à leurs yeux aux aguets, j’enfilais la première chaussure à mon pied, bouclant la bride avec une lenteur étudiée. Décroisant les jambes –au passage une lorgnée appuyée sur ma culotte fut possible pour tous (ils étaient à trois mètres de moi sur ce canapé)-, je chaussais l’autre pied, laissant cette fois mon mollet à l’horizontale, ma cheville calée sur ma cuisse juste au-dessus du genou. Là, ils se régalaient car assis assez bas sur le canapé ils purent mater sans vergogne sous ma jupe, ma cuisse, mes bas, ma chair blanche au-dessus et ma culotte.
Une fois bien chaussée, je me levais… ma jupe retomba jusqu’aux genoux.
Alors là, je me lâchais pour le plus grand plaisir de mon patron et bien sûr des trois autres types. D’abord, je me mis à déambuler au milieu d’eux dans le cercle étroit formé par le canapé où le vendeur, le mateur et le client étaient vautrés alanguis en me contemplant, le fauteuil où trônait mon patron et la chaise qui m’avait servi. Je faisais claquer allègrement les talons aiguille sur le carrelage, tout en ondulant un peu des fesses avec le déhanché dû aux talons hauts et en faisant virevolter ma jupe à hauteur de leurs visages.
« Ah ! ouais, c’est beau ! qu’ils vous vont bien ces escarpins »
« Super ! c’est sexy, que vous êtes sexy »
« Encore, encore ! »

Flattée d’être le centre de leurs regards, je continuais ma démonstration, ma performance. Je croisais mes pieds, je faisais des haltes me déhanchant un peu, je jouais du galbe de mes mollets, en avant, en arrière… du cintré de ma jupe sur mes fesses.

Alors, j’attaquais la banquette. Je vins poser un de mes escarpins entre les jambes un peu écartées du vieux client avachi sur le canapé, la pointe à quelques centimètres de son sexe, comme pour le remercier de me les avoir offerts : « à vous en premier » dis-je tout simplement.
Mon pied touchait ses cuisses de chaque côté et ma jupe étant bien descendue, ma cuisse montrait mes bas. Il attendait, semblant apprécier mon initiative, et se laissait faire. Je posais la semelle de l’escarpin sur son sexe qui bandait déjà dur à travers le pantalon –je sentais qu’il triquait même à travers le cuir de la chaussure- et j’agaçais ses couilles avec le talon aiguille.
Puis, changeant de pied, j’allais faire de même aux deux autres, flattant les bites bandées sous l’étoffe des pantalons ; je m’attardais un peu plus vers le vieux mateur car sa braguette était ouverte alors je pus immiscer la pointe effilée de l’escarpin dans l’ouverture et caresser sa bite directement sur son slip, ce qui le mit en transes. Tous osèrent me caresser les mollets à travers le nylon du bas mais pas plus… car, coquine, je me retirais dès qu’ils remontaient un peu trop haut pour mieux prolonger la séance et les faire saliver.

« Affolez-les oui J……., vous savez faire, c’est magnifique ce spectacle » jeta mon patron à la fois pour m’encourager et pour mieux faire patienter les gars en rut.

Puis je revins vers le vieux client qui m’avait offert ces jolies pompes sexy et je me campais plus près de lui entre ses deux genoux. Ses deux mains vinrent me caresser doucement l’arrière des genoux sur le doux nylon de mes bas fins et commencèrent à remonter très lentement sur l’arrière de mes cuisses provoquant un frisson, que tous perçurent.

« Vous lui devez bien ça pour le remercier de vous avoir offert ces escarpins » continua mon patron, pour entretenir le « suspense ».

Ils savaient maintenant que j’étais « à point ». Mon « client » remonta de plus en plus haut pour atteindre ma chair au-dessus des bas, je frémis à nouveau. Les autres attendaient la suite et regardaient attentivement car ses avant-bras empêchant ma jupe de retomber, mes cuisses étaient totalement dévoilées. Il atteint ma culotte et ses doigts s’enfilèrent sous le tulle fin arachnéen, m’arrachant un soupir. Du coup, je me rapprochais de lui un peu plus, ses cuisses m’enserrant bien. Je sentais la totalité de ses deux mains explorer mes deux fesses en douceur, alors qu’il me fixait avec un regard d’extase. Je me tendis encore plus vers lui, approchant mon bas-ventre contre sa poitrine. Alors, prestement, ses mains vinrent se placer devant et soulevèrent ma jupe : ma toison, à travers la culotte était à hauteur de ses yeux à vingt centimètres.
Il eut un long soupir « ahhhhhhh ! oh ! oui ! que c’est beau, quelle belle chatte ! »
et il posa sa bouche sur ma culotte puis commença à m’embrasser délicatement à travers le nylon. Il me roulait une galoche à la chatte avec le tissu symbolique de ma culotte comme seule barrière. Je me pâmais, tête en arrière, sous cette douce sucée de ma foufoune.

« Vas-y bouffe-lui la chatte, elle adore ça cette salope »
enchaîna mon patron, maître des lieux et de la cérémonie, qui commença à se permettre d’employer le tutoiement avec ces salauds.

Je sentis aussitôt les pognes des deux autres venir caresser mes deux cuisses puis remonter aussi jusqu’à mes globes fessiers, alors que mon patron s’était levé et était venu se placer dans mon dos pour participer un peu, en ouvrant mon chemisier et dégageant mon soutien-gorge et mes seins, tout en m’embrassant dans le cou et titillant mes tétons.

Le vendeur se précipita et vint me sucer un téton au ras de la corbeille de mon sous-tif. Je le regardais avec plaisir et j’invitais le mateur affolé (il n’avait jamais dû pousser aussi loin ses investigations !) à le rejoindre. Encouragés par mon patron, les deux types me sucèrent longuement les tétons, pendant que l’autre me bouffait la chatte et la culotte à n’en plus finir. Je commençais à gémir car c’était vachement bon et mon patron renchérit :
« allez-y les gars, bouffez-la, vous allez la faire jouir, elle aime ça, faites-la gueuler ! elle aime ça se faire bouffer et tripoter par des inconnus »

Dopés par l’encouragement et la perspective de me faire et de m’entendre jouir, les trois gars redoublèrent d’ardeur ; ce fut un festival de tournoiements de langues, de succions appuyées, de mordillements lascifs… je n’en pouvais plus et je me laissais aller à crier mon plaisir :
« oui, oui, ohhhhhh ! j’aime, vos langues, vos bouches… oui, vous, vous, … vous allez me faire jouir, vous, oui… vous me faites jouiiiiiiiiiiiiiiiir ! ah ! oh ! oui ! ah !..»

Fiers et heureux, les trois gars me léchaient, me bouffaient sans s’arrêter, tout en continuant de me caresser les bas, les fesses… Ils avaient sortis leurs bites qu’ils commençaient à astiquer et à venir frotter les glands contre mes bas et même contre mes escarpins, je sentais quelques odeurs un peu fortes et, ma foi, j’aimais bien.

« Vous allez les branler et les sucer tous les trois J…….. maintenant » m’ordonna mon patron !… « vous allez voir les gars comme elle suce bien cette chienne »

Les trois gars se levèrent comme un seul homme, ils me firent m’asseoir sur le canapé et je me retrouvais entourée de trois belles queues gaillardes qui dansaient tendues à vingt centimètres de mon visage. Ils formèrent un petit cercle et les trois bites s’approchèrent, alors qu’ils resserraient leurs jambes contre les miennes, bien entendu, dénudées, ma jupe relevée jusqu’à la culotte et les bas bien visibles.

Tout d’abord, je commençais à caresser ces pines avec mes deux mains, flattant et soupesant les couilles avec la paume de mes mains. Je commençais à déposer quelques baisers sur les trois glands rougis à tour de rôle, allant de l’un à l’autre assez vite, puis je les gratifiais de petites lichettes sur la surface lisse ; les bites sentaient un peu fort l’odeur de bite.
Puis, ouvrant ma bouche et arrondissant mes lèvres, je commençais à gober un gland et à me le rentrer entièrement dans la bouche. Prestement, je passais au suivant puis au troisième. Ma technique s’affinait, j’avais toujours une bite en bouche et les deux autres en mains. Je me mis progressivement à leur pomper les colonnes de chair en entier, les gars commençaient à accompagner mes succions en caressant mes cheveux et appuyant sur ma tête ou la saisissant à deux mains pour que je les embouche en totalité.
« Qu’elle suce bien ! que c’est bon ! »
« Ah ! ouais, elle suce comme une reine »
« Putain, le pied ! suce-nous salope »

Les trois bites durcissaient et grossissaient à n’en plus finir ; j’avais l’impression que les glands allaient éclater, cela me galvanisait et je redoublais d’efforts. Agrandissant ma bouche, je commençais par accueillir deux bites en même temps, alors que la troisième tapotait ma joue, frappant à la porte.
« Prends les trois dans ta bouche en même temps, salope, tu devrais y arriver ! ça va être génial»
Je ne me fis pas prier et je réussis à emboucher les trois glands qui s’étaient resserrés, les trois types s’étant tellement rapprochés qu’ils m’étouffaient presque… mais je continuais, reprenant difficilement mon souffle, j’usais de ma langue pour les lécher un peu en même temps : là le goût et les odeurs devenaient encore plus prégnants.

Au bout d’un moment, j’éprouvais le besoin de souffler et je me dégageais un pu des bites tendues à l’extrême. Les types avaient envie d’autre chose car ils devaient se sentir prêts à exploser (en d’autres circonstances, qui ne permettaient pas d’aller plus loin, il m’est arrivé de ne m’en tenir qu’à cette étape) et se reculèrent un bref instant, me laissant respirer un peu.

Comme j’étais restée assise sur ce canapé, les deux qui ne m’avaient pas bouffé la chatte se succédèrent entre mes cuisses pour m’honorer avec leur langue ; les autres entretenant la forme de leur bite en la frottant contre mes bas ou ces escarpins, objets du délit. Je les empoignais aussi de temps en temps avec mes mains pour vérifier leur dureté et leur faire plaisir… et me faire plaisir car j’adore sentir des pines grosses dans mes mains.

Le premier à m’embrocher, de face, cuisses et bas écartés sur ce canapé, fut le vendeur. J’accueillis sa bite avec plaisir en le caressant sur les flancs, pendant que les deux autres l’encourageaient, en se masturbant le long de mes bas. Son gland exacerbé rentra sans problème dans ma chatte, tellement j’étais mouillée de plaisir et de la salive de mes bouffeurs successifs. M’ayant saisie sous les seins, il me lima avec application… mais, sentant probablement qu’il n’allait pas résister longtemps, il se retira et laissa la place vacante dans ma chatte béante. Aussitôt, ‘mon’ client lui succéda. J’eus en soubresaut car sa queue était plus épaisse et, comme on dit, je la sentis passer, avec quelques gémissements mélangeant douleur –vite éteinte- et plaisir.
« Elle est grosse celle-la J…….. ! tu la sens bien hein ? » me dit mon patron, en ne me laissant pas trop le temps de répondre car il me présenta sa bite à sucer pour me réduire au silence.
Le vieux client me baisait en douceur et en profondeur, sa grosse queue épaisse me remplissait et il ne faisait qu’onduler un peu de son bas-ventre, en la laissant vissée au fond de ma chatte.

Puis il laissa la place au vieux mateur, affolé et surexcité. J’étais sûre et certaine qu’il n’avait jamais eu une occase pareille ! Je lui souris quand il se présenta pour me baiser, je caressais un bref instant sa queue avec douceur et je la dirigeais vers l’entrée. Il promena son gland le long de mes lèvres et il me pénétra. Aussitôt, il m’investit totalement me saisissant de toutes parts, aux fesses, sous les seins, par les hanches et il commença à me pilonner avec fougue. Un peu surprise, je ne refusais pas la galoche qu’il me roula appuyée et profonde, langues dardées et fort amoureusement. Alors lui, il se démenait comme un jeune chiot dans ma chatte, tellement qu’au bout de quelques minutes, il se mit à gueuler :
« Ah ! Oh ! putain que c’est bon ! quelle chatte ! putain, le pied de la bourrer cette salope, ah ! putain, je l‘aime ! elle… elle… elle va me… j’en peux plus… elle va me faire jouir… elle me fait jouir, ouais, je jouis, putain, ça y est, je jouiiiiiiis, je lui remplis la chatte à cette salope… »
« Ben non ! T’aurais pu attendre ! »
« Ah ! non, c’est trop bon, j’ai jamais joui comme ça, j’ai jamais baisé une aussi belle femme, putain, je décharge, je déchaaaaaaaaaarge !… tu le sens mon foutre qui te remplit ? »
Oh ! que oui, je le sentais son foutre chaud m’inonder le vagin mais je ne pouvais le dire car j’avais la bite du vendeur dans la bouche. Cela confirmait bien qu’il n’avait jamais été à pareille fête ce mateur, qui n’avait pas dû concrétiser grand-chose… et cela me plaisait.

Alors, quand il se retira, mon patron me retourna et me fit mettre en position de levrette. Aussitôt, ce fut mon client qui m’embrocha sans coup férir, sa longue tige s’enfonçant sans peine dans ma chatte gluante du sperme de l’autre. Des bruits glauques de clapotements, accompagnés des entrechoquements de ses couilles contre mes fesses remplirent la pièce.
« Allez, ouais, viens, tends-moi ce cul, salope, que je te pine à fond »
« Vas-y, bourre-la » renchérit mon patron, pendant que le vendeur était toujours là pour se faire sucer, au-dessus du dossier du canapé.
Le mateur accompagnait du regard et un peu des mains les bourrées de l’autre qui me pilonnait en levrette.
« Qu’est-ce qu’il est beau son cul ! qu’elle est bonne sa chatte, tiens, tiens, han ! j’ai jamais baisé une aussi belle chatte !»
Il y allait de bon cœur, tapant de plus en plus fort. Puis, prestement, il y eut un jeu de chaises musicales et le vendeur, bien sucé, vint à son tour me choper en levrette, pendant que mon patron venait fièrement se faire sucer. Le client, tournoyant, bite flottante, butinait en venant enfourner sa queue dans mes cheveux en me caressant les seins ballottés par les secousses.
Ensuite, il vint se faire sucer et mon patron se présenta derrière mes fesses, alors que le mateur s’était assis juste à mes côtés et, tout en caressant mes bas et mes fesses pour accompagner ceux qui me prenaient en levrette, redonnait un peu de vigueur à sa bite en se branlant avec ma main qu’il avait guidée vers son engin dégoulinant encore.
Mon patron me prit un bon coup comme cela, en « m’injuriant » au passage :
« t’aimes ça J……, hein ? te faire choper en levrette par des mecs que tu ne vois pas ? t’aimes ça, salope hein ? allez, suce aussi… on va te prendre par tous les trous »
Et là, j’étais tellement détrempée que quand mon patron humecta mon œillet avec ce qui dégoulinait de ma chatte, je ne pus pas résister et je m’offrais. Il présenta son gland à l’entrée étroite et commença à m’enculer lentement en une longue poussée continue. Je m’ouvrais, le mateur écartant bien mes fesses, la pine entra dans mon cul.
« Allez ! à toi… » dit-il en se retirant de mon trou du cul et s’adressant au vendeur, qui s’était approché de mes fesses.
« Attends un peu » rajouta-t-il.
Voyant que le mateur avait repris de la vigueur, il me chopa par les hanches et le vendeur, qui avait tout compris, l’aidant en me prenant par une cuisse et un sein, et vint me placer au-dessus de la bite du mateur, sur laquelle je fus embrochée sans peine, vu qu’elle était juste raide et pas trop grosse. Mon cul était resté bien ouvert et écartelé, mes genoux sur le rebord du canapé et les escarpins battant le tempo dans le vide. Le vendeur présenta son gland et m’encula à son tour.
« Elle a deux bites en elle la salope… » clama le client, qui renchérit
« tiens, la troisième, pute, alleeeeeez ! suce-moi »
« Voilà ! ça y est, par les trois trous, baisez-la par les trois trous » claironna mon patron.

Je ne pouvais pas gueuler, cela me faisait un peu mal mais j’aimais ça. Alors là, les trois « manants » se succédèrent dans mes trois trous ; pendant de longues minutes je fus remplie de tout côté. Mon patron qui avait ouvert la voie, les laissait faire et se régalait de les voir faire, il n’avait plus besoin de les encourager car ils y allaient tous de bon cœur. J’eus un peu de répit quand ce fut le mateur qui m’encula car sa bite n’avait pas retrouvé toute sa splendeur, vu qu’il avait déjà déchargé. Quand, la double pénétration fut menée par le vendeur et le client, je crus défaillir tellement je sentis mes chairs écartelées, surtout que, tellement surexcités qu’ils étaient, leurs engins avaient pris des mensurations démesurées. J’essayais bien de crier un peu mais la queue du mateur dans ma bouche m’en empêcha, tout autant que l’invective de mon patron :
« allez les gars ! allez-y ! vos grosses queues dans sa chatte et dans son cul ! elle aime ! elle va jouir la salope, faites-la jouir avec vos bites, pilonnez-la oui, allez, là, là, oui »
Effectivement, il me connaissait bien : les deux tiges extrêmes qui me baisaient en alternance et en cadence soutenue m’amenaient peu à peu au huitième ciel. Alors, quand d’un seul coup, ils s’immobilisèrent en même temps au plus profond, je n’eus aucune autre ressource que de me dégager de la bite du mateur dans ma bouche pour hurler mon plaisir :
« Ah ! oh ! oui, vos queues !ah ! vous me faites jouir ! c’est boooooon ! je jouiiiiiiiiis ! ah ! »
Les deux mecs m’enserraient, me tenant par les fesses, par les seins, par les flancs, leurs deux queues ancrées au fond de ma chatte et de mon cul bougeaient à peine car ils n’avaient besoin que de donner de petits coups… qui n’en finissaient pas de me remplir d’aise…
« ouiiiiiii ! ah ! aaaaaaaaaaaah ! ouuuuuuh ! ouh, ourch ! ah ! encooooooore ! oui ! »
Je gémissais, je criais, je me trémoussais, je les sentais leurs bites, je les voulais longtemps et mon patron le savait.

Quand, enfin, n’en pouvant plus je m’affalais sur l’épaule du client –celui qui m’avait offert ces escarpins cause de tout-, le signal de la décharge finale fut donné. Le vendeur m’arrosa le cul abondamment, mon patron vint me présenter sa bite et son gland cracha son foutre m’arrosant le visage, le mateur rajouta une petite rasade qui finit de me décorer.
‘Mon’ client se dégagea, me fit lui faire face et m’aspergea fabuleusement : son sperme décora ma toison puis gicla jusqu’à mes seins dans une deuxième bordée et, enfin, alors qu’il m’enfourcha finit par une troisième saccade dans ma bouche entrouverte.

Tous vinrent rajouter quelques gouttes sur mon visage maculé de foutre, faire dégorger leurs glands dans les escarpins déchaussés (que l’on me remit aussitôt) et finirent par s’essuyer sur mes bas. Ils me galochèrent au final, tous y allant de leurs commentaires :
« elle est pleine de foutre, qu’est-ce qu’elle nous a fait jouir la salope ! » »
« que tu sens le sperme quand on t’embrasse ! t’es pleine de foutre, salope »
« putain, t’en as partout, t’es qu’une pute, une bassine à foutre »
Et mon patron conclut :
« Ne t’essuie pas J……., on va allez se promener, avec tes escarpins et tes bas pleins de sperme… les types qu’on va croiser vont voir les traces… »
« C’était bon les mecs non ? »
« Fabuleux »
« Je n’ai jamais autant joui »
« On pourra la revoir ? »

* * *

Voilà comment mon patron concevait l’achat de chaussures. Ce genre d’aventures, je le connus souvent –je n’avais pas toujours des bas, parfois c’étaient des collants que je portais mais à chaque fois, les vues proposées, les poses, les scénarios ne manquaient pas de chaleur- toutes pas forcément concrétisées dans une arrière-boutique ou une porte cochère mais, en tout cas, toujours bien chargées en érotisme.

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