Dès que nous rentrions à la maison et que personne n’était prévu venir, nous nous mettions nues. Si l’on sonnait à la morte, nous enfilions un long t-shirt qui cachait tout. Nous dormions ensemble et nous faisions l’amour autant que nous en avions envie. Nous variions les plaisirs en utilisant chaque pièce de la maison. Comme moi, maman prit l’habitude de ne pas mettre de culotte quand nous sortions ensemble. Nous aimions nous caresser dans les endroits les plus insolites. Dans la voiture, au feu rouge, nos mains se glissaient sous nos jupes et nos doigts cherchaient nos intimités humides. Maman conduisait souvent la jupe relevée quand j’étais assise à côté d’elle. Il nous arrivait de nous arrêter dans des parkings pour nous lécher mutuellement.
Un jour où il faisait un temps magnifique et que nous ne travaillions pas, nous décidâmes d’aller à la plage naturiste du Jonquet pas très loin de chez nous. Les touristes n’étaient pas encore arrivés, ce qui nous laissait de la place pour nous installer où nous le voulions. Nous choisîmes un coin légèrement à l’écart car nous n’aimions pas les vieux mateurs qui trainaient parfois dans ce genre d’endroit. Le soleil chauffait nos peaux et nos esprits. La proximité rendait peu propice les câlins et attouchements, cependant avec un peu de discrétion…
Couchée sur le ventre, maman me demanda de lui passer de la crème solaire sur tout le corps. Assise à côté d’elle, je m’enduisis les mains et débuta par son cou et ses épaules, puis son dos. J’insistais un peu plus sur ses fesses. D’un coup d’œil aux alentours, je vérifiai que personne ne nous regardait. Nous étions tranquilles. Je mis de la crème partout sur ses fesses, insistant bien sur sa raie. Mon doigt s’insinua légèrement dans son anus, descendant un peu plus bas entre ses petites lèvres. Ensuite, je badigeonnais ses cuisses, ses mollets et ses pieds. Elle se retourna pour que je fasse l’autre côté. Tendrement, j’appliquai la crème sur sa poitrine si douce, accentuant un peu plus sur ses tétons fermes. Elle avait les yeux fermés derrières ses lunettes de soleil. Je la sentais s’abandonner pleinement sous mes mains. Je passais maintenant de la crème sur son ventre et son bas-ventre. Son abricot tout nu luisait. J’aurais aimé la caresser plus intimement mais c’était risqué.
A son tour elle me passa de la crème partout. Nous nous fîmes bronzer un long moment. Nous avions de prendre un peu le frais. Nous nous levâmes pour aller dans l’eau. Elle n’était pas chaude, mais au bout d’un moment, nous pûmes nous plonger entièrement dedans. Nous riions en nous aspergeant. Sous l’eau mes mains touchèrent son minou. J’entamai une douce masturbation sans que personne nous voie ainsi. Seules nos têtes dépassaient de l’au. Collée contre moi, maman levait insensiblement la jambe gauche, facilitant ma caresse. Elle jouit dans mes bras. Nous nageâmes un peu. Elle titilla ensuite mon clitoris, me rendant mes caresses précédentes. Mes bras autour de son cou, je passai mes jambes autour de sa taille pour faciliter l’étreinte. Je fermai les yeux pour profiter de l’orgasme. Nous revînmes sur la plage, regrettant de ne pouvoir nous donner du plaisir en nous léchant.
En repartant, nous enfilâmes juste une petite robe sans rien dessous. Quelques minutes plus tard, nous étions arrivées à la maison. Nos robes volèrent dès l’entrée. Sans prendre la peine d’aller plus loin, j’allongeai maman par terre et me mis tête-bêche sur elle. Nos langues se perdirent dans nos intimités, voletant de nos clitos à notre vagin et de notre vagin à notre anus. Nous nous dévorions littéralement. Nous avions le goût de sel. Nos doigts prirent la place de nos langues dans nos trous. Nous atteignîmes l’orgasme presque simultanément. Nous prîmes une bonne douche et nous allongeâmes sur le canapé.
Ma tête sur son épaule, j’effleurais son ventre du bout de mes doigts. Sa chatte toute lisse m’attirait irrésistiblement. Ses lèvres en dépassaient largement. J’étais folle. Nous étions folles. Tant pis, nous étions tellement bien ensemble, totalement complémentaires. Maman avait retrouvé une vie « équilibrée ». J’étais à nouveau amoureuse d’une femme, et quelle femme ! Je déposai un baiser sur son ventre, sous son nombril. La moiteur qui se dégageait plus bas m’attirait inexorablement. Ma langue se fraya un chemin entre ses lèvres pour découvrir ce petit clitoris qui était devenu comme une source de vie pour moi. Je le choyais, l’aspirais, le happais, déclenchant une terrible inondation juste en dessous. Tout son corps ondulait au rythme de mes caresses buccales. Elle était à moi, rien qu’à moi et je lui appartenais totalement. Si nous avions été seules au monde, cela n’aurait pas été autrement. Rien qu’avec ma langue, je la fis jouir. Je léchais le surplus de mouille qui dégoulinait entre ses cuisses. C’était si bon, je ne voulais pas en perdre.
Nous faisions l’amour tous les jours sans exception. Selon nos humeurs et nos envies, nos attouchements étaient plus ou moins torrides, allant de simples caresses jusqu’à des pénétrations extrêmes comme je commençais à les apprécier vraiment. La semaine passa ainsi rapidement. Nous décidâmes pour le dimanche de retourner dans le premier champ où nous avions été et qui était si tranquille. Le jour venu, nous nous organisâmes. Nous prîmes, en plus de la nourriture et des accessoires de pique-nique, des godes, du gel lubrifiant. J’avais une idée en tête et je proposai à maman de passer sur le marché avant de prendre la route vers la campagne. Devant un étalage de primeurs, je choisis un concombre, deux aubergines et des courgettes selon leur forme et leur taille. Je n’eus pas besoin de lui expliquer quoi que ce soit, elle souriait sans que la vendeuse put imaginer un seul instant ce à quoi nous les destinions.
Nous savions où nous allions, le trajet fut réalisé en une vingtaine de minutes. Le coin était toujours aussi calme. Son isolement en faisait un cadre de rêve pour nos ébats. Nous étions totalement cachées par les arbres et nous pouvions entendre de loin si quelqu’un arrivait. Par acquis de conscience nous fîmes le tour en regardant au loin. Rien ni personne. Nous nous déshabillâmes complètement. Nous nous installâmes sur notre couverture sur le sol, déballâmes nos affaires. Nous avions apporté une belle panoplie de tout ce que nous pouvions nous enfiler…
Sans perdre de temps, elle vint sur moi pour me lécher. Je lui rendis la pareille. Ensuite, toujours dans la même position, nous glissâmes sur le côté. Je pris le concombre, le lécha un peu avant de la pénétrer avec. Elle avait saisi une petite courgette. Nous nous godions passionnément avec nos légumes. Maintenant bien lubrifiées, nous changeâmes pour les aubergines. J’eus un peu de mal à m’ouvrir suffisamment pour l’accepter en moi. C’est à peine si je forçais pour pénétrer maman avec tellement son vagin s’élargissait facilement. Le légume pénétrait profondément en elle, jusqu’à toucher le col de l’utérus en évitant de lui faire mal. Je voyais ses lèvres vaginales largement dilatées. Mes doigts remplacèrent l’aubergine. Maman fit de même jusqu’à ce que nous ayons nos mains dans nos chattes jusqu’au poignet. Mon poing fermé entrait et sortait de plus en plus vite. La mouille la lubrifiait parfaitement. Nous nous fîmes jouir ainsi dans un grand cri de plaisir.
Nos chattes étaient échauffées et sensibles du fait de nos pénétrations et nous les laissâmes reposer un peu. Nous nous fîmes bronzer un peu. Nous déjeunâmes et nous assoupîmes une petite heure. Au réveil, notre libido nous relança. Nous allâmes faire un petit pipi. La nature nous inspirait et maman s’allongea sous ma bouche pour boire au maximum mon urine. Je voulu essayer aussi et elle s’accroupit au dessus de ma bouche. Je fus surprise par le fort jet qui m’aspergea d’un seul coup. Instinctivement, je fermai les yeux et la bouche. Je n’en bus pas beaucoup pour ma première fois, mais j’appréciais cela.
Je proposai ensuite à maman de nous introduire les aubergines dans nos vagins et de les garder le plus longtemps possible. Bien évidemment, elle accepta. Elle était beaucoup ouverte que moi et sans tabou. Je me retrouvais avec une petite aubergine assez large bien ancrée en moi et maman avec une un peu plus grosse. Du fait de leur forme, elles ne risquaient pas de sortir. Toujours nues, nous fîmes le tour du pré et nous aventurâmes un peu plus loin dans un champ de hautes herbes. C’était étrange de marcher la chatte remplie, à la fois excitant et peu pratique. Nous riions et chahutions, marchant main dans la main, nous embrassant avec fougue.
Nous passâmes le reste de la journée avec nos aubergines. Après nous être rhabillées sommairement d’un paréo, nous les gardâmes même en voiture pour rentrer à la maison ce qui nous fit encore mouiller très fort. Quand maman conduisait, je voyais par l’échancrure la pointe dépasser de sa vulve. Arrivées à la maison, nous prîmes la douche et retirâmes les légumes de nos chattes. J’eus un peu de mal à la faire sortir car les muscles vaginaux s’étaient un peu resserrés. Maman m’aida. Je me mis accroupis et poussai. Une sensation de libération m’envahit. Je dégoulinais. Elle me lécha longuement puis m’embrassa. Le goût de ma mouille était encore présent sur sa langue. En riant, nous repartîmes dans la cuisine pour préparer le dîner.
A suivre…
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