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Le camp de migrants

Le camp de migrants



Voici une aventure arrivée il y a peu à mon amie Brigitte et qu’elle m’a demandé de mettre sur le site.

Je m’appelle Brigitte, je suis une blonde plantureuse, la cinquantaine pimpante. Je suis mariée et maman d’une jeune fille de 20 ans. Jusqu’à il y a peu, je menais une vie tranquille. Mais récemment, une aventure a bouleversé ma vie et je souhaite vous la faire partager.

Tout à commencé au début de cet été. Mon mari étant parti pour un déplacement professionnel, et ma fille étant en vacances avec son petit ami, je me retrouvais seule à la maison pour une semaine. Je décidais donc d’en profiter pour aller rendre visite à ma soeur qui habite à une centaine de kilomètres de chez moi, en pleine campagne. J’y serais mieux qu’en ville, surtout avec la canicule qui régnait depuis quelques jours et qui rendait l’atmosphère étouffante. Après lui avoir téléphoné pour l’avertir de mon arrivée, je pris la voiture et me mis en route. Il faisait beau et je décidais de prendre les petites routes pour profiter du paysage. Avec cette chaleur, je m’étais habillée avec une petite robe d’été fleurie et une paire de sandales compensées. Alors que j’abordais une côte assez raide, de la fumée blanche se mit à jaillir du capot de la voiture. Je me garais immédiatement sur le bas côté, un peu paniquée. Je n’y connais absolument rien en mécanique et je me trouvais alors en rase campagne, loin de tout. Heureusement que la technologie moderne allait être là pour voler à mon secours. Je me saisis de mon sac à main posé sur le siège passager, à la recherche de mon téléphone portable pour appeler un dépanneur. C’est alors que je m’aperçu que j’avais oublié de recharger ce maudit téléphone et que celui-ci était aussi inerte qu’une pierre. J’étais dans de beau draps. Le dernier village que j’avais traversé devait être à au moins 10 kilomètres, et je n’avais pas croisé d’habitations en route. Je décidais, en désespoir de cause, d’abandonner ma voiture et de continuer la route à pied pour trouver un endroit où téléphoner. J’avais parcouru une centaine de mètres quand j’entendis du bruit parvenant d’un petit bois sur le bord de la route. Deux jeunes hommes noirs sortirent alors des fourrés et se postèrent devant moi, me flanquant la frousse de ma vie. Mais je compris vite, à leur large sourire, qu’ils n’étaient pas dangereux ou aggressifs. Un des deux jeunes s’adressa alors à moi dans un mauvais français, pour me demander si j’avais un problème. Je lui expliquai ma situation et il me proposa de m’aider en m’emmenant dans une maison proche où je pourrai téléphoner et recharger mon portable. Les deux jeunes étant très sympathiques, et vue ma situation, je décidai de les suivre. Celui qui parlait français m’apprit qu’il s’appelait Ibrahim, qu’il était migrant et arrivé en France il y a 6 mois. Avec son compagnon Mamoudou, ils étaient logé par une association dans la maison où il m’emmenaient. Plus nous parlions, plus nous nous enfoncions en pleine forêt. Finalement, cette maison était pas si près que cela. Au bout d’un bon quart d’heure de marche, j’apercu une clairière au bout du chemin. La maison ne devait plus être loin. Mais une fois arrivée, aucune maison à l’horizon. A la place, je découvrais un camp de fortune constitué de cabanes faites de bric et de broc, avec des bâches et des palettes comme constituant principal. Je me tournais alors vers Ibrahim pour lui demander une explication. Son visage avait complétement changé. Son large sourire avait fait place à un rictus démoniaque. Son regard surtout était effrayant. J’étais glacée de peur. Tétanisée. Il s’adressa dans une langue inconnue à Mamoudou qui me poussa violemment à l’intérieur du camp. Une trentaine d’Africains étaient là pour m’accueillir. La plupart avaient l’air jeunes, mais il y avait aussi quelques hommes mûrs. Ils étaient presque tous torse nu, avec un short pour tout vêtement. Une forte odeur de transpiration empuantait l’air. Mamadou me prit par les cheveux et me tira vers les restes d’un feu de camp au centre d’une petite place au milieu des cabanes. Il me jeta à terre et pris mon sac à main qu’il lanca à Ibrahim. Celui-ci en sortit mon portefeuille et fouilla à l’intérieur. Il prit tout d’abord les quelques billets qui s’y trouvait, ainsi que ma carte bleue. Il s’intéressa alors à ma carte d’identité et aux photos de familles que je gardais à l’intérieur. Au bout de quelques secondes, il s’adressa à moi:

– Je sais que tu t’appelles Brigitte S. , je sais où tu habites. Je sais que tu as une jolie petite fille. Alors écoute moi bien salope, je vais pas te le dire deux fois. On va tous de baiser comme tu le mérite sale chienne blanche. Tu vas être notre vide couilles. On ordonne, tu obéis. C’est clair ? Sinon, ça va très mal se passer pour toi. Et si jamais tu raconte quelque chose à la police, on sait où te trouver pour te faire payer ça très cher. T’as compris connasse ? T’es pas la première et tu seras pas la dernière. Dommage que toi on puisse pas t’engrosser comme les autres jeunes salopes blanches. Mais bon, on va compenser avec ton cul. Vu que tu peux plus pondre il vaut plus cher que ta chatte. On va bien le remplir de jus salope. J’adore les vieilles morues comme toi. En plus tu as des bonnes mamelles de pute.

Je me mis alors à pleurer. Mon visage était inondé de larmes, faisant couler mon maquillage le long de mes joues. J’étais prise au piège, obligée d’obéir pour éviter le pire. Tous ces hommes en rut allaient faire de moi leur objet sexuel. Mais ce qui me rendait le plus furieuse, c’est que je ressentait malgré moi une excitation terrible. Je mouillais comme une folle de cette situation dramatique. Qu’est-ce qui m’arrivait ? L’idée d’apprécier cette situation horrible, humiliante et dégradante, me révulsait et je luttais contre de toutes mes forces. Peut être même avais-je été consciente dès ma rencontre avec Ibrahim et Mamoudou du danger et avais désiré sans me l’avouer ce qui était en train de m’arriver. Je me refusais à cette idée.

Je fus vite entourée par l’ensemble des habitants du camp. Apparemment, je n’étais pas la première à subir leur assaut et cela se sentait. Les mecs étaient déjà expérimentés. A part un ou deux qui semblaient moins à l’aise, sûrement des nouveaux arrivants, les autres avaient l’air d’avoir l’habitude de ce genre de traitement. Certains sortaient juste leur queue de leur short, d’autres l’enlevait carrément pour se mettre nu, avant de me fourrer le sexe dans la bouche ou de me fouetter le visage avec. Les seuls mots français que j’entendais étaient les insultes qu’ils m’adressaient, et elles étaient nombreuses. Et généralement accompagnées de gros crachats visqueux envoyés directement sur mon visage. Je suçais les queues tendues l’une après l’autre. Malgré moi, le dégoût fit rapidement place au plaisir. Les digues lachaient et je me laissait aller à mes instincts primitifs. Je devais bien me l’avouer, j’adorais être leur chienne soumise. Ces grosses bites noires et odorantes qui m’emplissaient la bouche me rendaient folle de plaisir. Ma chatte dégoulinait comme une fontaine. J’avais enfin trouvé ma place, mon rôle. Je me mis à sucer toutes ces belles queues avec application, léchant le gland avec amour, inondant la tige de ma salive, gobant les couilles. Jamais je n’avais sucé mon mari ou mes amants précédents de la sorte. J’acceptais également sans broncher quand un des mâles décidait d’utiliser ma bouche comme un simple orifice pour me la pistonner sauvagemment, me contentant d’ouvrir mes lèvres le plus grand possible pour lui faciliter le passage pendant qu’il me tenait la tête pour accélérer le va et viens. Je fus moi même surprise par ma capacité à avaler les queues les plus longues jusqu’aux couilles au fond de ma gorge.

La première fois qu’un des noirs me présenta ses fesses, je ne compris pas tout de suite. Je fus rapidement mise au courant par Ibrahim qui fourra mon visage dans la raie offerte et m’ordonna de bien tout nettoyer comme une bonne chienne blanche. Je ne me fit pas prier et me mit à lécher goulûment l’anus qui m’était présenté, ainsi que toute la raie. J’étais devenue comme folle. Les trous du cul se présentèrent un à un pour être nettoyé et je mis beaucoup de coeur à l’ouvrage. Tous auraient eu besoin d’un bon bain, mais seule ma langue était disponible. Plus les culs étaient sales et merdeux, plus je prenais de plaisir à y mettre ma langue et à bien tout lécher.

Heureusement, les premières bites ne tardèrent pas à s’enfoncer dans ma chatte pour me soulager tellement j’étais excitée par les pipes et les feuilles de rose. Je me lachais enfin complètement et suppliait mes maitres de me défoncer comme la pute que j’étais. Je les encourageais à me pistonner la moule encore plus fort. Ces salauds me firent jouir plusieurs fois à la chaine. Mais aucun ne pris la peine de gicler dans ma chatte. Tous avaient l’ordre de gicler dans mon cul. La première sodomie me fit un peu mal. Il faut dire que je ne suis pas une adepte. Avec mon mari, nous l’avions fait seulement une fois, il y a des années de cela, et aucun autre de mes amants précédents n’avait eu ce privilège. Mais ça, c’était avant. Rapidement, mon cul se mit à s’élargir sous les coups de boutoirs de mes amants noirs. Ma rondelle fut vite réduite à l’état de tunnel béant, dégoulinant de la semence abondante dont les migrants me faisaient l’offrande. A chaque nouvelle éjaculation dans mes entrailles je me sentais encore un peu plus chienne. Une fois la dernière paire de couilles vidées, certaines ayant fait plusieurs fois le tour, Ibrahim me fit me pencher en avant, empoignat mes fesses et écarta mes lobes pour bien exhiber mes orifices béants à tous les participants. Il accompagnait son geste d’insultes et de remarques très humiliantes qui rendirent ma chatte luisante de cyprine. Le sperme coulait encore à flot de mon anus défoncé.

Il me fit alors mettre à genoux, me lança 2 belles gifles et m’envoya un gros crachat bien gras en plein milieu du visage. Puis, il me demanda d’ouvrir grand la bouche, approcha son sexe de mes lèvres et pissa directement dans ma gorge. J’eu le réflexe de fermer la bouche et de tourner la tête, ce qui me valut une nouvelle paire de claque et un coup de pied dans le ventre. Il m’aspergeat le visage, les cheveux et la poitrine d’urine, puis me dit de réouvrir la bouche et d’avaler le reste de sa pisse. J’obéissait à présent comme une bonne pute soumise et but l’intégralité du chaud liquide jaune sortant de la bite d’Ibrahim. Mamoudou lui succéda pour m’offrir son urine, suivi ensuite de l’ensemble du camp. Ils pissèrent partout sur moi, y compris dans ma chatte et dans mon cul. Ma petite robe, que je n’avait pas quitté mais qui avait été retroussée par le bas et par le haut autour de ma taille, était à présent trempée et puait la pisse âcre.

Ibrahim m’ordonna alors sèchement de me casser en leur laissant l’argent liquide dans mon portefeuille. J’aurais normalement dû être soulagée d’enfin pouvoir partir, mais j’étais devenue définitivement leur esclave. Je demandait à Ibrahim de pouvoir revenir le lendemain. Il me forçat à me mettre à genoux et à le supplier de pouvoir revenir me faire baiser comme une chienne. Je m’exécutais, sous les rires et les insultes de tout le camp. Ibrahim me dit qu’il acceptait à une condition. Je lui dit que je ferais tout ce qu’il exigera de moi. La condition était simple. Je devais revenir au camp avec ma fille, pour qu’ils puissent utiliser ses jeunes trous sans retenue et nous baiser côte à côte. Je suppliais Ibrahim de ne pas me demander cela. Tout mais pas ça. Mais il était inflexible. Je cédais finalement, le désir de pouvoir à nouveau goûter à toutes ses grosses queues noires et être la chienne soumise de ces migrants étant trop forte. Je promis de revenir le plus vite possible et m’en allait, dans ma robe trempée de pisse, par le chemin par lequel j’étais venue.

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