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Lucie & Léa – Part. 3

Lucie & Léa – Part. 3



Quelques mois plus tard, nouveau rendez-vous chez le médecin.

Ce coup-ci, Léa porte une culotte de latex fendue entre les jambes, sous une mini jupe rose. Pour ma part, je suis fesses nues mais pleines d’un plug. Mon corps est enveloppé dans une combinaison de vinyle rouge, par dessus je porte un serre taille. Le médecin nous reçoit. A peine sommes-nous dans son bureau qu’il tombe la blouse. Il est nu. Il entreprend une palpation totale de Léa. Il ne peut que constater son évolution depuis notre dernière visite. Il m’en félicite. Très vite, il dézippe l’entre jambes de ma combinaison pour vérifier que je porte bien mon plug. « C’est bien madame, vous montrez l’exemple a votre fille » me dit il avant que de m’intimer l’ordre de m’installer sur le fauteuil et m’y attache. Je suis rapidement dans l’impossibilité de bouger. Il prend Léa par le cou et l’oblige à me sucer. Elle prend donc mon clito entre ses lèvres et entreprend de me sucer bien à fond, comme je le lui ai appris. Il remonte sa mini sur ses reins et l’oblige à se cambrer, penchée en avant. « Hum le joli petit cul ! » dit-il. Il commence par un doigt. Puis un second. Ils entrent et sortent de sa petite chatte. Elle gémit. « Ca s’ouvre bien » dit-il en se branlant. Un troisième doigt vient l’élargir un peu plus encore. Son trou est bien ouvert, quasiment béant. Il dépose un peu de gel à l’entrée de sa chatte, et enfonce d’un coup ses 25cm. La voici prise en sandwich Il lui laboure le cul. En bonne fille bien élevée, elle adore. Son petit clito laisse échapper de minuscules gouttes de mouille. « Oui, je ne bande plus » dit alors Léa. « Dorénavant tu ne pourras plus en raison du traitement » prescrit par l’endocrinologue, ajoute le docteur. Sa succion commence à porter ses fruits, je gonfle entre ses lèvres. « Je sens que tu durcis, maman » parvient à articuler Léa. Il continue à la limer, en lui claquant les fesses. Elle couine comme une chienne en chaleur en tendant son cul. La voir se comporter ainsi, réjouis la putain que je suis. Du coup, je durcis vraiment et éjacule dans sa bouche. Il lui demande de conserver mon jus sur sa langue et de venir m’embrasser. Elle m’embrasse. Nous mélangeons nos langues et mon sperme chaud me revient en bouche. Ce show le rend fou. Il accélère dans son cul en lui pinçant ses fesses. Ses petits cris m’excitent. Il lui demande de me déshabiller. Elle s’active pour enlever ma tenue en latex. Elle commence par mettre à nu ma poitrine. Elle le fait délicatement en m’embrassant. « J’aime quand nos langues se mêlent ». « Moi aussi maman, c’est toi qui m’a appris à embrasser ». Mes seins sont à présent libérés de leur prison. Léa les caresse puis les lèche. Le docteur a une autre idée en tête. Il va à son bureau et en revient avec une paire de pinces à tétons. Il exige qu’elle les mette en place. Pendant ce temps, il me bâillonne avec une boule qu’il place entre mes dents et dont il attache les courroies dans mon cou. Léa fixe les pinces en les serrant fortement. Etant attachée sur le fauteuil, je ne peux me défendre et suis obligée de subir. Je gémis de douleur. Cette salope de Léa se pique au jeu du médecin et me gifle « Chère madame, je vais m’occuper de vous, très sérieusement » dit le docteur. Il prend de très longues aiguilles. Il en plante une dans chacun de mes tétons et les fait traverser. Léa est horrifiée. Elle se met à pleurer à chaudes larmes. « Ma chère madame, je vais mettre en place des boucles à vos seins » dit-il, alors qu’il n’a jamais été question de cela, entre nous, auparavant. « C’est quoi maman ? » me demande Léa entre deux sanglots. « Des piercings » jeune fille. Il profite du trou de l’aiguille pour enfiler le début de l’anneau sur mon téton droit. « Je ne regarde pas, maman ». Il fait de même sur le gauche. « Ca fait mal maman ? » Je ne peux luui répondre mais des larmes font leur apparition au coin de mes yeux. Au début, oui mais la douleur est très vite remplacée par une sensation de bonheur. Les deux anneaux étant quasiment en place, il retire les aiguilles et il tire sur les anneaux pour les mettre en place et les refermer. Je porte désormais sa marque. « Allonges toi sur la table d’auscultation, les pieds dans les étriers, petite salope » dit-il à Léa. Nous nous faisons face à face. Chacune immobilisée. « Madame, à vous de profiter de la jolie chatte de votre fille ». Je ne peux parler à cause du bâillon mais mon regard est inquiet. Je me demande où il veut en venir. Il me détache. Libre, je regarde mes tétons ornés de leurs bijoux. « Tu es jolie maman ». « Ca te plait Léa ? « . « Ouiiiiiiiiiiiiii » .Le médecin dit alors : « puisqu’il en est ainsi quand ta poitrine de femme sera formée, je lui ferai subir le même sort ». « Ouiiiii ». Il s’agenouille entre mes jambes, baisse un peu plus ma combinaison de vinyle … Je suis quasi nue. Il s’empare de mon clito et entreprend de le sucer. Il grossit. Quand il le juge bon, il se retire et m’ordonne de me planter dans ta chatte, qui est toute prête… Je m’enfonce en toi. « Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii » crie ma salope de Léa. Ainsi positionnée, mes fesses sont à sa disposition. Il prend un martinet et me zèbre les chairs de mes globes fessiers. Pendant ce temps là, je vais et je viens dans ses reins. « Tu me baises bien, maman. J’aime te sentir en moi » ajoute-t-elle dans un râle, tandis que je me trémousse pour éviter les lanières, mais le salaud est adroit, ses coups ratent rarement la cible. Je hurle mon plaisir d’être ainsi traitée. Mes cris sont à la fois des cris de douleur mais aussi de plaisir mêlés. Léa aussi hurle de plaisir. Je m’agrippe aux étriers. Je me comporte telle une harpie qui s’abandonne aux plaisirs de la soumission. Très vite, je suis au bord de la jouissance. Je constate qu’il en est de même pour elle. Je me permets de fouiller dans un tiroir et y découvre un gode de belle taille. Il faut absolument que je me calme, en travaillant ma chatte, tant je suis mouillée. Je lèche mes doigts imprégnés de ma mouille. Léa se met à crier : « merde j’ai joui ! » « Dommage ! Ce n’est pas dans ma bouche » que je réponds. Le docteur décide de s’occuper de ses seins mais avant il l’attache sur la table de travail. Elle est à son entière disposition. Ses petits seins subissent alors de la pose de pinces crocos. Elles sont reliées entre elles par une petite chaîne que je suis contrainte de prendre entre les dents car il est en train de faire couler de la cire tout le long de ma colonne vertébrale. Quelques gouttes s’égarent entre mes fesses et trouvent refuge sur ma chatte. Je te fais mal mais j’y suis obligée, pour obéir à notre tourmenteur. Je te gifle de nombreuses fois très fortement. Tes joues rougissent et tu pleures à chaudes larmes. Tu implores ma clémence mais je ne fais qu’obéir aux injonctions du docteur. Pour ne plus entendre tes plaintes, il t’enfile un masque de latex avec juste un trou pour respirer, te rendant ainsi muette Après m’avoir bien enciré, il décide de faire couler la cire sur ta poitrine. Tu te tortilles dans tes liens mais ton masque étouffe toute velléité. Plus tu te plains et plus il en fait couler. Il descend lentement la bougie vers ton petit clito, qui laisse échapper de minuscules gouttes de ton jus, qu’il s’empresse de nettoyer de sa langue. Il te décalotte. Ma chère demoiselle, dans quelques temps ceci ne sera plus qu’un souvenir. « Qu’allez vous me faire docteur ? » hurle-t-elle au travers de son masque. A la fin de ton parcours, quand tu seras devenue femme, il ne sera plus là. Pour l’instant je vais t’enculer petite fille. Aussitôt dit, aussitôt fait. Il présente sa bite à l’entrée de sa chatte, et s’y enfonce sans ménagement. Nous constatons, le docteur et moi que cela rentre tout seul maintenant. Tu bouges dans tes liens en gémissant. Il m’autorise à retirer ton masque. « Tu la sens bien aller et venir entre tes reins, petite pute ? » « Ouiii, j’adore ». Dans quelques mois, si l’opération est réussie, tu seras en mesure de féconder. « Un bébé » demande-t-elle ? A compter du jour où tu seras reconnue civilement en temps que femme, je ferai tout pour te trouver un homme qui fasse de toi une vraie femme. « Tu es trop gentille maman ». En attendant, nous devons obéir au docteur en bonnes femelles soumises. Il te dit de me sucer pendant qu’il m’encule Je m’allonge sur toi, cuisses grandes ouvertes en 69. « Oh oui maman suce moi » me supplie-t-elle. Nous nous suçons mutuellement en bonne chiennes que nous sommes. Léa : « hum j’adore te sucer je me sens si femelle surtout en me faisant enculer par cette grosse bite. Je passe ma langue sur chaque parcelle de ton clito. Je le prends en bouche. J’alterne entre ton clito et sa grosse bite, qui sort de ton cul, conservant ton gout. Je me délecte de vos parfums. « Salope » lâche alors Léa. Oui ma fille, je suis une salope … accomplie. « Je veux devenir toi, maman » ajoute-t-elle. « Avec le temps, tu y parviendras » que je lui réponds. Elle se tourne alors vers nous et nous demande « j’ai déjà fait du chemin, non ? « . Ce à quoi nous répondons « C’est clair ». Le docteur éjacule dans son boyau. « Tu aimes ça, petite cochonne ? ». « Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ». Je jouis dans ta bouche en même temps. Elle avale tout. Il sort sa grosse bite de son cul en m’ordonnant de la nettoyer. Je m’y emploie avec délectation. « Hum ça te plait hein ? » Vos gouts si différents se mélangent dans ma bouche. Le docteur te libère en disant qu’il n’en n’a pas fini avec nous. Il passe à nos cous des colliers en acier … « Oh! » faisons-nous d’une seule voix. Comme deux chiennes, il nous oblige à nous positionner à quatre pattes … Il fait plusieurs navettes dans un local voisin de son bureau et en revient avec du matériel. Il commence par revenir par deux cages, puis des machines à baiser. Il nous force à entrer chacune dans une cage. Nous nous retrouvons, nues, enfermées chacune dans une cage au milieu de son bureau. Au niveau de nos bouches il fixe un gode. Il installe, ensuite, les machines à baiser derrière nous. A l’extrémité de chacune se situe un autre gode plus gros encore. Au travers des barreaux, il nous tartine nos rosettes de lubrifiant, place les tiges avec les godes al’entrée de nos chattes. Il insiste un peu et ces olisbos nous pénètrent sans trop de difficultés. Les godes dans nos chattes il met en route les machines et on se fait baiser comme deux salopes. Les godes nous défoncent tandis que nous suçons ceux placés devant nous. Impossible d’échapper à cette démentielle défonce. Se prenant à son propre jeu, il accélère la vitesse de pénétration des godes dans nos boyaux culiers. Nous hurlons. Ce spectacle de deux chiennes se faisant limer par des godes le met en joie. Léa le regarde. Il bande comme un taureau. Il présente sa verge distendue entre les barreaux de la cage de Léa, au niveau de ta bouche, et lui ordonne de la sucer. Ne pouvant se dérober, elle s’exécute. De l’intérieur de ma cage, je ne peux qu’assister au spectacle. A l’aide d’une télécommande, il augmente la vitesse des machines. Elles nous pilonnent. Nous sommes complètement distendues. Du coup Léa « éjacule ». Son jus de femelle ruisselle entre ses jambes. Elle tremble de tout son corps sous l’effet de la jouissance. De mon côté, je ressens une douleur lancinante à mes tétons, due aux anneaux. A cet instant, le docteur nous promet de se charger personnellement de nos cas respectifs. Il arrête les machines et les retire. Il nous fait sortir aà quatre pattes. Il nous place côte à côte et nous encule chacune notre tour. Il se régale de nos culs en nous fessant. Il att**** au vol deux grosses bougies qu’il allume. Il nous arrose copieusement de cire chaude. A nouveau, nous hurlons de douleur et de plaisir. Fier de lui et de son œuvre, il va s’asseoir à son bureau et passe un coup de téléphone dans lequel il parle de nous. D’après ce que j’entends de la conversation, son interlocuteur est une femme. « Voila, je viens de parler de vous à ma femme » nous dit-il après avoir raccroché. « Votre femme », disons-nous en chœur ? « Oui «nous répond-il. Elle est pressée de faire la connaissance de deux salopes telles que vous. Et il enchaîne : »A compter de cet instant, et pour quinze jours, vous allez devenir nos soubrettes soumises à la maison ». Se tournant vers Léa, il ajoute : »je t’aurais sous la main pour ton traitement, jeune fille ». Quant à vous, Madame, mon épouse va pouvoir vous soumettre à son doux plaisir, le bondage. Nous ne sommes pas en mesure de refuser cette proposition. Sur ces entrefaites, sa femme nous a rejoint …

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