C’était la fête des pères
L’occasion pour moi de jouer la miss collant devant mes parents et aussi de débuter un fantasme scénarisé.
Nous sommes en juillet et je profite de mes premiers jours de vacances pour réviser comme une folle devant la télé, facebook et mon portable qui sonne toutes les 10 minutes. Bon ok, je ne fous rien.
Mon papa planifie depuis quelques jours un départ en vacances pour je ne sais où et j’ai pas très envie, la campagne, non merci.
Pas le choix, je dois y aller. J’ai envie de me la jouer un peu salope, même si la météo est assez chaude, je suis « élégamment habillée », bien sapée bien sûr, avec, une petite blouse saumon, et comme toujours avec un collant, ce jour marron clair et un petit short denim, le tout avec une paire de sandale haut talon, 6 cm. Ah oui, je n’ai pas mis de slip sous mon collant ! Avec un short je ne vois pas bien l’intérêt d’en porter un et surtout j’aime cette sensation du Lycra sur mon minou. Je serai discrète devant mes parents, enfin, c’est ce que je me dis. Ma mère est en robe, ses jambes ne sont pas nues, collant ou bas ? Je sais que mon père est fétichiste ….
Arrivés à destination, nous prenons possession de la chambre, 2 lits dans la même pièce, bonjour l’intimité, surtout pour les parents, lui qui veut la sauter tous les jours ! Puis vient le soir, souper où maman boit beaucoup et devient pompette, aïe aïe.
Je suis assez fine, maman a des formes bien plus généreuses en cuisses, fesses et poitrine, pas qu’elle a un « gros cul », ce n’est pas le cas, mais le père a de quoi poigner, moi c’est du genre « crevette », alors pour compenser, je m’habille un rien provoc, surtout au niveau des seins et des jambes. Jamais de pantalons, toujours des jupes, très courtes et surtout, des collants, j’en raffole, tous les jours, de toutes les couleurs et de toutes les matières. Mon argent de poche y passe, parfois maman m’en achète quelques paires ou je lui en chipe. Papa, aussi, en cachette de maman m’en offre, mais un peu plus spéciaux les collants, du genre très sexy, il aime savoir ce que je porte sans à jouer le voyeur, il doit bander mon papa, ah s’il savait que je le provoque, je voudrais aller plus loin, mais j’ose pas, enfin pas encore ! Le collant, ça change tout !
Bref, maman a bu, beaucoup et papa a des envies, je vois sa main sur les cuisses de maman qui ne dit rien mais se lèche les lèvres, ça en devient un rien vulgaire, bref, nous regagnons la chambre.
J’allume la télé, assise sur le lit, oups, c’est un porno qui passe. Mon dieu, qui a mis cette chaîne ? Cela n’échappe pas à mes parents. Je change vite de chaîne et mes parents rigolent. Je tombe sur un documentaire, vite autre chaîne, mais quoi ?
Mon père se met à l’aise, il retire son t-shirt et son bermuda, se retrouvant en slip. Il a un beau paquet sous son petit bedon, un tout petit car il se maintient.
Ma mère se met à l’aise aussi, enfin, un peu. Elle ôte seulement sa robe et apparaît en combinaison, quelle horreur, jamais vu ça. A y regarder de plus près, je comprends pourquoi, elle a des dessous chics et sexy, des bas, effectivement avec je pense un porte-jarretelles. Quant à moi, forcément, j’enlève mon short me retrouvant en collant et je garde ma blouse, car j’avais oublié de le mentionner, je ne porte pas de soutien-gorge, non plus ! Pas envie de me retrouver à poil avec juste un collant devant les parents, quoique cela ne m’aurait pas déplu, enfin, c’est un phantasme …..
Mon père va dans la salle de bain, rejoint ensuite par ma mère, des rires, d’autres bruits, du silence, des soupirs, de l’ambiance, quoi !!! C’est très agaçant je me sens exclue, seule comme une conne devant la télé avec un minou qui se réveille.
Mon père ressort, nu, quelle belle bite, je regarde très discrètement sans insister, je ne veux pas passer pour une voyeuse. Lui par contre, ne se gêne vraiment pas pour me mater dans ma petite tenue, surtout que j’avais les jambes assez écartées, exposant ma chatta à sa vue. Ma mère ressort à son tour, sans sa combinaison, juste en dessous et là quel spectacle : slip en dentelle, face en tulle, remonte seins, le fameux porte-jarretelle et des bas bruns clairs, wouah, elle est bandante, je comprends mieux pourquoi se bite est raide, les cochons.
En passant devant mon père, il lui met une petite main aux fesses en rigolant, maman joue la demoiselle effarouchée :
– Dites donc Monsieur, ne vous sentez pas gêné !
– Mais je ne suis pas gêné ma petite dame.
Mon père insiste avec sa main, les doigts accrochant l’élastique de la culotte de ma mère. Et il dit tout haut, pour bien que j’entende :
– Dommage que Véronique n’ai pas eu de chambre à part sinon j’aurai ôter ce slip, tu dois avoir chaud entre les cuisses, hein Gaëlle !
– Mais dis donc, tu as bien trop bu ce soir, tu es très entreprenant.
– Hé les parents, je ne suis pas totalement sourde je vous rappelle.
Mon père revient à la charge :
– Véro, ça t’ennuierait si ta mère s’occupait de moi ce soir ?
– Vous faites ce que vous voulez, je ne suis pas là pour vous interdire de baiser.
– Véronique, crie ma mère, quel langage !
– Maman, je vois ce que papa te fais et ce que tu portes, je ne suis pas aveugle et il bande, alors faut pas m’en vouloir à moi, désolée si je n’ai pas ma chambre à moi.
– Luc, quel coquin tu fais.
Mon caresse les fesses de maman, insère sa main dans son slip et je vois nettement ses doigts virevolter dans sa chatte, que c’est excitant, je commence à me sentir mal à l’aise, jalouse et excitée, je mouille, mon collant devient humide, j’ai envie de ….. mais non, je peux pas, mais j’ai envie, tellement envie
Finalement, le slip est ôté et se retrouve à terre, les jambes de maman largement écartée, j’ai une vue de sa chatte poilue et toute humide, dire que je suis sortie par là !!!! Quelle chatte, assez large, quel clito, on dirait une petite bite, et poilue, la femme dans toute sa splendeur.
Moi qui me rase, oh pas entièrement, je viens de comprendre que je fais fausse route, c’est tellement beau une chatte poilue, je vais me laisser pousser mes poils, on verra ensuite.
Mon père continue de doigter maman qui se dandine sous les doigts agiles et experts, quelle chaudasse ! Je commence à transpirer dans mon collant. Je n’ai que ma blouse, pas assez longue pour cacher mes fesses, laissées à découvert, mon père ne loupe rien de mon spectacle ni de ma mère qui se dandine en dessous chics et sexy. J’ai envie de ma caresse, là, devant lui, mon dieu, qu’est-ce qui m’arrive, je deviens très salope, devant papa, l’interdit, mais j’ai très envie !
Je dois aller faire pipi. Je passe entre mes parents, la chambre n’étant pas très large non plus. Mon père ma mate et son regard se porte sur mes jambes puis sur ma chatte, c’est tellement flagrant. Arrivée dans la salle de bain, je ferme la porte, baisse mon collant et commence à faire pipi.
Je prends mon temps, pas évident de revenir dans la chambre, je n’ose pas trop les surprendre en pleine action, alors je traîne ! Je ne les entends plus rigoler. Tiens…. Ils se seraient enfin endormis ?
Je remonte mon collant, sors de la salle de bain, vois mon père assis sur le lit et ma mère, à genoux les cuisses écartées en train de le sucer. Oups, mauvais moment, faut bien que je regagne mon lit, non ? Je ne passe inaperçue, bien sûr, mon père me regarde avec un petit sourire en coin et ma mère ne s’arrête même pas, trop occupée à sucer son mari.
– Oups, pardon ….et demi-tour.
Je referme aussitôt la porte m’enfermant à nouveau dans la salle de bain.
– Bon, je fais quoi moi ? Je vais pas dormir dans la baignoire quand même !
J’ai trop envie de ma caresser, j’y vais, je m’astique le clito par-dessus le collant, que c’est bon, je fais attention pour ne pas gémir, quelle sensation, je mouille, de plus en plus, j’insère un doigt dans ma fente, je suis toute mouillée, je l’enfonce plus profond, je le fais entrer et sortir, ça me fait des frissons, oh j’ai envie d’une bitte dans mon con, car je ne suis plus vierge, mais ils ne le savent pas, depuis déjà pas mal de temps. Bon, j’arrête, ils vont se demander ce que je fais à la toilette.
Je ressors de nouveau, en essayant d’être la plus discrète possible. Oh, je sens du liquide s’échapper de ma chatte et couler le long de mes jambes, aïe, j’espère qu’il ne le verra pas. Si oui, tant pis.
Je passe derrière ma mère, toujours à genoux, toujours en pleine fellation, mon père me mate franchement dans ma petite tenue. Immédiatement, je tente de me couvrir mais ma blouse est définitivement trop courte, mes fesses et ma chatte sont visibles sous mon collant déjà très humide, j’ai peur qu’il ne voie la tâche d’humidité qui témoigne de mon émoi et de mon excitation, il me reluque avec avidité, lui aussi a faim de moi. Je sais, tenue inconvenante et même assez provocante.
Dans mon lit, je m’assieds feignant de les ignorer, je m’allonge dos à mes parents, je n’ose même pas éteindre la lumière. Je sens le regard avide du paternel sur mes fesses ! Pas envie de me mettre sous les draps, fait bien trop chaud ! Je reste « sans défense » face aux yeux de mon père.
Maman se relève, monte alors sur le lit. J’entends aussi mon père se lever, mais qu’est-ce qu’ils font ? Je transpire vraiment dans mon collant et ma blouse. Je détourne la tête et je vois ma mère en position de soumission à quatre pattes sur le lit et mon père debout derrière elle entre ses cuisses, sa bitte au garde-à-vous, la dirigeant vers la chatte de maman. C’est une première ! La bite du père en érection, longue, rigide, assez volumineuse. Là je mouille direct, quelle bite, jamais vu une aussi longue et grosse et pourtant j’ai eu pas mal de petits copains, rien à comparer, que des petites bites, j’ai une envie, mon dieu, je deviens folle ! J’ai envie de sucer et d’avaler. Je ne suis plus vierge, sauf du cul, pas touche. J’ai baisé quelques fois, mais ce que je préfère, c’est sucer et surtout avaler, ben oui, je suis vraiment salope ! Voilà mon succès auprès des mecs, « elle (moi) avale » et ça, ils en raffolent, tous. Bref, mon petit copain actuel n’est pas une lumière en baise, mais il lèche super bien alors je le suce à fond. Si un mec refuse de me lécher, je ne le suce pas, ah que non. Ce que j’adore, le 69, il me fait jouir, je le fais jouir, quel pied. D’accord, parfois j’ai des problèmes pour avaler, tellement le foutre est épais, à gros grumeaux, mais en général, je bois leur foutre avec avidité, miam miam. Bon, le père et sa bitte, j’aimerai le sucer, même devant maman, je ne veux pas jouer la traitresse, surtout pas elle, je l’aime de trop, nous avons une franche relation, elle est ma confidente, je peux tout lui dire, elle ne juge pas, elle écoute et conseille. Sur tous les sujets ….
Maman n’a pas vu que je les regardais ou fais semblant de ne pas se rendre compte que je suis aux premières loges ! Elle est pompette, oui mais, ça n’excuse pas, elle doit être vraiment en chaleur, quelle femme, je ne l’imaginais pas en train de se faire sauter. D’accord, pour m’avoir, elle a baisé, mais je n’ai jamais imaginé maman dans une telle situation, normal quelque part, non ?
Bref, je les vois, je les entends, je mouille, mes seins se redressent, mon pouls s’accélère, j’ai envie d’une bitte, soit à sucer, soit dans ma chatte, pas dans mon cul, quelle horreur, j’aime pas mais pas du tout.
Durant mes pensées, je regarde la scène, très excitante je dois l’avouer. Ma mère grimace, essaye de retenir difficilement d’éventuels petits cris qu’elle pourrait pousser. Je pense que maman est en train de se faire enculer, sodomiser pour être plus « correcte » (mdr). Mon père sodomise ma mère ! Elle a l’air d’aimer, beurk, moi pas. Il commence ses vas et viens, le lit en tremble et grince, il ne se retient pas beaucoup, un véritable assaut !
Je ressens très vite les vibrations du lit de mes parents sur mon propre lit. Maman est propulsée en avant, tirée en arrière à chaque coup de butoir de papa, quelle cadence, quelle santé !!! Dingue, je deviens un rien jalouse, j’aimerais bien être à sa place, enfin me faire prendre dans la chatte, autant désirée et abusée et surtout en collant. Mais suis-je normale ?
Mon père me regarde intensément alors qu’il pistonne non-stop maman.
– Véro, ça te dis de prendre la place de ta mère ?
Je rougis, je ne m’attendais vraiment pas à cela, wouah le père me fait des avances, quel cochon lubrique. On dirait que je ne suis pas la seule à penser que lui et moi, nous pourrions …..
Ma mère de crier :
– Dis donc Luc, que tu me sautes devant Véronique, ok, mais c’est tout. Je ne suis pas d’accord pour ce que tu as en tête….
– Mais quoi ? Je n’ai rien dit moi ?
– Dis tu crois que je vois pas ce que tu voudrais bien nous faire ? Tu as trop bu mon vieux.
– Toi aussi ma chérie, tu as trop bu, mais ça te rend sexy, non ???
À suivre ….
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