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Mieux qu’une garde à vue

Mieux qu’une garde à vue



Texte de fiction rédigé sur la demande de
Si vous aimez, proposez mois os idées et peut-être les écrirai-je 🙂

11h en ce samedi matin de printemps, je finis de me réveiller d’une grasse matinée bien méritée avec une bonne et longue douche bien chaude. Je dois me préparer car ce soir comme tous les samedis depuis quelques semaines, mon mec David m’a vendu à trois jeunes pervers. Je commence donc à me raser les jambes sous la douche avant de rafraîchir mon petit minou. Le ticket de métro, c’est ce que David préfère et comme j’aime lui faire plaisir, c’est ce que je réalise. Je finis tranquillement de raser le pourtour de mon petit anus quand j’entends la sonnette.

Nous n’attendons personne mais comme David est dans le salon en train de déjeuner, je décide de le laisser ouvrir pour pouvoir terminer ma préparation. Ça m’excite toujours un peu de m’épiler ainsi et je compte bien profiter de cet instant de répit avant la soirée qui m’attend. Je commence à être légèrement humide quand j’entends mon mec ouvrir la porte.

Bonjour M. Ver**** c’est la Police Nationale, nous avons quelques questions à vous poser, laissez nous entrer svp.

La Police ? Mais pourquoi ça ? David et moi avons une petite vie bien rangée, rien de bien important à nous reprocher. Oh si peut-être que … Depuis quelques semaines David me vend comme une pute sur Internet. C’est un hobby pour nous plutôt qu’une activité commerciale. Nous n’avons pas besoin de cela pour vivre confortablement mais ça nous excite tellement tous les deux. J’aime me faire baiser par des inconnus et qu’ils paient pour cela. Je me sens comme la déesse du sexe quand je vois le désir brûlant dans leurs yeux. Cela me fait jouir plus fort que quoi que ce soit d’autre. Quant à David, il adore me voir me faire défoncer sans aucun respect par ces inconnus. C’est lui qui les choisit, le plus souvent d’age moyen et très bien membrés : il sait me faire plaisir.

Bref, tout cela ne fait qu’un tour dans ma tête quand j’entends David bafouiller aux policiers qu’ils peuvent entrer. La cloison de la salle de bain est très fine et donne directement sur la pièce à vivre. J’entends parfaitement ce qu’il se passe et je commence à sérieusement flipper. Ils semblent être plusieurs, au moins 3 ou 4. Je les entends s’asseoir et je tends l’oreille.

M. Ver**** inutile de tourner autour du pot nous savons que vous êtes proxénète ! Ou est votre pute !?
Mais ce n’est pas vraiment une pute on fait ça pour nous amuser
Ben voyons ! Et vous vous amusez bien a voir votre pute se faire défoncer ?
David était au comble de l’embarras je pouvais le sentir d’ici. Moi même je n’en menais pas large dans ma salle de bain, nue et enveloppée dans mon drap de bain.
Euh c’est à dire que … oui en effet …
Et bien aujourd’hui vous n’en profiterez pas ! Je vais prendre votre déposition ici pendant que mes collègues vont prendre celle de votre pute dans la chambre.

L’espace d’un instant je sentis la panique m’envahir, surtout quand quand j’entendis la chaise d’un des flics racler le parquet. Les salauds, ils allaient vouloir tous me passer dessus. Et David ne pouvait les en empêcher.

Le premier vient d’entrer la chambre, seule la porte de la salle de bain nous sépare. Je suis dans un état indescriptible oscillant entre la peur l’angoisse et une forme étrange d’excitation un peu honteuse. Et si j’aimais qu’on abuse de moi ?

Le fonctionnaire qui venait d’ouvrir la porte de la salle de bain ne se posait pas tant de questions. Lorsqu’il me vit, je remarquais son petit sourire satisfait. « Je l’ai trouvé les gars !». Il m’arracha alors prestement ma serviette. « Hum elle est rasée de frais en plus !» dit-il à travers la cloison déclenchant les rires de ses collègues. Il était plutôt mignon dans son uniforme et je remarquais tout de suite la bosse de son pantalon. A ce moment, la peur s’était envolée et si soulager ces messieurs pouvait éviter la prison a mon mec je n’allais pas me priver. Je m’approchais alors de lui et entreprenais de sortir sa queue de son pantalon réglementaire. Sans rien dire je commençais à avaler goulûment sa demi molle. Il ne fallut pas longtemps avant que le sexe du flic devint aussi raide que sa matraque. Il me prit alors la tête et entreprit de me baiser la bouche violemment. Alors que je abandonnais complètement je sentis ses couilles remonter et se durcir et un flot continu de sperme m’emplit la bouche totalement. Hummmm que c’était bon. Je laissais le liquide chaud couler le long de ma gorge et aspirais les dernières gouttes de cette belle bite. Une fois vidé et le regard reconnaissant, le fonctionnaire appela alors « Au suivant ! Elle est super bonne cette petite pute. » Sans un regard, il sortit : j’étais toute humide et prête à me faire passer dessus par tout le commissariat. Ce petit feignant ne m’avait même pas peloter et je voulais maintenant jouir !

J’eus à peine le temps de m’allonger sur mon lit, offerte, avant que le second larron n’entre en scène. Il était déjà en train de se déshabiller et me mit son sexe dur directement en bouche. Je le suçais alors goulûment et le plus profondément possible tout en malaxant ses couilles. J’avais déjà inséré deux de mes doigts dans ma petite chatte humide sans même m’en rendre compte. Je commençais à onduler du bassin en sentant l’orgasme monter. Mon partenaire s’en aperçut, se retira de ma bouche et décida de fourrer ma belle petite chatte mouillée pour mon plus grand bonheur. Sa queue était dure et chaude et elle n’eut aucun mal à me pénétrer jusqu’au fond dés le début. Ses allers retours réguliers commençaient à m’arracher d’irrépressibles petits cris de plaisir quand il se retira. Je relevai la tête étonnée et déçue, juste à temps pour le voir jouir abondamment sur mon ventre. Cela provoqua quelques contractions délicieuses de mon diaphragme mais j’étais une nouvelle fois frustrée : ces bon à riens finiraient-ils par me faire jouir ?

« Putain qu’est-ce que t’es bonne petite salope» s’écriait l’agent de police le pantalon sur les rangers et la bite à la main. Il avait l’air assez ridicule et faillit me faire rire un instant. Heureusement, mes doigts retrouvaient le chemin de ma chatte et je recommençais à me masturber pour garder ma belle excitation. C’est alors que le troisième fit son apparition prenant le relais de son collègue qui sortait en se rhabillant. Celui-ci je le sentais bien.

« J’espère que ces tocards t’ont bien chauffés, tu vas voir, ça va pas être la même avec moi »

Il était bien plus jeune, assez mignon et déjà visiblement excité. Il se branlait en me regardant me toucher. Son sexe était déjà complètement bandé et sa main faisait de longs allers-retours sur sa hampe épaisse. Je décidai alors de faire preuve d’initiative au bout de quelques minutes en me laissant glisser du lit. Je me retrouvais a genoux devant lui mais n’avalais pas sa queue tout de suite malgré ses encouragements. Je préférais commencer par lécher ses couilles, rasées et bien dures, elles étaient délicieuses. D’abord du bout de la langue puis en les avalant entièrement et en les faisant rouler sur ma langue, je leur accordais un traitement de faveur. Cela semblait lui plaire d’ailleurs. Alors qu’il continuait de se branler lentement, il passa par dessus moi et posa ses mains sur le lit en me tendant ses couilles et son cul. Quel petit salaud. Je compris le message et ne me gênait pas pour passer à la vitesse supérieure. Je suçais goulûment ses couilles tout en branlant sa grosse bite bien dure. Quand je sentis qu’il n’en pouvait plus, j’entrepris de commencer à lécher son petit trou du cul, rasé lui aussi. Je sentis immédiatement l’effet que cela lui faisait sa queue était prise de spasme et il commença a claquer des dents de plaisir. Ma langue faisait délicatement le tour de son petit trou alors que que je continuais de le branler. Régulièrement, j’appuyais sur le centre de sa petite rondelle comme pour le pénétrer avec ma langue. Il adorait ça comme me l’indiquaient ses râles de plaisir.

«  Bouffe moi bien le cul petite pute, tu vas voir ce que tu vas prendre après »

J’espérais bien et prenais garde de ne pas le faire jouir maintenant. Il dut sentir que je n’attendais que de prendre sa grosse queue au fond de moi et sortit de cette délicieuse position, j’étais au comble de l’excitation.

Il m’aida a me relever et m’installa a genoux sur le lit, la croupe tendue vers lui qui s’accroupissait par terre. Sa langue commença délicatement à me fouiller le minou. D’abord le pourtour, tout lisse et brûlant, puis mon clitoris qu’il aspirait délicatement. Je commençais déjà à défaillir sous les assauts du plaisir et n’étais plus qu’a demi consciente quand il commença à fourrer sa langue dans mon petit cul. Je le sentis instantanément commencer à s’ouvrir et ma croupe se tendit nerveusement vers ce policier dépravé. J’étais dégoulinante et le cul grand ouvert quand je sentis sa grosse se masturber entre mes fesses. J’adorais ça, sentir ce membre raide se balader entre mes fesses, sur mon anus, à l’entrée de ma chatte. Il me pénétra à ce moment la. Ma chatte tressaillit et l’orgasme arriva presque instantanément. Je ne pus retenir un cri de plaisir puissant alors que mes cuisses se contractaient pour enserrer fermement la queue qui venait de me libérer. Mais mon flic n’avait pas fini. Il se retira et s’introduisit dans mon anus avec une grande facilité. J’étais tellement humide et ouverte…. J’étais surtout à demi inconsciente et ne compris pas tout de suite d’où provenait la bite qui essayait de s’introduire dans ma bouche alors que mon partenaire initiale continuait à me pomper doucement mais profondément le cul. Bien décidée à ne pas réfléchir, je pris cette nouvelle protagoniste en bouche. J’étais dans un état second et, prise de tous côtés, je jouis à nouveau mais cette fois ci, silencieusement, profondément. Les vagues de plaisir prenait l intégralité de mon corps et le faisait se contracter en tous sens. Cela dut exciter mes amants d’un jour car je sentis le jet de leur sperme chauds partout sur mon corps. Je ne savais pas si c’était le paradis ou l’enfer, mais je voulais que cet instant dure à jamais.

Lorsque je me réveillais, j’étais nue et couverte de sperme sur le lit. David me regardait dans l’embrasure de la porte.

«  Que s’est-il passé ?» demandais-je
Il me jeta un uniforme de Police, je le regardais et vis immédiatement la mention « factice » sur l’étiquette.

– « Ces petits salopards ce sont déguisés en keufs pour te baiser. Ils m’ont bien eu. Ce n’est qu’une fois qu’ils t’avaient bien prise qu’ils m’ont laissé cet uniforme et 200€, pour le service m’ont-ils dit »

David souriait et moi, ces orgasmes m’avaient laissés dans un état un peu éthéré et béat. Il vint m’embrasser sur le lit. Plus j’étais couverte de sperme plus il m’aimait.

« Alors prête pour trois clients de ce soir ? » me dit-elle en caressant ma cuisse.
« Oui bien sûr, cet échauffement m’a mise en jambes »
C’était vrai, j’avais encore plus envie de me faire baiser qu’avant la visite de ces faux policiers, mais d’abord je décidais de continuer cette petite sieste dans les bras de mon homme.

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