Quand je me suis réveillé après une nuit bien remplie (lire Après les examens ) il devait être onze heures du matin et le lit était vide. Je suis entré directement dans la douche et une fois propre je suis descendu prendre mon petit déjeuner. J’étais en train de siroter un café en me demandant où pouvait bien être ma femme quand j’ai entendu des sortes de cris étouffés en provenance de la chambre d’amis.
Je m’approche de la porte, tends l’oreille, c’est bien d’ici que viennent ces cris. Sans faire de bruit, j’ouvre la porte et glisse ma tête dans l’embrasure.
Ce que je vois me laisse sans voix.
Ligotée en position assise à la tête du lit se trouve Céline. Entre ses jambes grand écartées il y a Sophie, les mains attachées dans le dos et le cul en l’air, qui est occupée à lui bouffer la chatte. Enfin, ma femme est en train de donner des grands coups de strapon dans le cul de Sophie qui crie à chaque coup.
Toutes les trois sont totalement nues et luisent de sueur.
J’entre dans la pièce le plus silencieusement possible pour ne rien interrompre.
Elles sont toutes les trois perdues dans leur plaisir et ne s’aperçoivent pas de mon entrée. C’est Céline qui jouit la première sous les coups de langue de Sophie. Elle pousse sa chatte le plus contre le visage de Sophie et s’abandonne à la vague de plaisir qui la submerge en poussant un râle rauque terriblement excitant. C’est ensuite ma femme qui se met à jouir en insultant ses deux partenaires de jeux « Petites salopes ça vous apprendra à baiser mon mariiiIIiiIIiiii… »
Elle donne un dernier coup de rein puis s’effondre sur la pauvre Sophie qui ne pensait visiblement pas que le strapon pouvait la prendre plus profondément. Et pourtant si il peut. Entre le poids du corps de ma femme et le traitement qu’elle subi depuis visiblement pas mal de temps elle ne peux plus se retenir et jouit à sont tour.
C’est quand elles reprennent leur souffle que je claque la porte pour attirer leur
attention.
« Mais qu’est ce qui se passe ici ? Delphine que fais tu avec nos invitées ? Tu les ligote et tu les viole ? C’est n’importe quoi »
Delphine se tourne vers moi elle est complètement abasourdie.
« Mais euh… Euh enfin non c’est de leur faute… Je les punissais »
« Pardon ? Tu les punissais ? »
« Oui je les punissais »
« Je peux savoir pour quoi tu les punissais ? »
« Elles ont couché avec toi ! »
« Hein ? Mais tu es encore complètement ivre depuis hier pour dire des trucs pareils »
« Elles ont avoué et maintenant c’est à ton tour d’être puni… »
« Ne me fait pas rire s’il te plait, tu dis vraiment n’importe quoi. Je n’ai jamais mis les mains sur tes copines je suis un mari fidèle. »
« Elles ont avoué.. »
« Je suis sur que si elles te baisaient comme tu viens de le faire tu avouerais tout et n’importe quoi. »
« Non je suis sûre que vous avez couché ensemble tous les trois. »
« On va leur demander si tu veux bien. Bon, Sophie avons nous déjà couché ensemble ? Avons nous eu des rapports sexuels ? »
Sophie se redresse sur un coude, me fait un grand sourire et dit :
‘Non et c’est dommage parce que Delphine n’a pas arrêté de nous dire que tu nous avais défoncé avec ta grosse queue et j’aurais bien aimé que ce soit vrai. »
« Céline ? T’ai je déjà touché avec ma « grosse queue » ou avec autre chose ? »
La jolie métisse secoue la tête de gauche à droite et rigole franchement quand elle déclare :
« Non et non tu ne m’as encore jamais touché. »
Delphine se lève et viens vers moi, elle est très en colère.
« Mais elles mentent ces petites putes, elles mentent ! Quand je suis entré dans la chambre tout à l’heure elle sentaient le foutre ! Et toi tu puais leur chatte quand tu t’es mis au lit, espèce de salopard »
« Calme toi Delphine et explique moi plutôt d’où sors ce truc qui te pend entre les jambes ? »
« Ce truc ? » Elle a soudainement l’air très embarrassée.
« Oui ce truc, j’ignorais que tu avais des trucs comme ça en stock. comme il est hors de question que tu t’en serve sur moi et que tu le sais, je me demande pourquoi ou plutôt pour qui tu l’as acheté. »
Elle baisse les yeux et ne réponds pas.
« Attends tu vas me dire que c’est Céline ou Sophie qui l’a amené ici pour égayer la soirée peut être ? »
Toujours aucune réponse…
« Maintenant je pense y voir plus clair. Tu t’es acheté ça comme matériel pédagogique pour les longues soirées de révision avec tes copines.Vous vous envoyez en l’air et ensuite tu les accuse de tous les maux et tu me considère comme un adultère. C’est vraiment pas joli joli ça… »
Je m’assied sur le bord du lit et fais signe à Delphine de venir me rejoindre. Elle vient quasiment à reculons.
« Enlève ce strapon maintenant. »
Elle n’ose toujours pas relever la tête mais commence à défaire la ceinture qui maintient le gode en place. Je suis stupéfait de constater que je ne voyais que la partie émergée de l’iceberg et que le strapon est composé de deux godes : l’un pour baiser une autre personne et l’autre pour se baiser soi même pendant ce pendant. Je comprends à présent son orgasme ravageur de tout à l’heure.
Je récupère l’engin et le pose entre les jambes de Sophie.
J’att**** ensuite Delphine par le bras et la fait basculer en travers de mes genoux.
« Tu mérites une punition et tout le monde ici va y participer puisque nous sommes tous mis en accusation à tort. »
Elle cherche à se débattre mais j’ai plus de force qu’elle et je commence à lui donner une bonne fessée, sans me presser. Méthodiquement je lui assène de grandes claques sur chaque fesse. Au bout de cinq de chaque coté, Delphine a cessé d’essayer de se soustraire. Je fais une petite pause histoire de soulager ma main et je recommence. Delphine ponctue chaque claque par un petit cri.
« Arrête, s’il te plait, ça fait mal… » me supplie-t-elle d’une petite voix.
« Bon d’accord j’arrête… C’est au tour de Sophie… »
« Oh non, c’est trop douloureux je dois avoir les fesses toutes rouges ! C’est horrible comme ça fait mal… »
Je détache rapidement Céline et Sophie avant d’ordonner à Delphine ed se mettre en position sur les genoux de Sophie.
Elle est au bord des larmes mais elle s’exécute. Avant que Sophie ne commence, je glisse un doigt entre les cuisses de Delphine et m’aperçoit que sa chatte est complètement trempée.
« Sophie, il ne faut pas que tu t’inquiètes, Delphine est trempée. Elle aime être fessée. »
« Non ce n’est pas vrai, ça fait mal ! » se défend Delphine.
« Ça fait peut être mal mais ça t’excite beaucoup. A toi Sophie ! »
Sophie gronde un « Tu vas voir ce que tu vas voir espèce de salope et tant pis si ça te plait. » et fait tomber un déluge de claques sur les fesses de Delphine qui rougissent à vue d’œil. Elle sanglote ouvertement mais cesse de se rebeller. Pendant que Sophie se fait plaisir en martyrisant le cul de mon épouse, j’en profite pour me déshabiller. Céline regarde la scène avec intérêt et semble attendre son tour pour fesser Delphine. Je m’approche d’elle, je l’embrasse sur la bouche et la repousse en arrière pour qu’elle s’allonge sur le dos. Elle ne résiste pas et ouvre ses cuisses largement. J’att**** le strapon et frotte le gland du gode contre ses lèvres humides. Céline descend un peu contre le gode histoire de s’assurer que je ne vais pas la titiller, la faire languir. J’enfonce donc lentement le jouet dans sa chatte qui l’accueille avec plaisir. Céline se cambre, gémit et quand le gode est bien en place tout au fond de sa jolie chatte elle se met à trembler de tout son corps. J’attache la ceinture autour de sa taille et la voila parée pour se servir de l’engin.
Je regarde du côté de Sophie et Delphine et constate qu’elles commencent à fatiguer. Sophie est en train de se frotter les mains tandis que Delphine ne fait rien à part sangloter en continu. Son corps est parcouru de soubresauts.
« Sophie, installe toi confortablement pour que Delphine puisse te bouffer la chatte. »
Elle se met tout de suite en place, faisant tomber Delphine au pied du lit dans le mouvement.
Je la prend dans mes bras et l’installe à nouveau sur le lit, la tête sur le pubis de Sophie et le cul en l’air. Je lui attache ensuite les poignets aux chevilles. Pour la première fois depuis que je la connais elle est complètement désemparée et à la merci de mon imagination.
« Delphine lèche bien Sophie, elle t’attend. »
« Non je ne suis pas une gouine je refuse de toucher sa chatte. »
« Hahaha tu achètes un strapon en sachant que tu ne pourras pas l’utiliser sur moi et tu passes des soirées entières chez tes copines étudiantes et tu n’es pas lesbienne ? De toute façon ça n’a pas grande importance du moment que tu la fais jouir avec ta langue. »
Sophie se déplace de façon à mettre sa chatte face au visage de Delphine, puis elle la plaque contre elle en lui tenant la tête à deux mains. La résistance n’est que de courte durée et au bout d’une dizaine de secondes ma femme se met à laper les lèvres de Sophie avec grand appétit.
Je passe derrière elle, écarte ses fesses à deux mains et lui lèche l’anus et la chatte comme le ferait un chien. Cela lui plait puisqu’elle remue les fesse en rythme avec mes coups de langue. Finalement je me retire et fait signe à Céline de prendre place devant le derrière de Delphine.
Elle me regarde en souriant et me demande d’un air faussement timide : « Je la prend comment ? » tout en passant le gode le long des lèvres de ma femme ?
« Mais comme tu veux mademoiselle… »
Elle fait un clin d’oeil à Sophie qui tient la tête de Delphine plus fermement et commence à enfoncer le long gode dans l’anus offert qui se trouve devant elle. Delphine se cabre mais elle ne peut se soustraire, attachée et maintenue comme elle l’est. Quand elle s’abandonne enfin Céline commence de lents allers retours tout en la tenant pas les hanches. Sophie ferme les yeux et savoure les caresses qui ma femme lui administre.
Le spectacle des ces trois belles femmes en train de se lécher, de se baiser, est loin de me laisser indifférent. Je bande comme un fou.
Tous ces gémissements, ces frissons donnent à la pièce une atmosphère de luxure à l’état pur.
Je remonte sur le lit et me place derrière Céline. Je caresse ses seins lourds et gonflés, tire sur ses tétons pour les rendre de plus en plus durs. Je me colle à elle, ma queue est contre ses fesses. A chaque mouvement dans le cul de ma femme elle vient se coller plus encore contre ma queue. Je me recule un peu, lâche ses seins et écarte ses fesses pour laisser passer mon gland jusqu’à son anus. Je pousse doucement pour introduire mon gland, mais le gode dans son vagin me rend la tâche plus ardue. Si je ne change pas de tactique je n’arriverais à rien. J’entreprend donc de lui manger le cul, de mordiller les plis de son anus, de l’enculer avec ma langue. Elle pousse de petits cris, se tortille, vient à ma rencontre ce qui provoque autant de réactions similaires chez Delphine. Je vais ensuite glisser ma queue dans la bouche, toujours aussi accueillante, de Sophie qui la couvre de salive. Ainsi préparé je reprend mon assaut. Mon gland se fraye lentement un chemin dans le joli cul étroit et divinement chaud de Céline qui pousse ses fesses à sa rencontre. Quand je suis enfin complètement dans le cul de cette déesse métisse je reprends mes caresses sur sa poitrine. Je pince ses tétons pendant que je lui mord la nuque et lui donne de lents coups de pine. Elle gémit constamment et frémit de la tête aux pieds. J’accélère mon rythme qui lui la force à faire de même pour le plus grand plaisir de Delphine qui lui demande à présent de la baiser sérieusement. Céline lui donne des coups de plus en plus amples qui la font aller et venir de plus en plus rapidement le long de ma bite. L’une après l’autre les trois femmes se mettent à jouir bruyamment. Il ne me faut pas longtemps pour atteindre
le point de non retour. Je saisis Céline par les hanches et jouit à longs traits tout au fond d’elle. La sensation est tellement forte que je ne peux pas m’empêcher de pousser des cris à chaque spasme. Quand je reprend mes esprits Delphine et Sophie sont en train de me lécher la queue et les couilles avec application, tandis que Céline est lovée contre moi et commence à s’endormir.
La journée commence bien non ?
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