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Jeanine et sa fille III

Jeanine et sa fille III



Le vendredi soir suivant, je prétextais une révision en commun avec un ami qui habitait pas très loin de Jeanine pour m’éclipser quelques heures en soirée. Vers 18h j’arrivais chez Jeanine, un peu transpirant de l’effort de la monté en vélo qui était courte environ 3km mais assez raide dans sa première partie. Je posais mon vélo contre une des serres et arrivais chez « Nine ». Elle me reçu en robe rouge, robe qu’elle portait à la communion d’Angélique sa fille, communion à laquelle ma famille était conviée. Elle était craquante dedans bien qu’un peu forte, le rouge lui allait bien.

Elle se jeta dans mes bras en m’embrassant.

‘ »Je te plait comme ça ? » me dit-elle

-« Tu es superbe Nine très sexy j’adore » lui dis-je

« C’est la robe de la communion de Lique, tu avais dansé un rock avec, j’avais pu apercevoir ta culotte en dentelle blanche sous ton collant ce jour là »

-« Petit vicieux » me dit elle en riant

-« Ce soir tu verras pas ma culotte ! je n’en ai pas mis sous mon collant »

Elle me fit asseoir dans le canapé, me servit un demi verre de muscadet et alla s’asseoir en face de moi. La robe rouge relevée aux dessus des genoux, les cuisses ouvertes, elle me montrait ostensiblement son intimité. A travers le voile des collants chairs, je pouvais voir bien distinctement le joli triangle bien fourni de sa toison. Un point plus transparent sur l’entrecuisse de son collant m’informa qu’elle mouillait déjà. Elle s’offrait à moi cuisses bien ouvertes.

J’engloutissais mon demi verre de muscadet d’un trait, m’approchais d’elle, me mis à genou et commençais à lui embrasser ses chevilles épaisses couvertes de nylon chair. J’avoue que la douceur et le contact du nylon sous la bouche provoqua en moi une excitation supplémentaire.

Elles sentaient bon les jambes de Jeanine, un mélange de savon de Marseille et d’eau de lavande. doucement je remontais par des petits baisers sur ses mollets, ses genoux puis ses cuisses. Je pris mon temps, cela m’excitait terriblement et je sentais Jeanine très réceptive. Arrivé à mi-cuisse, je lui ouvrais plus grand encore les jambes de manière à ce que ma tête passa aisément entre ses cuisses.
Elle mouillait beaucoup le nylon qui couvrait son sexe poilu était trempé. Je remontais ma tête en lui léchant l’intérieur des cuisses, alternant longs coups de langues et petits coups de langue. Puis j’arrivais tout près de son sexe, sa chatte s’ouvrait comme une fleur et sa rosée intime dégageait un parfum doux de sexe féminin excité.

Je posais mon nez au niveau de son clito et commençais à lui lécher le bord de ses lèvres à travers le nylon. Elle bascula en arrière en se mordant les lèvres, libéra ses seins pour le caresser. Je la léchais à travers son collant avec application et gourmandise. Jeanine alternait les râles sourds, les serrages de cuisses où elle enserrait ma tête et les relevés de tronc où elle me contemplait la lécher. A ces instants je voyais le plaisir qu’elle prenais à me voir à genou lui lécher la chatte dans son canapé. La nunuche, mère de trois enfants avait fait place à une femme un peu perverse qui regardais un jeune homme de plus de vingt ans son cadet aspirer les lèvres de sa vulve poilue.
La sentant venir avec un doigt je fis un trou dans son collant, déchirais le collant chair à son entrecuisse pour qu’elle connaisse la chaleur de ma langue sur son sexe nu. Cela l’excita, elle se laissait porter par le plaisir, je fis rouler son gros clito sous ma langue, enfonça directement deux doigts en elle. Son sexe coulait de cyprine épaisse et blanche. Je la doigtais tandis que je faisais avec ma bouche faire des tours de manège à son pistil d’amour.

Soudain, elle poussa un cri puissant venu des profondeurs de son corps, serra fort les cuisses, et se mit à rentrer en vibration. Elle était au diapason avec les coups de langues sur son clito rose et gonflé. Elle vint dans ma bouche, dans un silence presque religieux, je stoppais tout et demeurais entre ces cuisses de longues secondes sans rien faire. J’écoutais le silence de son orgasme profond, me délectais de l’avoir fait jouir de cette façon, lui rendant en quelque sorte la pareille de sa pipe goulue de la chaufferie. Un peu saoule, semblant revenir de très loin, elle mit cinq bonnes minutes pour revenir complètement à elle.

-« Alors toi !!! tu me fais faire de ces trucs !! j’en reviens pas !!! »

Je la regardais en silence ne comprenant pas ce qu’elle voulais me dire.

« On ne m’a jamais lécher avant toi, Romain, je pensais pas ce je pourrais jouir comme ça, mon orgasme à été très fort, un orgasme encore inconnu, comme une lame de fond qui emporte tout sur son passage »

Digne, droit, fier de ma prestation d’avoir fait jouir pour la première fois une femme mature avec ma bouche et mes doigts, je me contentais d’une sourire amusé et victorieux.

Bien des années plus tard lors d’une aventure avec une étudiante de trente ans ma cadette, je devais découvrir le relativisme de la phase précédente. Je devais découvrir que la jeunesse n’a pas de prix et qu’elle influe considérablement sur notre libido et l’intensité de nos orgasmes. Se faire sucer par une jeune femme bien plus jeune que soi et un aphrodisiaque puissant, même si sa technique en fellation est rudimentaire voir grossière. A l’heure où j’écris ces lignes je perçois bien l’effet aphrodisiaque que ma jeunesse procurait à Jeanine la quinquagénaire. Cela relativise ma performance et me fait sourire un ravalant un peu de mon orgueil de mâle.

– « J’ai jouis dans ta bouche Nine, il me semblait normal que tu jouisses dans la mienne »

Elle ria, puis levant les jambes bien ouvertes à la manière d’un ordre me dit :

-« Viens ! Viens je veux que tu me prennes là, maintenant, comme ça ! »

Je desserrais ma ceinture fit glisser rapidement mon jeans et mon boxer, lui exhibais mon sexe turgescent, frottais mon gland sur son clito, descendis le long de ses lèvres roses et gonflées. lubrifiant mon sexe avec sa mouille épaisse et blanche et la pénétra d’un coup sec jusqu’à la garde.

« -Oh ! » dit elle dans un cri de surprise et de plaisir

J’étais à fond dans la grosse chatte de Nine qui m’avait fait fantasmer, elle était très ouverte et mouillée. J’aimais limer sa chaleur et son humidité durant de longue minutes je l’honorais de mon ardeur de jeune homme avec la fouge d’un jeune tigre, lui mettais des grand coups de rein pour qu’elle me sente bien taper au fond de son vagin. Jeanine était complètement partie, en transe, elle se laissait prendre en totale confiance. Je dois dire que je la limais avec grand plaisir et bienveillance, je compris vite que son sexe étant trop mouillé et trop ouvert je ne puis jouir en elle dans cette position. Je me mis en tête de la faire jouir à nouveau mais cette fois avec ma queue. je limais sa grosse chatte béante, sortant complètement d’elle parfois et la pénétrant sauvagement pour mieux la stimuler. Au bout d’une demi heure de rut, alternant le doux et le sauvage, je sentis qu’elle allait jouir, et je l’honorais d’assauts violents m’agrippant à ses gros seins pour mieux la transpercer. Elle jouit dans un râle rauque en criant : « oh mon dieu » je restais en elle, immobile tout en l’embrassant, son haleine était devenue épicée des orgasmes que je venais de lui donner.

-« Tu as jouis ? » me demanda t’elle

« Pas encore » lui répondis-je

« Viens je veux que tu jouisses en moi »

« Mets toi alors à quatre pattes dans le canapé car comme ça je n’y arriverais pas » lui dis-je

Avec diligence, elle s’exécuta, me présenta son gros cul de mère de famille, se cambra pour m’offrir sa vulve en levrette, je finis de déchirer plus largement son collant pour dégager son anus serré et brun. lui lécha la chatte pour la faire tressaillir et lécha son anus poilu pour la surprendre. Il était bon son cul à Jeanine et je subodorais que son petit trou n’avait jusqu’à lors connu ni langue ni doigt, ni penis.

Machinalement, elle serra les fesses lors de mes coups de langue sur sa rondelle, puis se ravisa et écarta une fesse avec sa main gauche pour me faire signe de continuer. Je m’exécutais avec délice, puis je vins placer doucement mon gland à l’entrée de sa vulve trempée et la laissa s’empaler à sa guise. D’un glissement de bassin, elle me fit entrer en elle, Ainsi dans cette position, j’étais plus serré dans la grosse chatte de Jeanine, je la sentais mieux et allait pouvoir jouir. Je dois dire que le spectacle de voir Jeanine, le collant déchiré sans culotte à quatre pattes en levrette dans son canapé familial et mon débout derrière elle mon sexe trempé d’elle entrant et sortant de sa vulve fut inoubliable.

En écrivant ces lignes je l’a revois en robe robe remonté sur son dos, sa chatte coulante et offerte à mes assauts.

M’agrippant sur ses poignées d’amour, je la « bamboulais » frénétiquement je voulais jouir en elle. Mes couilles claquaient sur son cul dans un rythme endiablé après lui avoir fait l’amour en missionnaire, je la baisais en levrette. Rapidement je sentais que j’allais jouir.

-« Je viens » lui dis-je

Et dans un borborygme, je crachais mon jus en elle, je continuais les vas et vient pour me vider en elle, l’honorer de ma semence, la gratifier de tous ces plaisirs partagés secrètement à la sauvette.

Elle me laissa me vider m’affaler sur elle, puis une fois sorti d’elle, elle se jeta sur mon sexe pour me finir, pour se délecter du gout de mon sexe d’homme, de mon sperme et du gout de sa chatte mêlée. Elle me téta délicatement en aspirant jusqu’à la derrière goutte de mon sperme. Lorsque cela fût fait, elle déposa un baiser appuyé sur mon gland en signe de fin.

Il était 20h30.

-« J’ai juste le temps de prendre une douche et d’enfiler un pyjama avant l’arrivé de Bernard et les enfants » me dit elle

Orgasmique et organisée Jeanine. Elle ôta son collant, je l’a stoppais avant qu’elle ne le jeta à la poubelle.

« Qu’est ce que tu veux en faire ? » me dit elle

– « Le garder, il sent toi, il est imbibé de tes parfums intimes et j’adore ça m’excite beaucoup » lui dis-je

-« Tu es vraiment un pervers ! » me dit elle en souriant

« Mais j’adore comme tu es Romain »

Je pris congé avec mon trophée dans la poche le collant de Jeanine que j’avais moi même déchiré pour la prendre. Je l’ai gardé des années sous mon lit comme prise de guerre, le collant du canapé et de la robe rouge retroussé.

A suivre

« Toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite » 😉

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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