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Derriere le lac 1

Derriere le lac 1



L’histoire que je vais vous raconter remonte à de nombreuses années, vers les années 80, alors que j’étais en poste à Bordeaux. J’avais alors à peine la trentaine, marié deux enfants, et malgré une vie sexuelle en couple que certains jugeraient plus que normale, il m’était assez coutumier de draguer les femmes de mon entourage pour y faire quelques conquêtes et je me sentais aussi attirer par des expériences masculines mais sans pour autant y prêter plus d’attention. La lecture des courriers de revues comme « Union » et « lettres magazine » me permettait de fantasmer sur bien des situations érotiques de tous bords et suffisait à me calmer si besoin.

Mon travail m’obligeait bien souvent à terminer tard voire très tard dans la nuit et avant de rentrer à mon domicile je faisais régulièrement le tour des quartiers de bordeaux en voiture pour y rencontrer l’aventure, étudiantes prostituées entre autres. Mes recherches routières autour de Bordeaux m’avaient amené à trainer derrière le lac, vers le parking du parc des expositions actuel où un va et vient permanent de véhicules la nuit jouant des appels de phares m’avait plutôt intrigué et surtout intéressé.

Un soir parmi d’autres je décidais donc de m’y attarder pour voir un peu quelle clientèle était dans ce coin. Après m’être garé parmi d’autres véhicules, je me promenais dans une semi-pénombre sur le bord de route plantée de haies assez épaisses où des ombres disparaissaient régulièrement.
Il n’y avait pratiquement que des hommes et j’ai rapidement compris que le lieu était fréquenté par les mecs en recherches de partenaires du même sexe. Les quelques rares allures féminines semblaient être des travestis. Je suis parti de l’endroit plutôt gêné, un peu angoissé par l’idée de me trouver au milieu d’un monde que la morale me criait d’oublier mais que ma libido me demandait de ne pas complètement rayer de mes désirs.

Au fil des jours, l’envie de retourner là-bas devenait pesante, obsessionnelle. Même lors de rapports avec ma femme, je ne pouvais ôter de mon esprit ce besoin de retourner vers l’inconnu. Mais comment éviter de se faire remarquer, de se faire reconnaître éventuellement, les gendarmes patrouillent-ils la bas, je pourrais tomber sur des mecs dangereux, une foule de questions me rendait mal-à-l’aise et me retenait encore.

Vous savez ce que c’est quand une idée vous obsède, c’est omniprésent et pour ma part je ne peux pas y résister. Je me sentais donc obligé d’aller y faire à nouveau un tour un soir.

A un peu moins de trente ans, je faisais à l’époque à peine plus de 60 kg pour 1 m 75, donc longiligne, menu, j’avais les cheveux mi- longs, un petit côté androgyne peut-être. Ceci explique certainement cela. Toujours est-il qui m’était arrivé parfois, en l’absence de ma femme d’essayer ses dessous et ses vêtements pour m’amuser et cela m’avait énormément excité.
L’idée avait fait son chemin dans ma tête que si je me rendais là-bas habillé en femme, nul ne pourrait me reconnaître si d’aventure une personne de mon entourage professionnel ou voisinage se trouvait là. Toute la difficulté résidait alors à emmener discrètement des habits de ma femme et à les vêtir après mon boulot.

Le hasard faisant parfois bien les choses, les vacances de printemps étant là, mon épouse décida se partir avec les enfants quelques jours chez ses parents en Charente-Maritime, je les rejoindrai le vendredi soir pour y passer le week-end. Je n’avais donc aucun obstacle pour mener mon idée à son terme.

Un fois seul, et une fois sûr de l’être, je procédais le lendemain de son départ à l’inventaire de ses tenues de manière à trouver celle qui me conviendrait le mieux. Compte-tenu de ma corpulence je n’avais que le choix. Tout devrait m’aller ou presque. En effet, je suis plus grand en taille et ma poitrine est inexistante, je ne dispose même pas de beaux pectoraux pour remplir un soutien gorge.
Il me fallait une tenue facile à mettre car je serais obligé de me changer dans ma voiture. Impossible de le faire à sur mon lieu de travail. Après quelques essayages, qui n’ont fait que m’exister davantage, mon choix s’est donc porté sur un polo et une jupe, associés à des collants. Mes chaussures unisexes feraient parfaitement l’affaire et je me voyais mal marcher avec des chaussures avec talons, trop petites de ses quelques pointures manquantes.

Le début de la semaine et mes horaires particuliers ne me permirent pas de profiter de ma liberté et je restais sagement à la maison toujours tenaillé par l’attrait de l’interdit mais prêt à y renoncer quand la morale prenait le dessus. Ma main ces quelques jours fit ce qu’il faut pour calmer mes ardeurs avec toute la frustration qui l’accompagne après avoir joui.

Le planning de la semaine me permettait un mercredi et un jeudi soirs propices à mes escapades. Le mercredi donc je pensais à bien préparer dans un petit sac l’ensemble des vêtements qui me permettraient la discrétion souhaitée.
Je vous laisse imaginer l’excitation de cette journée, l’idée obsédante de ce que j’avais prévu pour ma fin de travail occupait mes pensées dès que mes activités me le permettaient.

Puis la journée se passe, la soirée aussi, je me retrouve libre aux alentours de 23h00.

Je prends ma voiture, mon sac était resté dans le coffre je le mets sur le siège passager, et je quitte mon travail en direction de bordeaux lac. Un parking sur le chemin est le lieu que je choisis pour ma transformation. Après quelques contorsions, et tout en essayant d’être le plus discret possible compte tenu des quelques voitures qui passent, je quitte mes effets pour revêtir les vêtements de ma femme. Je me sens tout bizarre, avec ces collants qui montent sur mes jambes, et cette petite jupe ridicule rempart pour mes fesses, ma verge a du mal à rester en place dans le petit slip de madame que j’ai voulu mettre.

Je suis prêt, méconnaissable, du moins je l’espère.

Direction bordeaux Lac, le trajet me fait monter l’excitation.

Me voilà sur les lieux, comme à l’accoutumé des véhicules tournent, s’arrêtent, repartent, des appels de phares, un va et vient soutenu qui laisse imaginer l’appétit sexuel qui règne ici.
Je me gare un peu en retrait, en évitant la lumière des réverbères, et profite d’une accalmie de trafic pour sortir de ma voiture et je suis le chemin parallèle à la route qui me permets de rejoindre le lieu où l’activité me semble plus active.
Le lieu, même s’il est un peu proche de la route baignée de la lumière de réverbères, est bordé d’une large futaie d’épais buissons qui en font un repère discret et obscur qui longe la route en retrait de celle-ci.
Je m’en approche, en essayant d’être le plus discret possible, et je me glisse dans la première ouverture qui m’est offerte. Des ombres me semblent proches, il faut que je m’habitue à cette relative obscurité.
Des présences, des corps me frôlent, je continue ma progression. Je m’arrête, ma progression est arrêtée par un corps d’homme qui occupe le chemin inverse.
Il me toise, et sa carrure plus grande que la mienne me met plus que mal à l’aise. J’ai du mal à bien le voir, mais c’est un grand gaillard.

Sans un mot ses mains se posent sur moi et partent à la découverte du corps qu’il vient de rencontrer. Il en fait le parcours rapidement, et il comprend rapidement que le costume qui est le mien ne correspond pas à mon sexe. Loin de le rebuter, je sens ses mains me caresser les fesses et le sexe sous ma jupe. Je l’entends même siffler un peu, puis me glisser à l’oreille « petit coquin, tu sais que tu me plais beaucoup ». Il me plaque contre lui, et je sens alors contre moi quelque chose qui prouve effectivement que je lui plais. Sa verge est contre moi, grosse, ferme et dure, d’un calibre qui me semble déjà hors de la moyenne. Ma main va alors à la rencontre de celle-ci, elle est déjà sortie de son pantalon et se dresse fièrement, le contact est doux et chaud, ma main l’entoure à peine telle son calibre est impressionnant.
Il a l’air d’apprécier puisque un léger gémissement montre son approbation et ses mains continuent de parcourir mon corps et ses doigts de se glisser sous mes vêtements.
Mes doigts jouent avec sa verge et cherchent ses bourses, sa bite turgescente se dresse fièrement vers moi, nous n’échangeons aucuns mots. Seuls quelques soupirs trahissent nos activités particulières dans le silence de la nuit.
Mes mains s’occupent de sa verge, les siennes jouent avec la mienne et pour faciliter le contact je les sens descendre délicatement mon collant. Les doigts accrochent la petite culotte au passage et descendent l’ensemble qui laisse désormais libre accès à ma verge et mes fesses qu’il caresse brièvement au passage.

Une pression plus pressante sur mes épaules ne me laisse pas de doute sur ses attentes. C’est ma première fois, je suis partagé entre la fuite et l’obéissance. Je crains de fuir, comment pourrait-il réagir, il a dû ressentir mon hésitation, car la pression sur mes épaules devient insistante et ne me laisse que peu d’alternatives.
Je plie sous la pression de ses grosses mains et me trouve à genoux face à son sexe bandé. Il montre son approbation et susurre « voilà ma chérie, avales ça et montre comment tu sais t’y prendre ».
Sa verge est devant ma bouche, je sens sa présence plus que je ne la vois. J’ouvre légèrement la bouche et je le sens avancer son membre pour me pénétrer. Le gland de bonne taille entre doucement entre mes lèvres et m’ouvre la bouche, il sent bon, le mec est propre, c’est une chance pour ma première fellation.

(A suivre si cela vous plait)

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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