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Un village tranquille

Un village tranquille



Un village tranquille

Chloé arrive devant la boulangerie, essoufflée, après ses 10 km quotidiens…

Mariée à Eric, sous-marinier, sans enfant, elle travaille chez un notaire, et entretient sa forme et sa silhouette de trentenaire.
Il est 7 heures, le volet est baissé. Elle reprend son souffle, fait le tour, la porte arrière du fournil est entr’ouverte…

Pierre, le boulanger, retire une plaque de croissants, et enfourne les baguettes fraîches, puis programme son pétrin pour la dernière fournée du matin.

Tout sera prêt vers 08h00, quand Linda, sa femme, descendra et posera une tasse de café brûlant, prendra deux croissants et un pain et remontera déjeuner avec leur fille, Karine, jusqu’à 08h55…

Là, elle descendra ouvrir le rideau, embrassera sa fille qui partira travailler à pied, chez le notaire du village, et s’affairera dans l’espace vente, attendant le premier client…

Pour l’heure, Pierre allume une cigarette, la première, en buvant son café.
Il regarde la pendule… « Elle ne va pas tarder », pense-t’il…

Chloé lui sourit dans l’encoignure de la porte. Tout est calme…

Il sent le café, la farine, le four, les croissants, et ses larges mains enserrent ses seins, remontant sa brassière, dévoilant les deux globes blancs, aux tétons dressés…

Il l’arcboute sur la lourde table en bois sur laquelle une boule de pâte étalée sommeille…
Son visage vient l’effleurer… Elle pose ses mains à plat, prête…

Il baisse le short, pas trop, juste ce qu’il faut pour découvrir le Saint du Saint…

Il sort un dard énorme de son pantalon tombé aux chevilles, un dard de concours ou d’acteur X…

Chloé s’étire, se prépare…

Pierre regarde, amusé, l’anus brunâtre, la chatte lisse, comme un abricot, aussi doux et aussi juteux… Il le savoure déjà…
Il pense aux grandes lèvres, délicates ailes prêtes à s’ouvrir et s’écarter, qui laissent parfois perler un peu de cyprine dans la vallée des trésors…

– Oh, oui… Viens… J’en ai envie ce matin… Mon mari est prolongé de 4 mois dans l’océan indien…

Quelques mots chuchotés, le gland avide avance, effleure, et la magie opère…
Il plonge dans la vallée dégagée, ouvre son chemin dans l’abricot ouvert, les petites lèvres qui cachent les secrets intimes, l’entrée de la grotte déjà entrebâillée, avec les premiers soupirs…

La pendule sonne le quart d’heure, le pétrin démarre, le gland ouvre la porte, conquérant, princier, il plonge dans ce fourreau, ce trésor de fragilité, épilé et rasé, il accompagne les gémissements couverts par le ronron de la machine, il les provoque puis les augmente, et le sexe plonge en cadence, les seins de Chloé s’impriment dans la pâte, elle jouit, emportée par la vague, une onde divine et excitante, qui la fait craquer chaque fois qu’elle s’arrête ici, et ne peut que subir, dans cette position soumise, jusqu’à la fin du coït, au rythme de son amant, puissant et redoutable, l’amenant comme toujours aux sommets du plaisir…

Elle se redresse alors, fière, délicieuse princesse aux seins nus, libre, assagie, mais gourmande, elle goûte au jus suprême, gâtant le boulanger d’une délicate embouchée, tandis que le surplus s’écoule sur ses cuisses…

Il la prend contre lui, comme un fétu de paille, il l’allonge sur le pétrin, et ouvre sans façon, la petite rondelle brune qu’il se met à masser…
Elle râle en écartant ses fesses, ondule son arrière train, se pourfend, se soulève vers lui pour mieux le ressentir… Toute seule, elle le guide, doucement, tendrement, puis plus vite…

Elle ressent le sexe qui la laboure, qui fait venir des ondes merveilleuses, qui envahissent son ventre, ses entrailles, elle jouit sans relâche, sodomie consentie, nécessaire, soumise jusqu’à l’acte divin, dans un flot de semence, une extase infinie la fait chavirer, en pleurs…

Le short malmené s’est ouvert sous l’action, l’anus distendu offre une vue divine, Pierre reprendrait bien du premier orifice, sentant avec ses doigts, la moiteur du désir, la semence liquéfiée glissant entre ses doigts…

Mais le temps est compté, il faut remettre de l’ordre…

Chloé descend de son nuage.
Elle s’est faite prendre, défoncer, un double orgasme l’a anéantie, comme chaque fois, comme chaque mois…

Pierre, ce Pierre, ce démon, qui la soigne avec son sexe, est le seul à la faire jouir de cette manière, exploser ses entrailles, la faire délirer au point qu’en quelques minutes, elle calme pour un mois sa libido perturbée par un virus inconnu qui ne touche que les femmes…

Vers 09h00, elle prendra sa Clio, douchée et changée, se rendra au travail en chantonnant, dans ce tailleur façon Channel qu’elle affectionne, qui met en valeur sa taille et sa poitrine, le galbe de ses hanches de façon sensuelle et ce petit derrière qui les fait se retourner…

Chloé de deux ans sa cadette, seule pendant de longs mois à cause d’un mari marin, ce manège perdure depuis 3 ans.
Pierre adore cette femme qui d’ordinaire ne l’aurait jamais regardé, mais une circonstance étrange les a fait s’accoupler, et depuis ce moment, elle ne peut s’en passer…

C’était il y a trois ans, à Paris… Heure de pointe, retard, Chloé est déchaînée…
Seule dans la capitale, elle a beau se raisonner et faire tout ce qu’elle peut, le matin, au réveil, elle est en plein délire, son besoin d’un homme lui fait mal au ventre, mais que faire de plus ?
Elle a pensé à ça pour calmer ses pulsions érotiques… Elle est loin de Jenny qui sait comment faire…

Dans l’affluence de la rame, collée par force aux autres voyageurs, elle choisit sa proie, bel homme si possible, qui lui rappelle le sien…
Ses fesses rebondies, touchent celles du voisin… Etonné mais charmé, il se laisse faire… Chloé, sait quand elle doit dévoiler ses dessins.
Si son chemisier dévoile un peu ses seins, sa jupe un peu courte se soulève parfois, selon sa position…

Alors, elle se colle, ressens ce qu’il ressent et jusqu’à ce qu’il comprenne qu’elle l’a choisi, elle va tout faire pour s’isoler avec lui, de façon très intime, juste pour que les voisins ne puissent s’en douter…

Parfois, elle cherche d’abord à ressentir la bosse, dans ses reins, dans ses fesses, à sa taille ou plus bas selon la taille et l’âge… Un peu comme un jeu, dangereux mais si bon…

Sa main ira débusquer la protubérance qui l’agresse, enfin qui la tenaille… Puis elle prendra le sexe dans ses doigts et délicatement, elle le bercera, les yeux dans le vague, suivant les tressautements et les vibrations de la rame, jusqu’à ce que ses doigts reçoivent le fruit de son travail…

Pendant ce temps elle aura guidé, si nécessaire, la main de son patient impatient, ou l’impatient patient, dans l’antre de son plaisir, qu’elle aura dégagé…

Et elle fera tout ce qui lui est possible pour arriver ensemble… à la station suivante…
3 minutes de bonheur, un mano a mano salutaire et thé****utique…

Elle descendra de la rame sans un regard, flageolante mais libérée, l’œil encore humide, en s’essuyant la main, ressentant la fraîcheur de l’air sécher les poils de sa foufoune…

Cela, c’était Chloé…

Mais elle avait du mal à conclure son affaire, soit trop peu de voyageurs ce qui est rare, soit pas assez d’espace discret, ou raréfaction des sujets potentiels.
Il fallait aussi trouver la meilleure place dans chaque wagon, ce qu’elle avait intégré rapidement.

Ensuite d’autres facteurs venaient souvent contrecarrer ses desseins…
Tant pis si elle gardait les mains libres afin de veiller à sa sécurité et donc elle ne participait pas activement, elle se laissait faire, mais ils aimaient ça…

C’est ainsi que Pierre la rencontra, jupe affriolante, regard de chatte en chaleur, quémandant une faveur sexuelle discrète en plein métro bondé, entourée de voyageurs encore endormis…

Ils se trouvaient dans un recoin, réservé aux personnes handicapées et il se mit à l’embrasser, facilitant leur intégration dans le paysage… Leurs voisins proches tournèrent ainsi la tête…

Dès ce baiser conquérant, elle sut… Elle conduisit sa main, là où elle voulait, mais il avait compris le souhait de la donzelle, se faire masturber en pleine heure de pointe dans le métro bondé, sans doute un fantasme…
Il réussit si bien, qu’elle tomba dans ses bras, ivre de plaisir… Il venait de jouir dans une petite main, douce comme une fleur sans épine, un écrin…

Et au lieu de continuer leur journée, ils firent un détour dans un parc et complétèrent ce qu’ils avaient commencé, au hasard des bancs libres et des sous-bois serrés.

L’après-midi, Chloé en redemanda, elle l’entraîna dans sa chambre d’hôtel, Gare du Nord, où elle était descendue rejoindre son mari, de passage quelques jours… Il était reparti, la laissant dans un état irréel, pathologique, elle n’osait en parler…

Ils terminèrent ce qu’ils n’avaient pu terminer, faute de munitions…

Chloé, était aux anges, exténuée, laminée, pourfendue, vidée, sans force, l’esprit embrumé en quittant son hôtel.
Trois heures de coït, une bataille rangée, un feu d’artifice, elle lui avait avoué ce qui la taraudait…
Elle était tombée sur l’amant parfait pour éteindre ce volcan ravageur…

Était-ce une maladie ? Ce besoin physique l’envahissait depuis le départ de son mari…

Elle devait le satisfaire à n’importe quel prix pour ne pas tomber dans des travers bien pires, et la dépravation…

La chance aida Chloé, car Pierre était boulanger à 3 km de chez elle, dans le Sud et il savait à quelle heure du jour, elle pouvait venir se soigner, en évitant sa femme…
Du mardi au vendredi, entre 07h00 et 08h00…

C’est tôt, certes, mais quelle sécurité par rapport à ce qu’elle avait trouvé à Paris en trois jours…

Expédients de rencontres, douteux et peu actifs, un voisin de chambre glauque et sans passion, et le dernier, le gardien de nuit, lamentable amant, qu’elle n’avait même pas senti…
Alors elle avait tenté le métro, son charme, ce défi, cette sensation de danger, un coït rapide, un échange éclair, un doigt insidieux, mais libérateur… Elle s’enfuyait dès l’ouverture des portes, sans demander son reste…
Cela l’apaisait pour quelques heures, et quand ses tourments revenaient, elle ressortait… Pierre fut le 4ème, le 3ème jour…

Les kilomètres parcourus avant (3 km en courant) de rejoindre Pierre, attisaient son esprit, ouvraient son appétit et même son corps qui se préparait à recevoir ce cadeau du ciel, un peu comme une hostie purificatrice….

Elle se donnait corps et âme, ressentant toujours la même envie, puis la satisfaction suprême, et l’extase finale qui la libérait pour un temps…

Un coup devant, un coup derrière, mais quels coups !… On était loin du métro…

Ce que Chloé ne savait pas, c’est que ce qu’elle combattait, ce désir sexuel au bout de quelques semaines, ce désir impossible à satisfaire seule, car elle avait tout essayé, était un virus, un simple et petit virus…

Pierre fit la relation entre ses rendez-vous avec Chloé, et les besoins grandissants de son épouse Linda…
A tel point qu’il dû composer avec Linda la même partition qu’avec Chloé, à quelques variantes près, histoire de la distinguer…

Au lieu du fenil, c’était dans la cave que se déroulait le concert…
Toute la soirée, et une partie de la nuit, ils s’enfermaient dans ce lieu de repos où trônait un ancien sofa, leur rappelant leurs premières années et les premières séances, en cachette de ses parents…

Linda lui avoua qu’elle ressentait un besoin physiologique, irrésistible, une envie dantesque de faire l’amour avec un homme, qui la prenne, qui la déchire, qui la baise et la sodomise, qui lui détaille le kamasoutra, sans rien omettre, et cela tous les mois environ…
Il était aux premières loges et il avait constaté ce pic de libido…
Mais il prenait cela comme un compliment, un regain d’amour de son épouse…

Comme Chloé, elle devenait nymphomane et aurait sauté sur le premier mâle pour se satisfaire…
Elle aussi avait testé toutes les solutions, et même brisé un godemiché allemand, créé pour les africains, juste en l’essayant…

Pierre commença à avoir des doutes, mais aussi des baisses de régime, surtout avec sa femme laquelle surclassait Chloé dans la période en question.

La nuit ne suffisait plus à Linda qui pensait à un clone de Pierre pour se satisfaire en trio…

Elle mit au point un stratagème, sans en parler à son mari, car elle se rendait en ville tous les vendredis, à la banque le matin, chez deux fournisseurs ensuite pour les commandes hebdomadaires, puis coiffeur ou manucure…

Linda rencontra Michelle…

Chez le coiffeur elles bavardaient et échangeaient des propos féminins de plus en plus intimes, ça c’est normal chez tous les artisans de ce métier, mais plus intimes au point de se parler à l’oreille…

Michelle ne travaillait pas. Son mari avait une entreprise qui marchait bien et donc, elle donnait de son temps ça et là, aux associations et organisations de tous domaines.

Elle fut émoustillée par les propos de cette femme, qu’elle ne connaissait pas…

Belle, sensuelle au possible, elle venait de lui avouer un truc terrible, elle devenait cougar malgré elle, et pire parfois, nymphomane, pour arriver à se satisfaire, et repousser le mal.
Mais ses besoins s’intensifiaient…
Elle pensait à utiliser deux amants, en trio, deux hommes à la fois…

Michelle, qui n’était pas une oie blanche et aimait la bagatelle, ne détestait pas faire quelques incartades à son contrat matrimonial…
Entre les réunions et assemblées auxquelles elle était souvent conviée, ses vacances en solo à Ibiza ou en Corse, les après-midis shopping entre copines et voisines, les occasions étaient légion…

Elle rêva de cette Linda, imagina du fond de son lit, des hommes qui la prenaient, ensemble, et chassaient ses démons à la manière des exorcistes, dans ses séances intimes et torrides qu’elle ne connaissait que par fantasme interposé…
Incantation du mâle… Michelle se caressait, transpirante de désir, prostrée…

Linda avait besoin d’elle, son mari ne lui suffisait plus, les crises revenaient plus rapprochées.
Elle cherchait un plan B, qui se révélait être un plan Q déguisé…
Michelle eut une idée…

Elle savait que Linda et son mari étaient boulangers et elle la retrouva par l’annuaire des métiers de bouche…
Elle se rendit chez eux, vit le mari, pas mal du tout, lui fit du charme discrètement, puis demanda à voir Linda, comme une amie récente…

Il ouvrit la porte qui montait à l’appartement, et la regarda gravir les marches, reluquant les belles jambes, et les cuisses par les mouvements de la jupe. Il pensa jaune…

Linda rentra cette fois dans les détails.
Elle évoqua ses nuits de lutte intensive contre cette addiction perverse…

– Perverse ? Non… Juste gênante si tu dois baiser avec n’importe qui… Mais avec ton mari !…
– Mais il ne suffit plus, je te l’ai avoué… Tous les quinze jours maintenant, une nuit entière à faire l’amour ma chère !…
– Dieu ! C’est une force de la nature ton Pierre ?
– Oui, il est bien monté, bien membré, et il sait s’en servir crois-moi…
– Hum…
– Quoi ?
– Tu es juge et partie… Tu peux te tromper, as-tu eu une vie dissolue au point de pouvoir juger sans faille le niveau d’un amant ?
– Certes, je suis sage, mais je te le jure… Le lendemain, je ne vais pas en boutique, je reste au lit pour me remettre. Il me déglingue, devant, derrière, la gorge en feu, les seins gonflés, le… enfin la foufoune si rouge que j’ai du mal à faire pipi…
– Non ? Petite nature !… Moi, je sais apprécier la valeur d’un homme au lit…
– Eh bien, reste ce soir, et tu verras… Le coquin est si porté sur la chose qu’il acceptera sans détour de te prouver sa valeur…
– Aimerais-tu aussi les femmes ?
– Je n’ai… Je ne sais pas… Je ne l’ai fait qu’avec des hommes ou il y a trop longtemps… Crois-moi, si on partage mon mari, tu ne seras pas déçue, car il est capable de nous exploser toutes deux ensembles, exploser nos libidos au point de les oublier pour un mois de sevrage !…
– Un mois de sevrage ? Un mois sans envie de se faire caresser ?
– Oui, ma chère, mon Pierre c’est une bite vivante, un fabricant de foutre à volonté, il pourrait subvenir lui tout seul, aux besoins de cent vierges sur une île déserte et repeupler le monde en 3 jours, repos compris…
– Tu exagères un peu, non ?
– Oui, un peu… Nous ne sommes que 2…
– Et pas vierges !…

Linda sourit à cette nouvelle amie avec qui elle se sent bien…
Elle ouvre une bouteille de champagne et elles boivent à leur amitié…

Michelle est ravie. Enfin de quoi se distraire et faire une bonne action, un coup de canif anodin, mais pour la bonne cause. Elle accepte l’invitation…
Ce soir elle deviendra la maîtresse de Pierre, un surhomme, un amant avec un grand A…

Linda est folle, faire entrer le loup dans la bergerie… Mais qu’est-ce qu’elle est belle…
Sa fraîcheur, son sourire, son corps, ses seins libres qui pointent dans l’ouverture de son peignoir…

A la troisième coupe, elles n’en peuvent plus et se jettent l’une sur l’autre, puis vont dans la chambre d’ami et font l’amour pendant une heure !…

Linda apprend très vite les bases du sexe lesbien, et de découverte en découverte, elles oublient l’heure, et la fille du couple, Karine, 18 ans, découvre sa mère entièrement nue, en train de sucer la chatte d’une autre femme au milieu de son lit…

La pauvre chérie qui croyait être un monstre, dérive en fait de sa maman, puisque Karine a une copine, Claudie, bisexuelle, avec laquelle elle fait les 400 coups.

Elle est rassurée que sa mère soit aussi lesbienne, et admire un instant cette superbe femme avec laquelle elle passe un bon moment, tandis que Papa Pierre est chez sa mère, à 200 kilomètres de là… Boulangerie fermée pour une semaine, heureusement…

Karine a déjà surpris ses parents au lit, elle a regardé par curiosité… Sa mère criait et pleurait, tremblait, se débattait, hystérique… Puis se laissait reprendre, écartelée…
C’est entre deux assauts qu’elle s’aperçut de la taille du sexe de son père.
Faut-il autant souffrir pour créer un enfant ? Parfois cela échoue, elle le savait…

Ces images restèrent gravées, avec les sons, ces cris, cette hystérie…
Elle en a eu peur, se disant qu’il devait lui faire très mal, mais pour une raison obscure, elle le subissait… Elle désirait sans doute être mère à nouveau…

Karine est devenue lesbienne peu après, en réaction…

Mais là elle est scotchée et commence à ressentir son corps qui réagit aux stimuli devant ses yeux…
Au bout d’une minute, elle se branle efficacement, va dans sa chambre, et s’allonge en se mettant à l’aise…

Elle revient car les sons se sont tus, remplacés par des vocalises profondes graves, puis aux notes stridentes, perçantes…
Linda, échevelée, frotte sa chatte sur la cuisse de Michelle, puis elles s’imbriquent chatte contre chatte, dans un ciseau parfait, et déclenchent un orgasme mutuel époustouflant !…

Michelle aperçoit la jeune fille en position indécente, et comprend la situation… Elle l’appelle…
Karine s’approche de Michelle et l’embrasse en caressant ses seins.

Linda regarde sa fille flirter avec Michelle, écartelée, gémissant sous la petite langue qui minaude son petit bouton rose…

Linda n’est pas d’accord !
Mais Karine la calme, lui avouant pour Claudie et elle et ce, depuis longtemps…
Elle ajoute que leur spectacle l’a émoustillée, car Michelle est très belle…

Linda lui explique, en gros, ce qui se passe dans son corps, sans parler de son problème…
Mais le père a disparu…

– Tu devrais écouter tes messages maman, Mamy a fait un malaise, papa est parti immédiatement, car impossible de te joindre, et comme le magasin est fermé…
– Oh, mince… Comment je vais faire demain ?…

Michelle, qui a compris sa réaction, réagit au quart de tour….

– Tu n’as qu’à essayer avec le mien, je serai là si tu veux que je t’aide…
– Ton mari ?
– Non !… Tu voulais me montrer ton robot, je te prête le mien…
– Mais vous parlez de quoi ?
– Karine, on ne peut pas tout te dire maintenant, c’est un secret pour l’instant entre Michelle et moi… C’est nouveau, comme un jeu… Pour nous les cuisinières…

Karine un peu vexée, se retire, nue, et un tantinet déçu…

– Elle est belle ta fille, on en mangerait !
– C’est un bébé encore…
– Un bébé qui me mangeait la chatte…
– Mitch, un peu de tenue… Je suis sa mère…
– Tu y étais juste avant elle…
– Oh !… Ils apprennent vite, surtout ça…

Michelle appelle son mari, Sébastien…
– Chéri, tu serais libre là…
– Tout de suite ?
– Ce soir, vers 20h00 ?
– Euh, oui… Tu peux m’en dire plus ?
– Oh, je dois rendre un service à une amie…
– Et c’est moi qui dois donner de ma personne… Toi alors !…
– Attends, je prends une photo du problème… OK ?

Elle prend la photo et l’envoie, Linda est presque nue, drapée dans le drap, allongée sur le sofa, magnifique et sensuelle…

Le téléphone émet un long bip… SMS sans doute…

« Je peux même venir avant ? »

Elles se rhabillent, Linda note ses courses, de quoi faire à manger, mais Michelle la stoppe…

– On commande pizzas, bières, quelques douceurs, il est gourmand, et on va chez moi, sans ta fille qui ne comprendrait plus rien…

Linda en pantalons verts pomme, caraco en soie scandaleusement échancré, sandalettes… Un scandale, une provocation…

– Je te ramènerai ! On prend les courses en passant…
– On congèle les invendus, on va voir s’il est gourmand…

La villa est géniale, une villa de riches…
Piscine, immense salon, cuisine digne d’un grand chef, le garage prend tout le rez-de-chaussée, salle de sport attenante, SPA et sauna, salle de jeux…
Ses yeux croisent une forme allongée sous une bâche…

– Folie de mon époux… Ferrari rachetée dans une vente et qu’il restaure depuis 20 ans… Mais c’est génial quand on la sort…
– Oh, Pierre va adorer s’il la voit…

Nous préparons le brunch au salon, elle découvre mes paquets, gâteaux, choux à la crème, brioches, tartes…

– Mais c’est trop !… Mon dieu, il adore les choux !
– Sors ce que tu veux, et remets le reste au congel. Le temps que l’on trinque…
– Ah, tu penses qu’on va trinquer tout de suite ?
– Dans quel sens trinquer ? Coquine…
– Je t’adore, tu es nature…

Leur baiser est langoureux, long, profond, Michelle se met à râler sous les caresses qui se multiplient et se précisent…

– Pas trop vite… Laisses-en pour ton mari…

On entend un moteur….
Elles se lèvent, se rajustent, Michelle sort les verres, Linda met la table avec les assiettes qu’elle lui tend…

Sébastien entre avec un énorme bouquet…

– Linda ? On m’a dit qu’il y avait une urgence, je suis là…
– C’est gentil, merci, il est superbe !…
– Ce n’est rien, et chérie ta photo est bien en deçà de la réalité, Linda est superbe…

Il la prend dans ses bras et lui claque deux bises sur les joues…
Elle en rougit en regardant Michelle, puis fond en apercevant ses yeux, une invitation au voyage et à l’adultère…

– Bien, nous allons prendre l’apéritif et je te dirai la raison de ce repas précipité…

Sébastien est un homme pressé, actif, toujours sur la brèche… Il ne perd pas de temps… Il sourit à cette jeune personne assise sur son sofa et ressent déjà des picotements intérieurs…
Il a vu que son regard avait fait effet…

Michelle va s’assoir à côté de la jeune femme, et elle raconte le problème de Linda…
D’abord incrédule, éberlué, souriant, puis conscient de la chose et enfin, mis au pied du mur, de devoir la sauver, au moins pour cette fois, car elle sent arriver l’échéance, il la rassure…

Il se lève, tend la main et il entraîne les deux jeunes femmes à sa suite dans la grande chambre au lit impressionnant, un lit rond, immense…

Les choses sont directes, elles se retrouvent allongées, et il commence avec son invité, faisant connaissance, bien vite récompensé par des râles profonds, et ce corps si parfait, proche de celui de sa femme, devient un terrain de jeu, puis de sport, puis un volcan en éveil, et il doit partager ses caresses, les deux femmes échangeant devant lui des caresses lesbiennes, il puise dans leurs jeux des ressources cachées…

Linda jouit plusieurs fois, écartelée, fistée par son amie, prise en levrette au milieu du grand lit, ou assise et pourfendue par le sexe énorme de ce nouvel amant, Michelle pour coussin, chatte ouverte et dégoulinante…

Sébastien leur procure deux orgasmes chacune, Michelle gémissant comme une louve, et s’offrant aussi au couple devant elle, partageant ses trésors entre son mari et cette nymphomane inépuisable…

Enfin, Linda se calme, tard dans la nuit, en sueur, échevelée, offrant ses trésors sans réserve…

– Merci mes amis… C’est passé… A tous les deux, vous m’avez calmée, portée aux nues du plaisir pour balayer mes tourments si gênants…
– Ce fut un plaisir…
– Sébastien, il est possible que je te rappelle, car j’ai eu des prémices très tôt ce mois-ci. J’avais pensé me faire prendre en double, Michelle pouvant aussi venir partager mon mari…
– Ah, un échange de bon procédé…Une partie carrée ? On ne peut qu’accepter et surtout ne te gêne pas, même si ce n’est pas vrai…
– Macho, coquin, mais bon baiseur…
– Je te l’avais dit, Linda…

Au matin, Michelle reconduit Linda, l’accompagne dans l’appartement.
Pierre n’est toujours pas rentré…

– Ton problème a du bon, il faut te soigner par là où ça nous fait du bien…
– Je t’adore… Quand tu connaitras mon Pierre, tu voudras me soigner davantage…

Linda ne se doute pas que Michelle est la sœur de Chloé…

Lorsque Pierre revient, sa mère est hors de danger, une simple angine, la fièvre est montée d’un coup…

Linda lui explique ce qu’elle a tramé pour éradiquer son besoin…
Il est ravi, il pourra voir le reste de ce qu’il a entrevu l’autre jour…
Pour Linda, ma foi, si cela est thé****utique, la baiser avec un autre ne devrait pas le peiner…

Le lundi suivant, ils organisent la rencontre chez Michelle et Sébastien. Linda s’est faite belle et très désirable… Jupe courte, tee-shirt moulant, seins libres, et j’ajouterai sans rien en bas non plus…

La cause est entendue, car désirée par tous les participants, et les choses vont très vite, Linda jouit très très fort, très longtemps, pénétrée par les deux hommes à la fois, et surtout ressentant ce double plaisir au point de s’évanouir…

Abandonnée, elle s’est réfugiée dans les bras de Michelle pour terminer une nuit dantesque…
Michelle, réveille les deux machos et elle se donne à eux, jalouse, et surtout réalisant un fantasme… Pénétrée et sodomisée, échangeant de partenaire, ajoutant un délice lesbien à la fin en rejoignant son amie… Elle peut se rendormir enfin jusqu’au matin, comblée et repue…

Linda a joui comme jamais elle ne l’avait fait… Sentir les deux sexes en elle, d’abord dans sa chatte pour se chauffer, l’un après l’autre, embrassée et caressée, ses seins massés, butinés, jusqu’à jouir…
Puis par les deux orifices, ressentant la sodomie comme un nouveau plaisir extrême quand il est doublé d’un coït vaginal époustouflant, tendre et intime, mené de concert, partagé…
Elle s’est laissé conduire, selon le gré de ses amants, Michelle venant parfaire les tableaux avec une désinvolture déconcertante et enivrante, apportant la cerise sur le gâteau à ses extases… Que de plaisir !

Pierre repart tôt le lundi, il doit préparer sa boulangerie après une semaine de fermeture…
Linda reste avec Michelle et Sébastien…
Ils rejoueront tous les trois une partie de la partition, surtout pour Michelle qui aura droit à toutes les facettes de sa nouvelle partenaire de jeu, la contemplant crier son plaisir sous le joug de son mari déchaîné…

Sébastien lui rendra la monnaie de sa pièce, la prenant sous les yeux de Linda, l’emmenant à un orgasme particulièrement intense, sodomisée par son mari et fistée par Linda…
Elle sombrera aussi dans l’inconscience quelques instants, épuisée, la chatte dilatée par la main de son amante, la rondelle ouverte et dégoulinante, par le sexe impressionnant de son mari avec un flot de semence dans le dernier acte…

Ils donnèrent une soirée quelques semaines plus tard, invitant les boulangers, il était temps pour leurs épouses dont le caractère devenait impossible…
Michelle ressentait aussi ce besoin indicible, comme Linda et Chloé…

Ils instituèrent ainsi une sorte de soirée, où les femmes venaient se faire exorciser, par leurs hommes ravis…

Jusqu’au jour où, ils invitèrent Karine avec son amie Claudie, Chloé, la sœur de Michelle, avec une nouvelle amie, Séverine…
Le mari de Chloé était parti dans les Galapagos pour des missions secrètes…

Lucie reconnut Sébastien, son patron, avec lequel elle entretenait des relations épisodiques très étroites et très secrètes…

Quant à Claudie, elle avait été la maîtresse de Pierre lorsqu’elle servait à la boulangerie le week-end…
Elle avait aussi goûté à Linda dans l’arrière-boutique, Pierre ayant fini sa journée, il faisait sa nuit entre 11 et 18 heures…

Ce fut mémorable, un lupanar de première où Linda et Michelle menèrent les festivités au comble de l’orgie…

Après l’apéritif de bienvenue au bord de la piscine, elles débutèrent en s’offrant un moment de tendresse devant leurs invités, puis nues et enlacées elles glissèrent dans la SPA pour un tableau sensuel qui mit le feu aux poudres…

Les hommes, en sous-effectif, durent puiser dans leurs réserves, les filles se jetèrent sur eux goulûment, Chloé et Claudie encadrèrent Pierre dans l’espace de repos, ce trio entama une indicible série de fellations et de léchage de chatte….
Pierre retrouva une Chloé totalement dévouée à ses caprices et décidée à partager son amie avec lui…

Sébastien invita Karine et Lucie dans son bolide au sous-sol, elles ne résistèrent ni à l’une lorsqu’il démarra le moteur et décapota le bolide, ni à l’autre, lorsqu’il leur montra son nouveau levier de vitesse prêt à démarrer lui-aussi…

Karine quitta sa culotte et s’empala immédiatement, excitée à l’idée de connaître Sébastien que sa mère appréciait tant, tandis que Lucie, enjamba son ancien amant et lui offrit une délicieuse chatte rasée, fraîche et douce, sous les yeux de son amante, qu’il minauda un long moment, d’une langue experte…
Avec Sébastien, Karine pût anéantir ses peurs, franchir enfin la ligne qu’elle s’était fixée, toujours repoussée par les images de sa mère délirant sous le joug d’un père en rut…
Elle était trop jeune pour comprendre ce que représentait l’acte d’amour et jusqu’où il pouvait s’exprimer entre deux êtres qui recherchent un plaisir éperdu…

Il dirigea les filles vers la salle de jeux, où un matelas les attendait, et elles se déchaînèrent sur notre pilote amateur, émoustillé par ces deux jeunes femelles lesbiennes, avides de sexe… Karine fondit la première, guidée par son amie, c’était sa première fois, elle fut divine et complète…

Elles virent arriver Michelle, attirée par les râles des deux jeunes femmes, Karine était aux anges de pouvoir lui faire l’amour enfin, sans sa mère au milieu…
Elle venait de jouir d’un vrai membre, un pénis, une bite, une queue, et goûter la semence, ce jus magique, ce sperme créateur, dont elle devint friande…

Sébastien porta Lucie à l’extase, tandis que le duo lesbien ronronnait de plaisir à leur côté. Lucie retrouvait la puissance d’un homme, quand elle sentit le sexe en elle et elle ne le quitta plus jusqu’à un orgasme merveilleux pendant lequel des images défilèrent, elle le retrouvait après des années, elle l’aimait toujours en secret, elle se donna sans réserve, elle sentit la chaleur de la semence… Comme c’était bon, un amant…

Les filles vinrent lécher le sperme qui suintait de son vagin ouvert, Sébastien et Michelle, superbement excités, rattrapaient leur retard, Michelle écartelée se perforait en amazone, s’agitant, sautillant, ondulant, jusqu’à ce qu’il la retourne, puis la baise comme une catin, en levrette, une sodomie méritée et appréciée d’après les râles qui fusaient de la gorge de la jeune femme, en regardant jouir leurs voisines dans un 69 sans fin…

Elles s’offrirent un concert de chattes en chaleur, de cris de louves et de feulements de lionnes.

Puis, les quatre partenaires, imbriqués de nouveau, terminèrent cette soirée de folies, éprouvante, dans un délire des sens, un quadrille effréné, mêlant tendresse et plaisirs divins…

Karine, goûta la sodomie, la vraie, avec un vrai sexe chaud et envoûtant, planté dans ses entrailles, qui lui apporta une version live de ce qu’elle connaissait et se répartit en vrac sur le lit, emportée par un orgasme total, grâce au concours de ses deux amies complètement hystériques…

En haut, sur la terrasse, à l’abri des regards, Pierre avait migré sur des matelas plus confortables, les femmes se succédant sur lui, partageant goulûment son sexe, en de multiples positions et façons…

Le trio devint quatuor avec l’arrivée de Linda, les couples se formaient, échangeaient, devenaient trio, puis quatuor, puis couples de nouveau, mélangeant les caresses, partageant leur plaisir, mêlant leurs fluides, s’offrant, comme des détenues libérées, des ados surexcitées par leurs hormones, indécentes, exposées, délirantes.

Pierre connut la passion de Claudie, la tigresse Linda, la fougue de Chloé, Claudie qu’il croyait lesbienne, se montra une amante délicieuse, perverse, dépravée, s’offrant sans détour, multipliant les positions pour savourer son sexe par tout son corps…

Linda eut droit à une sodomie en règle, encadrée des deux jeunes femmes, fistée, léchée, clitorisée, tétée, électrisée, doigtée et masturbée, partagée, embrassée sur tout son corps, jusqu’à l’orgasme libérateur…

Que de sexe dans cette soirée, tous les acteurs en convinrent, c’était dément, mais si prenant, si intense, si tendre aussi, et si complet que toutes voulaient y regoûter sans trop tarder…
Seule Linda n’appréciait que moyennement la présence de sa fille et ses vocalises d’actrice porno…

Certaines se revirent en petit comité, Karine et Lucie invitèrent Sébastien chez elles, et retrouvèrent ce levier de vitesse si brûlant…

Chloé amena Claudie pour une matinée exceptionnelle, elles partagèrent Pierre en l’absence de Linda qui était avec Michelle… Claudie découvrit le véritable Pierre, une machine, un inépuisable amant.

Le virus disparut comme par magie…

Chloé, la première, s’en aperçut naturellement, retrouvant un désir normal…
Linda se sentait bien dans sa peau depuis qu’elle trompait Pierre tous les lundis…
Michelle attendit Karine à la sortie de son travail… Elles passèrent un merveilleux cinq à sept, tout en sensualité et tendresse…

Sans le savoir, Karine dans son innocence et sa peur des hommes, soigna Michelle, qui soigna Linda qui soigna Pierre, qui soigna Chloé, tandis que Sébastien, immunisé par sa femme, transmit l’antidote à ses nombreuses conquêtes, bien au-delà des partenaires de cette aventure thérapo-sexuelle….

Une pandémie venait d’être évitée…

Lucie aime se retrouver avec Sébastien et Michelle, pour des soirées à trois…
Yann, le fils de Sébastien, petit ami de Claudie depuis peu, aime à retrouver Karine et Claudie dans ces soirées festives et ouvertes…

Karine essaime ses germes merveilleux de plus en plus souvent, de plus en plus loin, aimant garder la boulangerie pendant les après-midis de repos de ses parents, suivant les traces de son amie Claudie, et de tout le groupe, en s’affirmant hétéroflexible, et surtout libertine comme ses parents…
Le chiffre du magasin est en hausse notoire et les clients font la queue presque tous les jours…

Vive le sexe en 2019 et bonne Année à tous et à toutes….

FIN

Marika842010
janvier 2019

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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