Une idée. Un fantasme.
Faire l’Amour dans une situation totalement inadéquate, inattendue, impossible : dans un endroit plein de monde, au milieu de la foule. Le risque de se faire surprendre. D’être mal à l’aise.
Celà fait déjà quelques années que nous y pensons tout les trois. Le Rocher de la Vierge, le parc public et d’autres lieux nous avons pratiqué, mais il n’y avait personne. Mais là, il s’agissait de faire au milieu de la foule.
Comment est venue l’idée ? Certainement une boutade de l’un de nous. Boutade qui est restée dans un coin de nos têtes et qui revenait à la surface de temps à autre. Avec plus d’acuité lorsqu’il est devenu évident qu’il fallait passer à l’acte.
Quand ? Où ? Comment ? L’endroit et le moment sont devenus évident il y a un an, au cours du feu d’artifice d’une de ces férias comme on en trouve dans le Sud Ouest de la France. Ce soir là, tout les trois, nous nous sommes regardés et dans les éclairs et le bruit nous avons éclaté de rire en hurlant un grand OUI, ICI.
Mais quelle idée…..
Bref, pendant un an, nous y avons pensé. Nous y avons réfléchi. Nous avons repéré les lieux. Et nous avons décidé de sauter le pas…
18/08/2013 :
le fleuve traverse la ville.
Sur la rive gauche, entre un pont et une passerelle un parking souterrain a été aménagé. Sur la promenade ainsi dégagée se trouvent quelques petits points de restaurations rapide et quelques jardinières où se trouvent des palmiers
Le feu d’artifice est tiré, de nuit, sur la berge en face, rive droite.
Et la foule se masse sur le pont et la promenade pour assister au spectacle.
Pour passer à l’acte il y a des évidences : nous ne pourrons pas faire l’Amour les trois ensembles, pas plus que les filles entre elles, et il faut un homme. Pour l’homme c’est réglé, pour la fille, mes Amours ont tiré à la courte paille et c’est Véronique qui a gagné.
Ce soir là, les filles avaient revêtues des jupes longues et amples et nous sommes arrivés largement en avance pour prendre nos places, sur la margelle d’une des jardinières de palmier.
Petit à petit la foule a commencé à affluer, garnissant l’espace.
Comme prévu, nous sommes restés assis. Véro a fini par s’asseoir sur mes genoux. Sylvia était assise a coté de moi. Et il faisait de plus en plus noir. L’ombre protectrice arrivait.
Je sentais la chaleur des fesses de Véro sur mon bas ventre. Petit à petit, elle fit relever sa jupe pour que ses fesses nues soient en contact avec moi. L’heure du spectacle arrivant, par petits mouvements, elle fit gonfler mon sexe dans mon pantalon.
Je n’en pouvais plus. Je bandais à tout va, raide. Mon pieu emprisonné ne demandait qu’à s’évader.
Et puis, la première fusée illumina le ciel sombre. Véro se dégagea un instant, et subrepticement je libérais mon sexe, le laissant dissimulé par la jupe ample de ma compagne.
Il se dressait fièrement. Véro se rassit, s’empalant dans un souffle. Aussitôt, je sentais autour de mon membre érigé les contractions des muscles vaginaux. Le mouvement alternatif branlait ma bite lentement, avec douceur.
« Bon Dieu, que c’est bon » pensais-je.
Je passais mes mains sous les bords de la jupe, caressais le haut des cuisses de ma compagne. Mes doigts passèrent entre ses cuisses et prirent possession du clito. Il était gonflé de plaisir et d’envie. Je branlais le petit objet caché.
Contre moi, je sentais la respiration de Véro s’amplifier. Elle avait la tête légèrement basculée en arrière comme regardant le spectacle aérien. Autour de mon sexe, je sentais l’écrin mouvant humide et chaud. Et les mouvements musculaires qui me branlaient.
Autour de nous, les têtes étaient levées vers le ciel, jouissant du son et lumière. Ne se doutant pas de ce qui se passait près d’eux.
La respiration de Véronique s’accélérait. Mon sexe n’en pouvait plus. Sous mes doigts, je sentais le clitoris au summum. Et brusquement, je sentis Véro se contracter, son ventre se raffermir, ses cuisses durcir, ses muscles internes m’enserrer. Elle jouissait, là, sur mes genoux.
A ce même instant, je sentis, venant du profond de mon ventre, la boule du plaisir monter, passer mon entre jambe, emprunter la voie de ma hampe et exploser dans le ventre de mon épouse.
Je sentais les saccades de sperme jaillir, inondant la caverne.
Au moment de la jouissance, elle laissa échapper un « hhhoooouuuucccchhhhhhh !!! » de plaisir. Inconsciemment je lui mordis le foulard qu’elle portait autour du cou pour ne pas hurler de plaisir.
Un moment, nous restâmes ainsi. Assise sur moi, mon sexe petit à petit retomba. Discrètement, Véronique se souleva et je remis mon sexe dans mon pantalon. Nous vîmes alors, comme dans un brouillard, Sylvia, debout près de nous et qui nous regardait en souriant.
Je lui pris la main. Elle se pencha et déposa un léger baiser sur nos lèvres.
Finalement, Véro et moi nous nous levâmes et la jupe retomba.
La fin du spectacle fut belle.
Plus tard dans la soirée, Sylvia se montrant entreprenante, je lui fit l’Amour. Dans le noir, derrière le stand d’un marchand de caramel et autres pommes d’amour, penchée en avant, la jupe relevée sur les fesses, je la pris à grand coups de reins la tenant par les hanches.
Le férias de 2013 resteront certainement pour nous un bon cru……
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